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L'ombre du passé – Chapitre 2

L'ombre du passé - Chapitre 2



L’OMBRE DU PASSE

Coulybaca (texte personnel)

Chapitre 2

Depuis l’emménagement, Ali et Mohamed guettaient la belle Clothilde, dans un premier temps sa blondeur épanouie, sa féminité, sa sophistication les avaient éblouis . Puis un rapprochement troublant s’était fait dans la tête de l’aîné, âgée de dix neuf ans, Sylvie, la jeune maîtresse ressemblait étrangement à une jeune fille qu’il avait l’occasion de voir en photo.

A la première occasion, il grimpa au grenier de la grande maison, et sortit de leur cachette plusieurs albums photos.

Chaque album était composé comme un ensemble de dossiers successifs, il recherchait quelque chose de bien précis, enfin un large sourire éclaira ses traits, il s’était arrêté sur les photos d’une jeune fille blonde, d’une quinzaine d’années, nue en compagnie de différentes autres jeunes filles, les photos étaient très explicites, très lisibles, sur chacune on la voyait tantôt une queue enfoncée entre les lèvres, la bouche déformée par une grosse bite, tantôt empalée sur une pine qui la travaillait au ventre ou au cul, sur certaines mêmes elle était embrochée par ses trois trous.

On voyait toujours le visage de la jeune blonde, les cheveux courts, on aurait effectivement dit Sylvie, se pourrait-il que ce soit la patronne plus jeune se demandait-il, s’enflammant à cette idée .

Il vérifia le nom porté sur le dossier, il s’agissait d’une certaine Clothilde Ducreux, il lui fallait de toute urgence vérifier le nom de jeune fille de la patronne, car si cette impression se confirmait ……

Quel pot il avait eu, un jour qu’il fouillait dans le grenier, de tomber sur cette cachette, le propriétaire de ces photos avait du se trouver bien coincé, pour les abandonner ainsi, depuis ce temps, il cherchait vainement à identifier les différentes jeunes filles figurant sur les rectangles glacés, et voilà que le hasard semblait enfin récompenser sa ténacité .

Hier il avait enfin eu sa chance, Sylvie lui ayant demandé ou se trouvait la mairie, flairant le bon coup, il l’avait accompagnée, il avait frémi de joie l’entendant demander une fiche d’état civil, un coup d’oil discret le renseigna, il jubilait, madame Clothilde Marsac était bien l’ex-mademoiselle Ducreux, c’est bien elle qui exhibait tous ses charmes, en affirmant le mode d’emploi sur les photos de l’album, restait quand m^me à la circonvenir .

Toute la semaine, bien qu’incertain, il l’avait épiée, surprenant quelques images furtives, l’ombre d’un sein surprise par transparence, les jambes fuselées révélées par les jupes courtes, profitant d’un coup de vent, il avait même pu apercevoir des mignonnes jarretelles, et aujourd’hui même dissimulé sous le balcon, en compagnie de son frère cadet, il avait nettement distingué des poils blonds échappant du slip vert Nil qui était sensé dissimuler ses trésors à la vue des vilains voyeurs.

L’idée qu’un jour il pourrait soumettre cette fière jeune femme à ses caprices lui échauffait les reins, il se régalait déjà à la pensée des positions qu’il pourrait lui imposer, de sentir ses lèvres boudeuses, qui susurrait plus qu’elles ne parlaient, lui sucer la queue, de la contraindre à se balader cul nu sous ses longues jupes, à la faire ramper à ses pieds, cul cambré, ventre tendu lui offrant de disposer à sa convenance de tous ses offices .

Il ne l’épargnerait pas la fière Clothilde, qu’elle geigne ou pleurniche, il lui éclaterait le cul, et qui sait, elle lui permettrait peut-être d’identifier d’autres de ces jeunes femelles, et alors ….. Il ne lui restait plus qu’à guetter le moment propice pour lui mettre le marché en main …

Cette occasion lui fut fournie le lendemain matin, afin de se distraire de son désouvrement, la belle Clothilde, avait entrepris de ranger les vastes greniers de l’appartement, tentant d’y aménager une salle de jeux pour les enfants.

Elle l’avait appelé, lui demandant de l’aider à déplacer quelques meubles encombrants, après quelques minutes de travail, il l’appela pour lui montrer sa découverte.

