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L'université : de la soumission à la consécration – Chapitre 12

L'université : de la soumission à la consécration - Chapitre 12



  Je n’ai aucun mal à me faire indiquer la chambre de Jules, et sa position comme sa taille me confirment bien qu’il occupe réellement une place à part dans l’université. Elle est en effet située à l’écart des autres, derrière les bureaux administratifs. 

   Quant à sa taille, que je découvre après qu’il m’ait ouvert sa porte, elle me laisse pantois : ce n’est pas juste une chambre étudiante, c’est un véritable appartement, et un beau ! Je ne m’attarde toutefois pas sur les détails, car Jules est avec une jeune femme que je ne connais pas, même si je suis sûr de l’avoir déjà croisée une fois ou deux.

   Comme ce que je suis venu lui dire cadre mal avec la présence de témoins, je me retrouve un peu gêné par sa présence. Je m’interroge pourtant un instant sur elle : elle doit avoir environ le même âge que Jules, soit quelques années de plus que moi, et elle est très jolie. D’une peau couleur cacao, comme lui, elle est aussi très plantureuse, autant de caractéristiques qui m’incitent à m’interroger sur leur lien : seraient-ils frères et surs ?

 –         Justin, je te présente ma sur, Sonia, me confirme Jules comme s’il avait lu dans mes pensées. C’est ma sur jumelle, précise-t-il ensuite en souriant. Nous avons pas mal de choses en commun, non ?

   Je l’observe un instant, en me demandant si sa phrase ne cache pas quelque chose. Que veut-il dire exactement par là ? Y aurait-il un message caché ?

   Quoi qu’il en soit, je décide de me lancer après une dernière seconde de réflexion.

 –         Je voulais te parler seul à seul, si c’est possible.

 –         Je n’ai aucun secret pour ma sur, répond-il avec douceur.

   Le regard qu’il lui lance alors, caressant et passionné, semble corroborer mes soupçons. Leur relation dépasse le strict cadre de la norme frère-sur, ce qui indique que sa phrase n’était effectivement sans doute pas innocente.

 –         Je n’en doute pas, mais c’est assez gênant et

   Je ne termine pas ma phrase, ne sachant pas trop quoi ajouter, mais il semble comprendre le problème. Son sourire ne fait pourtant que s’accentuer.

 –         Tu as commencé à changer, et tu te demandes pourquoi ?

   J’en reste stupéfait : alors ce n’était pas mon imagination ? Mais comment est-ce possible ?

 –         Le processus n’est pas achevé, poursuit-il. Pour que ce soit le cas, il faut que

 –         Non Jules ! l’interrompt sa sur. Il faut qu’il fasse ce chemin-là tout seul.

   Jules m’adresse un nouveau sourire, cette fois un peu contrit.

 –         Je suis désolé. J’aimerais tout te dire, mais ma rigoureuse petite sur veille au grain. Et elle a raison, il faut déjà que tu termines seul ton initiation pour ça.

   Sa petite sur. Lui aussi l’appelle sa petite sur, alors qu’elle est sa jumelle. Effectivement, nous semblons avoir beaucoup en commun.

 –         Comment terminer mon initiation ? Qu’est-ce que ça veut dire ?

 –         On ne peut rien te dire pour le moment, me susurre Sonia d’une voix douce. Mais ne t’en fais pas, je suis sûre que tu te débrouilleras très bien. C’est le cas jusqu’ici.

 –         Je ne comprends pas. Je veux bien essayer de faire quelque chose, mais comment réussir si je ne sais même pas ce que c’est ?

   Jules s’approche de moi avec un regard plein d’affection, ce qui m’étonne puisque jusqu’ici j’avais surtout appris à le craindre.

 –         Ne pense pas à ce qu’on veut, pense à ce que tu veux toi, me dit-il en me posant une main paternelle sur l’épaule.

 –         Je veux connaître la vérité.

 –         Je ne parle pas de ça. Plus largement, que veux-tu ?

   Je réfléchis un instant à sa question. Qu’est-ce que je veux ? Pas mal de choses. Je veux coucher avec la moitié de l’université, mais je ne crois pas que ce soit la réponse qu’il attend. Je veux me venger des humiliations subies, mais là encore je pense qu’il songe à quelque chose de plus « élevé ».

