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L'inimaginable – Chapitre 3

L'inimaginable - Chapitre 3



Il fait encore chaud, je suis bien, allongée à plat dos sur mon matelas, je suis repue, comme après un long repas de fête, mais là, je suis repue damour, repue de sexe. Le doux soleil de cette fin daprès midi caresse mon entrejambe resté grand ouverte. Par mes trous, sécoulent doucement en séchant et se cristallisant, le sperme dAntoine et la liqueur de mon intimité. Je suis alanguie. Antoine, vient de plonger dans leau encore fraiche de la piscine, moi, jai beaucoup de mal pour mextraire de ma bienheureuse léthargie. Finalement, récupérant un brin de volonté, je quitte à regret le lieu de nos amours. Je monte dans ma chambre pour me jeter sous le jet brulant de ma douche.

Pour notre deuxième soirée damoureux, je veux la jouer soft, pas de provocation, une longue robe de plage rayée marinière bleu et blanc, sans manche, décolleté carré assez bas sur les seins, mais très comme il faut, et de hautes sandales de plage, elles aussi, à talons compensés .Par contre, jai décidé que tant quAntoine sera là, je ne porterai plus, ni pantalon, ni jean, je ne mettrai que des jupes et des robes, sans aucun sous-vêtement. Je tiens essentiellement à rester à sa disposition, rester soumise à tout moment, ça mexcite tellement dimaginer quil puisse me trousser nimporte ou, nimporte quand. Je suis probablement devenue folle !

Nous nous sommes retrouvés, un peu plus tard, au salon pour un « apéro-plateau-télé »Lui aussi sest douché, il porte jean et chemise bariolée.

_ Toujours aussi belle et attirante ma jolie maman ! me dit-il en déposant un baiser sur mes lèvres.

— Toi aussi mon cur, tu es attirant, une pauvre vielle comme moi ne peut y résister ! tu me rends folle Antoine, je ne sais plus ce que je suis avec toi !

— Tinquiète maman, ont est heureux ! alors on prend ce quil y a à prendre, après sera un jour nouveau comme on dit. Au fait à propos de jours, jaimerai rester un peu plus longtemps avec toi, Sarah envolée, je peux profiter de ce mois plein de congés, pour rester encore quelque jours ensemble. Jai mon ordi portable, il ne me faut quun grand écran pour bosser , tu pourrais me trouver ça, si tes daccord pour que je reste, bien sûre?

— Evidement que je suis daccord mon chéri, si tu savais comme ça me fait plaisir, et puis pour te faire oublier Sarah, et te rendre heureux, je suis prête à tout tu sais.. regarde !

Quest ce qui me passe par la tête, ou plutôt par le sexe, je ne sais pas ! Comme mû par un reflexe incontrôlé, je saisi le bas de ma longue robe, et rapidement la relève à hauteur de mes hanches, je me trousse jusquau nombril, et mexhibe en pivotant sur moi-même, fesses et sexe nus, je mexpose comme une pute qui retape à un client dans un bordel.

— Je pense en effet que tu seras une excellente thérapeute « me dit-il en se marrant » et en me faisant claquer une main sur les fesses.

Nous partons à nouveau, dun grand éclat de rire.

Nous terminons tranquillement notre dinette, finalement on na pas branché la télé, nous sommes tellement bien sur le canapé, dans les bras lun de lautre, instants propices aux confidences damoureux.

— Tu sais maman ! jai un peu honte, je tai forcé toute à lheure quand

— Tu veux dire quand ? . Quand tu mas prise . côté secret ?

— Oui, javais tellement envie que . Jai dû te faire un peu un peu mal ?

— Un peu amour, oui ! mais les premiers instants passés, je tassure, après cétait très bon. Tu ne connais pas encore assez les femmes qui aiment vraiment. Elles sont capables de tout, elles peuvent tout donner, se livrer entièrement, pour donner du plaisir aux hommes quelles aiment. Je taime Antoine, dabord comme mère bien sûr , mais maintenant comme amante, comme maîtresse, nous ny pouvons plus rien chéri, je suis à toi Antoine, cette folie ne durera pas, évidemment, et cest tant mieux, mais pour les quelques jours que tu moffres , je veux être complétement à toi ..

