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Lisa – Chapitre 2

Lisa - Chapitre 2



Les deux hommes semparent de Lisa et lamènent dans le salon. Ils la font mettre à quatre pattes sur le tapis. Ils se déshabillent, Paul est très mince avec un sexe moyen doté dun gros gland. Max est plus costaud et possède un sexe plus gros et plus long. Ils bandent tous les deux. Paul sallonge sur le tapis sous Lisa.

-Couches toi sur moi. Et empales toi sur mon sexe.

Lisa se couche sur Paul et sintroduit son sexe dans la vulve. Max vient se positionner derrière elle, il se couche sur elle et lui plante son vit dans lanus sans préalable.

-AAAAAHHHHH, putain que ça fait mal.

-Ne ten fais pas, tu vas finir par apprécier.

Max se déchaine dans le fion de Lisa, sa cyprine a en partie lubrifié son anus, mais ce nest pas suffisant. Dessous, Paul sactive, il sent la bite de son frère frotter contre la sienne à travers la cloison vaginale.

-Putain que cest bon, je sens ton sexe frotter contre le mien, vas-y frérot, encules la, défonce lui le cul, fait lui exploser la rondelle. Je te sens, putain que cest bon.

-Moi aussi je te sens frérot, je sens ta bite qui lui laboure le con.

Sandrine sapproche et fait couler un peu de gel sur le fion de Lisa, ça a pour effet de faire glisser la bite de Max plus facilement. Lisa commence à ressentir du plaisir à cette double pénétration, son bassin ondule.

-Pas croyable petite sur, elle prend son pied, regarde elle ondule de la croupe.

-Elle aime le sexe, et je ne peux pas lui en vouloir, je suis comme elle. Allez mon chéri, fais la jouir, je veux la voir senvoyer en lair. Vas-y Paul, baise la, elle aime ça, faites la jouir cette petite salope, cette pute, faites la monter aux rideaux.

Les deux frères sactivent sur Lisa qui finit par jouir comme une folle.

-Oui, baisez moi, sodomisez moi, jaime, jaime, je joui avec deux queues, cest trop bon. HHHHHAAAAA.

Elle finit par tomber sur Paul pour ne plus bouger, Max se détache delle et va sassoir sur un divan. Sandrine aide Lisa à se lever et lallonge sur le divan. Elle se déshabille et apparait dans toute sa beauté. Elle a un corps parfait, belle poitrine bonnet C haute, ferme, un ventre plat, un mont de vénus bombé complètement lisse, des fesses hautes et fermes et des jambes superbes de galbe et de finesse. Lisa la regarde.

-Putain que tu es belle, jai envie de te bouffer la chatte.

-Ça tombe bien, cest justement ce que javais envie que tu me fasses, mais je tai goûté et jai envie de ton jus.

Sandrine vient sur Lisa et se positionne en soixante-neuf. Lisa regarde le sexe ouvert de Sandrine au-dessus de sa tête, elle sapproche et plonge son nez dans les effluves de Sandrine.

-Ho mon dieu que cest beau, comme il brille, quelle odeur merveilleuse, ton jus ruissèle sur tes cuisses.

Lisa lèche lintérieur des cuisses de Sandrine et remonte lentement vers la source de ce liquide divin. Elle agrippe ses fesses, se suspend à elles pour plonger sa bouche dans les lèvres ouvertes et ruisselante de Sandrine. Sa langue sactive quand elle sent une autre langue sur sa propre vulve. Une langue qui sactive elle aussi, qui batifole entre les lèvres, lanus, le périnée et le clitoris.

Malgré la tension qui monte dans son corps, Lisa reste lucide et évite au maximum le clitoris de Sandrine. Elle sent son corps vibrer, son ventre se nouer, son sexe couler à flot. Des lèvres emprisonne sa vulve et aspire tout le jus qui sen échappe, elle libère la vulve de Sandrine et se laisse aller à son plaisir. Son corps se détend tout à coup, elle veut revivre la montée du plaisir. Sandrine se rend compte de la différence dans le corps de Lisa, elle lève la tête.

-Tu veux jouir la première.

-Oui, sentir mon corps monter dans les tours, les ondes menvahir pour me faire exploser de plaisir.

-Tu me plais de plus en plus, déguste et prend ton pied, mais après, cest à moi.

-Ok.