   La réponse m’arrive soudain comme une évidence, limpide. Bien sûr que je sais ce que je veux ! Je veux être avec celle que j’aime. Avec Charlotte.

   Je jette un nouveau regard sur eux, sur le couple qu’ils forment manifestement, bien qu’ils soient frère et sur. « Nous nous ressemblons beaucoup tous les deux » m’a dit Jules. Peut-être en effet. Et j’ai hâte de découvrir jusqu’à quel point.

 –         Ça ne dépend pas de moi, leur dis-je alors.

 –         Bien sûr que si ! me répond Jules en souriant.

   Je prends quelques secondes pour y réfléchir. Est-ce vrai ? Peut-être que je peux après tout séduire Charlotte. Elle a des sentiments pour moi, c’est certain, mais la situation lui fait peur. Pourtant, j’ai réussi à court-circuiter sa peur, une fois. En ne lui laissant pas le temps de réfléchir rationnellement, en jouant sur ses sentiments et ses sensations uniquement. Je peux recommencer

   Encore une fois, Jules semble lire dans mes pensées à mesure que je les déroule dans ma tête :

 –         Si tu es habile, tu peux même réussir un doublé. 

   Je fronce les sourcils : que veut-il dire ? Il parle par énigmes, comme s’il voulait m’orienter mais sans réellement pouvoir le faire. Je réfléchis donc à ses paroles. A priori, un doublé signifierait coucher avec deux filles en même temps, mais vu le contexte je ne pense pas que ce soit ça. Je pourrais peut-être avoir Charlotte, mais certainement pas avec une autre !!

   Je me dis alors que ce doit être autre chose. Quels sont mes autres objectifs, à part Charlotte ? Punir les principaux responsables de mes humiliations, principalement. Au premier rang desquels Mais bien sûr !

   Mon visage s’illumine tandis que j’entrevois les rouages de ma future vengeance s’assembler.

 –         Je crois qu’on se comprend ! ricane Jules.

 –         Merci.

   Il ne me répond que par un petit signe de tête, mais ça me suffit amplement : avec Jules de mon côté, je me sens pousser des ailes !

   Je quitte donc leur chambre et me dirige vers celle d’Anna, car mon plan commence par là. Fidèle à ma nouvelle habitude, je ne frappe pas à la porte avant d’entrer, si bien que je suis surpris en arrivant dans sa chambre proprement dite : Anna est debout, adossée contre un mur et une jambe posée sur son lit, ce qui ouvre largement son entrejambe. Un jeune homme de première année est agenouillé devant elle, en train de lui prodiguer un cunnilingus des plus agréables, si j’en crois l’expression d’extase qui s’affiche sur le visage de ma sur. Pendant ce temps, un deuxième est debout à côté d’elle, une main sur chacun de ses seins et la bouche occupée à lui lécher un téton.

   Anna, reine s’offrant à ses sujets, tient la tête de chacun des protagonistes, comme pour bien les inciter à continuer. Cette vue est magnifique, si bien que je me contente pendant quelques secondes de les observer. Mais je ne tarde pas à être aperçu.

 –         Justin ! s’exclame Anna en me voyant.

   Elle semble ravie d’être découverte ainsi. Certainement qu’elle se réjouit de pouvoir me montrer qu’elle ne se laisse pas aller, que je suis loin d’être son seul moyen de plaisir potentiel. Mais certainement aussi qu’elle apprécie que je la voie nue, tout simplement. Moi aussi d’ailleurs.

 –         Ne vous arrêtez pas pour moi, continuez !

   Je suis en effet assez frustré de la gêne des deux étudiants, puisque j’aimais bien les regarder faire. Heureusement, Anna acquiesce et leur donne l’ordre de continuer. Et le pire, c’est qu’ils obéissent docilement.  Je m’approche d’eux lentement.

 –         Je suppose qu’ils n’ont le droit que de s’occuper de  toi ?

 –         Bien sûr ! approuve Anna, comme si l’idée était en soi évidente. Il y a toute une hiérarchie à respecter.

   Je m’adosse au mur, juste à côté d’elle, puis je repousse la seconde main de l’étudiant qui lui caresse les seins pour en attraper un à mon tour. Huuummm qu’est-ce que j’aime ses seins !!

