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L'université : de la soumission à la consécration – Chapitre 11

Perverses de mère en fille - Chapitre 1



Je retourne en cours le lundi suivant avec des rêves plein la tête, mais le moral toujours un peu en berne. Mes interrogations du week-end n’ont pas eu l’amabilité de me déserter, si bien que mon désarroi concernant Charlotte et ma mère est presque aussi présent que mon insatiable lubricité.

  Etonnement, cette dernière ne se manifeste même pas tant que cela, puisque je passe un lundi très sobre. Je croise pourtant Léna dans les couloirs, entre deux cours, et son regard laisse clairement entendre que nous aurions bien mieux à faire de l’heure qui suit qu’étudier l’économie ou les mathématiques. Mais l’esprit encore ailleurs, je ne donne pas suite.

  Je le regrette vite d’ailleurs, puisqu’une heure de cours est bien la meilleure manière de déprimer quand on a des soucis plein la tête, joints à une maigre appétence pour l’écoute sur des périodes prolongées.

  En sortant des cours, je la néglige encore la pauvre ayant pourtant sortie le grand jeu pour me faire changer d’avis : notamment une jupe si courte qu’elle mériterait à peine de porter ce nom. A vrai dire, au-delà d’être perturbé, je suis épuisé. J’ai très peu dormi ce week-end, ce qui explique qu’en rentrant dans ma chambre je m’effondre immédiatement sur mon lit, où je m’endors presque aussitôt pour un sommeil ponctué de rêves érotiques.

  A mon réveil probablement aux premières lueurs du matin, si j’en crois le pâle soleil qui entre à grand peine dans la chambre par les rares interstices de la persienne je constate que Camille est endormie à côté de moi. C’est logique, puisque nous partageons maintenant la même chambre, mais la coquine a eu la riche idée de se coucher vêtue uniquement d’un string des plus sexys.

  Encore un peu empâté par la fatigue, je prends quelques instants pour observer ma copine. Elle est belle, son visage fin est encadré par de jolies boucles brunes que j’ai toujours beaucoup aimées. Ses lèvres sont fines mais pleines, et leur rougeur naturelle tranche agréablement avec son teint assez pâle de Bretonne (car oui, elle est Bretonne au départ personne n’est parfait). De même de ses yeux, bleus, qui illuminent de leur couleur claire un visage qui serait sans cela trop assombri par ses cheveux sombres.

  Je trouve que même sa poitrine – que je considère pourtant un peu trop petite est très jolie. Ses tétons sont fins, comme les sont les auréoles qu’ils surmontent, mais élégants, mignons même. Ils ressemblent un peu à ceux de Charlotte finalement, d’autant que les seins eux-mêmes ont une pâleur identique. Echauffé par cette considération, j’en prends un en main pour le caresser.

  Je commence par jouer avec le téton, ce que j’ai toujours autant de plaisir à faire. En revanche, en palpant le sein, je constate qu’il remplit à peine ma main, ce sont j’ai du mal à me contenter maintenant que j’ai moult formats à ma disposition.

  Mais je sais que le véritable atout de ma copine est ailleurs, aussi je fais descendre ma main jusqu’à son fessier divin. Là, je sais que je ne suis jamais déçu : d’une rondeur exquise, ses fesses sont fines et fermes, bien proportionnées avec son corps plutôt menu. En les voyant aussi mal protégées par un string minuscule, l’envie de m’y insérer grandie en moi.

  Quand je pense que je ne l’ai jamais fait, alors que Nico oui, une vague de jalousie me submerge. C’est bête, je pensais avoir abandonné ce genre de considérations depuis quelques temps. A mon avis, il y aura encore bien des réassurances à m’apporter avant d’en être totalement quitte de ma jalousie.

  Ceci étant, même au-delà de ce type de sentiments, il est vrai que les fesses de Camille sont une invitation à la sodomie. Que je les ai eues sous le nez pendant aussi longtemps sans y plonger l’étendard de ma puissance est désormais une énigme pour moi. Comment ai-je pu ne pas me rendre compte de qui elle était, et même de qui j’étais ? Pourquoi a-t-il fallu l’université, et surtout la Fraternité pour cela ?

