Histoires de sexe arabes Histoires de sexe français Histoires de sexe sœur

L'INCONNU DU CINEMA – Chapitre 9

L'INCONNU DU CINEMA - Chapitre 9



Arrivés en centre ville, nous avons flâné dans les rues piétonnes, Marc me tenait par la taille et je me laissais mener de vitrine en vitrine.

Après toutes ses émotions, je trouvais cette promenade très agréable, il faisait très beau et il y avait beaucoup de monde dans les rues.

Je me sentais tel une jeune amoureuse près de son prince charmant, me permettant même des petits caprices face à certaines boutiques pour quil me laisse admirer plus longtemps toutes ses jolies tenues dété.

Lui aussi me paraissait très détendu, presque heureux dêtre avec moi, parfois il se prenait même à menlacer et membrasser à pleine bouche au beau milieu de la foule.

Loin de trouver cela désagréable je me surprenais à ressentir comme de véritables sentiments pour lui et cela me troublais sérieusement.

Je vous arrête de suite, il ne sagissait pas de sentiments damour comme ce que je ressentais pour mes enfants ou mon mari, non, mais des sentiments inexplicables se situant entre une profonde amitié, lamour et une totale confiance.

Sa présence me rassurait et me rendait la vie plus belle, avec lui je pouvais me laissé aller, vivre et jouir intensément de toutes mes sensations.

Pouvoir enfin faire tout ce quune femme peut rêver et fantasmer en matière de sexe, sans prendre de risques et dengagements, gardant toujours une issue de secours et pouvoir tout stopper.

Certes il y a eu des contraintes et des humiliations, mais plus consenties que je ne laurais cru.

Certes il a du utiliser ma peur et même le chantage pour obtenir ma résignation et faire tomber mes ultimes tabous, mais le résultat en valait la peine.

Jamais en tant que femme, je naurais atteins de moi-même un tel degré de perversité, car mes fantasmes me faisaient peur et me culpabilisaient de honte.

Bien sur, comme beaucoup de femme, je rêvais et mexcitais de pouvoir tromper mon mari, davoir un ou plusieurs amants qui se délecteraient de mon corps comme sil était le plus beau et attirant de la terre.

Bien sur, que je me surprenais à espérer être prise bestialement sans que lon me demande mon avis, violé mais consentante, mais cétait toujours par un très beau mâle à la puissante et magnifique virilité.

Mais la vie ne lentendait pas ainsi, le manque de temps et les responsabilités de la vie, les enfants, lhomme que lon aime, etc.

Toutes ces choses qui font que la vie défile vite, très vite et qui nous empêchent de profiter pleinement de notre corps et des superbes sensations que cette belle machine peut nous procurer.

Cétait donc comme une véritable chance que jinterprétais le hasard de la rencontre avec Marc, chance de tomber sur un bel homme suffisamment libre et pervers pour quil tente sa chance.

Chance aussi que mon époux ne se soit aperçu de rien, permettant ainsi à mon bel amant de poursuivre mon initiation à la luxure.

Cétait donc avec beaucoup de plaisir que je me serais contre son corps, enlacée et répondant à ses baisers, puis passant devant une terrasse ombragée, je lui ai demandé de moffrir un verre.

Une fois assise face à lui, je lai regardé avec tendresse et prenant mon courage à deux mains je lui ai demandé :

— Marc, puis je vous demandez nonpuis je te demander et te dire certaines choses ?

Volontairement jai voulu le tutoyer afin de lui faire comprendre que je ne jouais plus, que ma requête était vraiment sérieuse.

— Bien sur Emilie, tout ce que vous voudrez ou bien préfère tu, tout ce que tu voudras ?

Cétait un homme intelligent et il a compris que cétait le moment de rassasier ma curiosité au risque de perdre sa proie.

— Toi et ton Maitre comme tu lappelle, vous avez bien profité de moi

— Emilie ce nest pas comme ça quil faut le prendre

— Chutsil te plait, laisse-moi continuer

— Désolé, vas y poursuis

— Donc, vous avez bien profité de moi et de mon corps, sans vergogne vous mavez même prostitué en quelque sorte, abusant de moi, mhumiliant et mavilissant comme jamais je ne lai été.