Il lui tendit alors un album photo, intriguée elle s’en empara, croyant y découvrir la trace de leurs prédécesseurs, la lecture du titre figurant sur l’album : LA GRANGE AUX LOUPS, elle frémit d’angoisse .

Fiévreuse, blêmissante, appréhendant de se voir figurer dans cet album, elle l’ouvrit en hâte .

Le hasard faisant bien les choses, elle tomba sur la bonne page, des photos obscènes encerclaient une étiquette où l’on pouvait lire Clothilde Ducreux .

— J’ignorais que plus jeune, vous posiez pour ce genre de photos !…. Vous étiez drôlement gironde ! …. Tout le portrait de votre fille ! commenta ironiquement Ali .

Elle ne pouvait nier, elle était bien trop reconnaissable, bien que connaissant l’existence de ces photos, elle ne les avait jamais détaillées comme aujourd’hui, une chape de glace lui tombait sur la nuque, elle suffoquait d’angoisse : ce n’était pas par hasard que le petit salaud lui montrait ces photos !

Elle ne comprenait que trop bien le but de la manouvre, déjà elle sentait qu’elle ne pourrait se dérober, elle ne pouvait se permettre de révéler tout ça, pas plus à son mari, qu’à ses enfants .

— Pourquoi me montres tu ces photos ? Que veux-tu ? …. De l’ar-gent ?

— C’est bien toi Clothilde Ducreux ? …. Non ….? Ca devrait t’intéresser ….. En tout cas ça risque d’en intéresser plus d’un !

La conversation prenait bien la tournure qu’elle craignait, de plus le tutoiement soudain la crucifiait, il devait se sentir bien sûr de lui pour l’adopter aussi facilement, évidemment il était inutile de nier, c’était bien elle, il le savait parfaitement .

— Que veux tu? Oh, presque rien …. je veux te voir dans la même tenue ! ….. Si je fais ce que tu veux, me rendras-tu les photos ? .. Faudrait pas croire au père Noël ….. ce que je peux te promettre, c’est que tant que t’obéiras …… Ta famille, tes proches en ignoreront l’existence personne ne les verra ! …

— Qu’est ce que tu veux d’autres, ….. Ca ne te suffit pas de me voir nue ?..

— Non …. Je veux aussi me servir de toi …. Comme les autres ….Y’a pas de raison ! …

— Non c’est pas possible ….. Non …… Je ne le veux pas !..

— Ce qui compte, c’est pas ce que toi tu veux …. C’est ce que moi je veux …… De toute manière tu as le choix ….. Ou tu fais ce que je veux …. Ou la semaine prochaine je dépose ta photo dans toutes les boites au lettre de la rue ….. Y’en a bien qui feront le rapprochement ….. Tu ressembles trop à ta fille … On te reconnaîtra ! …

— Non, ..non …. tu ne ferais pas celà ! …

— J’me gênerai peut être …. Assez discuté ….. Ou tu te désapes …. Ou tu descends …. choisis !..

— Je ferai ce que tu veux mais qu’est ce qui me garantit que ……. Rien, mais ce serait pas mon intérêt de les divulguer, ….. Tant que tu seras docile et disponible, tu n’as rien à craindre ! …

Comme elle hésitait encore, s’asseyant sur une malle, il intima : – Allez ….. Grouilles …… T’as du bien changer depuis ….. Montres moi tout ça ! …

La tête basse, piégée, consciente de l’inexorabilité de l’adolescent, l’oil vague, les gestes lents elle entreprit de déboutonner son corsage, le premier, le second, le troisième, enfin le quatrième bouton sautèrent. lentement rentrant les épaules elle fit glisser la soie sur ses bras, dégagea le pan de la ceinture de sa jupe, puis posa soigneusement le chemisier sur le dossier d’une vieille chaise proche .

— Non, la jupe maintenant.. lui dit Ali, comme elle tendait la main dans son dos .

Docilement, elle descendit la fermeture sur la hanche, puis dégrafa la pression à la ceinture, avec grâce la jupe glissa le long des cuisses do-rées, levant une jambe après l’autre elle enjamba sa jupe, se baissa, sa croupe tendant le nylon vert de son mini slip, ramassa la jupe, la plia puis la posa toujours aussi soigneusement sur la chaise .