  Peu importe maintenant, tout cela n’a plus d’importance.

  Pourtant, quelque forte que soit mon envie présente de glisser mon sexe dans la quasi-totalité des orifices de ma copine, ma perversité est devenue bien plus grande désormais. D’autres idées, plus originales et plus altruistes commencent à germer dans mon esprit si dominé par la luxure.

  J’abandonne donc mon lit, un peu à regret, en prenant bien soin de ne pas la réveiller, puis je me mets en quête d’un objet que Léna a dû laisser une fois dans notre chambre par oubli Ah oui les voilà !

  Je sors la paire de menottes du tiroir dans lequel je les avais rangées à la hâte, puis je les glisse doucement autour des poignets de Camille. Ses deux bras reliés l’un à l’autre, j’accroche la troisième attache au montant du lit.

  Voilà, elle ne bougera pas tout de suite.

  Je sors ensuite de la chambre et me mets en quête de « clients ». Avec un sourire satisfait, je me rends compte que Camille appréciera sans doute autant que moi ce réveil.

  Et les inconnus que je dénicherais peut-être plus encore !!

  D’ailleurs, je ne tarde pas à les trouver, mes candidats. Je vois un groupe de trois jeunes de première année, comme moi, même si je ne les connais pas vraiment. Il faut dire qu’on est nombreux à l’université ! En tout cas, ils ne sont pas à la Fraternité, ça j’en suis certain. Tant mieux, ils seront encore plus surpris, et ils apprécieront sans doute d’autant plus.

  Je me dirige donc vers eux d’un pas conquérant, puis je leur explique sans détours que ma copine a envie de se satisfaire avec plusieurs hommes, et que j’aurais donc besoin de leur aide pour ça. Bien entendu, l’idée les fait d’abord sourire, puisqu’ils n’y croient pas un instant. Mais à force d’insistance, je finis par les faire douter, si bien qu’ils acceptent de « venir voir ».

  Quelle n’est pas leur surprise, alors, de voir qu’effectivement une jeune femme à moitié nue (et même un peu plus que ça) se tient allongée sur le lit. En revanche, ils sont tout autant surpris de constater qu’elle dort encore.

— Ah oui, elle n’est pas au courant !

  Je livre cet aveu dans un éclat de rire, mais ça ne les amuse guère. Sans doute se demandent-ils si c’est bien ma copine, et s’ils ne sont pas les complices involontaires d’une blague de très mauvais goût. Autant donc les rassurer tout de suite.

— Camille !

  Ma copine ouvre les yeux, sachant que mon éclat de rire d’il y a quelques instants l’avait déjà fait se réveiller à moitié. Elle sursaute en voyant autant de monde dans la pièce, ce qui fait reculer les trois malheureux opportuns qui ne savent décidément pas quel est leur rôle dans cette histoire étrange.

— Désolé mademoiselle, on ne savait pas qu’il y avait quelqu’un, dit même l’un d’eux.

  Quel crétin !

— Mon cur, j’ai dis à ces monsieur qu’une sacrée gourmande avait envie de se satisfaire de plusieurs queues, je ne pense pas m’être trop avancé ?

  Mais Camille réalise à ce moment-là qu’elle est attachée, ce qui l’inquiète quelque peu. Il lui faut bien le temps de se réveiller avant de déployer tous ses talents de salope ! Pourtant, la voir ainsi troublée me ravit.

— Prends le temps de te réveiller mon amour, mais ne fais pas trop languir nos amis !

  Elle émerge enfin à peu près, essaye de prendre une posture plus digne, mais les menottes ne lui permettent pas de faire ce qu’elle veut. La voyant ainsi gênée, les trois andouilles s’apprêtent à tourner les talons.

— On s’excuse madame, on ne savait pas on ne voulait pas on s’en va.

— Restez-là !

