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L'océan – Chapitre 1

L'océan - Chapitre 1



NOS DEBUTS

Quand j’ai rencontré ma femme, je sortais d’un divorce difficile et elle commença en étant mon amie et confidente. Si bien, qu’après quelques temps, elle en savait en fait, plus sur moi que mon ex après presque dix ans de mariage !

J’étais tellement détruit par la séparation que le fait de pouvoir m’ouvrir complètement à quelqu’un qui m’écoutait avec bienveillance, me faisait l’effet d’une thérapie et m’a beaucoup aidé à me reconstruire.

Petit à petit, nos relations ont évolué et au fil des mois, notre complicité s’est transformée en amour. C’est donc en pleine connaissance de ma sexualité, disons débridée, qu’elle, jeune femme de bonne famille, avec une éducation peu portée sur la liberté sexuelle, tomba amoureuse d’un homme de dix ans de plus qu’elle.

Elle était timide mais très démonstrative dans les jeux de l’amour et ne s’offusqua pas lorsque, rapidement, j’introduisis dans nos relations sexuelles l’idée qu’une tierce personne puisse être le témoin de nos ébats.

Elle savait pertinemment que cela faisait partie intégrante de moi et qu’en se mettant avec moi, elle devait accepter de s’ouvrir à ces idées, étant donné que l’échec de mon mariage était en partie dû à la sexualité trop conventionnelle de mon ex et son intolérance vis-à-vis de mes fantasmes (qui à ce moment-là n’étaient vraiment que des fantasmes)

Ce n’était pas comme ça qu’elle avait imaginé sa sexualité, mais, elle était assez inexpérimentée, malgré les quelques expériences qu’elle avait eues, expériences disons « classiques » j’entends par là une jeune femme qui fait l’amour avec un jeune homme. Aucune expérience de ce que j’appellerai le fait de baiser et se faire baiser.

Je lui avais expliqué que pour moi, il était impensable d’aimer une femme, à l’image de la « mère », et de la tromper avec une autre qui tiendrait le rôle de la « putain ». Pour moi, il était nécessaire que ce soit une seule et même personne qui incarne ces deux archétypes à la fois et que je voulais pouvoir TOUT partager avec la personne que j’aimais.

Je lui avais expliqué que je pensais que c’était le seul moyen de vivre une vie épanouie à deux sans tabous mais dans le respect de l’autre et que je ne pourrais pas passer ma vie avec une femme qui ne partagerait pas cette conception de la sexualité.

— « Et en plus je suis certain que de s’ouvrir à autres pratiques sexuelles est le meilleur moyen d’éviter que la routine ne s’installe dans un couple qui dure »

Elle me disait : « je t’aime tu m’apprendras »

C’était une très jolie jeune femme, un peu poupée de porcelaine, petite (1m62), menue, petite poitrine très sensible, yeux marron et cheveux noir et ondulés.

Nous faisions souvent l’amour en cachette, dans ma voiture, dans des chemins de terre un peu isolés, mais pas trop car j’espérais toujours que quelqu’un nous surprenne et nous matte.

Cela n’est pas arrivé très souvent car je ne connaissais pas encore les endroits propices à ce genre d’exhibitions, mais tant qu’il n’y avait personne, je lui disais de s’imaginer quelqu’un qui nous regarderait et qui se branlerait à côté de sa portière

Petit à petit, ces scénarios ont commencé à l’exciter et elle devenait de moins en moins hostile à ce que cela se produise vraiment.

Ainsi la première fois où une  ombre est passée devant sa vitre, après une petite réaction due à la surprise, elle s’est doucement laissée aller à se détendre un peu, aidée par mes baisers tendres et mes douces caresses.

Après nous être bien assurés qu’il s’agissait bien de quelqu’un qui voulait nous épier et non d’un quidam hostile à nos jeux, nous avons repris notre petite partie profitant bien de l’excitation nouvelle due à la personne qui s’était invitée dans notre intimité, pour notre plaisir commun.

Bien entendu, au début cela s’est limité à des exhibitions bien à l’abri derrière les vitres de notre voiture, soigneusement fermées.

Au début toujours, elle n’osait même pas regarder notre voyeur complice, je lui racontais ce qu’il faisait, comment il était, s’il se branlait, et si oui, comment était son membre

Elle sentait bien que j’étais hyper excité quand cela se produisait et moi, je voyais bien qu’elle aussi y prenait plaisir, bien qu’elle le niât.