Alors, tout doucement, contre son oreille, en chuchotant, je lui murmure,

— Je veux bien être ta gentille petite pute si tu veux.tu te rappelles ce que tu mas demandé tout à lheure ?

Antoine hésite quelques secondes, puis toujours sur le ton de la confidence, il se décide,

— Oui .bien sûr que je me rappelle . ça trotte dans ma tête .. tu sais !

— Quest ce que tu mas demandé Antoine ? quest ce qui trotte dans ta tête ?

— Heu Si je pouvais te ..te donner à dautres hommes .

— Bien sûr, que je suis daccord . Je suis à toi Antoine . A toi ! tu le sais maintenant, tu peux me demander ce que tu veux. Tout à lheure tu mas demandé de mouvrir, tu voulais me voir, je me suis offerte à toi complétement .. tu peux me donner à qui tu veux Antoine cest toi qui choisi et moi jobéis . pour moi, ce serait un formidable plaisir ! le tien, celui des mecs qui me prendront, et surtout le mien . Jaime que lon me donne, jaime appartenir à un homme et avec toi cest trop extraordinaire ! et puis comme ça tu seras vengé de ta frustration de petit voyeur gros coquin ! alors  !

En guise de réponse, mon garçon, tourne son visage vers le mien, et dépose sur mes lèvres, un tendre baiser damour. Je lis dans son regard un peu chaviré, toute la complicité qui nous uni, de la tendresse, mais aussi un fond de lubricité. Je suis heureuse, notre pacte secret est scellé, je sens au plus profond de mon sexe, entre mes cuisses, cette vibration que jaime tant, je suis femme, mais aussi une femelle en conquête de mâles.

Je suis montée me coucher. Antoine délaissant définitivement sa chambre, me rejoint dans mon lit, il est nu contre moi, collé à mon dos, à mes fesses, il me serre dans ses bras, une main emprisonne ma poitrine, et son sexe durcit contre mes reins. Nous restons comme ça sans rien nous dire, je nentends que nos respirations et les battements accélérés de nos curs. Vat-il me prendre ? je laisse faire, cest lui qui maintenant peu user de moi à sa convenance, et rien que dy penser, ma chatte sinonde de rosée, mes bouts de seins se mettent à lunisson, se durcissent. Antoine, doucement me retourne, sur le dos, écarte mes cuisses, ses doigts prennent possession de ma fente, ouvrent les lèvres gardiennent de la caverne de mon vagin, sinsinuent en moi, et déjà je râle de bonheur.

— Oui continue, chéri . Continue . Caresse ta petite pute, je suis à toi .. ouvre moi plus ..tu aimes Antoine.

— Oui . jaime te faire jouir maman

— Alors continue fais ce qui te fait plaisir amour

Je suis allongée sur le dos jai relevé mes jambes le plus haut possible contre mes épaules, Antoine sest placé au-dessus de moi, en appui sur ses bras, son bas-ventre à proximité du sexe entièrement ouvert que je lui offre, cette fente qui désormais lui appartient. De mes mains je mouvre le plus possible, je distant ma chatte, la cyprine inonde la raie de mes fesses ruisselle jusqu’à mon anus, je coule de bonheur, je coule de jouissance. Jai fermé les yeux, pour retenir prisonnier lorgasme qui monte en moi. La bite de mon fils, sintroduit en moi, glisse sur les parois de mon vagin, qui se referment sur sa queue. Antoine commence son va et vient, me pilonne, me baise me baise me baise senfonce en moi puis ressort, encore et encore, pendant une éternité. Un immense cri de jouissance précède mon orgasme, je suis tout à coup muette, le souffle coupé, un raz de marée menvahi, minonde, me noie. Antoine geint au dessus de moi, des spasmes secouent ses reins, je sais quà cet instant sa semence gicle tout au fond de moi, retrouvant tout à coup mon souffle je jette en avant mon ventre de femelle sur la queue qui mempale, mon sexe explose, je hurle de plaisir.