 –         Et une fois qu’ils t’ont fait jouir, ils repartent dans leur chambre comme ça ? C’est sadique

 –         Parfois, quand ils font bien leur travail, je les laisse se masturber devant mon corps nu, répond-elle.

 –         Je vois, c’est très généreux.

   Je lui caresse le sein sur toute son étendue, je flatte un peu son téton de temps à autre. Anna soupire de plaisir, mais j’imagine que c’est surtout dû à la bouche de l’étudiant qui lui lèche le vagin.

 –         Tu veux mes deux seins ? me demande-t-elle.

   Séduit par l’idée, je repousse complètement le malheureux qui avait jusqu’ici le plaisir de s’occuper de sa poitrine, et j’attrape ses deux magnifiques loches dans mes mains. C’est un peu égoïste, je sais, mais Anna a raison : il y a une hiérarchie à respecter.

 –         Suce donc mon frère pour t’occuper, lui ordonne alors Anna.

 –         Mais proteste le pauvre étudiant. C’est que je ne suis pas gay !

 –         Quelle importance ? ricane Anna. Tu es ce que je veux que tu sois !

   Je le vois hésiter quelques secondes, mais il vient bientôt s’agenouiller devant moi, l’air profondément humilié. Evidemment qu’il obéit, ma sur a trop à lui offrir ! Quant à moi, j’avoue que l’idée ne me déplaît pas : je ne suis absolument pas attiré par les hommes non plus, mais je n’ai pas de problème avec ça pour autant. Et après tout, une pipe est une pipe.

   Il retire timidement mes vêtements, puis il a un mouvement de recul quand mon sexe jaillit, ce qui nous fait bien rire Anna et moi. Son ami lui jette un regard désolé, on sent bien qu’il est content de ne pas être à sa place

   Quand enfin ses lèvres se referment sur ma queue, je pousse un soupir de plaisir. Comme je m’en doutais, ce n’est effectivement pas désagréable, le seul véritable souci étant d’ordre psychologique. Encore que je trouve également excitant de se faire sucer par un homme hétéro qui n’aime absolument pas ça, et qui ne le fait que parce que je suis plus élevé dans l’ordre hiérarchique du monde. 

   Je comprends maintenant ce qu’a pu ressentir Jules quand il m’a infligé la même chose. J’avais trouvé ça profondément injuste à ce moment-là, évidemment, mais c’est finalement comme ça que fonctionne le monde.

   Je suis conscient de devenir progressivement un salopard égocentrique et prétentieux, mais après tout ce que j’ai traversé j’ai bien le droit, non ?

   Quoi qu’il en soit, je continue mes caresses sur le corps de ma sur. Qu’est-ce que j’aurais envie de la prendre contre le mur, de la baiser sauvagement devant les deux étudiants ! Mais je me contiens, ce n’est pas pour ça que je suis là. 

   Je pose quand même une main sur ses fesses, que je caresse un moment. Elles sont belles aussi, douces et bien fermes. Il faut dire qu’Anna, très soucieuse de son apparence, fait beaucoup de sport. Je glisse un doigt le long de sa fente, puis je me penche vers elle pour lui susurrer à l’oreille :

 –         Un jour, je t’enculerais.

   Je me demande si quelqu’un l’a déjà fait ? Non, je ne pense pas. Anna a beau être une sacrée salope, son truc c’est plutôt d’utiliser les mecs comme des objets. Elle est très belle, très bonne, elle le sait et elle en joue. La moitié des hommes de cette planète seraient prêts à se couper un testicule pour coucher avec elle, et elle adore jouir de ce pouvoir.

   Tout ça pour dire que je ne la vois pas du tout accepter de se faire sodomiser par un de ces hommes, qu’elle ne considère au fond que comme des bouts de viande. Comme je n’ai pas pu dépuceler Camille de ce côté-là, que Léna ne doit plus y être vierge non plus, que Charlotte il est inutile d’y songer, je me dis que j’aurais au moins « l’innocence » d’Anna par là.

   C’est sur ces belles pensées que je stoppe mes caresses, un peu brusquement, en constatant qu’Anna se dandine de plus en plus, sans doute prête à jouir.

 –         Arrêtez ! 