Puis nous avons emménagé ensemble, nous habitions une petite localité dans laquelle tout finit par se savoir et nous ne désirions pas choquer nos familles respectives aussi, nous avons décidé de réserver ces moments à nos quelques escapades estivales ou à nos sorties dans les villes voisines mais pas trop proches pour ne pas trop risquer d’y rencontrer des connaissances.

Cette année-là, nous étions partis en vacances sur la côte atlantique. Nous avions trouvé une chambre d’hôtes dans l’arrière-pays et avec la voiture, nous allions tous les jours faire un tour au bord de l’océan. Ma chérie adore la mer.

Comme nous n’aimons pas trop la foule, nous cherchions des endroits isolés et il y en avait beaucoup étant donné que la foule se pressait sur les quelques mètres de plage surveillée.

Il suffisait donc de marcher un peu, ce qui était très agréable, jusqu’à ce qu’il n’y ait pratiquement plus personne.

On pouvait alors s’installer tranquillement.

Je cherchais de préférence les lieux où le naturisme était toléré, sinon conseillé et nous pouvions ainsi nous prélasser nus au soleil.

Ainsi, un jour, alors que nous étions allongés au pied d’une dune depuis une bonne heure, je proposais à ma femme de l’enduire à nouveau de crème solaire.

Elle a une peau assez blanche et doit bien se protéger pour éviter les coups de soleil…

Je profitais bien entendu de la situation pour la caresser plus que nécessaire tout en étalant la crème sur son corps alangui.

Toujours encline à mes caresses, elle réagit rapidement, sans doute déjà passablement excitée de se sentir ainsi exposée aux rayons brûlants du soleil et aux yeux tout aussi brûlants des quelques rares promeneurs qui s’aventuraient jusque-là et qui ralentissaient le pas quand ils arrivaient à notre hauteur, pour profiter un peu plus de la plastique de ma chérie qui leur était largement exposée.

Mais nous étions seuls à ce moment précis et elle s’offrait langoureusement à mes caresses qui se firent de plus en plus osées, bien qu’ayant terminé mon travail premier de protection.

Elle était donc sur le dos, les yeux clos, les cuisses largement écartées pour s’offrir à ma main et me permettre d’accéder à sa chatte déjà toute trempée de désir.

Qu’est-ce que je la trouvais belle ainsi exposée à mes désirs pervers et aux regards d’éventuels voyeurs que j’appelais de mes souhaits.

Mais je si surveillais le bord de mer, espérant voir arriver un homme, nu lui aussi (nous étions en zone naturiste) je ne voyais toujours personne.

En général, ils arrivaient en marchant dans l’eau, l’air de rien, et regardaient les rares couples isolés dans l’espoir, pas si secret qu’ils ne pensaient, de surprendre quelques gestes équivoques ou quelque position, exposant un corps féminin, un peu plus que ne le voudrait la morale.

Mais personne !

Tant pis, je me laissais aller au plaisir de donner du plaisir à ma petite femme adorée.

Je la trouve si belle quand elle prend du plaisir et qu’elle se laisse aller, oublie toute pudeur pour se noyer simplement dans une mer de jouissance…

Ce qui précisément à ce moment-là, était en train de se produire sous mes seuls yeux amoureux…

Seul ? C’est du moins ce que je croyais…

Elle gémissait, s’écartelait sur sa serviette pour mieux s’offrir à mes caresses.

Mes mains courraient sur son corps merveilleux, tantôt sur ses petits seins si sensibles, lui agaçant les bouts qui étaient durcis à l’extrême par le désir.

Je les lui pinçais, les tordant un peu entre le pouce et l’index, provoquant des gémissements de plaisir qu’elle ne pouvait, ne voulait réprimer.

Elle se cambrait encore davantage, dans l’espoir que je m’occupe enfin de sa petite chatte que j’avais volontairement oubliée pour laisser enfler en elle le désir de se sentir fouillée jusqu’à ne plus en pouvoir

Dans un moment de prise de conscience, elle me murmura :

— « Tu surveilles que personne n’arrive ! »

— – ne t’en fais pas mon amour, là où on est, il n’y a aucune famille, c’est bien trop loin de tout, et si quelqu’un venait, ce serait dans l’espoir de voir ce que nous sommes en train de faire, il ne s’en plaindrait sûrement pas, tu peux me croire

— D’ailleurs, tiens, imagines que quelqu’un, qu’un homme, est allongé entre tes jambes et qu’il est en train de se branler en te regardant t’écarter comme tu le fais en ce moment

Je sentis son excitation monter subitement dun cran.

