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Élodie, Coralie et leur maman (suite) – Chapitre 2

Élodie, Coralie et leur maman (suite) - Chapitre 2



Salut, c’est votre folle de lycra.

Quelques jours après, un dimanche, Nathalie et ses filles m’ont invité à venir déjeuner chez elle. Je commençais à prendre l’habitude de faire des folies avec ces trois femmes, je savais qu’une telle invitation sous-entendait que ça dégénérerait. Cela faisait quelque temps que je ne les avais pas vues, je pense qu’elles devaient être en manque de folies sexuelles ; tout comme je l’étais. Par contre, avec le temps, j’avais pris l’habitude de porter des dessous féminins et cela me faisait toujours énormément d’effet. Tous les soirs, je me faisais un petit plaisir en pensant à l’une d’entre elles et cela était toujours très efficace, je m’endormais paré d’une fine et douce robe longue. Par contre, je me masturbais dans leurs culottes, mais je faisais attention à ne pas éjaculer dedans, pour en conserver l’odeur féminine bien particulière et oh combien aphrodisiaque. La maîtresse de maison m’a demandé à ce que je sois là vers dix heures, c’était vraiment tôt pour l’heure du déjeuner.

Bien évidemment, quand je suis arrivé, j’ai eu le droit d’embrasser les trois femmes, on sentait vraiment que je leur avais manqué. Rapidement, Élodie m’a emmené dans sa chambre, elle s’est assise sur son lit et ne m’a pas vraiment demandé mon avis quand elle m’a saisi la tête pour la fourrer sous sa robe longue.

Bien évidemment, elle ne portait pas de culotte. Je n’ai pas eu le temps de l’admirer – juste quelques instants, le temps de humer – et elle m’avait collé son visage contre sa toison intime. À en sentir le goût et surtout l’odeur, je peux assurer sans aucun doute qu’elle ne s’était pas toilettée depuis quelque temps. Je peux vous garantir que j’étais vraiment comblé de pouvoir lui nettoyer son intimité, d’autant que cette dernière était vraiment très sensible. Mon intervention à sa cave allait trouver tout son sens. Tout en conservant ma tête plaquée entre ses jambes, elle a écarté ces dernières au maximum, ainsi ma langue a pu visiter son clito, son vagin et même son petit trou. Élodie, tout comme sa sur et sa mère m’avaient bien dressé, pour leur donner du plaisir quand elles le désiraient. Sa jouissance n’a pas été bien longue à venir, je pense que c’était dû au fait qu’elle était en manque, tout comme je l’étais. Il ne m’aura fallu qu’à peine dix bonnes minutes pour faire jouir ma copine.

Une fois l’opération terminée, mon visage plein de cyprine, Élodie m’a fait déshabiller, mettre une tenue qu’elle m’avait préparée et m’a informé que sa sur m’attendait dans sa chambre. C’est donc de nouveau totalement travesti et bandant que ma chérie m’a accompagné dans la chambre de sa sur.

Elle avait quand même pensé au préalable, à me changer de culotte pour que j’enfile l’une des siennes qui sentait vraiment la marée. Je vous garantis qu’il fallait ranger son amour-propre profondément en soi, quand on arrivait chez la sur de sa chérie et que Coralie vous attendait pour que vous lui fassiez sa toilette intime. En guise de bienvenue, j’ai eu le droit à un baiser de sa part, là, elle a pu constater sans aucun doute que mon visage était déjà recouvert de sécrétions intimes, mais cela n’avait pas du tout l’air de la déranger. La petite sur avait maintenant perdu toute retenue avec moi, elle a pris la même position que son aînée pour que je puisse accéder à son entrejambe, qui lui aussi était dépourvu de culotte. Je pense que son minou était encore moins frais que celui d’Élodie, mais je vais vous avouer que les odeurs et les goûts forts n’étaient pas pour me déplaire. La différence avec sa grande sur, c’est que rapidement, elle s’est mise à me caresser les fesses.