   Les deux étudiants s’interrompent, me regardant d’un il interloqué qui leur donne un air un peu niais. Anna ne comprends pas non plus.

 –         Qu’est-ce que tu fais Tintin ? J’étais prête à jouir !

 –         Justement, c’est tout l’intérêt de la chose.

   Je lui jette un sourire carnassier, d’autant plus que je ne supporte pas quand elle m’appelle Tintin. J’ai toujours trouvé ce surnom idiot !

 –         Mais commence à bafouiller le malheureux qui me suçait.

   Le pauvre devait bien escompter une sacré récompense en échange de ce sacrifice.

 –         T’inquiète pas, la prochaine fois c’est elle qui te sucera, lui promets-je.

 –         Mais commence cette fois Anna, certainement pas décidée à se rabaisser ainsi devant ceux qu’elle considère comme ses sujets.

 –         Pas de mais !

   Je la prends alors par la main et l’entraîne à ma suite dans les couloirs de l’université, après bien sûr nous être rhabillés un minimum.

 –         Je peux savoir où on va ? me demande-t-elle bientôt, visiblement courroucée.

 –         Dans ma chambre.

 –         Pourquoi dans ta chambre ? Tu penses y être mieux que dans la mienne ?

 –         Pour ce que je veux faire, certainement.

   Elle n’en demande pas plus sur la route, mais je vois bien qu’elle ne comprend pas. Logique. Arrivé sur place, je jette un coup d’il à ma montre. J’ai failli être en retard, ce qui aurait tout fait rater. Heureusement ce n’est pas le cas.

   Je guide Anna jusqu’à ma chambre, puis je lui indique d’aller se cacher dans le grand placard mural. La situation lui rappelle bien sûr quelque chose, aussi ne pipe-t-elle pas mot. J’imagine qu’elle comprend qu’il s’agit d’une partie de sa punition, bien qu’elle ne saisisse pas où cela peut bien nous mener.

 –         Ne fait pas de bruit.

   Elle acquiesce, mais son visage indique bien qu’elle ne comprend pas. N’ayant pas de petit ami, quel mal pourrais-je bien lui faire de cette manière ? semble-t-elle se demander. Elle le saura bien assez tôt.

   Soudain, on frappe à la porte de ma chambre.

   Pile à l’heure !

   Je m’apprête à refermer la porte du placard, mais je jette une dernière pique à Anna avant ça :

 –         J’ai couché avec maman !

   J’ai juste le temps de voir son visage horrifié avant que le battant de bois ne se referme sur elle. Dans la mesure où elle suppose que l’inceste est une des principales barrières qui m’empêchent de la baiser comme elle le réclame, il me plaît de lui montrer que ce n’est pas le cas. Si tout va bien, elle sera d’ailleurs bientôt la seule femme de ma famille avec laquelle je n’ai pas couché ce qui va la rendre folle !

   Je me précipite enfin vers l’entrée et ouvre la porte à mon autre sur, Charlotte, qui entre timidement.

 –         Tu voulais me voir ? demande-t-elle.

 –         Oui, j’aimerais qu’on parle.

   Elle semble un peu effrayée en entrant dans ma chambre, se demandant sans doute sur quoi portera notre conversation. Je sais que je n’ai pas forcément été très sympa avec elle, puisque la dernière fois qu’on s’est vu je lui ai dit que je préférais m’éloigner d’elle et ne plus la voir. Or, puisqu’elle semble m’aimer comme je l’aime, j’imagine que ça n’a pas été simple à entendre.

   Je constate pourtant qu’elle s’est habillée de manière particulière aujourd’hui : elle porte la tenue de l’école, mais la version la plus courte (même si on est encore loin de Léna, qui en a des exemplaires sur mesure). Compte tenu de nos relations ces derniers temps, j’y vois un signe encourageant.

   Charlotte s’assoit sur mon lit, puis elle m’observe d’un regard curieux. Je m’approche alors d’elle à pas lents, puis je m’assieds à mon tour à côté d’elle avant de commencer à parler.

 –         Je ne peux pas me séparer de toi, lui dis-je enfin.

   Je l’enlace alors tendrement, passant une main derrière son dos pour l’attirer contre moi. Elle se laisse faire, se lovant dans mes bras pour un câlin comme nous en faisions souvent avant. Mais beaucoup de choses ont changé depuis.