Elle ne dit rien, mais je voyais bien qu’elle avait saisi cette idée et qu’elle s’imaginait scrutée dans les moindres détails de sa chatte d’où s’écoulait un filet de mouille, preuve de son désir d’être désirée

— « qu’est-ce qu’il fait ? »

Murmura-t-elle

— « il s’est rapproché, il est juste devant ta moule qui ruisselle d’envie tu veux qu’il te la touche ? »

— « j’ai envie j’ai envie oui »

Je posais délicatement un doigt directement entre ses belles lèvres gonflées de désir, doucement, sans appuyer, elle vint au contact en se cabrant d’un coup et émit un long gémissement de plaisir en sentant du coup, mon doigt entrer en elle :

— « Ouiiiiiiiiii j’ai envie de baiser prends moi s’il te plaît, je n’en peux plus, je veux jouir »

J’attrapais mon sac à dos et en sortis le gode que j’avais pris, sans rien lui dire.

C’était un gode noir, de bonne taille, avec de grosses veines dessus, elle l’aimait bien celui-là.

Je le présentais devant son con ruisselant et le fis tourner un peu autour sans qu’il ne pénètre, étalant sa mouille sur tout son entrecuisse.

— « Tu veux que je lui dise de te baiser ? »

Pas de réponse je retirais le sexe factice

c’est à ce moment que, relevant un peu la tête, j’entr’aperçus un homme, en haut de la dune.

Quand il vit que je le regardais, il prit peur et disparut rapidement, sans doute en s’accroupissant.

Je gardais le regard fixé sur l’endroit où je l’avais aperçu et quand il refit son apparition, timidement, je lui envoyais un large sourire d’approbation, pour bien lui signifier mon désir de le laisser continuer à profiter du spectacle

Un peu timidement au début, il osa enfin se redresser et je vis un homme noir, bien bâti, tenant une belle queue, longue et dure, dans sa main et qui se masturbait en me regardant m’occuper de ma petite femme chérie.

Je lui fis un petit signe de tête pour lui faire comprendre que je souhaitais qu’il s’approche

Un peu dubitatif, il commença de descendre doucement, en surveillant mes réactions.

Voyant que je lui souriais toujours, il s’approcha de nous plus tranquillement.

Je murmurais à ma chérie qui commençait à languir que je la pénètre avec le gode :

— « Mon amour Tu as un bel admirateur »

Elle resserra un peu ses cuisses sous la surprise de mes mots, mais elle était allée trop loin dans son excitation, elle ouvrit les yeux, me regarda

Puis tourna légèrement et timidement les yeux vers le voyeur, debout à quelques pas de nous jugeant qu’il n’avait pas l’air agressif mais plutôt respectueux, elle détourna son beau regard tout chaviré de plaisir.

Je l’embrassais avec passion, lui murmurant des mots d’amour.

Puis je pris avec douceur son beau visage entre mes mains, elle ouvrit les yeux et me regarda, les yeux noyés de désir.

Je lui parlais doucement, mais je savais que l’homme pouvait entendre ce que je lui disais :

— « tu es belle mon amour ! Tu aimes être admirée ? Tu aimes exciter cet homme ? »

Comme elle ne me répondait pas, je lui demandais expressément de me répondre

Elle avait l’air un peu perdue devant mes soudaines exigences, elle finit par céder et me murmura :

— « j’aime qu’un homme bande pour moi »

— « Je veux qu’il entende dis le plus fort ! »

— « ça m’excite qu’il bande pour moi ! »     

Me dit-elle juste assez fort pour être entendu par le voyeur, mais en rougissant comme une pivoine

Je continuais à la diriger vers une participation plus active de sa part :

— « maintenant, je veux que tu le regardes, que tu regardes comme tu l’excites, je veux que tu voies comme il a envie de toi »

Son regard perdu d’inquiétude planté dans le mien, elle resta un moment figée

Je posais le bout du gode doucement à l’entrée de sa chatte gluante.