Bras le long du corps elle offrait un spectacle charmant au jeune arabe, les demi bonnets de son soutien gorge vert tendre voilaient ses seins, les offrant comme dans un écrin, la fraise dardée au centre de l’aréole bien visible sous le nylon translucide, sa croupe enrobée dans un mini slip assorti au soutien gorge, le triangle pubien affichant bien sa blondeur au travers du nylon .

Un mignon petit cadeau qu’il s’offrait là !

La main à la taille, il l’attira sur ses genoux, passive elle se laissait faire sans un geste de révolte, ses précédentes expériences l’ayant convaincue de l’inanité de la rébellion, lorsque ses lèvres épousèrent les siennes, elle refusa le passage à la langue fouineuse, il n’insista pas s’intéressant plus à ses seins pulpeux.

Une main soulevant le nylon, s’infiltra dans le bonnet, empaumant la mamelle, s’en remplissant la main, du doigt il flatta le téton qui par un mécanisme compréhensible se dressa, puis son autre main fila dans son dos dégrafer le soutien gorge, elle creusa les épaules, facilitant ainsi l’enlèvement.

De la bouche il s’empara alors de la fraise dardée, la suçota longuement, la mordillant du bout des dents, la couvrant de salive.

Ses deux mains, suivant les courbes pleines de ses hanches, s’infiltrèrent sous l’élastique du slip, le roulèrent lentement sur les cuisses, le triangle blond de sa toison apparut, elle leva les fesses pour lui permettre d’ôter le slip, qu’il fit lentement glisser le long des cuisses, le récupérant pour le jeter sur la chaise .

Intégralement nue, tous ses charmes livrés aux mains fiévreuses, elle se laissa longuement palper, la main d’Ali s’infiltrant entre ses cuisses, elle écarta largement ses jambes livrant son sexe à son entière discrétion .

Profitant de sa passivité il suivit du doigt la blessure déhiscente, débusqua le clitoris affolé par toutes ces manipulations, un doigt puis deux lui forcèrent doucement la vulve, les vrillant dans la tiédeur de sa chatte, il commença de lents va-et-vient dans son tiède conduit.

Des vagues de langueur déferlaient de son ventre, surpris par tant de tendresse, son corps qui s’attendait à une profanation brutale régissait lentement mais sûrement, son sexe s’inondait de cyprine, déjà les deux doigts dans son sexe provoquaient des clapotis évocateurs, sa moule réagissait .

La prenant aux hanches, il la releva le temps de baisser son jean sur ses genoux et de libérer un sexe glorieux, brun, épais, fort long estima-t-elle, bien qu’il ne soit pas encore à l’apogée de son érection.

Il la reprit aux hanches, et de face la posa sur ses genoux, ses jambes encadrant sa taille, son pivot vint frotter contre la fente et d’un petit coup de rein il s’engagea entre les petites lèvres consentantes, le gland logé dans son écrin, il ne put retenir plus ses pulsions et posant les mains sur ses hanches il l’investit jusqu’à la garde .

Ses couilles velues venaient agacer de leurs poils frisés son périnée, elle se sentait pleine à craquer, la lourde bite frémissante éveillait en ses flancs de suspectes vibrations, sa gaine frémissait sur la grosse hampe, l’enserrant, l’étranglant de toute la force de ses sphincters.

Folle d’attente elle le sentit enfin remuer dans son ventre, les mains sur les fesses il guidait ses empalements profonds, frémissante elle savait qu’elle avait été à deux doigts de s’embrocher elle même avouant ainsi son envie, les dents crispées sur les halètements, les soupirs qui voulaient filtrer de sa bouche, elle le sentit encore enfler, avant de lui projeter des flots de sperme tiède au fin fond de la matrice, il se soulagea longuement, resta longtemps engagé au fin fond de son vagin, attendant les derniers soubresauts de sa pine avant de l’extraire du con inondé .

Lui appuyant alors sur les épaules, il l’obligea à s’agenouiller entre ses cuisses ouvertes, elle prit en bouche, sans se faire prier le membre englué de sperme et de cyprine, lui titillant le méat de la pointe de la langue, l’enrobant dans sa langue puis elle l’enfourna au fond de sa gorge à la frontière des amygdales .