   Elle ne répond toujours rien, comme rongée par un dialogue intérieur. Je poursuis donc, préférant prendre les devants avant qu’elle ne me repousse.

 –         Je t’aime Charlotte, et je ne peux pas vivre sans toi. Alors je me suis dis qu’on pourrait peut-être s’aimer de manière platonique ?

   C’est totalement hypocrite, bien entendu. Une telle situation, alors que nous sommes amoureux l’un et l’autre, ne peut que déraper tôt ou tard. C’est d’ailleurs bien ce que j’espère.

   Et plutôt tôt que tard.

   Elle me regarde enfin dans les yeux, et je les trouve si beau que je dois me retenir de toutes mes forces pour ne pas l’embrasser. Je sais que trop de hâte ne pourrait être que contre-productif, mais je l’aime tellement que je souffre le martyr en ne lui sautant pas dessus.

 –         Tu crois que ce serait possible ? me demande-t-elle.

   Plutôt que de lui répondre, je plonge mes yeux dans les siens et je m’approche lentement pour l’embrasser. Elle me laisse faire, son regard brûlant du même désir que le mien. Quand nos lèvres se rencontrent enfin, je sais que nos belles intentions de principe vont voler en éclat immédiatement.

   La passion est trop forte, l’amour trop intense.

   Tandis que ma main droite lui caresse les cheveux, l’autre est déjà posée sur ses hanches. Je la glisse sous sa jupe, palpe ses jolies cuisses. Mon Dieu quelles sont douces ! Et Charlotte me laisse faire, manifestement aussi emportée par son désir que moi.

   Enhardi par son absence de réaction, je poursuis sur ma lancée : ma main atteint sa culotte, n’en tient pas compte, vient se poser sur ses fesses. Tout est parfait chez ma sur, mais ses fesses peut-être plus encore que le reste.

   Quoique non, il y a une chose que j’aime d’avantage chez elle, et l’envie de le revoir devient dévorante. Je récupère donc mes deux mains et commence à déboutonner sa chemise pour atteindre le Saint Graal : sa poitrine.

 –         Justin, on ne doit

   Je plonge de nouveau sur ses lèvres pour la faire taire, et ce nouveau baiser arrête immédiatement toute velléité de résistance. Je sais bien qu’elle ne lutte que pour le principe, elle le veut autant que moi. Elle n’est juste pas encore prête à l’admettre.

   Je retire sa chemise rapidement, puis son soutien-gorge. Retrouver cette magnifique paire de seins me met dans un état d’excitation incroyable : je pose alors une main sur l’un d’eux, presque timidement. Je le caresse doucement, du bout des doigts, effleurant à peine le téton de mon index. C’est toutefois suffisant pour que Charlotte soit parcourue d’un frisson de plaisir.

 –         Arrête, me demande-t-elle dans un murmure. Tu as dit qu’on ne ferait pas

   Elle ne termine pas sa phrase, mais ce n’est pas nécessaire. Je sais très bien ce qu’elle veut dire, mais vu son ton extatique et le peu d’ardeur qu’elle met à me repousser, je sais que j’ai déjà gagné.

 –         Chuuut lui dis-je alors, laisse-toi faire, tu vas adorer.

   Elle obéit, alors je continue à caresser ses seins, puis je me penche vers elle pour les lécher avec tendresse. Je commence par déposer sur sa peau de doux baisers, puis ma langue les parcours doucement, jusqu’à se poser sur ses mamelons qu’elle titille avec délicatesse. Charlotte halète déjà de plaisir, apparemment très sensible de la poitrine. Très bien, j’adore ça aussi !

   Je n’y tiens plus, alors j’attrape un de ses seins dans ma main, je le caresse un peu en le pressant dans ma paume, puis je le prends en coupe et je l’approche de nouveau de ma bouche. Je jouis quelques instants de sa texture divine, mélange parfait de douceur et de fermeté, d’une lourdeur et d’une plénitude exquise, orné d’un magnifique téton érigé droit vers mes lèvres.

   L’invitation est trop belle.

   Je m’approche alors, comblant les derniers centimètres qui me séparent de ces merveilleuses mamelles, puis je prends en bouche son téton tout rose. Je la tète avec douceur, avec amour même, tandis qu’elle gémit de nouveau d’un plaisir renouvelé.