Il fait jour dans ma chambre, je me réveille, nous sommes toujours enlacés, le visage dAntoine sur mon épaule, il ne dort plus, il me regarde.

— Bonjour, amour de mon cur, as tu bien dormi chéri ?

— Bonjour, amour de mon cur, ma petite pute sest bien donnée hier soir ? a- t-elle bien dormi elle aussi ?

— Ta petite pute na jamais si bien dormi, amant de mon cur !

Ce petit dialogue, complétement surréaliste, nous fait une fois de plus pouffer de rire.

— Antoine ! pousse toi, je dois aller faire pipi, je ne tiens plus !

— Ok, mais laisse la porte ouverte, jaime te voire faire pipi maman !

Même si je lattendais, cette demande me bouleverse, nous sommes vraiment amants. Je me lève dun bond et pars en courant poster mes fesses à quelques centimètre au dessus de la cuvette, jécarte mes cuisses, et ainsi suspendue, je laisse mon jet sécouler de ma fente, quelques gouttes indisciplinées ségarent le longs de mon entrejambe, Antoine me regarde pisser, ses yeux bleus fixés sur ma chatte, un petit sourire de propriétaire aux lèvres. Alors comme une gamine effrontée, jécarte ma fente quelques instant, pour que le nouveau possesseur de ce trésor puisse admirer sa propriété.

Nous nous retrouvons autour de notre petit déje, jai remis mon débardeur pour voyeur, naturellement je suis nue dessous, Antoine a déjà pris sa douche, il embrasse mes lèvres, il sent bon le jeune mâle, son odeur menivre déjà. Tout naturellement il relève mon vêtement trop court au dessus de mes hanches, et me caresse gentiment le pubis. Quil est doux de se laisser tripoter le minou, par un si bel amant.

— Bon ! Antoine ce nest pas tout ça, mais on est Samedi, et jai aujourdhui une affaire importante, avec un rendez-vous incontournable. Je suis en négociation depuis plusieurs mois avec un Hollandais avec qui je dois déjeuner, il sagit de lacquisition dune grosse propriété de la fin du XVIII° à une cinquantaine de kilomètres dici. Ce produit, comme on dit dans notre jargon professionnel, est à plus de 1 million, donc une négociation capital pour moi, aujourdhui, il vient avec un conseiller, donc je sens que laffaire intéresse notre flamand, je devrais pouvoir lui faire signer peut être un compromis aujourdhui. Si on arrive à conclure jne te dis pas la fête quon va se faire mon chéri !

— Bon ! croisons les doigts. . et moi ! pendant ce temps je tattends .

— Non amour, il faut que tu maides ! je texplique : impossible de parler leur charabia du nord, donc jusqu’à maintenant je me suis débrouillée avec mon anglais approximatif, mais aujourdhui, ils sont deux, et toi avec le pognon que nous a coûté tes petits séjours auprès des miss de la perfide Albion, tu me revois lascenseur, tu viens jouer lassistant interprète. Je peux compter sur toi ?

— Evidement chef !

— On se met daccord Antoine, pour faciliter les choses, et se donner plus de crédit, je suis plus ta mère mais ta patronne, donc ce sera : Vous, et Madame ou Manon. De cette façon, pas de gêne si je dois aussi jouer un petit coup de charme bien quavec eux !

— Super ! silence on tourne ! . dans le rôle de la négociatrice sulfureuse : Manon, dans le rôle du collaborateur con et débutant : Antoine ! Je suis daccord Madame !et puis si nous signons, je prends ma commission : abus sexuelle sur ma patronne !

— Aucun problème chéri ! ce serait un grand plaisir que de vous rétribuer. Choix à votre convenance.

Cest a nouveau, en nous marrant, que nous concluons notre petite mise en scène.