Le pénis maintenant turgescent s’introduisit même au delà, à la pointe de l’osophage , les lèvres serrées sur la hampe glorieuse, les dents agaçant le pourtour du cylindre, elle ne tarda pas à recueillir le fruit de ses efforts, avec un grognement sourd il se vida les couilles dans sa gorge, le flot crémeux, à la douce saveur tiède lui envahit la bouche, quelques filets coulèrent à la commissure de ses lèvres, d’un souple mouvement du col, elle avala le doux breuvage avant de se nettoyer les lèvres du revers de la langue puis elle lécha le chibre sur toute sa longueur, insistant sous les plis du prépuce, aspirant les dernières gouttes perlant au méat .

C’est une queue bien propre qu’elle rangea dans son slip .

Se relevant d’un souple mouvement de hanches, sans un mot elle entre-prit de se rhabiller, il la laissa faire, lui confisquant seulement sa petite culotte en la prévenant que désormais elle se passerait de cet accessoire superflu, restant ainsi à son entière disposition lorsque l’envie de la baiser le prendrait .

Catastrophée le laissant à ses rêveries, elle redescendit s’allonger dans sa chambre, là les yeux dans le vague, elle médita longuement .

Ses pires craintes se réalisaient, par un concours de circonstances qui lui échappait totalement, ce petit salaud se trouvait en possession de preuves absolument indéniables des turpitudes qu’elle avait subies na-guère, n’en ayant jamais parlé avec son mari, il lui était impossible de les lui révéler dorénavant, et d’ailleurs croirait il vraiment qu’elle y était for-cée, rien sur les photos, sur celles qu’elle avait regardé du moins ne pouvait révéler la contrainte, à laquelle elle se voyait soumise, à la limite, il en déduirait qu’il avait épousé une fieffée salope, qui se livrait à des débordements charnels dès son plus jeune âge ; il n’y avait donc rien à espérer de ce coté ..

Elle était bel et bien coincée et ce petit salaud le savait. Si elle voulait préserver son ménage, elle devrait désormais satisfaire tous ses caprices, et où s’arrêteraient ils?

Elle ne pouvait le deviner, mieux valait ne pas y penser, elle ne serait pas déçue, comme cela.

Un deuxième constat la désespérait, le dressage qu’elle avait subi pendant ces deux mois ressurgissait, c’est sans un mot de révolte qu’elle s’était pliée à ses fantaisies, son corps gardait les réflexes que lui avaient inculqués ses premiers tortionnaires, elle pliait trop facilement devant la volonté d’un mâle dominateur il lui suffirait d’exiger pour qu’elle s’exécute, elle le sentait .

Une dernière chose l’effrayait, alors qu’avec ses prédécesseurs elle ne ressentait que honte et douleur, cette fois son corps s’était ému des caresses qu’Ali lui avait prodiguées, elle avait été à deux doigts de crier son plaisir, et ça, elle avait vraiment du mal à le supporter .

Allongée sur le ventre, elle se souciait peu du spectacle qu’elle pouvait offrir, plongée dans ses pensées elle n’entendit pas redescendre Ali, ce dernier passant devant la porte entrouverte de la chambre y jeta un oil.

Le cul de Clothilde cambré à souhait, éveilla en lui de nouveaux désirs, dans sa situation, il n’allait tout de même pas s’en priver, pénétrant dans la chambre il s’approcha silencieusement de la couche .

Doucement, il saisit sa jupe par l’ourlet, et la releva sur les fesses plantureuses, le courant d’air frais qui lui courait entre les jambes l’amena à se retourner, voyant Ali le regard rivé sur sa croupe, elle demanda :

— Que veux tu encore ? J’ai fait ce que tu voulais …. laisses moi tranquille maintenant ! ..