 –         Oh Justin lâche-t-elle-même, emportée par l’érotisme de la situation.

   Il y a tellement d’amour du véritable amour dans cette étreinte passionnée, qu’il l’emporte toute entière. Elle pose ses mains sur l’arrière de mon crâne, comme une mère qui voudrait inciter son enfant à boire d’avantage de lait.

 –         Fais-moi l’amour souffle-t-elle.

   Je reste tellement stupéfait que j’en lâche un instant son téton. Je m’attendais à devoir emporter son consentement à la hussarde pour espérer y parvenir, or voici qu’elle prend les devants et me demander carrément de la posséder. Quel délice !

   Je me redresse, la regarde dans les yeux. Je n’ai aucune envie de la faire revenir sur sa décision, mais il s’agit de ma sur, je l’aime, et c’est quand même sa première fois. Je veux qu’elle soit sûre d’elle, qu’elle n’ait pas à le regretter toute sa vie.

 –         Tu tu es sûre ?

   Ses yeux pétillent d’une lueur d’amour et d’érotisme si intense que son acceptation ne fait guère de doute.

 –         Oui, répète-t-elle, plus fort cette fois. Je veux que tu me fasses l’amour.

   Aussi curieux que cela puisse être dans ces circonstances, je prends le temps de me dire que son acceptation prématurée possède un autre avantage : c’est un coup de couteau supplémentaire pour mon autre sur, Anna, qui est encore cachée dans l’armoire et qui n’en perd vraisemblablement pas une miette.

   "Tu vois, tu es la seule de la famille que je n’ai pas encore baisée !" 

   Cette pensée redouble mon plaisir et mon excitation. Mon avenir me semble particulièrement brillant en cet instant : je me vois vivre avec Camille, tout en poursuivant mon histoire avec Charlotte, mon véritable amour. Et je pourrais de temps à autre varier les plaisirs avec ma chère Léna, avec Anna et ses énormes seins et, qui sait, peut-être même avec ma mère, si elle accepte enfin son côté salope qu’elle se donne tellement de mal à refouler ? Les possibilités me semblent infinies.

   Pourtant, ce n’est pas vraiment le moment d’y penser. Charlotte est là, qui me regarde d’un air à la fois amoureux, plein de désir et d’impatience. Ne la faisons pas attendre plus longtemps !

   Je retire alors mes vêtements, avec hâte mais sans quitter ma sur des yeux. Notre amour irradie depuis notre regard, et j’ai l’impression que le briser trop longtemps pourrait casser le charme. Je ne suis pas prêt à prendre le risque !

   Une fois que je suis nu devant elle, mes mains se glissent de nouveau sous sa jupe, puis je retire sa culotte prestement. Je la repousse légèrement en arrière, l’incitant ainsi à s’allonger sur le lit. Elle obéit docilement, et bien que toujours rongée par le désir, elle semble maintenant assez angoissée.

 –         Tu y vas doucement, hein ? me demande-t-elle.

 –         Bien entendu. N’hésite pas à me signaler tout ce qui n’irait pas. Si tu as trop mal et que tu veux qu’on arrête, on arrête immédiatement. D’accord ?

   Elle me fait oui de la tête, et je prie de toutes mes forces pour que ça n’arrive pas. Je crois que je n’ai jamais désiré personne à ce point, je ne sais même pas si je serais réellement capable de m’arrêter une fois que j’aurais commencé !

   Pour le moment, je n’en suis pas encore là : je remonte légèrement sa jupe, jusqu’à contempler sa magnifique petite chatte, que je découvre entièrement épilée. Je ne fais pas de commentaires, mais je ne peux m’empêcher de penser que ce « geste » est pour moi, ce qui tendrait à prouver que mon innocente petite sur ne l’est pas tant que ça. Elle avait bien envisagé la possibilité que je rencontre de nouveau son vagin !

   Je m’allonge alors entre ses jambes, enhardi par la beauté, la fraîcheur et l’innocence de cette vulve que, à priori, je suis le seul jusqu’ici à avoir touché. J’embrasse doucement ses cuisses, que je caresse dans le même temps, puis je remonte lentement entre elles jusqu’à son antre d’amour.