  L’ordre n’est pas de moi, mais de Camille. Elle me jette un sourire réjoui, se passe la langue sur les lèvres, puis me lance :

— Tu as changé mon cur. Si tu savais comme je t’aime !

— Je sais, moi aussi j’aime beaucoup ce que tu es.

  Passé ce court interlude de couple, elle se tourne de nouveau vers les garçons hésitants, qui ne savent plus à quel saint se vouer.

— Alors ? Je les veux mes bites, moi !

  Ils hésitent encore un moment, mais l’appel est trop tentant. L’un d’eux s’avance, fébrile, mais il ne semble pas trop savoir quoi faire.

— Elle se ferait un plaisir de s’occuper de tout, mais elle est attachée, dois-je leur rappeler. Il va falloir vous sortir les doigts, les mecs !

  A la fois piqué au vif et encouragé par mes moqueries, le premier commence à lui caresser les seins. A vrai dire, je fais mon malin comme ça, mais dans leur situation je ne serais sans doute pas plus à l’aise !

  Ils s’approchent tous maintenant, et ils commencent à la caresser un peu partout. L’un d’eux sort même déjà sa bite pour lui coller dans la bouche. Et bien entendu, Camille s’exécute gentiment, trop heureuse de pouvoir payer de sa personne. Elle le suce donc joyeusement, sous le regard envieux et ébahi des deux autres drilles.

— Vous en faites pas les mecs, y’en aura pour tout le monde ! Vous demanderez grâce bien avant elle, croyez-moi.

— Cha ch’est ch’ur, tente de baragouiner Camille, malgré le sexe qui lui obstrue largement la bouche.

  Mon Dieu que ma copine est une salope ! Et qu’est-ce que ça m’excite, maintenant que j’ai accepté l’idée et que je ne la subis plus

  Les gars s’enhardissent, la tripotent sans vergogne. Celui qui lui caresse les seins s’accroupit pour les prendre en bouche tout en continuant à les malaxer, tandis que celui qui s’occupe de son vagin a déjà glissé un doigt sous le string pour caresser sa fente. Est-elle déjà humide ? Ça ne m’étonnerait même pas !

— Juju détache-moi, que je puisse caresser leurs queues ! me supplie Camille en arrêtant son travail un instant.

— Hors de question, tu es leur jouet. Et ensuite tu seras le mien.

  Elle ne proteste même pas, c’est tout juste si elle n’est pas réjouie de mon refus. Je suis sûr qu’être livrée sans défense à leurs caprices pervers l’excite énormément. D’ailleurs, comme pour illustrer ce que je viens de dire, le type qu’elle venait d’arrêter de sucer pour parler lui attrape la tête et s’empresse de lui faire engloutir de nouveau son chibre.

— Suce-moi au lieu de parler ! lui ordonne-t-il.

  Ils sont pas mal ces garçons, j’ai bien fait mon choix.

  Camille obéit d’ailleurs sans problème et le pompe avec ardeur, ou plus exactement se laisse utiliser comme un vulgaire réceptacle à pénis. C’est à peine si elle réagit quand un doigt se glisse dans sa chatte, puis elle se contente de gémir lorsque le troisième gars commence à lui dévorer le vagin.

  Le terme « dévorer » peut sembler excessif en la circonstance, mais c’est pourtant ce qui donne la meilleure idée de la hâte, de l’ardeur et du manque de tendresse manifeste du jeune homme. Mais ce manque de tendresse n’est pas, comme par exemple chez Paul, un goût personnel en la matière, il n’est que maladresse.

  Ma première impression en sort renforcée : il semble bien que l’expérience des heureux veinards se limite peu ou prou aux masturbations devant des films pornos. Je souris en imaginant quelques surnoms bien sentis pour Camille, elle qui aime l’univers Fantasy : « la Massacreuse de Virginité », « la Briseuse de Vertu », ou plus prosaïquement « L’idole des puceaux ».

  Loin de telles considérations, le garçon qui s’active toujours dans sa bouche ne tarde pas à lâcher de grands râles de plaisir, en même temps que des jets de foutre directement dans sa gorge. En tout cas, il lui maintient la tête enfoncée sur sa colonne aussi loin qu’il le peut, si bien que les lèvres de ma copine sont collées à son pubis.