Moi, qui grâce à cette tenue bien peu masculine et ce que les deux femmes me faisaient vivre, avais une grosse érection, elle confirmait ma sensibilité à cet endroit.

Il n’était pas encore onze heures et j’étais sur le point de faire jouir, grâce à ma langue indiscrète, mais insistante, la deuxième femme de la maison. Je ne sais pas ce qui faisait la différence avec sa sur, mais le clitoris de Coralie était beaucoup plus sensible. Du coup, il fallait que je fasse attention à ne pas trop m’attarder dessus, car sinon, elle prendrait son pied beaucoup trop vite. Vu que ma partenaire s’amusait à me caresser l’entre-deux fesses, je me suis permis d’aller lui glisser deux doigts dans le petit trou et ma foi, cela n’avait pas l’air de lui déplaire. Là où je me suis senti encore plus rabaissé que d’habitude, c’est quand Élodie a décidé de soulever l’arrière de ma robe pendant que je broutais le minou de sa sur. Avec l’accès qu’elle avait sur mes fesses, elle ne s’est pas privée de les écarter et de glisser sa langue sur ma rondelle, elle me faisait tellement de bien que j’en poussais des cris de plaisir.

Maintenant, Élodie rentrait carrément sa langue dans mon anus pendant qu’elle me tenait le sexe et qu’elle appuyait sur mon corps, pour que mon visage s’enfonce un peu plus profondément dans l’entrecuisse de sa sur ; il m’arrivait de ne plus pouvoir respirer.

Il n’y a pas à dire, j’étais là pour leur donner du plaisir, et le mien, je crois qu’elles s’en foutaient un peu. Pendant au moins quinze minutes, ma chérie a passé son temps à m’écarter les fesses et surtout essayer de rentrer sa langue le plus profondément possible. Je ne sais même pas si on pouvait encore appeler ça une feuille de rose. Le problème, c’est qu’elle me faisait un bien fou et que j’en redemandais toujours plus, j’ondulais des fesses, je donnais des coups de reins dans le vide, je me sentais de plus en plus chienne entre les mains de ces deux surs. Élodie savait qu’elle me faisait du bien car mon sexe était vraiment très en forme et ce n’était pas dû au fait qu’elle me le tienne d’une main. De l’autre côté, mon nez se faufilait de temps à autre dans le vagin de Coralie où il réussissait aussi à lui donner du plaisir, en se frottant contre son clito.

Tout comme moi, la petite sur était aussi très sensible de la rondelle, et à chaque fois que ma langue s’en approchait, je l’entendais se contracter de plaisir. L’odeur et le goût de son minou étaient bien plus forts, j’apprendrai qu’elle ne s’était pas nettoyé l’entrejambe depuis de jeudi, ce qui expliquait cette bonne odeur de marée.

Moi aussi, de mes mains, j’écartais fortement les fesses de la benjamine, ces dernières étaient fermes, on sentait qu’elle était sportive. Après l’avoir fait basculer sur son lit, j’en arrivais même maintenant à rentrer ma langue dans sa rondelle, elle la contractait, je trouvais ça très amusant. En fait, je faisais subir ce que l’on me faisait en même temps. Finalement, Coralie était quand même en train de gémir sous l’effet de ma prestation. Quand je suis remonté pour lui manger son berlingot, elle a fini par prendre son pied. J’en étais à ma deuxième femme que je venais de faire jouir, mais aussi nettoyer en profondeur, je savais que maintenant, il allait falloir que je m’occupe de la maman. Vu que de son côté, Élodie était toujours en train de s’occuper de mon petit cul, je me suis permis de rester encore un peu à m’occuper de l’entrejambe de sa petite sur.

Ma chérie était tellement efficace que j’en arrivais à me demander si je n’allais pas jouir sous l’effet de ses coups de langue dans mon intimité. En fin de compte, je me suis redressé pour embrasser Coralie, et Élodie a fini par abandonner mon entrejambe si sensible.