   Je commence par déposer quelques baisers sur ses lèvres entrouvertes, puis ma langue les caresse tendrement. Charlotte gémit déjà, se trémousse même de plaisir. Je retrouve là son incroyable sensibilité sexuelle, que j’avais déjà remarquée la dernière fois. Même pour une novice, c’est tout de même incroyable. 

   Cela ouvre des pensées intéressantes : et si cette hyper-sensibilité n’était pas seulement une conséquence de son inexpérience, mais une réelle caractéristique de sa libido ? Ma petite sur, si sage, pourrait-elle devenir la première des salopes de toute cette école de salopes ? En réagissant ainsi à quelques caresses, qu’en sera-t-il lorsque je lui ferais l’amour ? Aurais-je enfin trouvé une fille capable d’avoir facilement, à chaque coït, plusieurs orgasmes ? Ce serait merveilleux, surtout chez celle que j’aime

   Mais je ne m’égare pas plus longtemps dans les méandres de mes réflexions, préférant me concentrer sur le cunnilingus que je suis en train de lui prodiguer. Je suçote légèrement son clitoris, me concentrant quelques secondes sur lui. Je n’avais prévu que de la préparer un peu à travers cette prestation orale, mais à ma grande surprise elle ne tarde pas à se trémousser en tous sens en gémissant de plaisir. Elle a un orgasme, déjà !

   Bien qu’encore concentré sur ma tâche, je l’observe du coin de l’il. Elle est magnifique en pleine jouissance. Elle n’ose pas exprimer trop fort son plaisir, se mord donc les lèvres pour le dissimuler autant que possible. Elle paraît tellement innocente, même au milieu d’un orgasme !

   Quand elle se calme enfin, j’arrête de lui embrasser le vagin et je viens m’allonger à sa hauteur.

 –         Ça va ?

   Elle me répond par un sourire extatique, épanoui, rehaussé par des larmes de bonheur et de plaisir.

 –         C’était merveilleux, confirme-t-elle. Je n’ai jamais rien connu d’aussi fort !

 –         Et ce n’est pas fini.

   Je l’embrasse sur les lèvres, tendrement, puis je glisse doucement mon sexe tout contre le sien.

 –         Tu veux toujours ?

   Elle fait oui de la tête. Malgré son orgasme, elle semble avoir toujours autant envie que nous fassions l’amour. Merveilleux.

   Je commence alors à m’introduire en elle, lentement, sans la quitter des yeux. Elle a un léger mouvement de crispation lorsque je franchis son hymen, mais il passe très vite. La progression de mon sexe dans son vagin si étroit est fantastique, sans doute est-ce la meilleure de ma vie. Surtout que je suis en train de dépuceler ma petite sur !

   Lorsque mon sexe est enfin enfoncé jusqu’à la garde, je commence à entament lentement un mouvement de va-et-vient. Charlotte soupire de plaisir, elle semble beaucoup apprécier sa première fois. Et elle est manifestement aussi sensible du vagin qu’elle l’est de la poitrine ou du clitoris. C’est fou, je ne crois pas avoir déjà rencontré une fille aussi réceptive, même Léna. Et que ce soit ma prude de petite sur est aussi étonnant queplaisant !

   Nos lèvres se rencontrent de nouveau et nous nous embrassons avec passion, avec ardeur même. Comme si nous devions rattraper toutes ces années d’attirance et de désir caché.

 –         Je t’aime Justin, parvient tout de même à glisser Charlotte, avant que nos langues ne se retrouvent pour se caresser mutuellement.

 –         Je t’aime aussi Charlotte, je t’aime tellement !

   Notre étreinte se ressert tandis que nos mouvements s’accélèrent et deviennent plus intenses. Oui j’aime Charlotte, vraiment. Jamais je n’ai ressenti ce que je ressens actuellement. Jamais le sexe n’avait à ce point été connecté à l’amour. Le fait qu’elle soit ma sur, ma jumelle, ne gâche rien, au contraire. Je ne l’aime que plus. Nous sommes fais pour être ensemble, fait pour nous retrouver. C’est comme si rien n’était plus naturel que notre communion, nous qui avons grandi ensemble dans le ventre de notre mère.