— Laisse-là un peu respirer quand même ! lâche-je en riant.

  Lorsqu’il a fini et qu’il la libère, Camille tousse un peu mais affiche un sourire réjoui. Un filet de sperme s’échappe de sa bouche et commence à couler le long de son menton, mais elle le rattrape rapidement d’un coup de langue habile.

— C’était trop bien ! lance l’étudiant en s’adressant à moi !

  Ils semblent avoir bien compris que c’était moi qui commandait, mais il pourrait au moins la remercier elle ! D’un autre côté j’aime bien l’idée, j’ai un peu l’impression d’être son maquereau

  On ne peut pas dire que les jeunes n’apprennent rien à l’université !!

  Il ne faut pas longtemps à son ami, toujours occupé à profiter de la poitrine de Camille par tous les moyens possibles, pour prendre sa place et se glisser dans sa bouche.

— Je tu crois que je peux ? demande timidement le dernier, en montrant le sexe de ma copine.

  Je ne peux pas m’empêcher d’exploser de rire devant l’incongruité de la demande. Je tourne les talons pour aller fouiller dans un placard près de la salle de bain, et heureusement je ne tarde pas à trouver ce que je cherche. Je reviens alors vers lui et lui jette une boîte de préservatifs.

— Vous êtes pas là pour jouer à la belotte, les mecs ! dis-je en riant toujours.

— Merci, répond-il en attrapant la boîte, le regard éperdu de gratitude.

  Il se déshabille promptement et enfile un des préservatifs avec une hâte et une maladresse qui me laissent à penser qu’il n’est guère plus expérimenté que son ami. Et en effet, à peine s’est-il introduit qu’il grogne déjà de plaisir, bien qu’il essaye de le cacher autant que possible. Il vient de jouir juste en la pénétrant !

— Elle est trop excitante comme ça tente-t-il de se justifier.

  Il est évident qu’il a honte et se sent bête, ce que je trouve dommage. On est là pour apprendre et se faire plaisir, pas pour se juger mutuellement.

— Ça c’est sûr ! approuve-je donc. A la voir comme ça, c’est à peine si elle me ferait pas gicler dans mon caleçon, je te comprends !

  Il me sourit, apparemment un peu rassuré. Et après tout, son ami n’a guère plus brillé.

  Le dernier délaisse alors la bouche de Camille pour se placer devant son vagin. Il est assez bedonnant, ce qu’elle n’aime pas trop à ma connaissance, mais son sexe est un peu plus gros que le précédent, ce qui devrait compenser.

  A ma grande surprise, il ne profite pas de son statut provisoire d’objet pour la baiser à sa convenance, mais il s’agenouille pour la lécher. Un sympathique gaillard.

  Ses amis, désormais vidés, ne tardent pas à se lasser de ce spectacle qu’ils jugent apparemment peu digne d’intérêt.

— Tu nous rejoins dans la salle de repos ? lui lancent-ils en s’éloignant.

  Les crétins ! Ils ne voient pas la puissance érotique de la tendresse, le plaisir que peut ressentir un homme à voir sa compagne se tortiller en tous sens, submergée par le plaisir qu’il lui procure à sens unique et de manière désintéressée ? Ses andouilles ne sont bons qu’à regarder des films pornos enchaînant les gros plans sans talent ni imagination ! Tant pis pour eux.

  Le dernier survivant semble d’ailleurs se débrouiller mieux que bien, si j’en crois les gémissements de Camille. D’accord elle n’est pas un public difficile, elle adore les cunnilingus. Mais tout de même.

— Tu as déjà fait ça ?

— Non, me répond-il en délaissant un instant sa besogne. Mais je me fis à ses réactions.

  Décidément, ce garçon a tout compris aux femmes. Je l’ai jugé un peu vite sur son apparence et je le regrette. Il ira loin, et c’est sans nul doute celui qui lui procurera le plus de plaisir.