Bon, mon chéri, tu sais ce qui t’attend maintenant. Ma mère t’attend avec impatience, il était convenu que tu t’occupes des filles en premier, maintenant que l’opération est terminée, il va falloir aller donner du plaisir à maman.

Plus ma chérie était directive et autoritaire, plus j’aimais ça. Les trois filles que nous étions, par nos tenues, avions donc pris le chemin de la chambre de Nathalie. Contrairement à ses filles, la maman ne m’attendait pas en robe, mais juste en porte-jarretelles, bas, soutien-gorge et culotte fendue ; le tout étant assorti bien évidemment. Sa tenue était un véritable appel au viol compte tenu de sa plastique irréprochable, mais je savais que ce ne serait pas moi qui la violerais, mais plutôt le contraire. Par contre, Nathalie était assise sur le lit et elle attendait bien évidemment que je vienne me mettre à genoux devant elle, ses filles sont venues s’asseoir de chaque côté.

Viens me faire du bien ma chérie, je sais que tu as fait jouir mes deux filles, c’est maintenant mon tour.

Bien évidemment, je me suis mis à la tâche, même si cette dernière était des plus plaisantes. Le parfum de la maman était toujours plus raffiné que celui de ses filles, c’était vraiment un plaisir que de plonger entre ses cuisses.

À ma grande surprise, elle s’est mise à me donner de grandes claques magistrales sur les fesses, je ne vous raconte pas la douleur occasionnée.

Une soumise doit vraiment tout accepter, venant de sa maîtresse ou de ses maîtresses.

J’avais la tête bloquée entre ses jambes, je n’entendais plus rien, ma langue était en contact avec son vagin et quand je sentais son ventre appuyé sur ma tête, c’est qu’elle se penchait sur moi et que j’allais me prendre des claques sur les fesses. J’ai entendu une des surs mettre des gants puis quelques instants après, j’ai senti ses mains couvertes de vinyle s’approcher de mon petit trou. L’instant d’après, je sentais des doigts commencer à forcer mon issue de secours. Au début, j’ai senti un doigt puis deux rapidement trois et même quatre me semble-t-il, même si ce n’était pas très flatteur de la part d’un homme de se faire doigter par une femme, j’étais assez fier de ma capacité d’accueil au niveau anal. Mon enculeuse me faisait tellement de bien que je ne savais plus si je bandais d’excitation à manger le minou de la maman, ou à me faire prendre par-derrière par une des surs.

Manifestement, la maman avait une hygiène un peu plus stricte que ses filles, car il n’y avait pas de doute, son minou avait été nettoyé voilà peu. C’était quand même un grand plaisir d’aller poser sa langue et d’en sentir les effluves, d’autant que son intimité était très sensible. Mes mains étaient accrochées à ses cuisses en passant par le dessous, j’étais comme agrippé à son minou. Maintenant, la fille, qui était restée sagement assise à côté de sa maman, s’est mise en tête d’aller aider sa sur pour m’écarter les fesses, encore pire que ce que me faisait tout à l’heure Élodie. Coralie est venue l’aider à me dilater mon petit trou, ce qui me procurait toujours autant de plaisir. Avec un tel traitement, même si j’étais totalement travesti et traité comme tel, je serais resté des heures à subir les assauts de ces trois femmes. Je ne me permettrai pas une seconde de dire qu’elles étaient perverses, mais elles savaient parfaitement où intervenir pour me donner du plaisir.

Puis Nathalie m’a fait relever la tête, sans vraiment me le demander, elle m’a collé une cagoule en lycra dessus, avec juste un orifice pour que je puisse sortir ma langue.