   Dévoré par le désir, j’attrape un de ses seins et le malaxe plus fermement, sentant venir l’orgasme. Je sais que je ne tiendrais plus très longtemps en elle, aussi suis-je rassuré et heureux de la voir également agripper les draps, tandis que sa main derrière mon crâne se sert spasmodiquement. 

 –         Oh Justin ! gémit-elle.

   Son corps se soulève, s’agite en tous sens, un deuxième orgasme vient la foudroyer. Elle murmure mon nom, se pince les lèvres pour ne pas crier, elle en pleure même de bonheur. La voir ainsi est fabuleux, et mon sexe délicieusement comprimé dans son vagin qui se contracte demande grâce.

   Je me vide en elle avec une intensité que je n’ai encore jamais connue. Mon éjaculation est si puissante et abondante qu’elle me fait presque mal. L’idée que chacun de mes spermatozoïdes lutte désespérément pour être le premier à féconder ma sur me semble très concrète, tant mon sperme semble pressé de sortir. Les jets de ma semence qui inondent le ventre de ma sur ne paraissent jamais devoir se terminer.

   Lorsque, pourtant, ce moment de grâce se termine enfin, il n’est pas suivi d’un brutal retour à la réalité, comme la dernière fois. Ou plutôt si, mais cette réalité n’intimide plus ni ma sur, ni moi. Nous savons ce que nous faisons, nous acceptons ce que nous avons fait. Nous le voulons.

 –         Je t’aime Justin, répète Charlotte en riant de plaisir, au milieu des larmes de bonheur qui s’attardent encore sur son visage.

 –         Je t’aime Charlotte.

   Je me retire alors doucement d’elle, puis j’ai la présence d’esprit de mettre rapidement ma main en coupe le long de sa cuisse pour récolter le plus gros de ma semence qui s’échappe de son vagin.

   Charlotte le remarque à peine.

 –         Je vais aller me changer, dit-elle seulement.

   Elle a manifestement besoin d’être seule un moment, mais ça ne m’inquiète pas plus que ça et ça ne m’étonne encore moins. La situation a beau être clarifiée, elle n’en reste pas moins compliquée. Et de toute façon, ça m’arrange.

   Elle se rhabille donc hâtivement, puis elle quitte la chambre en m’embrassant encore une fois et en me glissant un dernier « je t’aime » qui fait toujours autant bondir mon cur dans ma poitrine.

   Dès que je suis sûr qu’elle est partie, je me dirige vers le placard dans lequel se trouve toujours mon autre sur, puis je la libère enfin. Elle semble choquée, jalouse, et sans doute une foule d’autres choses encore. Mais je n’en tiens pas compte, c’est moi le maître désormais.

 –         Ok, tu as gagné, me dit-elle. Tu as couché avec toutes les femmes de la famille, c’est toi le maître. Maintenant on pourrait passer à l’étape suivante, celle où tu me baises ?

 –         On y viendra, mais en attendant je t’ai gardé quelque chose.

   Elle fronce les sourcils, curieuse. Je lui tends alors ma main, dans laquelle se trouve toujours mon sperme.

 –         Prouve-moi que je suis bien ton maître, et que tu m’es soumise : voici ma semence, qui sort du vagin de ta propre sur. Bois-tout, n’en laisse pas une goutte.

   Elle hésite, l’idée lui répugne visiblement. Mais elle se reprend vite, trop désireuse de goutter à ma bite pour faire la difficile. Elle attrape alors ma main et avale goulûment ce qui s’y trouve. Dès que c’est fait, elle la lèche encore avec ardeur, comme si elle voulait désespérément ingurgiter jusqu’à la dernière goutte. La voir ainsi soumise, rabaissée au rang d’objet soumis au moindre de mes caprices me comble de joie.

 –         Tu es une bonne petite salope.

   Elle me sourit, apparemment heureuse de ce qualificatif.

 –         On baisera quand ? me demande-t-elle.

   Ma parole, c’est une obsession ! Mais je suis bien décidé à profiter jusqu’au bout de mon ascendant sur elle (ainsi qu’à me venger de ce qu’elle m’a fait subir), aussi je tourne les talons et m’apprête à quitter la chambre. Ce n’est qu’une fois sur le seuil que je m’arrête et lui réponds enfin.

 –         On verra !

   Puis je quitte la chambre.

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