  D’ailleurs je ne me lasse pas de le regarder faire, apparemment heureux de procurer du plaisir sans rien demander à celle qu’il pourrait utiliser à sa guise. Il est effectivement attentif au moindre des gestes et réactions de Camille, guettant un geste ou une attitude qui pourrait laisser entendre qu’elle apprécie ou pas.

  Ma copine lui pose une main sur le crâne pour l’inciter à accentuer la pression sur son clitoris, mais j’y vois surtout le signe qu’elle n’est pas loin de l’orgasme.

  Lorsqu’il arrive, elle se tortille en tous sens et crie son plaisir à pleins poumons, les deux mains dans les cheveux de celui qui s’applique toujours à lui faire du bien. Je me doute qu’elle en rajoute un peu, mais il l’a bien mérité. Et ses amis aussi, qui doivent l’entendre et, peut-être, en tirer certaines leçons.

  Tandis qu’elle se calme doucement, je vois que son généreux cavalier la regarde d’un air gourmand. Gentil mais pas bête, il semble l’interroger du regard pour savoir s’il aura tout de même le droit de la baiser après cet orgasme, ou s’il marquait pour elle la fin de la relation.

— Je peux savoir ce que t’attends pour me baiser ? lui demande alors Camille, non sans poésie

  Tout excité, il se déshabille rapidement et se présente déjà devant elle, prêt au coït. Il l’interroge du regard une dernière fois, mais la réponse non prononcée lui semble satisfaisante puisqu’il s’insère enfin.

  Malgré son excitation manifeste, il ne s’en sort pas trop mal. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’il brille, mais vu les circonstances ce n’est déjà pas si mal.

  Lorsqu’il se vide en elle (ou plus exactement dans le préservatif qu’il avait préalablement enfilé), il évite les grands râles caricaturaux (ceux que j’aime bien personnellement, n’ayant pas peur des caricatures lorsqu’elles peuvent m’exciter).

  Pour une raison qui m’échappe, il semble très gêné après cela. Il se contente d’un vague « merci », puis il se rhabille à la hâte et disparaît sans tarder.

  Je me tourne alors vers Camille :

— Alors, t’as aimé ma surprise ?

  Elle me sourit, d’où je conclus qu’apparemment oui.

— T’en veux encore ?

  Son sourire s’élargit.

— Oui, viens me baiser !

  Je m’approche d’elle, mais je la retourne pour qu’elle se retrouve dos à moi, à quatre pattes.

— Tu préfères en levrette ? me demande-t-elle d’une voix enjôleuse.

— Plus ou moins.

  Je fais descendre mon pantalon et mon caleçon, découvrant mon sexe devenu impressionnant.

— Tu ne vas pas me sodomiser ? demande Camille, manifestement inquiète.

— Nico l’a bien fait.

— Oui mais t’as vu la taille de ta bite maintenant ? Je sais pas pourquoi elle a grossi autant, mais elle ne passera jamais dans mes fesses !

  Même si elle ne le voit pas, un sourire carnassier s’étale sur mon visage.

— Oh si, elle rentrera dis-je en ricanant.

— S’il te plaît Juju, tu vas me faire trop mal tu vas me déchirer en deux !

— Ce sera ta juste punition pour tes travers passés.

— Mais je croyais que tu acceptais une vie différente maintenant ?

— Oh pour ça oui, tu ne crois pas si bien dire d’ailleurs. C’est juste qu’à l’époque ce n’était pas le cas, et c’était donc bien une trahison. J’en ai beaucoup souffert, surtout que j’ai été humilié à plusieurs reprises. Pour ça aussi, il va falloir payer.

— S’il te plaît Justin, ou au moins vas-y doucement

  Tandis qu’elle prononce ces derniers mots, mon gland est déjà posé à l’entrée de sa rondelle.

— Je te conseille de te détendre, sinon ça va faire mal.