— Tu feras ce que je veux, quand je veux rétorqua Ali Et pour l’ins-tant ton cul me tente ….. Ça te gène pas de te faire enculer …. Ne mens pas je t’ai vu le cul embroché sur une bite dans les photos ….. Ce que tu as fait avec les autres, il n’y a aucune raison que je m’en prive ….. D’ailleurs je ne te demande pas ton avis ! …

Et s’asseyant à ses cotés il termina de relever la jupe sur la croupe bien pleine. Contrairement à ce qu’il croyait, Clothilde détestait se faire enculer, elle n’avait jamais pu s’accoutumer à cette pratique, ils lui avaient toujours fait énormément de mal, depuis cette période dramatique personne ne s’était plus planté dans ses fesses, elle l’avait toujours refusé à son mari qui n’insistait même plus, elle allait refuser tout net, et encore tendre il n’aurait certainement pas insisté lorsqu’il lui claqua le cul.

Le coup n’était pas puissant, il n’avait provoqué qu’une vague brûlure, ce fut pourtant suffisant, pour provoquer à nouveau ses réflexes de soumission .

Elle écarta servilement les jambes, cambrant les reins de façon à lui faciliter l’accès de sa croupe, acceptant sa reddition il promena ses mains sur les deux hémisphères brûlants avant de les écarter dégageant le sillon obscure, révélant l’oillet palpitant.

Il lui fora l’anus du doigt, il lui étranglait les phalanges, comprenant qu’il serait impossible de l’enculer à sec, il entreprit d’assouplir la corole récalcitrante. Il se pencha sur la croupe convoitée, dégageant de deux doigts sa cible il entama une feuille de rose, sa salive détrempait peu à peu le sphincter, de la pointe de la langue il le força, le sucra, l’embrassa, elle ressentait des vibrations naître dans ses reins, une nouvelle fois le plaisir s’emparait de son corps.

Se relevant il humecta ses doigts dans sa chatte y recueillant quelques larmes du sperme et de la cyprine qui la tapissaient.

Son trou plus du tout secret admit facilement les deux doigts joints que lui proposait maintenant Ali, comme un coin il les lui enfourna profondément, avec une certaine facilité, son anus espérant maintenant, et pour la première fois un visiteur, écartant les doigts il lui distendait le conduit, bientôt celui ci resta béant lorsqu’il retira ses doigts .

La qualité de la pression qui s’exerça alors sur le sphincter la renseigna sur l’arme dont maintenant son cul était menacé, il n’eut pas à forcer, se dilatant au maximum, impatient l’anus vorace engloutit le gland.

Un petit coup de rein lui permit de l’embrocher jusqu’à la garde avec aisance, et l’incroyable se réalisa creusant puis cambrant les fesse elle entreprit de s’enclouer sur le vigoureux chibre.

Surpris de sa réaction il la laissait faire, toute honte bue elle roulait de la croupe, serrant le gourdin sur lequel elle s’empalait de toutes ses forces l’empêchant de quitter ses fesses lorsqu’elle creusait le ventre, l’absorbant, l’aspirant dans sa gaine chaque fois qu’elle se cambrait.

Traité aussi princièrement, la grosse mentule, bien au chaud dans les entrailles frémissantes se vit bientôt agitée de soubresauts convulsifs, d’un coup de rein puissant il l’emmancha plus loin que jamais, ses cris de plaisir éclatèrent, tandis que dans un râle de bonheur il se déversait dans le tréfonds de ses entrailles, il resta longtemps affalé sur sa croupe reprenant sa respiration.

Elle même haletait encore lorsque contournant le lit, dans ce qui devait devenir un rituel il lui tendit son chibre à nettoyer.

Elle lécha à nouveau longuement la pine maintenant ramollie, la débarrassant des acres souillures brunes qui la maculaient.

Il la laissa anéantie de plaisir dans son lit, elle n’en pouvait plus, ce petit salaud après avoir failli la faire jouir, l’avait menée à l’orgasme en l’enculant, pour la première fois de sa vie son cul s’était avéré source de plaisir, et quel plaisir, des frissons nerveux en parcouraient encore son ventre et ses reins.

Une douche froide la ramena sur terre, elle s’interdit de réfléchir longue-ment à ce qui lui arrivait, dorénavant, elle se contenterait de vivre au jour le jour, sure qu’elle accorderait désormais tout ce qu’il voudrait à son maître chanteur.

Il la tenait, elle s’en rendait bien compte non seulement par le chantage mais aussi par les sens, elle se savait maintenant incapable de lui refuser quoi que ce soit, et elle était bien certain qu’il ne se priverait pas d’en profiter .

Coulybaca (texte personnel)

Janvier 2008

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