Je venais de franchir un nouveau cap dans la soumission, je ne voyais plus ce qui m’arrivait, mais je leur faisais une totale confiance. À tour de rôle, les femmes tenaient mon sexe en main pour le masturber quelques instants avant de passer le relais à une autre, j’étais vraiment très gâté. J’étais maintenant totalement dans le noir, j’arrivais juste à respirer, mais je m’en sortais, j’étais surtout totalement livré aux bruits qui m’entouraient pour savoir ce qui se passait, même si les cuisses de Nathalie les étouffaient la plupart du temps maintenant. Je sentais les mains de Nathalie qui me caressaient le visage, tout comme mes cheveux et surtout mon corps totalement recouvert de douceur. J’étais comme un étalon reproducteur, que l’on prépare de la plus douce des façons pour la saillie. Là, je ne sais pas ce qui s’est passé derrière moi, mais au bout de quelques minutes, j’ai réalisé que Coralie et sa sur étaient en train de me raser les fesses.

Après opération, je ne vous raconte pas comme il était agréable de sentir leurs doigts se promener tout autour. L’une d’entre elles m’a déposé sans doute de l’eau de Cologne car cela m’a un peu piqué les fesses. Ensuite, je ne sais pas laquelle des deux s’est mise à la tâche, mais j’ai senti de nouveau une langue venir se faufiler dans mon petit trou.

En fait, j’ai l’impression que les deux filles se sont amusées, à tour de rôle, à venir me coller leur langue dans la rondelle. Pendant ce temps-là, je m’occupais du plaisir de la maman et j’avais l’air de ne pas trop mal m’en sortir. De temps à autre, j’entendais Nathalie pousser de petits cris, peut-être de plus en plus intenses, mais cela me disait que j’étais sur la bonne voie. Maintenant, régulièrement, elle me faisait redresser pour m’embrasser, j’étais conscient que sur ma cagoule en lycra, il devait y avoir un gros dépôt de cyprine. Manifestement, cela n’avait pas l’air de la dégoûter, bien au contraire. De temps à autre, les deux filles poussaient sur mes fesses, comme si elles voulaient m’enfoncer encore un peu plus le visage dans l’intimité de leur maman.

Tu sais mon petit Franck, tu es vraiment très bonne quand il s’agit de donner du plaisir à moi et mes filles. Il va falloir que nous nous accordions toutes les trois pour te trouver un prénom plus en rapport avec des prestations sexuelles, mais surtout, ta tenue de prédilection.

Régulièrement, ma chérie et sa sur venaient me caresser les hanches à travers ma douce robe, je ne vous raconte pas l’effet que cela me faisait, je me sentais vraiment à leur merci. Sans aucune raison, les trois m’ont abandonné en m’ordonnant de ne pas bouger, elles se sont juste absentées quelques minutes pour revenir avec le sourire aux lèvres, du moins à ce que j’en entendais. Comme elles me l’avaient demandé, je n’avais pas bougé, toujours à quatre pattes, chacune a repris sa place, mais rapidement, j’ai senti un petit changement. J’ai réalisé que ce n’était plus le minou de Nathalie que je broutais, mais un autre, ce qui m’intriguait le plus, c’est que ce n’était ni celui de Coralie ni celui de ma chérie. J’ai commencé à faire un commentaire, mais je me suis pris une telle claque sur les fesses, que j’ai préféré me taire et me remettre à la tâche.

En dehors de la claque que je venais de recevoir, je peux vous garantir quil y avait de l’activité derrière moi, les filles se relayaient pour me faire du bien. J’étais en train de réaliser que ce minou ne me laissait pas indifférent, son odeur intime me rappelait une femme, même la douceur de ta peau me faisait penser à une femme, mais incapable de me rappeler laquelle, en même temps je n’avais pas un tableau chasse bien garni, à ce niveau-là.

Je ne sais pas si c’est la maman ou une des filles, mais l’une d’entre elles s’est allongée pour venir prendre mon sexe en bouche. Jamais je n’aurais cru un jour dans ma vie que je serai ainsi choyé sexuellement parlant. Quand j’ai entendu crier ma partenaire que j’étais en train de butiner, j’ai tout de suite compris que c’était la vendeuse. Sophie que j’avais sauvagement baisée dans la cabine d’essayage était là avant le déjeuner et j’étais en train de lui brouter sa minette. C’est une chose que je n’avais pas pu faire quand nous nous étions rencontrés dans le magasin, je n’avais eu droit que de la baiser et une fellation de sa part. Par contre, là, au niveau amour-propre, j’étais devant elle à genoux, totalement travesti, en train de lui faire du bien avec ma langue.