Je le regardais en même temps et il baissait les yeux en écoutant mes vérités

— Vous mavez offert à vos amis, tu as même laissé cette brute épaisse me prendre avec sa bite énorme, par devant et même par derrière au risque de me déchirer, mais je te rassure jai vraiment pris mon pied, comme jamais.

Je voyais la gêne sinstaller de plus en plus, alors je lui ai pris sa main dans la mienne pour le rassurer de mes intentions.

Tu vois, vous mavez fait subir tous ces outrages, vous mavez salie et pervertie, fait de moi votre petite pute, votre petite salope, nest ce pas ?

Cétait drôle, plus je parlais et plus il semblait gêné, regardant autour de nous pour vérifier que personne ne nous écoutait, les rôles sétaient inversés pour mon grand plaisir.

Et bien Marc, sache que malgré tout celaje ne ten veux pas, bien au contraire.

Il souffla un bon coup, me serra la main et me fit un sourire.

— Emilie, jamais je naurai voulu te faire du mal, tu es très belle et désirable alors ce soir là, au cinéma, jai tenté ma chance et je suis tombé sur une femme inexploitée avec des désirs immenses.

— Et mon mari, tu navais pas peur quil sen aperçoive ?

— Cétait un risque à courir, mais la plus part des hommes ne regardent plus leur femme comme ils le devraient, ils la possèdent, lui font confiance mais jamais ils nimagineraient que lon puisse abuser de leur femme de cette façon.

— oui, mais quand mêmeles risques

— Et alors, même si tu mavais rembarré, tu laurais surement fait discrètement cherchant à éviter une éventuelle bagarre et si cétait lui qui aurait détecté quelque chose, jaurais fait loffusqué

— (monsieur, excusez moi, vous vous méprenez sur mes intentions, si jai malencontreusement touché votre épouse cétait vraiment sans le vouloir et je vous pris de men excuser).

— Je vois que tu as bien réfléchit à la question, vous ne laissez aucune place pour limprovisation, mais qui est ton soit disant Maître ?

— Cest un véritable ami, tu ne le connais que sous son aspect dominateur, mais cest un être plein de bonté, loyal et sincère, il est certes très pervers mais il connaît très bien les femmes.

— Et les hommesil les connaît aussi ?

— Plus que tu ne le pense Emilie, cest pourquoi il garde toujours le contrôle et assure la parfaite sécurité des femmes qui lui accordent leurs confiance.

— Marie et les autres ?

— Elles sont comme toi, soumises mais libre de partir, elles restent et poursuive leur éducation selon leur propres désirs.

— Marie est très douce et gentille, devrais je un jour, faire lamour avec une femme ?

— Peut être, si le Maître le décide ou quil sent que tu en as besoin.

— Ecoute, puisque nous sommes dans la sincérité, bien sur que jaimerais découvrir encore et encore dautres formes de plaisir, me régaler de vos humiliations perverses et de mabandonner à vos désirs les plus fous.

— Mais plus que tout, jaime mon mari, jespère que tu comprends, je laime et jai déjà pris bien trop de risques, le faire souffrir et le trahir à ce point, perdre sa confiance et son amour cest excitant, mais lenjeu nen vaut pas la chandelle.

— Alors tu souhaite arrêter ?

— Je nai pas dit ça, cela serait tellement plus simple sil pouvait accepter mes perversions, il pourrait participer à sa manière, il serait mon Maître à moi et me pervertirait pour notre plus grand plaisir, maintenant jen rêve

— Effectivement cela serait le pied, mais je ne crois pas que ton mari soit candauliste.

— Cest quoi ça, candauliste ?

— Ce sont des hommes qui aiment voir leur femme faire lamour avec dautres partenaires, souvent en couple, ils partagent leur épouses pour quelles en retirent un maximum de plaisir.

— Et ca existe vraiment des hommes comme ça ?

— Oui bien sur, plus que tu ne le crois, mais personne ne le cri sur les toits cest encore tabous dans notre société.

— Et toi Marc quen penses-tu ?

— Je trouve ça très excitant, beaucoup dhommes se croient plus fort en pensant que les cocus sont des faibles, quils ne savent ou ne peuvent pas contenter leur femme.