La réaction ne se fit pas attendre.

Le désir reprit le dessus.

Elle écarta ses cuisses comme dans un appel impérieux à se faire prendre rapidement. Suspendant mon geste, je réitérais mon ordre :

— « regarde-le ! »

Sa tête tourna lentement, son regard quitta le mien et elle le fixa bien dans les yeux, s’écarta à nouveau, peut-être même davantage pour lui, j’appuyais alors le gland du phallus de plastique contre son con ruisselant.

Elle gémit, mais ne détourna pas le regard.

Puis, son regard se posa sur la bite tendue vers elle et je vis ses yeux s’emplir de désir pour cette chose qu’elle voulut soudain sentir entrer profondément en elle.

Elle m’avoua par la suite que dès que son regard avait pris la mesure de ce membre, elle avait eu envie de le sentir la posséder, se disant qu’il devrait aller très loin dans sa chatte et qu’elle avait eu très envie d’essayer ça.

Il avait un gland qui formait comme un gros champignon, bien plus gros que la hampe, pourtant déjà bien large.

Elle aimait que je lui mette de gros objets, godes, légumes, doigts joints, dans son con pour le lui dilater.

J’en profitais pour lui raconter des choses, lui permettant de s’imaginer qui était en train de la défoncer pendant que j’officiais avec ces gros calibres.

Mais jusqu’alors, tout ça ne s’était jamais déroulé que dans notre intimité de couple, (pas d’autre participant.)

Je compris en voyant son regard, qu’elle avait envie d’aller plus loin, qu’elle voulait cet homme.

Cet instant magique sembla s’éterniser, comme un arrêt sur image.

Je continuais de la masser avec le gode qui me sembla soudain ridicule par rapport à la queue du type qu’elle désirait.

Lui n’osait pas bouger de peur de rompre le charme.

Il attendait un signe, quelque chose de sa part.

Moi, je bandais comme un âne de la voir ainsi offerte aux regards libidineux de ce mâle en rut et à la pensée que j’allais certainement enfin la voir se faire baiser sous mes yeux émerveillés.

J’allais pouvoir enfin la contempler prendre du plaisir avec un autre avec ma complicité

Son regard restait scotché sur lui, allant de ses yeux à sa bite. Le désir lui brûlait le visage, tous ses traits disaient qu’elle le voulait, tout son corps aussi d’ailleurs !

Elle se trémoussait outrageusement devant lui sur les mouvements du membre factice en le regardant comme pour lui dire :

— « viens, c’est toi que je veux sentir entrer dans moi. »

C’est finalement moi qui décidais de briser le silence, craignant que si ça durait trop longtemps, elle ne se ressaisisse et se referme.

Je fis entrer doucement le gode en elle en lui disant :

— « tu sens sa bite en toi ? »

Ses beaux yeux se refermèrent, puis elle les rouvrit, me regarda et me dit :

— « Je le veux Dis-lui de me prendre »

— « Dis-le lui, toi »

Tournant sa tête vers lui, elle planta ses yeux dans les siens et lui murmura, mais assez fort tout de même pour qu’il entende :

— « Viens ! »

L’homme qui, semble-t-il n’attendait que ça, s’agenouilla entre ses cuisses ouvertes.

Je sortis le gode de sa chatte qui resta entrouverte dans l’attente de le recevoir lui.

Ne voulant pas me laisser complètement évincer et garder « la main » en quelque sorte, je saisis moi-même la queue de l’homme,  tendue comme un arc dans ma main et je la dirigeais vers la fente béante et accueillante de ma femme.

Il était dur comme du bois, sa queue était très recourbée vers le haut.

Il allait lui masser son point G formidablement bien le salaud me suis-je dit à ce moment

J’ai aimé sentir ce sexe masculin dans ma main

Différent des godes et autres objets que je lui avais introduits jusqu’alors !

Enfin une vraie bite bien vivante !

Et j’allais la lui mettre moi-même à cette salope !

Elle allait la sentir passer celle-là et, espérais-je, elle ne pourrait peut-être plus se passer de se faire offrir à des hommes bien membrés comme lui

Quand je le poussais dans le ventre de ma chérie, les yeux de celle-ci s’ouvrirent en grand d’étonnement, sa bouche aussi d’ailleurs, une longue plainte sortit de sa gorge tandis qu’il s’enfonçait lentement en elle.

