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L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. – Chapitre 35

L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. - Chapitre 35



Ouvrir un il, puis l’autre, le réveil fut difficile.

Chantal avait un mal de tête, une gueule de bois, comme jamais elle n’en avait eu.

Elle était dans le lit d’une chambre d’hôtel et ne s’y trouver pas seule. Un corps, enroulé dans le drap ronflé à côté d’elle Il fallut quelques minutes à Chantal pour éclaircir ses idées. Le souvenir de la soirée, la discussion avec Antoine, la main sur son genou

Cela revenait doucement et de manière saccadée.

Elle se souvenait maintenant du baiser qu’ils avaient échangé, de la main qu’elle avait prise, de la difficulté qu’elle avait eu à se mouvoir aussi lorsqu’ils s’étaient dirigés vers l’ascenseur

Seuls, dans la cabine, ils s’étaient enlacés, les baisers étaient passionnés et les mains de son galant bien plus curieuses que pudiques.

À peine dans la chambre, il l’avait complétement déshabillée, les souvenirs remontaient doucement à la surface :

La chambre tournait sur elle-même, Chantal était allongée sur le lit Elle était nue et voyait Antoine qui se bagarrait avec son caleçon pour s’en libérer Elle le voyait nu, le sexe bien tendu

Il s’est approché du lit, s’est allongé sur elle, elle se souvient avoir écarté un peu les jambes pour lui faciliter l’approche

Antoine dormait maintenant à côté d’elle, il lui montrait son dos, mais elle ne se souvenait plus que de ce sexe tendu qu’elle a vu s’approcher d’elle, elle toucha son sexe encore gluant du sperme d’Antoine comme pour confirmer le souvenir qui réapparaissait dans sa tête vaseuse ; le sexe d’Antoine qui entre en elle, les va-et-vient de plus en plus rapide, la respiration de son partenaire qui s’accélère et soudains, un jet qui remplit sa cavité bien accueillante.

Elle n’eut pas le temps de jouir, l’orgasme d’Antoine fut trop rapide pour qu’elle puisse n’avoir que les prémisses du plaisir Et pourtant, elle se souvenait avoir apprécié sentir les soubresauts de ce sexe qui se libère, d’avoir savouré cette sensation du liquide épais qui l’inondait

Elle n’avait jamais ressenti cela avant, ou du moins, jamais de cette manière.

Non, elle n’avait pas joui, mais qu’est-ce que cela avait été agréable.

Maintenant, il dormait et ronflait à côté d’elle.

Chantal le regardait et pensait à Marc. Qu’allait-elle lui dire, enfin, allait-elle lui dire ? Et Antoine, qu’allait-il penser d’elle ? Et comment voudrait-il faire évoluer ce qu’ils venaient de vivre ? N’était-ce qu’un coup d’un soir ? N’était-ce que l’effet de l’alcool ?

Elle se posait la question, autant pour Antoine que pour elle.

Cependant, jamais il ne lui est venu à l’esprit que tout cela avait été prémédité par Marc et Antoine Elle aurait pu imaginer Marc ourdir un tel scénario, mais Antoine, ce gentleman, cet homme du monde N’était certainement pas du style à jouer à ce style de jeu.

Marc et Antoine étaient amis, et elle était certaine qu’Antoine, comme elle, s’était laissé prendre au piège de l’alcool, à l’ivresse du moment Sobre, il n’aurait jamais séduit la « femme » de son ami.

Elle avait beaucoup d’estime pour lui et elle ne pouvait imaginer qu’il puisse avoir calculé ce qui venait d’arriver Comme elle n’aurait pu deviner, d’ailleurs, que ce dernier était aussi l’amant de sa fille.

Quant à Marc

Marc, à peine, avait-il fait entrer Charlotte dans sa chambre, qu’il s’approcha d’elle sans dire un mot, la fixa sans qu’elle ne cherche à détourner son regard et l’embrassa.

Charlotte avait accueilli avec prudence et timidité le baiser de Marc, elle voulait tout oublier, ne penser qu’à Antoine et surtout à trouver le moyen de découvrir comment faire plaisir à son amant Le vrai, le seul qui compte, pas celui qui la prenait en ce moment dans ses bras.

Elle se trouvait gauche et inexpérimentée à chaque fois avec Antoine et Marc était en train de lui offrir la réponse à toutes ses interrogations. Il serait son professeur, celui avec qui elle apprendra comment faire plaisir à celui qu’elle aime.

La langue de son partenaire commençait à taquiner la sienne, elle la laissa s’amuser sans, au départ, prendre vraiment part au jeu, mais plus elle pensait à Antoine, plus elle voyait en Marc celui qui saurait la guider et plus elle laissa son instinct prendre le dessus.

La baiser devint torride, ils basculèrent sur le lit, Charlotte se retrouva nue sans vraiment s’en être aperçu

Marc était sur elle, nu, lui aussi, il l’embrassait, elle répondait avec fougue à ses baisers Il se « tortillait sur elle », ses jambes écartaient celles de Charlotte sans qu’elle ne lui oppose une quelconque résistante.

Il était sur elle et finalement se retrouva en elle Elle sentait chaque "coup", et retrouvait la brutalité dans le geste qu’elle avait imaginé chez Marc Mais contrairement à ce qu’elle pensait, cela était loin d’être désagréable

Elle voulait apprendre comment donner du plaisir à un homme, à son Antoine et elle était en train d’en prendre Marc allait et venait sans ménagement, il sortait des onomatopées étranges à chaque coup qu’il lui portait Cela aurait pu la faire rire tellement cela était ridicule et pourtant Elle sentait son sexe s’humidifier de plus en plus de sa cyprine, son bassin se soulever comme pour réclamer le sexe de cet amant incongru, comme si elle voulait qu’il entre plus profondément en elle Elle ne pouvait se retenir de gémir, elle prenait vraiment du plaisir Sa respiration s’accélérait, ses lèvres cherchaient celles d’Antoine et trouvaient celles de Marc.

Ils picoraient pour ensuite se dévorer, ils s’embrassaient et elle livrait finalement en oubliant complétement Antoine.

Elle avait envie de cet homme qui la prenait maintenant sans ménagement, elle n’avait qu’une envie : jouir !

Finalement, elle s’abandonna complétement, l’orgasme montait en intensité, jamais elle n’aurait cru cela possible Elle n’arrêtait pas de jouir, elle n’en pouvait plus c’était à la fois agréable et douloureux C’était si fort, qu’elle ne put se retenir ; elle cria comme jamais elle n’avait crié C’était si merveilleux.

Crispé, le bassin levé autant que possible comme pour absorber le maximum du sexe de son amant, elle avait laissé échapper son cri au paroxysme de son orgasme, ce cri fut l’élément déclencheur qu’attendait Marc, il s’était retenu autant que possible et à ce signal s’abandonna complétement pour inonder la jeune caverne si affamée.

Il s’écroula sur elle et ils restèrent ainsi le temps de reprendre leurs esprits.

Alain était, lui, bien loin, de ces jeux un peu pervers ourdis par Marc et Antoine, il n’avait pas vraiment oublié Chantal, mais elle n’était plus, pour l’instant, sa préoccupation première.

Il était allongé sur les couvertures de son lit, nu et tenait dans sa main son sexe en érection ; Chantal n’avait rien à voir avec cette situation Les rêveries d’Alain se concentraient plutôt sur Lise.

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