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L'été de mes 19 ans – Chapitre 1

L'été de mes 19 ans - Chapitre 1



Cette histoire s’est déroulée l’année ou j’ai terminé mes études.

J’avais 19 ans, diplôme de technicien en génie civil en poche. J’avais décidé cette année de me permettre une année sabbatique. Histoire de profiter de la belle saison pour commencer puis par la suite de voyager en Asie.

Je passais l’été dans un camping car, celui de mon frère et de sa femme. Le paradis, le camping se situait sur le bord d’un grand lac. Mon frère avait un yacht de 8 mètres. Il n’était là que le week end et la semaine il me laissait le camping car de 10 mètres, les clés du yacht et même la seconde voiture afin de me permettre de faire mes courses et de me balader dans la compagne environnante.

Je profitais bien de l’été, d’ailleurs il faisait presque toujours beau et chaud cet été là. Le jour je me baladais en yacht, je pêchais bref je prenais du bon temps après 3 ans d’études assidues et de petits boulots qui me permettaient maintenant de prendre quelques vacances avant mon entrée sur le marché du travail avec tout ce que cela comporte. Le soir j’allais parfois à la disco qui se situait au bout de la plage. Il y avait rarement du monde la semaine sauf des locaux qui se foutaient bien la gueule des gens qui n’étaient pas du coin. Fallait pas chercher rancunes avec les gens du coin, il y avait de sacrés durs à cuire.

Un soir, je fus abordé par un homme d’environ une quarantaine d’années. Il me dit qu’il était avec sa fille et qu’elle aimerait danser avec un jeune homme. Étant trop timide, elle n’osait demander. Elle ne devait pas se trouver dans un bar à cet âge. Quelle aubaine, il m’indiqua sa fille d’un geste discret pour ne pas la montrer du doigt. Wouhaa quelle est belle, lui dis-je. J’acceptai l’offre avec joie et accompagnais le père à la rencontre de sa fille qui attendait sagement assise à une table au fond de la salle. L’endroit était sombre mais le système d’éclairage permettait de voir un peu les visages. Il me présenta sa fille qui se leva pour m’embrasser sur la joue.

Elle sentait tellement bon, je m’en souviens toujours. Elle avait des cheveux longs, blonds, une taille très fine et elle ne faisait pas 1m 50. Elle me souriait en me fixa ne sachant trop quoi dire. Enfin elle me dit avoir demandé à son père de me demander à danser. Nous avons tout d’abord échangé un peu, sur nos noms, je présentais Didier, 19 ans et toi? Elle me confirma s’appeler Kathie. Elle portait une robe d’été, très légère, elle avait de beaux petits seins qui se devinaient au travers du tissus de sa robe. Pendant que je lui parlais à l’oreille, je matais son corsage et devinais ses beaux seins, certes petits, mais bien fermes et possiblement jamais touchés.

Je l’invitais à danser, nous nous amusions vraiment. Son père semblait aussi amusé par le spectacle d’elle et moi dansant ensembles. Cette jeunesse enjouée qui semblait lui rappeler nos échanges sur la piste de danse. Lorsque la musique ne me convenait pas trop nous allions le rejoindre. Il nous payait des consommations, bières pour lui et moi, cocktails sans alcool pour Kathie. Nous bavardions et la petite, se frottait sur moi de plus en plus à mesure que la soirée avançait. Nous nous amusions délicieusement. Je demandais à son père de permettre à sa fille de prendre un truc alcoolisé. Pourquoi pas me dit-il. Une fois n’est pas coutume. Celle-ci toute heureuse commanda un cocktail avec de la vodka. Je ne me souviens plus du nom de ce cocktail. À la fin de son verre elle paraissait déjà un peu saoule et me collait encore plus. Je commençais depuis déjà un bout de temps une semi érection car elle me faisait bien bander cette petite. Arriva un slow, je l’invitais immédiatement sur la piste de danse. Elle me tenait le cou à bout de bras, je suis plutôt grand 1m 80. Elle devait même danser un peu sur le bout des orteils. J’avais la gaule et elle le sentait parfaitement. Elle collait son corps sur moi et je sentais ma verge bien dressée mais prisonnière de mon pantalon pendant qu’elle bougeait de façon à ce que ma queue passe en alternance de droite à gauche de son ventre. Qu’elle sensation j’avais. J’essayais que cela se voit mais putain je sentais même le liquide pré-éjaculatoire qui mouillait mes sous-vêtements. Après 5 ou 6 slows la musique maintenant endiablée, nous allons rejoindre son père qui nous observait de sa table. C’était beau de vous voir tous les 2, nous déclara-t-il. Puis il s’excusa pour se rendre aux toilettes. La petite en profita pour me faire savoir qu’elle voulait que je l’embrasse. Elle me roula une pelle d’enfer. D’abord timidement puis sous mes coups de langues elle se mit à mon diapason.