Je vis le gland écarter les lèvres intimes de ma femme, forcer un peu malgré le fait qu’elle ait déjà été préparée par le godemichet et qu’elle soit mouillée comme une chienne. Puis les lèvres de sa chatte se sont refermées autour de la hampe qui commença de coulisser en elle provoquant des gémissements de bonheur de la part de mon épouse non, plutôt de ma putain !

Qu’est-ce que j’aimais la voir faire sa pute, se donner à ce mâle puissant, prendre autant de plaisir.

Elle me regarda avec amour, et, me sembla-t-il de la reconnaissance dans le regard tandis qu’il se plantait tout au fond de sa chatte, poussant sur son utérus. Il resta planté, là, tout au fond, la faisant râler de plaisir :

— « Arrrrggghhhhhooouuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »

Puis pendant qu’il la besognait puissamment, entrant et sortant presque d’elle, d’abord lentement, puis, après quelques minutes de plus en plus violemment.

Elle sentait ce gland/champignon, lui labourer l’intérieur de son ventre en profondeur, elle n’avait jamais rien ressenti de semblable

Ni moi non plus : Ma queue me faisait mal à force de bander sans même la toucher.

Ca y était. Enfin, elle se faisait baiser ! Et en plus, elle aimait ça la salope ! De toute évidence, ça lui plaisait de se faire mettre par cette grosse queue noire.

— « tu la sens bien sa bite mon amour ?… dis-moi ! »

— « Oooohhhh ouiiiiiiiiiii il est groooooooooooooooooosss je le seeeeennns biieenn il va au foooooooooooooooonnnnnnd »

Elle posa sa petite main sur son ventre pour sentir la queue qui la perforait

— « chéri regarde mon ventre on peut la voir bouger dans moi regarde cette grosse boule qui se déplace dans mon ventre !!!!!!!!!!!!!!!! oooooooooooooohhhhhhhhhh que c’est boooooooooooooooon !!!!!! Mon amour pose ta main sur mon ventre pour le sentir dans mon ventre ! »

Quelle sensation étrange de voir son aimée se faire baiser sous ses yeux, de voir cette grosse queue entrer dans sa petite chatte, la sentir, là, juste sous la paume de ma main posée sur son ventre, se mouvoir à l’intérieur de son corps, de la voir heureuse de se faire défoncer ainsi.

De passer du fantasme à la réalisation du fantasme.

En fait, avant, je ne savais pas comment je vivrais ça, ne l’ayant encore jamais expérimenté, hé-bien, très bien en fait, aucun pincement au cur, c’était purement physique et sexuel, pas d’amour entre eux.

En plus, je dois dire que j’étais tellement fasciné par ce beau spectacle de la femme que j’aimais, en train de prendre autant de plaisir, que l’excitation prenait le dessus sur tout autre sentiment qui aurait pu interférer et polluer le plaisir que j’avais de la contempler.

Je la trouvais si belle, plus belle que jamais, plus excitante aussi, bandante, devrais-je dire.

De nouveaux mots d’amour me venaient à l’esprit :

— « salope, putain, chienne »

Curieusement, ils n’avaient pas une signification insultante dans mon esprit à ce moment-là, non, ils étaient vraiment des mots d’amour, d’un amour total, immense, dans lequel le Yin et le yang se fondaient enfin, les opposés se complétaient et ne s’opposaient plus.

— « putain qu’est-ce qu’il te met !!!!!!!!!! Je le sens bien dans toi !!!!!!!!!!!! Tu l’aimes cette bite ??? Bien-sûr que tu l’aimes hein ma salope ?…… Dis-le lui que tu aimes sa queue. Dis-lui que tu aimes qu’il te baise comme une chienne mon amour. Dis-lui »

Elle me regardait de ses beaux yeux éperdus de plaisir et d’amour.

— – Oooooohhhh mon amooour merciiiiiii merciiiii de me permettre de ressentir çaaaaaaaaaa.

