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Loin de la ville – Chapitre 1

Loin de la ville - Chapitre 1



J’habite assez loin de la ville, dans un petit village plein de charme. Les jolies et agréables fermes se succèdent dans la campagne. Je me suis mariée avec Louis, un bon gars. Nous baisions comme des cinglés, dans la chambre ou ailleurs dans la maison ou dans les hangars. Souvent il me faisait jouir dans le champs ou les près. Jaime assez être nue en pleine nature , je me sens vivre autrement. Et un jour, tout s’ écroule sa nouvelle maladie l’enpèche de bander.

J’en suis réduite à ma masturber. Jaccepte ce fait, mais il me manque une bite. Une voisine qui vient souvent me voir me propose de me faire l’amour. Elle est belle, sexy, mais c’est une femme sans homme et moi, je ne connais que des hommes.

Un après midi, dans le parc, à coté de la piscine, elle m’embrasse sur la bouche. Je me laisse faire, je la laisse entrer sa langue pour jouer avec la mienne : je me comporte mal avec une fille. Mon mari passe, nous regarde sans rien dire en me souriant. Il me laisse faire ce que je veux avec la voisine connue pour ses murs particulières pour nous. Nous restons enlacées, il ne dit rien sinon son sourire. Il reste nous regarder.

Notre amie ne dit rien et brusquement son baiser se faite encore plus profond. Sa main droite commence à passer sous ma jupe. Et moi je la laisse faire, écartant même mes cuisses pour lui faciliter le passage vers ma chatte qui mouille. Elle me donne envie de jouir sans attendre. Je pourrais me dégager pour aller dans la ferme me masturber. J’en ai assez de me faire reluire seule en pensant à d’autres. ……..

…..Je le sens sur mon pubis et plus bas,. Elle arrive sur mon sexe et je la laisse faire, au contraire je l’encourage.

C’est agréable de se faire caresser cet endroit par une autre personne, mais faute d’un gars, je me laisse tripoter par la voisine.

Elle sait exactement où je trouve le clitoris ; Elle sait surtout le caresser. C’est meilleur que quand je me caresse seule. Ses caresses m’excitent quant j’allais jouir, elle abandonne tout. Elle commence à me déshabiller, je me laisse encore faire.

Quand je suis nue, elle m’enlace, m’embrasse encore, puis sa bouche descend vers mes seins, directement. Elle me tête pour vite abandonner mes seins en descendant vers mon ventre. Je sais que je mouille en pensant à qu’elle me fait. Sa langue passe trop vite sur le pubis pour aller plus bas encore ; Elle me déshonore en mettant sa bouche entière sur mon sexe, mais c’est agréable, même si mon mari me regarde me faire peloter par une fille.Elle me renverse au bord de la piscine. Il me tarde à ce moment là quelle me fasse du bien. Elle remplace sa bouche par ses doigts. Je ne sais trop quel morceau de sa main est sur la chatte, me caresse profondément. Je ne sais quune chose, j’ai envie de jouir. Peut importe comment.

Elle s’empare de mon sexe, touche la fente en entier, va même vers mon petit trou, vierge de tout encore. Elle le caresse tant que j’ai envie qu’elle entre un doigt profondément.

Pas possible elle lit dans mes pensées, je sens un doigt caresser lanus. C’est agréable ; elle le rentre dans mon ventre. Je me donne, je donne mon cul à une fille. Que c’est bon de me faire caresser ainsi le cul, chose que j’ai toujours refusée à mon mari.

Elle lime dans le fondement, et elle va me faire jouir. Je me donne en me tendant à la caresse un peu particulière. Je dois soupirer bien fort au fur et à mesure que sa caresse m’excite et je sais que j’ai poussé un léger cri quand j’ai joui. Je jouis de mon cul, pour la première fois, caressée par une autre femme…….

Elle passe sa tête entre mes jambes. Je sens sa bouche à l’intérieur de mes cuisses. Je voudrais qu’elle me donne encore du plaisir.

