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Louée à un camionneur … – Chapitre 1

Toutes des petites salopes - Chapitre 8



Je tremble, mon coeur bat la chamade. Cela fait plusieurs années que ce phantasme ronge ma libido et je suis fermement décidée à le vivre dans quelques minutes…

    Je m’y suis préparée : Mini jupe noire très courte, un string blanc osé, chemisier laissant deviner les auréoles des seins… Très… Pute…

    Le mot est lâché, le résumé de mon phantasme tient en quatre lettres : Pute, se vendre, se prostituer…

    Ce n’est pas la première fois que je me gare sur ce parking de la nationale 7, mais cette fois je ne redémarrerai pas aussitôt, ne fuirai pas, irai jusqu’au bout.

    J’éteins le moteur d’une main décidée. La place choisie est idéale, légèrement en retrait mais visible des hommes cherchant une femme, parfait coin discret.

    J’espère que je plairai mais ne me fais pas trop de souci, je suis encore très désirable du haut de mes trente quatre ans : Des formes pleines mais pas empâtées, un visage agréable et une paire de fesses qui engluent souvent le regard des hommes. Seul point faible : Mes petits seins…

    Je remonte ma jupe, le tissu découvre alors le triangle de dentelle blanc couvrant mon pubis. Parfaitement visible par un amateur passant à proximité. J’espère que cette exhibition discrète affichera mon statut : Femme à louer.

    Je me concentre, essaie de me détendre, de calmer mes battements cardiaques… Relaxe-toi, imagine ce que tu vas peut-être vivre. Espérons que je n’aurai pas de problème… Ah ! Les préservatifs, j’allais les oublier ! Je les glisse dans mon string, faute de poche…

    Il ne me reste plus qu’à attendre… Les bruits des moteurs sont étouffés par la végétation et les cigales…

    Plusieurs voitures passent devant moi mais remplies de femme et d’enfants qui ne m’accordent pas un regard… Je commence à envisager la fuite quand un énorme camion s’approche doucement, passe devant moi. J’aperçois le chauffeur se pencher pour mieux fouiller l’intérieur de la voiture tandis mes jambes s’ouvrent, offrant mes avantages à sa vue… L’énorme masse disparaît et l’attente se poursuit…

    Mon coeur fait un bon dans ma poitrine : Un ronflement de moteur diesel grandit dans l’habitacle, le camionneur revient, roule presque au pas en passant devant moi et s’arrête en un crissement de frein… L’homme en descend : La quarantaine, un ventre de buveur de bière et le cheveu rare, le tout habillé d’un short vert et d’un tee-shirt blanc d’où sortent des masses de poils noirs… Ce n’est pas un adonis mais, bizarrement, cela fait parti de mon phantasme. Se louer à un bel homme serait moins excitant…

    Il s’approche et s’arrête face à ma portière. Ses yeux me soupèsent, glissent sur mes seins, descendent pour enfin se fixer sur le triangle blanc de mon string.

    Je rougis sous ce regard qui me déshabille sans pudeur..

    – Combien ?

    – 50 euros…

    – Cher… Tu suces et tu baises pour ce prix là au moins ?

    – Oui….

    Je me sens humiliée face à son attitude… Il soupèse la marchandise avant de l’acheter, anticipe sur le plaisir que ses 50 euros vont lui rapporter… Mais c’est ce que je voulais après tout….

    – Viens dans ma cabine…

    Ca y est, je ne peux reculer maintenant. Je vais y passer….

    Je sors de la voiture et me penche pour prendre mon sac à main tandis qu’il en profite pour me caresser les fesses. Nous montons dans le camion : Je suis surprise de la taille de l’habitacle fourni de trois énormes sièges et d’une couchette à l’arrière. L’homme tire des rideaux, nous isolant de l’extérieur, puis, assis face a son volant, baisse son shirt et son slip sur ses chevilles poilues, redresse son sexe brun et le branle doucement en posant un billet sur la planche de bord…

    – Qu?est ce que t’attends ? Viens me sucer…

    Je m?agenouille sur la banquette de sky, prends appui sur mon avant bras gauche en me penchant vers ce membre encore mou, le cul dressé. Ma main le saisit tandis que je l’engloutis. Je ne tarde pas à le sentir grossir dans ma bouche. L’homme a glissé sa main entre mes cuisses écartées et caresse mon entrejambe à travers le tissu du string. Il est maintenant énorme et guide par sa main étalée sur ma tête, je m’enfonce plus profondément encore, laissant son gland buter sur mon palais… Ses doigts fébriles remontent la couture du string cherchant une ouverture, l’accès libre à ma chatte louée. Il y parvient facilement et ses doigts rugueux glissent sur ma fente humide..