— Oui je l’aime cette bite Je t’aime tellement

Puis son regard changea, une étincelle de malice perverse s’éclaira, elle se retourna  vers son amant, le fixa droit dans les yeux :

— « elle est bonne ta queue je l’aime, j’aime que tu me la mettes comme ça je la sens tout au fond, elle pousse bien au fond de mon ventre c’est boooooooooon hoooo ouiiiiiiiiiiiiiii reste un moment au fooond comme ça que je te sente bieeeeeeeeeeeeeeeeeeennnnnnnnnnnn. . vas-y bouges maintenant, fais la bouger dans moi Oh putaaaaaaiiiiiiiiiin que c’est bon de se faire baiser comme çaaaaaaaaaa, j’aurais jamais cru ça possible !!!!! J’ai l’impression d’être une puuuuuute ! .. Je m’en fooooouuus, c’est trop booooooon Ooooooohh ooooouuuuiiiiiiiii en plus ça excite mon mari. Je suis ta puuute ta chieeeeeeennnne remplis moiiiiii. Je veux te sentir gicler tout au fond de mon ventre vas-y donne-moi tout vides toi et remplis-moi !!!!!!!!!!  »

Boosté par ses mots, l’homme se mit à la baiser avec force, il la défonçait littéralement, ses grosses couilles bien pleines claquaient de plus en plus vite contre son cul. Tout son corps était tendu, en appui sur ses avant-bras, ses fesses montaient et descendaient à un rythme de plus en plus soutenu, projetant sa grosse et longue bite dans l’antre soyeux de ma chérie, le lui dilatant à l’extrême.

J’étais fasciné par le spectacle de ce ventre aimé que j’avais si souvent visité de mon chibre bandé et dont je ne pouvais détacher mon regard.

Ce ventre fouillé, possédé maintenant par ce mâle en rut dont je regardais le gland hypertrophié qui tentait de le transpercer, tant il apparaissait en relief à sa surface, se déplaçant par-dessous à une vitesse de plus en plus folle.

Depuis quelques temps, ma chérie aimait que je la fourre avec des objets de tailles diverses, des courgettes, des aubergines parfois quand elle était assez dilatée.

J’avais achetés dans un sex-shop des godes très réalistes et de bonne taille, parfois j’essayais aussi de joindre mes doigts et de faire entrer ma main entière, rêvant de voir la faire jouir en la fistant.

Elle m’encourageait, me disant qu’elle aimait se sentir bien remplie, que ça la faisait partir plus loin dans son plaisir

Quand j’officiais de cette manière, j’en profitais invariablement, pour faire germer en elle l’idée de faire participer une tierce personne.

Je lui demandais de s’imaginer, en lieu et place de l’ustensile que j’utilisais, que c’était le membre d’un autre homme qui la prenait.

Je lui racontais une petite histoire mettant en scène la rencontre, puis la façon dont on en serait arrivé à faire entrer un inconnu dans nos joutes amoureuses.

Je le lui décrivais, connaissant bien ses gouts.

A chaque fois, l’excitation née de ces mises en scène l’amenaient de plus en plus vers mes fantasmes.

Là, je dois dire, que le résultat était bien au-delà  de toutes mes espérances.

La voir s’offrir ainsi librement devant moi, à cet inconnu j’étais comblé ! Et elle, elle était servie ce coup-ci !!! Pour un coup d’essai c’était réussi !!!

Je me disais que j’adorerais la pénétrer après lui, sentir cette chatte, que je connaissais si bien, différente, élargie par la visite de cet homme, remplie de son foutre visqueux

Ahhhh plonger ma bite dans son ventre en sentant qu’un autre venait d’y déposer son plaisir, nager dans ce con tant aimé et débordant du sperme d’un autre pour y ajouter ma jute

Ma petite pute commençait à me surprendre et j’espérais bien que ce ne soit qu’un début !

Quand je le vis la baiser comme une chienne, à grands coups de sa bite de cheval, je me mis à genoux au-dessus de sa poitrine et me branlais sur elle.

L’homme poussa un long râle de jouissance et se déversa au plus profond d’elle, en l’écrasant de tout son poids, lui remplissant l’utérus de sa semence tandis que me répandais moi aussi, mais sur leurs corps unis.

Après qu’il soit resté un long moment sur, et dans elle, il poussa sur ses bras musclés, se releva et sortit sa longue queue, plus fine à présent.

Un peu de sa semence s’écoulait de la chatte encore béante de ma femme.

Elle était bien, détendue, semblait heureuse.

Me regardant, elle me murmura :

— « Merci mon amour. »

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