Je la serrais contre moi et sentais sa poitrine contre la mienne. Son père revint avec à nouveau 3 consommations. La dernière avec de l’alcool pour Kathie, dit-il, je compte sur toi Didier, je veux pas que ma fille se saoule et qu’elle ne sache plus ce qu’elle fait. Puis il me demanda de la ramener à la maison après la soirée mais pas plus tard que 2 heures du mat. Le bar ferme à 3 heures et je lui demandais la permission de la ramener à la fermeture. Kathie était ravie.

— s’il te plait Papa, 3 heures ok?

· Tu me promets de me la ramener à la sortie Didier?

· ouais, je vous promets M. ? quel est votre nom déjà?

· Laterreur, ouais je sais cela fait un peu rigolo mais appelles moi Frank.

· Alors Frank dès que Kathie en a marre ou 3 heures au plus tard.

· J’habite à 100 mètres, sur la rue principale. Tu connais la maison sûrement, immense terrain, maison blanche sur la droite, 2 étages et une grille qui ne sera pas fermée à double tour.

· Ouais je connais, n’ayez aucune inquiétude, je vous ramène Kathie.

La petite est folle de joie et me tient par le coup en sautillant. Son père termine sa bière et nous souhaite de passer une belle soirée. Puis il embrasse sa fille en lui chuchotant probablement quelques conseils paternels. Et pour finir l’embrasse tendrement sur le cou de la gamine qui semble apprécier.

· qu’est-ce qu’il a dit à ton oreille?

· Il m’a souhaité avoir du plaisir.

· Il est plutôt cool ton père!

· Ouais tu ne sais pas à quel point!

Là-dessus nous recommençons à nous embrasser tels 2 amoureux. Je lui caresse les hanches, je n’aventure toujours plus loin sur ses fesses, sur ses cuisses d’une douceur incroyable. Elle frémit sous mes caresses. La musique change à nouveau pour des rythmes lents et nous voilà tous les 2 à nouveaux sur la piste de danse n’ayant plus conscience de rien d’autre que nos corps joints ensembles et le baiser qui nous espérions ne cesserait jamais. Je lui caressais jusqu’à ses fesses pendant qu’elle me maintenait les hanches pour sentir mon érection sur son ventre. Lorsque la musique changea à nouveau j’allai voir le DJ pour lui demander d’autres slows. Il accepta mais dans 30 minutes. Il était déjà 00:30 nous avions le temps de nous amuser encore un bout.

Nous dansions comme j’avais rarement dansé, m’abandonnant, ne pensant à rien d’autre que la joie et le fun que nous avions tous les 2. Elle me dit plusieurs fois se sentir tellement heureuse. Nous finissons notre verre tranquillement en se collant de plus en plus. Je lui touchais l’intérieur des cuisses et je sentais son désir monter de plus en plus car elle haletait et avait des mouvements qui me laissaient entrevoir une suite à cette soirée dansante. Elle ne croisait plus les cuisses et je m’aventurais jusqu’à sentir la moiteur de son slip. Je lui caressais timidement l’entre-cuisses et je la sentais se tortiller sans fermer son joyaux à ma main baladeuse. J’avais commencé à bien définir sa fente toute mouillée maintenant lorsque le DJ remit un slow i will always love you elle se leva d’un trait en s’entrainant sur la piste de danse pour se coller à moi à nouveau me tenant maintenant par les fesses.

· Didier, je me sens toute drôle, j’ai des envies folles.

· C’est normal chérie, tu découvres le plaisir.

· J’aimerais tellement découvrir, je suis vierge, s’il te plait Didier je veux que tu me prennes ce soir.

· Tu es un peu bourrée là peut-être qu’il serait préférable d’être sages et voir demain..

· Non, Didier je t’en prie!

· Ok. Allons-nous en!

Nous nous dirigeons vers la voiture de mon frère. Une vielle Renault 5 1977. Là, je lui pris la tête et l’entrainais vers ma bouche. Nos langues dansaient sur la musique rock que j’avais sur le radio de l’auto. Et je la caressais mes mains lui frôlant les seins, les cuisses, les fesses. Je relevais sa robe, et elle s’aventura enfin sur la bosse de mon pantalon. Je déboutonnai les boutons pour en extraire ma bite bien raide depuis plus d’une heure qui n’en pouvait plus d’être ainsi retenue. Je lui mis la main sur ma queue en lui montrant le mouvement qu’elle devait me prodiguer. Je lui touchais maintenant le sexe, ses cuisses totalement ouvertes à mes caresses. Puis je contournais le tissus pour en découvrir une moule totalement mouillée. Mes doigts découvraient ce joli trésor jamais exploré. Je découvrais toute cette jeune chatte, qui pour la première fois allait se faire défoncer par ma pine.