Et bien ils se trompent, les candaules sont très intelligents, bien plus que la moyenne, ils arrivent à obtenir de leur partenaires bien plus que nimporte quel autre homme ne saurait le faire.

La femme dun Candauliste sait que son mari laime plus que tout, cest justement pour cette raison que son époux souhaite la faire mourir de plaisir, quelle jouisse de la vie au maximum même si cela doit passer par le partage et loffrande.

— Waouh tu dis tout cela avec une telle conviction que je te soupçonne den être un de comment dit tu ? Candauliste.

— Peut être que oui ou peut être que non, cela ne changerait rien à nos rapports

— Je pense que si, jai bien vu que tu prends ton pied quand tu moffre à dautres, plus ils abusent de moi et plus tu te régale, nest ce pas ?

— Cest sur, mais tu nes pas ma femme.

— Et alors, tu es marié ?

— Cela ne te regarde pas

— Bien sur que si, au point ou nous en sommes tout me regarde

— Ouije suis marié

— Et ta femme sait pour tout ça ?

— Emilie ma femme cestMarie

— Quoi, cette délicieuse et douce cest ta femme, non ce nest pas vrai

— Pourquoi, ça te choque

— Non, heusi un peu, je ne mattendais pas à ça

— Et elle accepte tout çasans problèmes ?

— Elle en retire même un immense plaisir

— Mais comment est ce possible ?

— Cest comme ça, il ne faut pas chercher à comprendre, jy prends plaisir et elle aussi, nous nous aimons plus que tout et cest la seule chose qui compte.

— Et le Maître, il sait pour ta femme ?

— Cest son amant attitré

— Waouh cest chaud votre histoire, mais cest très excitant

— Donc tu nes pas jaloux ?

— Non si mais ce nest pas le bon terme, la jalousie cest négatif, cest la peur de perdre ce qui nous appartient alors quun être vivant nappartient à personne.

— Bien sur que jai peur de perdre ma femme, mais elle sait que je laime plus que tout, cest à moi de faire tout ce quil faut pour quelle se sente mieux avec moi quavec nimporte qui dautre.

— Cest beau ce que tu dis, jaimerais tellement que mon mari soit comme toi

— Rien nest impossible dans la vie

— Je crois que je peux rêver, il aime bien mexciter avec le regard des autres mais cest que pour lui tout seul, en bon égoïste. Il sait très bien quen mexhibant à la limite de la provocation les mecs vont me mater et me draguer ce qui mexcite profondément.

— Mais cela exciterait nimporte quelle femme aussi sérieuse quelle soit, se sentir désirée est un réel plaisir et ce nest pas pour cela que tu es une salope.

— Oui, mais il ny a que lui qui en profite, souvent le soir après le travail, il savoure lexcitation de la journée sans ce soucier de mon plaisir quil nassouvi plus souvent.

— Cest comme ça Emilie, cest bien pour ça que jai pu en profiter, ton esprit et ton corps nattendaient que ça.

— Oui, mais jaurais tant aimé quil soit comme toi

— Ecoute rien nest perdu, le Maître et moi on va taider

— Comment ça maider ?

— Rien tu verras on en reparlera, mais maintenant ça suffit, assez parlé profitons de cette belle journée comme il se doit, quest ce qui te ferais plaisir ?

Nous avons flâné toute la journée, rues piétonnes et boutiques pour le plaisir, un croque monsieur en terrasse en guise de déjeuné pour ensuite aller nous promener dans un joli parc agrémenté dun petit lac.

Après avoir dégoté un petit coin très tranquille à labri de la foule, nous nous sommes allongés sur lherbe pour profiter du soleil qui réchauffait quelques amoureux de ci et de là.

En ce jour de semaine, il ny avait pas denfants jouant autour du lac, seuls quelques promeneurs dont certains avec leur chien airaient dans les allées.

Marc avait roulé sa veste en boule pour que je puisse y déposer ma nuque et je restais allongée sur lherbe tiède en regardant le ciel et les nuages.

Marc était allongé sur le coté, il me surveillait du coin de lil en attendant mes désirs pour la suite de laprès midi.

Ce matin javais pu revêtir une des petites robes que mon mari avait sélectionné pour moi, cétait une robe porte feuille blanche avec une petite ceinture, très vaporeuse, transparente et qui marrivait à mi-cuisses.