Allez ma cochonne, l’autre fois, tu m’as pénétrée sauvagement dans la cabine d’essayage, maintenant c’est à toi de me donner du plaisir.

Jétais un peu stupéfait qu’elle me parle sur ce ton-là, je ne pensais pas qu’elle avait à ce point confiance en elle, d’autant que maintenant, elle joignait le geste à la parole, en appuyant sur ma tête pour que je lui fasse le plus de bien possible entre ses jambes.

Tu vois que ma chérie est efficace, elle sait aussi s’occuper de l’abricot d’une femme, en plus de savoir les baisers.

Je reconnaissais sans problème la voix de ma chérie qui parlait de moi encore au féminin, là encore, ce n’était pas très flatteur pour moi aux yeux de notre invitée. Un moment, j’ai encore entendu des mouvements dans la chambre, mais j’ai surtout entendu des clics, il me semblait vraiment que l’on prenait des photos de moi. J’étais surtout en train de réaliser que Sophie devait avoir une vue sur moi bien dégradante. J’étais là, entre ses jambes, en train de lui faire du bien, encagoulé et accroché à ses cuisses pour garder l’équilibre, et surtout, habillé en femme avec l’arrière de ma robe soulevée et les surs qui étaient en train de jouer avec mon anneau rectal.

Viens m’embrasser ma petite chienne.

Voilà comment me parlait désormais Sophie, quand elle me saisissait par la tête pour me relever et m’embrasser. Je pense que savoir qu’il y avait la cyprine de Nathalie et la sienne sur la cagoule devait avoir un côté très excitant pour elle, je ne vous raconte pas le côté olfactif pour moi… Maintenant que j’y pensais, j’étais en train de réaliser que j’avais quatre couches de cyprine sur moi, deux en dessous de la cagoule et deux au-dessus. À un moment, j’étais sur le point de lui demander de la pénétrer, car j’en avais gardé un très bon souvenir, mais elle ne m’a pas laissé commencer ma phrase et m’a renvoyé à la cave pour que je finisse par la faire jouir.

Finalement, à force d’insistance, elle a fini par prendre son pied sous l’effet de ma langue et par moments de mes doigts qui allaient se glisser dans son vagin. J’étais assez content de moi, excepté le fait que je n’avais pas fait jouir Nathalie ce matin. Je suis resté encore un long moment entre les jambes de Sophie pour essayer de récupérer le plus de nectar possible. Finalement à force de bander, mais surtout de contracter mon ventre en donnant des coups de reins, je commençais à avoir mal aux abdos. Par contre, je n’avais pas du tout mal à mon petit trou, c’est vous dire combien elles s’étaient bien occupées de moi en douceur. Alors que je croyais que c’était fini, Sophie s’est levée et sans aucun doute, c’est Nathalie qui est venue prendre la place pour que je répare cette négligence.

Par contre, là, je n’ai pas été bien long à la faire jouir, car à voir tout ce qui se passait devant elle depuis un petit moment, cela avait vraiment dû bien l’exciter. À ma grande surprise, Nathalie s’est mise à pousser des cris stridents, je crois qu’elle était vraiment demandeuse de cette jouissance ce matin.

Alors que je pensais que notre séance de folies sexuelles était sur le point de prendre fin, moi qui étais toujours dans le noir, qui étais sur le point de me relever, car toute cette activité m’avait ouvert l’appétit, j’ai entendu la maîtresse de maison qui a pris la parole.

C’est bien gentil tout ça, mais maintenant. il va falloir la baiser.

Moi qui étais chaud comme les braises, j’étais bien content car le projet de baiser Sophie ne me déplaisait pas.

Vous saurez la suite dans le prochain chapitre, en espérant que ce dernier vous ait plu.

Un grand merci à tous ceux qui me laissent des messages.

Gros bisous à vous.

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