  Elle ne répond rien, mais elle semble écouter le conseil. En tout cas ses fesses s’entrouvrent légèrement. Et après tout, je ne suis pas le premier à passer par là ! Même si Nico n’a pas le calibre que j’ai désormais, je sais maintenant qu’il est très bien membré. Mieux que moi à l’origine.

  Je pousse légèrement, mais c’est pour constater que l’intrusion est difficile. Même si elle n’est plus vierge par là, ses fesses restent étroites et je risque effectivement de lui faire mal. Je vais donc aussi doucement que possible, conscient que le manque de lubrification n’aide pas.

  Je mouillais pas mal au début de ma pénétration, mais son conduit anal a très vite asséché ma hampe. Je la ressors donc et l’insère brusquement dans son vagin, qui lui pour le coup est trempé comme jamais !

  Elle sursaute et lâche un gémissement de surprise lors de la pénétration, mais elle n’a pas le temps de poser de questions que j’ai déjà réalisé mes trois ou quatre mouvements de va-et-vient, puis je ressors déjà pour me réinsérer de l’autre côté.

  La progression est cette fois un peu plus facile, mais je ne tarde pourtant pas à m’assécher de nouveau. Tant pis, c’est trop bon ! Je l’attrape par les hanches et continue à la pénétrer doucement.

— Attends Juju, soupire-t-elle bientôt. Arrête deux minutes s’te plaît, ça me fait mal.

  Je ne tiens aucun compte de sa remarque, ne lui réponds même pas. Je continue comme si de rien n’était, si bien que je l’entends rapidement commencer à gémir de douleur.

— Aïe ! Arrête, s’il te plaît, j’ai vraiment mal là !

  Je progresse encore de quelques centimètres, jusqu’à l’entendre sangloter. Je m’arrête alors, puis je lui demande sur un ton ingénu :

— Ça fait mal ?

— Oui, vas-y doucement s’il te plaît.

— Tu ne veux pas que j’arrête plutôt ?

  Elle réfléchit une seconde.

— Non, j’aime bien l’idée que tu défonces le cul, balbutie-t-elle entre deux gémissements de douleur. Malgré la douleur, j’estime que je l’ai bien mérité. Et tu aurais dû être le premier à me prendre par là.

— On est bien d’accord.

  Sur ces belles paroles, je m’enfonce encore de quelques centimètres, lui arrachant un nouveau cri de douleur.

— T’es toujours pas au bout, là ? me demande-t-elle.

— Presque.

  Je profite des quelques instants durant lesquels je la laisse se « reposer » pour contempler le spectacle qui s’offre à moi : le petit cul tout rond de ma copine, si ferme et si étroit, est littéralement ouvert en deux par mon pénis. Quelle jouissance de la posséder ainsi, de la voir offerte à mes désirs après tout ce qui s’est passé !

  Je me penche alors vers elle pour lui susurrer à l’oreille :

— Pose ta tête sur l’oreiller mon cur, je vais te défoncer le cul maintenant.

— Vas-y doucement s’il te plaît, gémit-elle.

— Non, je vais prendre mon pied sans penser une seconde à ce que tu peux bien ressentir. Je vais te massacrer tes petites fesses, alors je te conseille de mordre les coussins, ça t’aidera.

  Une vague de terreur passe sur son visage, mais elle s’exécute docilement. La vision de ma copine, la tête posée sur l’oreiller et le cul pointé vers le ciel, mon pénis planté dedans, est magnifique, merveilleuse. Elle est à moi, totalement à moi. Je peux en faire ce que je veux.

  Comme pour me confirmer à moi-même la réalité de cette pensée, je lui assène une bonne claque sur les fesses. Elle tressaille, lâche un léger gémissement de surprise, mais ne dit rien.

— Tu es à moi, hein ?

— Je suis toute à toi mon cur. Je t’aime.

  Cet aveu me trouble, Camille n’étant pas une grande sentimentale.

— Je t’aime aussi.

  A peine l’ai-je lâché que je m’enfonce déjà en elle d’un grand coup de rein. Elle se redresse légèrement, inconsciemment, la bouche grande ouverte sous le coup de la surprise et de la douleur.