Cette jolie robe métait mes jambes en valeur et attirait les tous les regards sur moi, le tissu très léger se soulevait au gré du vent jusqu’à parfois dévoiler plus quil nen faudrait ce qui retenait lattention de quelques coquins présents dans le parc.

Comme si de rien nétait, jobservais entre mes sourcils un de ses voyeurs qui venait juste de se poser à quelques mètres de nous attendant discrètement de pouvoir en apercevoir un peu plus.

Jouant le jeu, jai relevé un genou pour dégourdir ma jambe ce qui à immédiatement dévoilé mes cuisses jusqu’à la dentelle de ma culotte, car pour une fois jen avais mis une suivant la demande de mon époux.

Le résultat ne sait pas fait attendre, le voyeur à fixé son regard sur mon entre jambes pour se régaler du spectacle.

Marc sen ai rendu compte et me la dit discrètement

— Emilie, je crois que vous avez un admirateur qui se régale les yeux

— Oui je lai remarqué, le pauvre, vous pourriez peut être maider à lui en montrer un peu plus, il ne doit pas se régaler souvent.

— Je vous vois venir, cest un jeu risqué en pleine nature, vous navez pas peur ?

— La peur névite pas le danger, mais je ne risque rien avec vous comme ange gardien.

— Effectivement, vu comme cela

Sur ces mots, Marc à doucement défait le petit nud ceinturant ma robe, puis il a délicatement écarté les pans de tissu sur les cotés mettant ainsi mon corps à la vue du voyeur qui ne croyait pas ses yeux.

Marc à ensuite caressé doucement mon ventre et mes cuisses pendant que je me laissais aller les yeux fermés en savourant le moment.

— Marc, il est toujours là ?

— Oui bien sur, il ne vous quitte pas des yeux

Marc continuait ses caresses langoureuses, parcourant mes jambes de bas en haut pour venir effleurer la dentelle de ma culotte, puis il remontait sur mon ventre et mes seins encore enveloppés dun soutien gorge.

— Cest rare que vous portiez des sous vêtements, pourquoi cela ?

— Finalement je trouve ça excitant dêtre ainsi mise en valeur, je suis comme un bonbon dans un joli papier cadeaux, il vous suffit de retirer lemballage pour pouvoir consommer à votre guise.

— Vu comme cela cest effectivement intéressant, alors faite moi voir le bonbon.

En disant ces mots il a fait sauter la petite agrafe centrale qui retenait les bonnets du soutien gorge, car javais mit le modèle le plus coquin de ma garde robe et celui-ci ne tenait devant que par une minuscule agrafe que Marc avait immédiatement remarqué en parfait connaisseur.

Lagrafe enlevée, le soutien gorge sest ouvert dun seul coup libérant au grand air ma poitrine généreuse en exhibant fièrement mes tétons déjà durcis.

Le voyeur était comme fou de ce beau spectacle et il sétait approché un peu plus de sa proie avec le quasi consentement de Marc.

Entrouvrant mes yeux je lai aperçu à nos cotés, à peine à deux mètres de moi, il était brun et devait avoir la quarantaine lui aussi, mais son physique mimportait peu cétait le contexte qui menvoutait.

Totalement confiante, je laissais Marc mexhiber pour notre plaisir à tous.

Marc me titillait les tétons en les pinçant à tour de rôle les faisant bander au maximum, puis il retournait me caresser les cuisses et ainsi de suite.

Son petit manège était délicieux et je me laissais faire en savourant la moindre sensation.

Au bout dun moment alors que Marc me caressait le ventre, jai senti la chaleur dune autre main se poser sur ma cuisse, à travers mes cils jai pu apercevoir notre voyeur qui était maintenant juste à coté de moi.

Celui-ci semblait ravi et comptait bien profiter de la situation avec laccord évident de Marc qui laissait faire sa tentative approche.

Trop contant de la belle aubaine qui soffrait à lui, cest avec une main légèrement tremblante quil à commencé à parcourir mes jambes en tâtant chaque petit recoin de peau.