Elle jutait tellement que je me mis à la goûter. Putain quel pied. J’allongeais ma banquette à l’horizontale en même temps que j’amenais sa bouche vers mon sexe bien dressé. Je me soulevais pour descendre mon jeans afin d’avoir plus de liberté. Elle commença à m’embrasser le gland qui dégoulinait déjà. Elle le lécha et je lui demandai de le prendre en bouche. Elle s’exécuta et prit mon sexe en bouche ne sachant trop comment s’y prendre. Je lui dit alors d’aspirer et d’enfoncer mon membre en mouvement de va-et-vient que j’aidais en lui tenant la tête de mes deux mains afin de lui enseigner le mouvement que je voulais. Je la fis me sucer durant 20 bonnes minutes en lui faisant lécher puis sucer à nouveau au gré de mes envies. L’une de mes mains lui explorant les fesses jusqu’à sa chatte tellement juteuse.

Au bout d’un moment je lui retirai son slip puis j’explorais l’intérieur de ses lèvres avec mes doigts pendant que je l’embrassais follement. Elle râlait, haletait, gémissait sous mes caresses et mes doigts bien entrés dans son jeune con. Je la fis me sucer à nouveau quelques minutes et enfin je lui demandais de se dessaper complètement.

Puis je me glissais sur la banquette arrière l’entraînant avec moi. Je la fis mettre à cheval sur moi et puis présentais mon sexe toujours bien raide à l’entrée de son vagin. J’exerçais des mouvements dans sa moule toute trempée puis elle s’empala tout doucement avant de sentir la résistance de son hymen qui me sembla insurmontable telle une barrière vers le plaisir que j’allais recevoir et lui donner. Je lui embrassais ses jolis seins, ses mamelons durs et bien bandés. Je les aspirais et sentais d’elle son plaisir de ma bouche qui lui fit connaître des extases quelle n’avait jamais connu. Elle sembla souffrir de ne pouvoir aller plus loin, puis l’hymen se rompit et elle s’empala complètement et je sentis ma queue s’enfoncer tout au fond d’elle sous un cri de plaisir et de douleur. Ca va chérie que je lui demandai

ouais j ai eu mal

Puis elle se mit à onduler sous mes encouragements. Je la sentais se tordre de plaisir, elle criait timidement et observait tout autour ayant peur d’être surprise par des passants. Je la rassurais en lui disant n’avoir rien à craindre, personne ne voit dans la voiture qui était tout simplement opaque a cause de la proximité du lac qui avait déposé toute l’humidité sur les vitres de la voiture. Si on ne pouvait voir à l’extérieur, personne ne pouvais y voir à l’intérieur. Elle se lâcha enfin, elle devint pratiquement incontrôlable, elle s’empalait sur ma bite son rythme alternant de lentement à hyper rapide. J’étais moi même dans un état second. Je la fis me sucer à nouveau en lui ordonnant de goutter sa mouille elle était déchaînée et je l’encourageais à me sucer et me lécher. Je revenais et la pinais alors qu’elle me présentait son cul. J’ai dû ouvrir le toit ouvrant pour être à l’aise. Je me mis à la pieuter en enfonçant bien au fond de sa chatte la tête sortie par le toit ouvrant. Je m’enfonçais à grands coups de bite en sentant bien la limite de son con. Le voisinage aux alentours devait l’entendre se plaindre sous mes coups de butoir. Puis j’éjaculais sur son petit cul. Je répandis de longues giclées qui coulaient sur son dos suivant les courbes de la position qu’elle maintenait. Elle était aussi à bout de souffle. Je lui demandais de goutter ma semence que je récoltais avec mes doigts puis je lui présentais à sa bouche. Elle lécha tout comme je le lui demandais en me disant quelle aimait le goût de mon sperme.

Quelle salope. Quelle joie de posséder une fille comme ça. J’étais rempli de bonheur. Je l’emmenai au camping-car afin de continuer la soirée – il restait 2 bonnes heures avant de devoir la ramener chez elle et j’avais bien l’intention de profiter encore de cette jeune salope.

Je la reconduisis chez elle à 3:30 du matin après l’avoir à nouveau pilonné et lui avoir joui deux fois dans la gueule m’être fait avaler par cette jolie bouche qui ne demandait pas mieux que de se faire baiser encore et encore.

Ce fut le plus bel été de ma vie. Mais je ne savais pas encore jusqu’à quel point.

À suivre

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