    – Mais tu es toute mouillée dis donc….

    Je suis surprise par sa réflexion et en déduit que les vraies putes ne doivent pas mouiller comme moi…

    Son index s’introduit dans mon vagin. Je gémis doucement…

    – T’es chaude toi dis donc…

    Il s’enhardit, me caresse l’anus en y glissant un doigt mouille de cyprine, je gémis sous la rude pénétration…

    – Continue à sucer…

    Mon client, puisqu’il faut bien l’appeler ainsi, se penche sur le cote, donnant plus d’ampleur à son bras, permet à ses doigts de me fouiller plus profondément…

    Je gémis encore, souffre sous la pénétration de mon cul. L’homme n’est pas tendre et s’amuse sans tenir compte de mes désirs….

    – Bouge ton cul, enfonce-toi bien…

    J’obéis et mon bassin vient à la rencontre de son index dresse posé sur mon petit trou… Je m’y empale en grimaçant.

    – Arrêtes de me sucer, tu vas me faire jouir. Arrêtes.

    Je me remets à genoux, toujours fouillée par son gros doigt…

    – Tu es occasionnelle toi non ?

    – Oui

    – C’est la première fois que tu montes ?

    – Oui, dis je en rougissant…

    – Je m’en doutais… Allez. Fous-toi à poil maintenant… Je vais m’occuper de toi…

    Il m’observe..

    – Tu es bonne, allonges-toi sur la couchette derrière… Bien, relèves tes jambes que je vois bien tout… Redresse un peu le cul… voila…

    Il se met à genoux sur la banquette et me regarde obéir à ses ordres… Je relève les cuisses sur mon ventre et les maintiens avec mes mains, puis penche mes reins en arrière afin de redresser mon cul, de lui offrir la vue de ma chatte ouverte et luisante et de mon anus serré.

    – Tournes toi un peu, diriges ton joli cul vers moi. Oui, comme ça. Je vais te bouffer le cul, tu vas voir, ça va te plaire..

    Sa tête plonge et la langue tourne autour de mon anus puis il commence à me lécher le sexe tandis qu’il me sodomise avec son pouce. Cela dure longtemps. Je gémis, partagée entre la douceur de la langue et la douleur de la sodomie..

    Il me baisera alors longuement, couché sur moi, entre mes jambes ouvertes et relevées, puis m’ordonnera de me mettre à quatre pattes..

    Là, à genoux entre mes chevilles, il agrippera mes hanches et je sentirai son gland chercher mon étroit orifice..

    – Non, pas ça….

    – Comment ça pas ça ? J’ai payé non ? Tu savais à quoi t’attendre… Alors maintenant je vais t’enculer. T’inquiètes, j’ai toujours la capote… Si tu es sage je te donnerai même un supplément… Détends toi..

    Je hurle sous la possession brutale… Une douleur terrible irradie mon cul… L’homme n’en a cure et continue sont va et vient, crispé sur mes hanches…

    Il se retire doucement et sur toute la longueur de son sexe épais pour de nouveau me pénétrer profondément… La torture n’en finit pas, l’homme prend son temps. Mais la douleur s’amenuise… L’habitude.. Un dernier coup de rein… Profond, les poils de son pubis collent à mes fesses il jouira en grognant…

    Le calme revient… Je me rhabille, la tête baissée…

    Il me tend de nouveau 20 euros…

    – Tiens, tu les a bien mérités, je passe ici tout les mardis vers les 16 heures… Si ça te dit…

    – D?accord… Au revoir…

    Je rentre à la maison, un peu honteuse et l’impression d’être sale..

    Une bonne douche me détendra et, quelques heures plus tard, je me caresserai en pensant à cette première expérience….

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