Marc quand à lui, surveillait maintenant la scène en me tenant la main, déposant par moment de doux baisés sur ma bouche et en me chuchotant doucement aux oreilles.

— Vous vous faite toujours remarquer et voilà ce qui arrive quand on joue avec le feu.

— Hummais je ne suis pas celleque vouscroyezhum

Les caresses étaient délicieuses et je nai pu mempêcher douvrir un peu plus mes cuisses pour laisser le champ libre à ce nouveau fouineur.

Le message ayant été parfaitement compris, mon voyeur approchait de plus en plus de mon intimité, frôlant la fine dentelle de ma culotte tout en cherchant le meilleur moyen de pouvoir contourner cette dernière barrière de chasteté.

Marc laida en soulevant lélastique, linvitant ainsi à glisser sa main à lintérieur pour me caresser directement le sexe.

Message tellement bien compris que déjà il me glissait deux doigts dans la fente en libérant ma cyprine sous mes soupirs de plaisir.

— Messieurs, hum.je ne suispas cellequehum vous croyez

Mes petites plaintes semblaient au contraire lencourager à mieux me fouiller lintimité.

— Emile, vous voyez dans quel état vous mettez ce monsieur.

— HumMarc, je croisquil abusede moihum

Je sentais ses doigts me pénétrer la vulve jusqu’à la paume de sa main, libérant à chaque pénétration des petits bruits mouillés bien excitants.

— Emilie, vous avez été très vilaine et il va falloir que lon vous punisse

— Maisnon…humouije suistrès vilaineouipunissez moi

La scène était délicieusement excitante, bien que dans un petit coin tranquille nous nétions pas à labri dêtre vus par des passants et cela augmentait très sensiblement mes désirs les plus inavouables.

Marc à mes cotés et cet inconnu qui me fouillait la chatte si facilement cétait irrationnel mais tellement jouissif que jen voulais plus, beaucoup plus.

— Marc, humvous nallezpas le laisséhumfaire

Tout en me plaignant sans réelles convictions, jondulais mes anches pour aider notre inconnu à me fouiller au plus profond.

Nous avions tous chaud et des gouttes de sueur perlaient sur son front, lhomme nen pouvait plus tellement la situation lexcitait et je voyais une belle bosse prometteuse tendre son pantalon.

Dune main experte, jai ouvert sa ceinture et sa braguette, puis jai baissé son slip pour extirper son membre durci et gorgé de sang et jai commencé à le branler tout en douceur.

— Hummessieursje suisune femmehumsérieuse

Mes suppliques en totale contradiction avec mon comportement semblaient exciter encore plus mes deux mâles.

— Humje suismariéevous ne pouvez.humpas, abuser de moi

Mon voyeur sexcitait en accélérant les vas et vient de ses doigts dans ma chatte bien ouverte, Marc me pinçait les tétons en me roulant des pèles avec sa langue humide.

Je rallais et me contorsionnais dans tous les sens au bord de la jouissance, lorsque mon voyeur sait mis sur les genoux et est venu se placer devant moi entre mes jambes tout en regardant Marc pour lui demander :

— Elle me fait trop envie, je peux me la faire ?

— Faite mon ami, elle vous est offerte de bon cur.

Marc venait dautoriser linconnu à me baisser, il semblait savourer ce moment en me serrant la main et en surveillant les expressions de mon visage.

Tout en prenant ma mine outrée mais toujours en tenant son sexe dans ma main, cest moi-même qui ai présenté sa bite à lentrée de mon vagin dégoulinant.

Lhomme nen croyait pas ses yeux, sa queue convulsait sous mes doigts lorsque je lai placé dans mon conduit, il a aussitôt mis le coup de reins qui la propulsé jusque au fond de ma grotte tout en libérant un râle de plaisir.

— Hum mais monsieurde queldroithum

Mon petit jeu les rendait fous.

Notre inconnu sactiva à grand coups de bite, bien campé sur ses avants bras il bougeait ses fesses en rythme, claquant sur ma vulve à chaque pénétration.

— Hanhanhan

Marc lui, nen perdait pas une miette, il regardait au plus près la queue entrer et sortir de mon sexe dégoulinant.

Il aimait vraiment ça et il a placé sa main sur ma vulve de façon à pouvoir sentir la bite me dilater, les doigts de chaque coté de la fente il semblait guider cette queue qui me remplissait.

