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L'objet familial humain – Chapitre 2

L'objet familial humain - Chapitre 2



…L’entrée, bien que servie par mes soins, est en train de refroidir dans les assiettes des deux invités.Mais, obnubilé par la chaude ambiance du repas et quelque peu grisé par l’alcool, mon père improvise un spectacle incestueux de qualité avec l’aide de son épouse qu’il met à contribution. Je suis positionné sur la table basse du salon, à quatre pattes. Maman me gode le cul avec un engin en plastisol de 28x8cm recouvert d’un préservatif qu’elle enduit de gel lubrificateur. Ses gestes lents et délicats ont tôt fait de favoriser une intromission quasi totale du gomiché vibreur et parfaitement imité dont elle se sert aussi pour un usage personnel. Elle me fouille maintenant l’intimité avec dextérité et sa vicieuse douceur contraste avec la rudesse des manières paternelles qui, debout face à moi, le pantalon tombé sur les chevilles, me baise littéralement l’orifice buccal en gémissant et en soupirant, à la cantonade, son bonheur pervers de père indigne tout heureux de pouvoir abuser allégrement des trous filiaux en présence de tierces personnes. Les deux vieux cochons semblent effectivement apprécier la prestation. Celui à qui je viens de faire la vidange se tripote à nouveau en finissant sa bière et son acolyte ne peut tenir plus longtemps en place. Furieusement excité, il demande à pouvoir occuper la place de choix occupée par mon père.

C’est la queue bien raide et dressée hors du pantalon que je vois l’affreux bonhomme s’avancer vers moi. Papa s’est retiré pour lui faire toute la place. C’est maintenant lui qui me pistonne vigoureusement la bouche:

_Aah, putain! J’avais trop envie de me la faire sucer! Quel pied! ça, c’est de la bonne bouche!!!

Maman se plait à voir mon anus s’ouvrir comme une fleur sous les torsions et les introductions profondes. Elle se penche, par moments, pour me lécher les muqueuses chauffées à blanc par son travail masturbatoire. Papa s’amuse à tirer sur le lacet de cuir qui permet la suspension du poids qui déforme mes couilles. La douleur est vive. Je sursaute. Il me claque la croupe et me pince très fortement les tétons. Puis, cette fois, il me saisit les bourses à pleine main pour les étirer au-delà de ce que le poids en métal suspendu autorise. J’ai très mal et je le supplie d’arrêter en gémissant et en me remuant, la bouche toujours remplie des allers et venues du vieux salaud qui prend son pied à faire durer son plaisir solitaire. Papa a retiré le gode des mains expertes de maman. Il me gode beaucoup plus violemment qu’elle en me traitant de "sale pourriture", de "vrai trou à bites", et j’en passe. J’ai mal, j’ai l’impression qu’il va me déchirer le cul.

  C’est alors qu’il cesse brusquement pour retirer l’engin des profondeurs de la cavité béante, bien évasée. C’est très ouvert du cul qu’il me voulait pour pouvoir se branler et juter dedans sans risque d’en mettre à côté:

_Tiens, sale connard de gosse! je te fais le plein, petit enculé!

Il invite le vieux salaud qui me dessoude la mâchoire depuis dix bonnes minutes à venir m’enduire le fion d’une seconde couche, plus copieuse, celle-là! Maman qui se caresse depuis un bon moment en les regardant faire, est secouée, de la tête aux pieds, par des spasmes violents, fascinée par la formidable éjaculation du porc âgé qui n’a pas souvent l’occasion de faire le plein de foutre à de charmants et frais petits culs musclés de jeunes de 20 ans. J’entends, après les râles bestiaux du vieux accompagnés par les chants de sirène maternelles, mon paternel encourager ma mère à reprendre sa besogne anale. Cette fois, elle peut jouir du spectacle de voir le mélange des jus de couilles qui s’écoule dans mon rectum remonter en surface à chaque nouvelle introduction du gode en profondeur. Et, c’est avec une joie sadique non dissimulée, qu’elle se fait un devoir de me présenter l’engin artificiel ruisselant de crème opaque et visqueuse à sucer. Une tétée pour papa! Une tétée pour maman!….On me fait mettre accroupi au- dessus d’un verre à eau, sur la table de la salle à manger où je dois écarter, à pleines mains, mes lobes fessiers, et chacun peut ainsi regarder le sperme s’égoutter lentement de mon anus. C’est dans cette position humiliante que je demeure cinq bonnes minutes, remplissant le verre aux trois-quarts d’un lait épais qu’il me faut boire ensuite avant de m’occuper à nouveau de satisfaire les convives en servant la suite du repas qui s’annonce long et très animé des plus basses intentions complices.

A suivre…

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