  Je ne lui laisse pas le temps de se remettre, je la lime déjà à grands coups de bite. Comme promis, je ne prends pas de gants et ne me soucie pas de ce qu’elle peut bien ressentir. Je me contente de la tringler comme il me plaît, réglant mon rythme sur mon seul désir.

  Elle ne tarde pas à crier de douleur au milieu des sanglots, mais ça ne m’arrête pas, bien au contraire. J’ai beau avoir globalement pardonné à Camille, ce n’est pas cher payé pour ce qu’elle m’a fait subir. Et après tout elle est consentante, c’est tout ce qui importante.

  Je lui défonce maintenant son petit postérieur à toute allure. Chacun de mes coups de rein lui arrache un nouveau cri, et elle tente bientôt d’échapper à mon étreinte, sans doute un peu inconsciemment, par réflexe. Je ne lui laisse pourtant pas le choix, je m’avance à chaque fois qu’elle s’éloigne, poursuivant mon uvre de massacre.

  Si elle souhaite réellement arrêter, nous savons tous les deux qu’il lui suffit de me le dire. Mais elle ne le fera pas. Elle a trop envie de me plaire, et trop à se faire pardonner. A force de fuir ainsi ma fureur vengeresse, elle se retrouve bientôt sur les genoux, le torse plaqué contre le mur blanc et froid.

  Dans cette position, la pénétration sans cesse renouvelée de mon chibre dans ses entrailles doit n’être que plus douloureuse, mais l’étroitesse que cela donne à ses fesses contribue aussi à me faire venir plus vite. Je lui plaque bientôt le visage contre le mur tout en la baisant avec hargne.

  Lorsque mon orgasme arrive, immense, je hurle littéralement ma jouissance :

— Oh putain Camille c’est merveilleux ! Quel fion étroit, j’adore te défoncer sale pute !

  Vous l’aurez sans doute remarqué, j’aime oublier la tendresse dans ces moments-là sauf sans doute avec Charlotte, mais je ne peux pas vraiment le savoir. Pas encore.

  Quand je me répands dans ses entrailles, c’est elle qui hurle :

— Ça brûle ! crie-t-elle en essayant de se dérober à la fontaine de foutre qui lui remplit les intestins.

  J’imagine qu’effectivement, mon sperme bien chaud qui jaillit dans ses fesses meurtries doit accentuer la sensation de brûlure. Mais c’est si bon de gicler en elle ainsi !

  Lorsqu’enfin j’ai terminé et que je me retire, un flot de ma semence suit et coule sur le lit. Son anus est déformé, ouvert de manière absolument obscène, surtout avec les filets de sperme qui s’en échappent encore.

  Camille s’écroule et s’affale sur le lit en sanglotant. Je n’en ai pourtant pas totalement fini avec elle, puisque je présente mon pénis devant son visage.

— Nettoie-moi maintenant.

  L’ordre a beau être ignoble, ma fantastique copine s’exécute. Elle le prend en bouche et le lèche bien partout, récupérant le sperme qui s’y attarde, malgré qu’il sorte tout juste de ses fesses. Jusqu’où sera-t-elle encore prête à s’avilir ?

  Une fois que c’est fait, je me rhabille et m’apprête à sortir de la pièce, mais je ne peux m’empêcher de décocher une dernière flèche en partant :

— Tu nettoieras, ça fait sale.

  Je ris moi-même de ma perfidie en arpentant les couloirs qui me conduisent à mon premier cours de la journée. Je doute d’ailleurs que Camille aille en classe aujourd’hui, j’imagine qu’elle préférera récupérer. Je passerai la voir ce soir pour voir comment elle va, et je passerai la nuit avec elle, à faire des choses beaucoup plus tendres et complices.

  Nous sommes encore en couple, tout de même !

  Quant au lendemain, je connais déjà le programme du soir, après les cours : aller voir Jules, le président de la Fraternité.

  Les rouages ont commencé à se mettre en place dans mon esprit, et j’imagine qu’il pourra m’apprendre bien des choses.

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