— Comprenant ses désirs je me suis mise à dire :

— Mon amour, tu ne va pashumlaissercet inconnuabuse de moi

A chaque coup de bite de notre inconnu, Marc appuyait la paume de sa main sur mon clitoris pour me déclencher des frissons de plaisir

— Humchéri, si çacontinueje crois.que je vais.humjouir

Linconnu me pilonnait à grands coups de bite tellement je lexcitais et marc me branlait littéralement en faisant vibrer sa main entre nos sexes.

— Haaaaa mes salauds.humjejoui

Jai lâché toute ma jouissance, branlée et baisée en plain air avec cette délicieuse excitation du risque, agrippée aux fesses de mon baiseur jai crié.

— Ouihumbaise moi bienhumvas y.baise moi

Le pauvre, il na pas tenu quelques secondes de plus, il sest enfoncé jusqu’à la garde et à lâché tout son jus contre mes ovaires en criant son bonheur.

— Haaaaaputaincest tropbonnnnnnnn

Marc ma embrassé à pleine bouche pendant que je recevais les dernières gouttes de semence.

Lhomme sest retiré tout aussi vite et Marc ma aussitôt fouillé la chatte avec ses doigts comme pour vérifier sil avait bien éjaculé en moi.

Il était ravi de sentir ses doigts poisseux de foutre encore chaud et samusait à étaler cette crème sur mon entre jambes.

— Il ta bien baisé ?

— Humouicétait pas malmais avec toi cest meilleur.

Nous nous sommes embrassés encore un bon moment alors que notre inconnu était déjà loin, Marc à sorti un mouchoir pour me faire une petite toilette sommaire.

— Le salaud, il ta mit la dose, tu déborde de foutre.

Avec tout ça, nous navions pas vu lheure passer et laprès midi était déjà bien avancée, mais jai souhaité rester encore un peu allongée sur lherbe à regarder le ciel tout en tenant la main de Marc.

Il me semble que je me suis même endormie quelques minutes tellement le moment me fut agréable.

A mon réveil, Marc mobservait toujours avec une évidente tendresse dans le regard.

— Tu as plongé, tu dois être fatiguée ?

— Non, mais je suis détendue etheureuse, mais maintenant jai envie de rentrer pour prendre une douche.

— Bien madame, alors retournons à notre carrosse.

De retour chez notre Maître, Marc ma accompagné jusqu’à la chambre, il ma aidé à me dévêtir et en membrassant sur la joue il ma dit :

— Attend un peu avant dentrer dans la douche, jaimerai que Marie vienne te rejoindre.

Je me suis assise sur le bord du lit pour attendre leur retour qui ne tardât pas, Marie était toujours aussi belle, jolie brune au corps incendiaire qui me rendait presque jalouse.

En sapprochant de moi elle regarda mon sexe nu et me dit :

— Et bien, je vois que vous vous êtes bien amusé cette après midi, Marc est vraiment incorrigible. Il ne peut sempêcher de samuser avec les jouets du Maître, cest plus fort que lui.

A ces mots, jai baissé mon regard, cétait comme une remontrance déguisé pour me rappeler quen quelque sorte javais batifolé avec son mari.

— Jespère que vous aviez son autorisation pour vous laisser aller de la sorte ?

Devant mon silence, elle me releva le menton en répétant :

— Et bien, vous êtes sourde ? Aviez-vous lautorisation du Maître ?

— Heunonmadamemais Marc

— Marc nest pas le Maître, ce nest quun disciple parmi tant dautres, vous ne devez votre obéissance quà notre Maître, jespère que cest bien compris ?

Marie avait changé de ton, maintenant autoritaire, elle me dominait devant Marc qui ne disait rien, cétait surement encore un nouveau jeu mais il nétait pas pour me déplaire.

Telle une jeune fille prise la main dans le sac jai prie ma voix la plus douce pour lui demander pardon.

— Je suis désolé madameje ne le ferais plus

— Peut être, mais cela napaisera pas la colère du Maître

— Pardonje ferais tout ce que vous voudrez mais ne le dite pas au Maître.

— Tout ce que je veux, vraiment ?