Elle pose enfin sa langue sur le clitoris qui n’attend que ça. Je pensais qu’elle allait laisser sa langue lécher le sexe : elle se retire pour venir sur moi me donner sa chatte dans ma bouche. Je sens son odeur de femme en chaleur, de femme indigente , comme sans bite.

Elle ne demande rien mais j’ai envie de lui bouffer la chatte, comme un fauve attiré par relent de fille en chaleur.

Le soir tombe doucement et nous sommes toujours en 69. Nous ne nous lassons pas de l’autre. Nous avons enfin besoin d’un mâle, moi moins qu’elle.

Mais nous voulons nous faire soit baisées soit enculées, c’est mon cas car je ne l’ai jamais été.

Enfin le lendemain arrive un ouvrier agricole, un type qui semble bien monté. Par politesse je demande à mon mari l’autorisation de me faire mettre par cet ouvrier. Je m’approche de lui, en badaud, je passe ma main sur sa bite : je sais qu’il bande. Je n’ai pas à me cacher. Étonné il me laisser faire, je sort sa queue qui me plaît aussitôt. Je vais me faire mettre. Ma copine aussi. Je l’appelle, elle arrive vite. Elle aussi est attirée par le sexe d’homme bien dressé, dur et qui montre son gland en bandant.

Comment faire pour se le payer à deux. Elle l’embrasse longuement sur la bouche pendant que je suce cette bite magnifique avec un goût prononcé. Je le suce volontiers. Il prend ma tête pour que jenfonce son sexe encore plus dans ma bouche. Je suis sur le point d’avoir une nausée quand enfin il donne son jus au fond de ma bouche.

C’est chaud, c’est salé. Ma bouche est trop petite, j’en donne la plus grande part à ma copine. Un baiser nous permet de transvaser le trop plein. Nous voir nous embrasser sur la bouche le fait encore bander.

Cette fois c’est la copine qui s’occupe de la bite. Je dois avoir un peu de sperme dans la bouche quand je l’embrasse. J’ai envie de connaître ses fesses que je caresse avant de passer deux doigts dans la raie. Il me laisse passer et j’arrive sur son petit trou. Là, pas de pitié j’entre ensemble mes doigts réunis. Je lencule à ma façon. Il semble aimer ça. Je continue ma sodomie un peu particulière. Il se laisse sucer par mon amie. Je ne vois que la bite plantée dans la bouche, les lèvres qui l’entourent et sa main qui caresse les couilles. Je me contente de continuer ma sodomie qu’il aime. Il a du se faire enculer par une belle bite : j’airais voulu voir ce genre de plaisir accordé par un autre homme. Je pense qu’il a du bien se faire mettre comme moi dans le con.

Mon amie continue de lécher la pine et pose en plus deux doigts ans ma fente. Elle me branle bien mieux que je me le fais

Hélas un gros jet de sperme sort de la pine. Il débande, le salaud.

Nous, les filles nous avons encore envie de baiser. Je vais chercher dans la cuisine le rouleau à pâtisserie, je le donne à ma camarade.

Elle comprend vite, écarte bien les jambes, elle pose un bout sur ma chatte. Elle s’enfonce en moi facilement. Je sens ce bien être particulier quand je me faisait mettre par mon mari. Je lève les jambes pour qu’elle me baise en entier. C’est gros, presque trop, mais c’est salement bon : je jouis trop vite.

Elle se donne à moi. Je lui mets le gode nouveau genre sur le cul. Elle va aimer j’en suis sure. Elle écarte bien les fesses, je vois son cul s’ouvrir doucement sous ma poussée ; Je la sodomise, elle se branle à la fois avant de jouir d’une façon impossible. Ses cris percent les environs au point que notre amant bande à nouveau. Mais il peut se branler s’il veut devant nous, il nous excitera pendant que nous nous aimerons.

Finalement je préfère baiser avec une fille qu’avec un homme qui ne pense qu’à entrer sa queue dans mon corps.

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