Finalement on a un peu trainé, au petit déjeuner. On sest marré, en imaginant la tête que de mes flamands huguenots, pourraient faire devant un décolleté plongeant , ou une jupe courte relevée sur mes cuisses. Vite fait, je passe sous la douche, me maquille sobrement, car toutes conneries mises à part, je suis hyper sérieuse dans mon boulot. Il est loin le temps ou à moitié à poil, je me faisais le régal de nos futurs clients. Non, aujourdhui, chemisier blanc col officier, collier de perles et tailleur gris, jupe au dessus du genou, une vraie tenue de femme vertueuse !! enfin ! . Seule concession, je fais ce que jai dis, donc pas de culotte ni de soutien-gorge, mais je ne pense pas que mes clients puissent imaginer quoi que ce soit, ou alors ce sera leurs fantasmes.

Apres être passé au bureau prendre le dossier, Antoine a pris le volant de ma mini Cooper , comme le temps est splendide, il la décapotée., on a limpression de partir en vacances. Nous devons retrouver mes Hollandais dans un restaurant ou nous nous sommes donné rendez vous pour déjeuner, avant, je lespère lultime visite de cette propriété.

_ Antoine !

— Oui, Madame !

— Madame ! Tes con on y est pas encore

— Je mentraine ! Vous disiez Manon !

— Hé bien Manon angoisse un peu, cest une grosse opération tu sais …je travaille à 4%

— Vous faites fais pas de bile Madame on le fera cette affaire je tiens à ma « come ».

— Si tu le dis et ta come, jaimerai bien de la donner, et avec beaucoup de plaisir.

— Arrête toi ! jai besoin de faire pipi !

— Encore !

— Jai bu trop de thé . et puis cest le stress .

— Attends ya pas de bosquet ici .

— On sen fout ! . Tiens ! à droite il y a un petit fossé . Arrête !

— Tout le monde peut te voire remarque ! ya pas beaucoup de circulation ,

Antoine stop lauto, vite je descends dans le petit fossé, par très stable sur mes talons, jai laissé ma portière ouverte, ce qui me fait un petit paravent coutre les éventuels voitures, par contre, coté Antoine aucune protection, mais cela na pas dimportance, ce ne sera que la troisième fois que je fais pipi devant lui. Je me trousse rapidement à hauteur de mon ventre, et comme je nai pas de culotte, je nai pas besoin de maccroupir, jécarte mes jambes, je fléchi légèrement mes genoux, et je me laisse aller, Antoine naturellement me regarde, et comme les fois précédentes, cette petite exhibe pipi me remue le bas ventre. Antoine me passe un kleenex, je messuie lentrejambe, un camion passe en klaxonnant.

— Sera-t-il dans mes attributions, Madame , de vous passer du papier chaque fois que vous

faite pipi ?

Je suis remonté dans la voiture, et nous repartons dun grand éclat de rire.

— Manon ! vous serait-il possible de me donner une avance sur commission ?

— Je pense que cela devrait être possible, mais en avons nous le temps ? sous quelle forme cet avaloir ? dites voire !

— Heu pourriez vous Madame, entrouvrir votre chemisier, je voudrais vérifier, il me semble que vous avez oublié votre un soutien-gorge ?

— Et bien vérifiez !

Je défais les six boutons, qui retiennent prisonnier mes seins, jouvre largement chaque pans de mon chemisier, pour que mes nichons reprennent leur liberté, bien exposés ils sécartent légèrement en ballotant de chaque côté de la ceinture de sécurité. Je les prend dans les paumes de mes mains pour bien les faire gonfler, le plaisir et lair frais crispent aussitôt mes bouts qui se durcissent. Antoine jette chaque fois quil le peut, un regard très lubrique, sur mes tétons dressés.

— Fais attention chéri, tu vas nous envoyer dans la décor, alors à dieu à ton pourcentage !

— Tiens on va rigoler ! laisse tes seins bien en vue, je vais doubler le camion de tout à lheure !

Nous arrivons sur une longue portion de route dégagée, destinée aux dépassements. Nous sommes à la hauteur de la cabine du chauffeur, Antoine roule plusieurs secondes au même niveau que le poids lourd. Je bombe mon torse pour mieux exposer ma poitrine, je vois le chauffeur gesticuler du haut de sa cabine, il klaxonne. Apres lavoir dépassé, il nous fait des appels de phares incessants, pour nous demander de nous arrêter. Il nous fait marrer.

— Dommage pour toi mon pote « dit Antoine » on na pas trop le temps aujourdhui, une prochaine si on se retrouve . !

Il semblerait que mon collaborateur ne serait pas contre une petite exhibe de sa patronne, sur un parking, avec supplément sil y a lieu !

— Il semblerait en effet . Tu serais daccord ?

— Pourquoi pas mais pour linstant ce nest pas la préoccupation majeur ! on a du boulot sur la planche. » lui dis-je » en me reboutonnant, nous sommes presque arrivés.

Dure journée, mes Hollandais ont négocié au plus prés, jai dû faire des concessions, mais laffaire sest finalement conclue en fin de journée, dans mon bureau, avec la signature du compromis et le remise dun chèque dacompte substantiel que jai déposé illico chez le notaire chargé des formalités. Antoine a été parfait, il a facilité la transaction, je suis surprise de la qualité de son anglais. Il a joué son rôle avec un professionnalisme étonnant, avec des mais Madame il faudrait, ou je pense Manon que Monsieur Van de Broeck aimerait , nous étions chaque fois au bord du fou rire, mais parfait mon Antoine sur ce coup ! Un sans faute.

Nous sommes enfin affalés sur un canapé, nous sommes un peu vidés. Jai balancé mes talons, on relaxe.

— Bon, cest fait, comment comptes -tu employer ton salaire ? on avait dit quon ferait la fête ! mon chéri !

— Evidement quon va arroser cet exploit.

— Quest ce qui te ferait plaisir mon cur ? je suis à ta disposition !

— Tu es sûre ! à ma disposition !ça risque dêtre chaud . Bon ! voilà je propose on se refait une santé, et on se prépare pour un petit dégagement coquin, avec à la clé, abus sexuel sur ma patronne ! tu sais bien ce que je voudrais maman ?

— Je crois men rappeler ! .. tu es bien certain de ce que tu veux chéri .

— Oui bien sûr ! mais tu nes plus daccord ?

— Mais si ! Antoine je serai toujours daccord, je te lai dit, mais cest toi qui choisis, je suis à toi Antoine !

— Ok ! tu fais comme je dis alors

— Bien sûr ! dis moi ? comment veux tu que je mhabille ?

— En pute, maman !

Ce « en pute maman » ma électrisé, une sorte délectrochoc sexuel, que lon maurait appliqué au fond du vagin, je dois certainement mouiller, je ne sais plus trop ce qui se passe en moi, mais je sais que jaime cette sensation, cette appartenance incestueuse que je découvre chaque fois un peu plus. Il est 20 heures, jai pris une bonne douche, jai la tête dans les étoiles, je viens de réaliser un excellent coup commercial, jai mon Antoine prés de moi, nous sommes devenus en deux jours de véritables complices, aussi bien dans la sentimentalité, dans lamour un peu trouble que nous nous portons, et dans la sexualité qui nous enflamme. En même temps que sa maturité, je découvre que mon fils a les mêmes désirs que les miens, je compte bien nous satisfaire. Je prends une douche, me fais rapidement un brush, par sécurité je me rase méticuleusement lentrecuisse, ma chatte est douce et lisse, comme une pierre polie, je me maquille. Jai exagéré le mascara autour de mes yeux, forcé le rouge de mes lèvres, mis de grands anneaux aux oreilles. Jenfile, jusquau au haut de mes cuisses une paire de bas DIM noires, frontière entre mes jambes, mon sexe et mes fesses. Je me perche sur de très hauts escarpins, dont les talons de douze centimètres me propulsent à la limite du mètre quatre-vingt. Je me tourne et retourne devant mon miroir, pas mal quand même la quadra que je veux offrir ce soir aux plaisirs de mon fils. Je farfouille dans mes tiroirs de commode à la recherche de ce que jai de plus érotique. Mon choix se porte, sur un ensemble SM minimaliste soutien gorge et string composés de fine lanière de cuire fin de chevreau très souples, que mavait offert Pierre, avant notre séparation, Je lai remis quelquefois depuis. Je ne vous dis pas leffet quil produit sur les mecs et même parfoissur les femmes. Avec ce truc jai les seins totalement libres. Dun large collier serti de strass, partent quatre brides qui font simplement le tour de chacun de mes seins, un anneau en argent réuni ces faux bonnets, de chaque côte un cordon et des agrafes ferment lensemble dans le dos. Un anneau fixé au collier permet éventuellement dyaccrocher une laisse Quant au string, il est tout aussi minimaliste, deux petits triangles réunis par une fine lanière qui passe entre mes fesses, se partage en deux fins cordons à partir de ma vulve, ce qui permet ainsi de bien voir mon minou, et surtout de donner un accès directe, à ceux ou celles qui veulent profiter de mon sexe. Cà cest pour le dessous, pour le dessus, je farfouille dans mon dressing à la recherche de ce que je peux mettre de plus provocant. Jopte pour une robe-tube mi longue en dentelle noire totalement transparente, moulante, très ajustée, serrée sous les bras à partir de ma poitrine et qui laisse voire mon collier de chienne et mes seins Le bas est identique, en option, un jupon permet de dissimuler ma nudité, mais pour ce soir il ne sera pas nécessaire. Cette robe est denfer, je me contemple devant mon miroir, on voit à peu près tout, à lexception de ma chatte prisonnière du mini string, mais il faut quand même laisser une part de mystère aux voyeurs qui me materont.

Antoine mattend dans le salon, dans son regard, je vois immédiatement son contentement.

— Waouh Trop chouette maman tu es trop bandante . Manon  !

— Cest le but recherché mon cur ! et bravo pour le Manon, ce soir on continue, tu es manifestement mon amant !…. Alors . Ta petite pute . te plait comme ça ?

— Jadore, fais moi voire dessous .

— Mais tu peux tout voire déjà !

— Trousse toi quand même ma jolie pute !

Ca y est ! je mouille ! Jadore quand il me commande, il veut voire. En virevoltant sur mes hauts talons, je joue la pute dans une vitrine, je relève ma robe en me troussant à hauteur de mes hanches, je pivote pour quil puisse voire mes bas, ma chatte et mes fesses nues. Alors comme il en a pris lhabitude maintenant, il colle sa bouche contre mes lèvres, et passant une main entre mes cuisses, il glisse un doigt dans ma fente entre les cordons de mon string. Que cest bon !

— Examen terminé ma coquine! Mais je trouve que tu mouilles beaucoup ! si tu as la laisse qui va avec, tu la prends, ça peut servir !

Dans lauto, Antoine glisse sa main entre mes cuisses, je laide en écartant les jambes, il lui est facile douvrir ma fente, et de faire pénétrer un doigt dans mon intimité, je commence à ruisseler.

— Doucement ! Antoine je vais mouiller mon siège, si tu continues ! et puis tu ne mas toujours pas dis ou tu me traînes ce soir chéri !

— Mystère ! cest moi qui dirige, toi tu obéis ! . on va à B. , je ne ten dis pas plus.

Nous roulons environ une heure, il a fait glisser le haut de ma robe en dessous de mes seins, et tout en conduisant je me laisse tripoter le bout des nichons, et caresser le sexe. Je suis totalement dépendante, les cuisses grandes ouvertes. Je ne crois pas avoir eue auparavant autant de jouissance quand je me laissais dominer. Avec mon fils je monte dun cran dans le bonheur et la perversion. Je pense quà la fin de notre parcours, je serai incapable de refuser ce quil me demandera, capable de tout, de faire nimporte quoi. La seule chose que jimagine, cest quil va me donner à baiser, et cela me transporte dans un univers de perversité totalement inimaginable.

( si cette histoire vous a plu , je vous livrerai la suite)

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