— Oui madame, toutvraiment tout.

— Et bien voyons cela

Tout en parlant elle est venu se coucher sur le lit, relevant sa jupe et écartant ses cuisses pour me montrer sa chatte toute lisse.

— Alors montrez-moi ce que vous savez faire avec votre langue.

Jai regardé en direction de Marc qui me fixait sans aucune intention dintervenir en ma faveur, Marie elle, attendait les yeux mi-clos que je veuille bien mexécuter.

Je navais jamais vu le sexe dune femme daussi prêt, jobservais les moindres détails danatomie avec une sincère curiosité.

Jétais comme fascinée par cette particularité féminine, regardant la vulve de Marie comme si cétait la mienne et cherchant à comprendre doù pouvait sortir autant de sensations.

Jai avancé ma main pour poser mes doigts sur cette peau délicate juste à lintérieur des cuisses, là où moi-même je ressentais des sensations merveilleuses.

Sa peau était si douce, on aurait dit du satin et josais à peine leffleurer en remontant doucement vers le mon de vénus.

Au moindre de mes mouvements sur sa peau, je regardais le visage de Marie pour vérifier la qualité de mes caresses et tenter dapercevoir lexpression dun début de plaisir.

Mais cétait encore trop tôt, Marie était une femme dexpérience et son plaisir ne se dévoilait pas si facilement, alors presque rassurée de bien faire jai poursuivis mes investigations.

Ma main est remontée sur son ventre, caressant le pourtour du nombril tout en effleurant la naissance de sa jolie poitrine, des seins en forme de poires encore bien fermes, ni trop gros, ni trop petits, surmontés de petits tétons aux larges auréoles brunâtres.

Puis en redescendant, jai caressé laine du dos de la main en contournant lanche pour pouvoir toucher sa fesse, mon geste lent lui à provoqué un premier mais minuscule frisson.

Je nétais pas bisexuelle, mais jétais comme fascinée par ce corps de femme, cherchant à découvrir par quel secret cette mécanique si parfaite pouvait sanimer.

Le moindre petit frisson que je pouvais lui provoquer me remplissait de fierté, javais limpression de pouvoir lui démontrer mes compétences personnelles en matière de sexe.

Il me fallait donc passer à la vitesse supérieure, sachant que mon plaisir à moi partait le plus souvent du clitoris, jai supposé quil en était de même pour Marie.

Je suis donc venu découvrir son petit organe encore caché par les muqueuses de ses grandes lèvres pulpeuses, il était là tout petit et tout rose dans lattente dêtre actionné.

Jai posé mon index dessus en séparant délicatement les chairs qui le protégeaient, puis jai longé la fente pour visiter cette mouler dodue qui me cachait encore tous ses secrets.

Le passage de mon doigt était facilité par les premières perles de cyprine, preuve en était que Marie devait apprécier mes investigations.

Mon visage était maintenant à moins de vingt centimètres de son intimité et je me délectais de ce gros plan que seuls les hommes pouvaient observer.

Tel un écrin fermé, sa vulve ne demandait quà souvrir sous la fouille de mon doigt qui se promenait déjà sur lentrée de la grotte.

Ses muqueuses brillaient sous leffet de labondante lubrification qui sinstallait et mon doigt se sentait comme happé par ce gouffre profond.

Je nai pu retenir lenvie de la visiter plus en profondeur, jai pointé mon doigt avec une légère pression pour quil puisse simmiscer à lintérieur et cest avec une facilité déconcertante quil est descendu tout au fond.

Cétait chaud et humide, je ressentais les chairs qui me ceinturaient lindex comme pour emprisonner lintrus, jétais dans un trou vivant qui palpitait et vibrait à mon contact.

Le conduit était bien serré sur mon doigt et je me demandais comment des chairs à lapparence aussi fragile pouvaient recevoir de si gros diamètres, il me fallait découvrir cette subtilité.

Jai ressorti mon doigt plein de mouille, il brillait des sécrétions visqueuses et je lai donc essuyé sur la longueur de la fente sans omettre de badigeonner le petit bouton qui prenait déjà du volume.

Ensuite jai représenté deux doigts face au trou encore ouvert de mon premier passage, appuyant doucement, les chairs souvraient en épousant mes doigts qui plongeaient dans son corps.