Sandrine replonge sa bouche sur la vulve de Lisa mais sa langue évite désormais son clitoris, en papillonne autours, sattarde sur lanus, ce qui fait violemment réagir Lisa, titille le périnée, lèche les grandes lèvres. Ce traitement rend Lisa folle de désir, son corps ondule, elle tente par des mouvements saccadés de surprendre Sandrine et de lentrainer vers son clitoris qui est sur le point dexploser tellement il est sous tension. Sandrine le sent et laisse sa langue effleurer le clitoris ce qui se transforme par une décharge électrique dans le corps de Lisa. Elle se cambre, ouvre ses jambes au maximum, se saisi de la tête de Sandrine et la plaque contre son clitoris. Elle hurle.

-Oui, oui, je joui, je joui, continue salope, fait moi jouir, HHHHHAAAAA que cest bon, ta langue est diabolique.

Lisa se tortille, secoue Sandrine dans tous les sens, sa jouissance dure, dure, jusquà ce quelle sécroule sur le sofa, épuisée. Sandrine se couche sur elle, sa langue continue de lécher ses lèvres, ses lèvre de boire son liquide qui continu de sécouler doucement. Sa vulve est juste au-dessus de la bouche de Lisa. Quand Lisa est complètement redescendue sur terre, elle voit cette vulve offerte, prend délicatement Sandrine par les hanches et la fait se retourner pour être sur elle.

-A ton tour maintenant.

Lisa écarte les jambes de Sandrine, elle se met à genou entre ses jambes, elle admire ce sexe rouge, ouvert, offert à sa convoitise. Ses doigts caressent doucement le bord de ses lèvres humides en les écartant. Sa langue en pointe entre dans le puits damour ouvert. Un doigt vient titiller lanus lubrifié par la cyprine de Sandrine qui sécoule doucement de son vagin. Lisa se déplace pour se retrouver entre les jambes de Sandrine. Elle recommence son jeu de lexcitation-frustration pour faire en sorte que Sandrine lui réclame sa libération. Mais elle sent aussi son excitation propre augmenter.

-Lun de vous ne pourrait pas men mettre une bonne dans le fion sil vous plait ?

-Avec plaisir belle salope.

Max, qui bande toujours comme un âne se dirige vers elle, il se saisi du gel, en badigeonne le fion de Lisa et se branle avec sa main couverte de gel. Il présente son gland à lentrée du fion de Lisa et pousse un grand coup. En une seconde, ses couilles sont sur les fesses de Lisa.

-Oui, putain que cest bon, vas-y défonces moi pendant que je moccupe de ta sur.

Max se déchaine dans le fion de Lisa qui soccupe de la vulve de sa sur. Sandrine laisse monter le plaisir doucement, elle se détend au maximum pour retarder lexplosion.

Lisa passe sa langue sur lanus, elle la met en pointe et force jusquà ce quelle pénètre un peu. Sandrine ondule doucement du bassin, elle ne veut pas aider Lisa à la faire partir. Lisa la compris et joue le jeu en évitant toute les zones très érogènes du sexe de Sandrine. Mais au bout dun moment, Lisa sent que Sandrine ne pourra plus résister longtemps, et pour lui donner le plus de plaisir possible, elle aspire son clitoris et le titille avec sa langue. Sandrine se raidi, son corps se lève, son ventre se noue, elle est parcourue de secousses saccadées, ses narines palpitent, elle se pince les seins et crie son bonheur.

-Oui ma chérie, oui, oui, tu me fais jouir comme jamais, HHHHHAAAAA, encore, encore.

Pendant ce temps, Max continu de sodomiser Lisa qui sent son corps réagir de plus en plus quand elle sent une bouche semparer de sa vulve. Cest Paul qui veut participer à la fête. Lisa insiste sur son clitoris jusquà ce quelle sente Sandrine se détendre doucement. Elle nen continu pas moins de boire je jus damour qui séchappe de cette vulve gonflée par le plaisir. Mais son propre plaisir la gagne et elle se laisse aller.

-Oui, vous me faites jouir salopards, encore, encore.

Elle finit par sécrouler sur le ventre de Sandrine restée allongée, les jambes ouvertes à récupérer de sa fulgurante jouissance. Lisa rampe sur le corps de Sandrine pour remonter jusquà sa bouche. Elle pose ses lèvres sur celles de Sandrine et force le passage dans sa bouche avec sa langue. Leurs langues senlacent, se battent, se caressent, se titillent pour finir dans un langoureux baiser.

-Toi, tu me plais de plus en plus, je vais finir par laisser tomber mes frères et temprisonner.

-Ca, ce nest pas possible, jamais tu ne memprisonneras, mais tu pourras toujours te servir de moi, comme je me servirais de toi. Je crois que nous partageons la même philosophie de lamour.

-Moi aussi, viens, embrasses moi.

Elles senlacent et sembrassent passionnément.

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