Là aussi, ladaptation des muqueuses ma surprise, jai pu entamer quelques vas et vient si facilement que jai eu lenvie dy mettre un autre doigt.

En moins dune minute jenfonçais allègrement quatre doigts dans son conduit, seul mon pouce était encore à lextérieur et ma main ruisselait de son jus intime.

Là, son plaisir était évident, les yeux fermés elle se mordillait les lèvres tout en contractant les muscles de son corps.

Jétais donc sur la bonne voie.

Marc quand à lui, il sétait assis juste à coté de Marie, approchant de son visage de façon à pouvoir entendre le moindre soupir sortant de ses lèvres.

Il ne me prêtait plus aucune attention, concentré sur le seul plaisir de Marie, son épouse, ce qui me faisait comprendre que je nétais que linstrument de leur plaisir.

Malgré lexcitation, Marc dégageait une infinie tendresse en regardant sa femme, Il me fallait donc être à la hauteur de leur amour et leur permettre datteindre ensemble ce plaisir si convoité.

Les doigts toujours enfouis dans sa chatte, jai eu envie de venir mordiller son petit bouton qui pointait de plus en plus hors de son capuchon.

Jai sorti ma langue pour la plonger dans la fente ouverte, puis je lai remonté doucement en fouillant les moindres recoins et en récupérant toute la cyprine possible pour bien huiler son clito tout rouge.

Lacte me semblait facile, il me suffisait de reproduire avec plus de dextérité ce que mon mari me faisait parfois mais surtout de rendre la pareil à Marie qui mavait fait jouir de cette façon lautre soir.

Ce premier contact de ma langue chaude sur son petit bout de chair tout dur lui a prodigué un agréable frisson et ma délivré le sentiment dune première victoire.

Comment pouvais-je créer un tel plaisir juste en posant ma langue sur un si petit bout de chair, cette réactivité était intrigante et aiguisait ma curiosité pour la poursuite des choses.

Je tournais maintenant ma langue autour du bouton comme pour creuser un sillon à sa base ce qui avait pour effet de le faire encore bander tel une petite verge que je mappliquais à suçoter et aspirer.

Ma main libre est venu se poser sur le mon de venus, tirant la peau vers le haut pour écarter les lèvres au maximum et mettre en évidence le clitoris afin que je puisse le torturer au mieux.

Quelques légers spasmes parcouraient déjà son corps offert, mencourageant à mappliquer dans ma tache.

Je la léchais avec application tout en remuant mes doigts en rythme dans sa moule, libérant son jus et les clapotis annonciateurs dun plaisir tout proche.

Marc lui caressait tendrement les cheveux et le visage tout en lui chuchotant des mots coquins comme il savait si bien le faire.

— Ca vient mon amour, elle te suce si bienlaisse toi envahir par la jouissance

Marie nétait plus que petits soupirs et contractions en tous sens, nous ressentions le plaisir monté en elle, lentement mais surement, il sinstallait dans les moindres parcelles de son corps prêt à se déverser en torrent de sensations.

Devant limminence de sa jouissance je lai agrippé fermement par les anches pour me délecter de sa chatte avec laquelle ma bouche fusionnait, ma langue parcourant le moindre recoin sensible tout en revenant toujours au bouton déclencheur.

Soudain, Marie sest cabrée telle une jument, attrapant ma tête de ses mains pour appuyer et enfoncer ma langue plus profondément en elle, lachant du même coup un véritable cri libérateur.

— Haaaaaa cest trop.bon.je jouiiiiiiiiiie

Elle libéra quelques derniers soubresauts en me maintenant la tête entre ses cuisses se délectant des ultimes étincelles de plaisir.

Me lâchant enfin, elle me regarda avec douceur comme pour me remercier

— Emilie, tu devrais prendre une douche, tu es encore toute poisseuse de ton après midi volage.

Elle embrassa Marc et me déposa un baisé sur la bouche

— Merci ma belle, Marc à raison tu es prometteuse.

Resté seule, je me suis blottie sous leau chaude de la douche, réalisant que je venais de faire jouir une femme, que jy avais pris du plaisir et que je savais maintenant ce que ressentait un candauliste.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire