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L'éveil de Lana – 1ère – Chapitre 2

L'éveil de Lana - 1ère - Chapitre 2



Et il ne fallut que 24 heures pour qu’un SMS arrive sur le téléphone :

Ce soir…… sois prête ; d’ici 1h, je passe te chercher.

Elle sauta de son lit, où elle était allongée pour filer sous la douche, en sortit rapidement, et se retrouva vite prête, enfilant ses dessous, un Jean, et un petit haut.

Il avait dit une heure, mais elle savait déjà qu’il pouvait volontairement arriver en retard pour faire piétiner son impatience.

Et en effet, après deux heures, son portable vibra pour annoncer son arrivée. Elle fila rapidement le rejoindre dans sa voiture qui démarra aussitôt. Pendant quelques kilomètres et d’interminables minutes, le silence s’imposa. Puis elle osa :

Où va-t-on ?

Hmm….. hmmm…..

Allez, je pourrai avoir un indice.

Alors, je vais te donner quelques indications. Les premiers petits jeux, vraiment très petits, me font comprendre une chose : tu es prête à respecter les règles ; tu es prête à t’abandonner vraiment. J’en suis super fier, et très heureux. Mais nous ne sommes qu’à un tout début, et le chemin va être encore long, et tu verras, c’est très plaisant. Je ne pense pas encore que tu sois prête à ce que nous soyons « humanisés ». Ce que je veux dire, c’est que tu vas apprendre à libérer tout le côté sauvage, primal, animal qui existe en nous ; et qui doit être la base de la recherche du plaisir. Il faut que je te fasse découvrir, et surtout te faire ressentir ces instants. Ça va être toujours plaisant. Mais surtout, surtout, c’est que chaque fois que nous irons dans nos rapports, c’est instinctivement à l’état sauvage que tu devras t’abandonner.

Hhmmm… Je crois pas avoir tout compris, tu sais.

Je m’en doute. Il est difficile d’expliquer. Mais ne change rien à ta façon d’être ; et tu ressentiras.

Les kilomètres défilaient, lorsqu’il tourna sur un chemin plus étroit, et au bout de quelques centaines de mètres, il stoppa la voiture, éteint le contact. D’une main, les ceintures furent enlevées, et il fit signe de descendre. Le silence était revenu entre eux. Il avait repris son rôle, et elle aussi.

Il faisait nuit noire, sans lune. Elle était comme portant un bandeau. Il lui prit la main, et ils partirent dans le sous-bois adjacent. Quelques pas seulement. Il s’arrêta et se retourna brusquement, il l’attrapa par la taille et la plaqua contre lui, l’embrassa. Elle ne résista pas. La rapidité des mouvements ne lui laissa pas le temps à son esprit de comprendre. Le contact des lèvres contre les siennes, sa langue en entrant dans sa bouche la calma, et la chaleur l’envahit.

En s’écartant, il lui indiqua ne pas avoir beaucoup de temps. Et il lui fit descendre son pantalon et sa culotte sur les chevilles, elle s’accroupit les cuisses grandes écartées. Son sexe étant déjà brûlant. Il se baissa, recommença à l’embrasser goulûment, poussant profondément sa langue dans sa bouche. Une main vint se poser sur son sexe et il commença à le frotter, ses doigts la pénétrant de temps en temps. Elle coulait entre ses cuisses, elle commençait maintenant à pousser de légers gémissements. Il se releva, ouvrit son pantalon, et sortit de son boxer son sexe qui, déjà, était gonflé, en érection.

Avant qu’elle puisse se relever, il s’était placé devant sa bouche, et présenta son sexe. Elle n’avait jamais pris un homme dans sa bouche. Elle leva les yeux vers lui, et vit de simples hochements de tête pour lui ordonner. Il avait pris son sexe de sa main, et maintenant, son gland était sur les lèvres de sa bouche. De son autre main, il la posa sur la tête de la jeune femme, et la rapprocha de son sexe.

Elle n’avait plus le choix, et ouvrit légèrement sa bouche, et se trouva avec le sexe de l’homme entrant dans sa bouche, glissant sur sa langue. Il semblait si impressionnant qu’elle sentit une peur monter en elle.

Maintenant, il avait les deux mains posées sur la tête de la jeune femme ; et l’empêchaient ainsi de reculer trop en arrière. Il la laissait libre de ses va-et-vient. Elle commençait à prendre enfin la forme la taille, et le goût en bouche. Elle commençait à venir faire bouger sa langue autour de ce pénis, et la tête venait en avant et en arrière pour lui permettre de passer en chaque endroit du sexe.

Elle allait ainsi plus prestement, et un peu plus profondément.

Les deux mains de l’homme sur la tête se firent un peu plus fort et l’obligèrent à prendre plus profondément le sexe en bouche. Elle sentit celui-ci entrer jusqu’au fond de la bouche. Soudain, il bloqua sa tête, et s’immobilisa. Et lentement, sans s’arrêter, il poussa son membre jusqu’au fond. Elle se sentit comme étranglée, et malgré son envie, elle ne pouvait reculer. Elle était bloquée. L’homme se recula, et avança toujours aussi loin, et toujours aussi fort, comme pour être sûr d’être dans sa bouche au maximum. Ses mouvements devenaient ainsi de plus en plus rapides, de plus en plus forts, de plus en plus loin. Elle se convulsait maintenant à chaque coup de boutoir du sexe. Elle sentait le gland qui passait bien au-delà de sa gorge. Il restait de plus en plus longtemps au plus profond de sa bouche, elle en suffoquait de plus en plus. Cela lui rendit les yeux humides, et malgré tout, elle se sentait excitée, une chaleur dans le bas-ventre, son sexe humide.

Soudain, il s’arrêta au fond de sa gorge, et éjacula. Il lui tenait la tête ; elle crut s’étouffer en sentant ce liquide chaud se projeter fortement en elle. Elle se mit à tousser, et il se retira, elle bascula sur les genoux en avant, toussant, crachant.

Allez, viens, on s’en va.

Elle releva la tête, et le vit déjà habillé et s’installant au volant de la voiture. Elle se releva rapidement et fila vite s’installer dans la voiture. Elle n’avait pas eu le temps de se rhabiller correctement.

La voiture s’élançait déjà. Elle allait avoir le temps de remettre correctement ses vêtements, avec le trajet un peu long qui les attendait.

Reste nue, et écarte un peu tes jambes…

Elle obéissait. Il posa sa main sur son entrejambe et commença à la caresser, faisant glisser son majeur entre les lèvres de son sexe complètement mouillé, et remontant jusqu’à son clitoris. Les jambes tremblantes, elle soupirait dès que le doigt remontait jusqu’en haut.

Il s’arrêta et enleva sa main :

Je dois conduire, continue toute seule…

Elle hésita un instant, et le fixa. Mais sa main droite descendit sur son sexe, et elle commença à se caresser, écartant ses lèvres ; sentant sa mouille lui couler lentement sur les doigts, elle commençait à se pénétrer de son majeur, et elle remonta sur son clitoris, et continua à se caresser. Elle se mit à soupirer de plus en fort vite, et de plus en plus vite.

A quelques petits kilomètres de l’arrivée, elle se contracta, plus fort, et sa respiration s’arrêta, afin d’expirer dans un cri plus intense, la force du plaisir qu’elle venait de se donner.

Elle se détendit, et s’habilla rapidement, avant d’être embrassée et de descendre de voiture : ils venaient d’arriver. La voiture redémarra aussitôt. Elle fila se coucher directement, épuisée.

Le lendemain, un SMS arriva dans la matinée :

Tu as été très cool hier… Je passe te récupérer à 13h. Kiss.

A 13 heures, il était là, et elle grimpa directement dans la voiture.

Elle se sentait bien, une sortie en milieu d’après-midi ne lui déplaisait pas.

Aujourd’hui, ça va être très tranquille, vu la soirée d’hier, tu vas avoir droit à de la détente… »

C’est quoi ?

Je vais te déposer dans un salon esthétique où tu as rendez-vous, et ils vont s’occuper de toi.

C’est vrai ?

Oui, je t’ai fait préparer un super petit programme : coiffure, ongles, massage, épilation, massage. Je reviendrai te chercher à 19 heures.

Jusqu’à la fermeture ???

Oui !

Elle se relâcha complètement, sachant qu’elle n’avait plus qu’à se laisser guider pour suivre le programme qu’il lui avait préparé.

Arrivé devant le salon, il la déposa et repartit aussitôt, en lui glissant un léger baiser dans le cou.

Elle entra dans le salon, et une jolie jeune femme brune arriva devant elle :

Bonjour, je suis Julie. Suivez-moi, on va commencer à vous mettre à l’aise, en enfilant un peignoir, et on commencera par la coiffure. Je vais rester avec vous tout cet après-midi.

Julie était de sa taille, des yeux bleu très clair, une peau très blanche et une poitrine énorme. Elle avait 23 ans.

Elle se retrouva quelques minutes plus tard, juste vêtue dun petit peignoir, les yeux fermés, sur le bac à shampoing.

Les étapes du programme s’enchaînèrent. Une légère coupe rafraîchissante ; puis elle se retrouva nue, sur une table, avec la femme hôte qui la massa de partout, longuement, pendant qu’une autre femme s’occupa de ses ongles. Un moment d’abandon total et reposant.

Ce fut au tour du sauna pendant quelques minutes, avant de retourner sur la table pour une séance de soins corporels. Et elle continua une séance plus douloureuse d’épilation qui fut intégrale. Son sexe fut aussi complètement épilé. Et cette fois, le massage qui était prévu fut plus troublant quand la jeune Julie passa vers ses parties intimes.

Peu avant 19 heures, Arthur entra dans le salon, et se dirigea directement dans la salle où il retrouva les deux jeunes femmes pendant ce dernier massage.

Bonsoir, je viens voir de près les résultats.

La jeune femme hôte s’écarta.

Il commença à faire le tour de sa partenaire qui s’était légèrement relevée, nue sur la table de massage. Il fit glisser ses doigts sur sa peau, passa de partout, s’arrêta parfois sur un doigt, regardant un ongle, frôlant une cuisse, dessinant le contour des sourcils, passant la main dans les cheveux.

Tourne-toi, s’il te plaît.

Lana s’exécuta aussitôt

Et il recommença le contour de ses doigts, de ses mains. Il passa ses doigts, à l’intérieur de ses fesses, et s’arrêta sur sa rosace, il la caressa un instant, et puis reprit ses frôlements. D’un geste, il fit retourner une fois de plus. Il lui fit écarter les cuisses, et remonter les genoux.

La jeune masseuse était toujours là, sur le côté. Lana se sentit rougir de sa présence.

Arthur en faisait abstraction, et continua de faire promener ses doigts sur la douceur de la peau.

Les lèvres du sexe de Lana commençaient à s’écarter, et son sexe devenait humide. Arthur s’arrêta :

, dites-moi, vous, vous pouvez regarder et touchez pour voir si notre jeune cliente ne serait pas en train de mouiller d’excitation ?

La jeune masseuse s’approcha de la table, ce qui fit crisper Lana, qui ne savait comment réagir. Elle n’osa pas bouger, elle avait peur de la réaction d’Arthur.

Julie tendit la main, et fit passer lentement, mais fortement les doigts sur le sexe de Lana qui s’ouvrit cette fois totalement. Il devint brillant de mouille. Elle retira ses doigts :

Oui Monsieur ; la jeune cliente est très fortement excitée.

Merci, Mademoiselle, faites donc lécher vos doigts mouillés à ma jeune amie. Finalement, cela lui appartient.

Lana se retrouva avec les doigts de la masseuse dans la bouche, et elle n’hésita pas à les lécher et aspirer toute sa propre mouille. Elle entendit en même temps Arthur dire :

Lana, ma petite, tu ne devrais pas rester dans cet état, et tu devrais te caresser et te masturber une bonne fois, en même temps.

Elle savait et connaissait, et elle mit immédiatement sa main sur son sexe, et enfila rapidement un doigt dans son sexe, et fit rapidement de grands mouvements de poignets, frottant son clitoris, en même temps. Elle se mit vite à trembler et gémir ; et rapidement, elle prit plaisir en se contractant. Sa forte excitation était trop forte. Les sensations avaient été accentuées par ce sexe nu. Elle se redressa, et ne vit plus que la masseuse qui patientait :

Votre ami est sorti, il vous attend devant la boutique. Allez prendre une douche, il a laissé la consigne vestimentaire.

Lana se leva, fila sous la douche qui la détendit complètement, et retrouva la masseuse qui lui tendit une simple robe :

C’est tout ?

Oui ; et la paire de chaussures ; pas de dessous, il a prévenu.

La robe et les chaussures enfilées, Lana sortit de la boutique, et retrouva Arthur qui l’attendait :

Alors ? Comment te sens-tu ? Détendue ? Pas trop fatiguée ?

Non, je me sens toute fraîche et reposée, répondit Lana avec sourire.

Parfait ; et tant mieux, j’ai encore quelques activités au programme…

Ah oui ! Et quoi donc ?

Déjà…… on va manger.

Yesss…… j’ai faim.

Ils se retrouvèrent ainsi dans un petit restaurant, d’une quinzaine de tables, pratiquement toutes rapidement occupées. Quelques couples, quelques groupes d’amis, ou de collègues composaient la clientèle. Deux serveuses pour parfaire le simple décor.

Un menu à la carte fut rapidement commandé, ainsi qu’une bouteille de vin. Soudain, Arthur annonça :

Tu sais, Lana, tu es magnifique, resplendissante, et comme une fierté malsaine d’accord que de pouvoir être avec ta compagnie ! Mais cette fierté est aussi contraignante.

Ah bon, pourquoi ?

Par exemple, tu vois les serveuses qui arrivent en face de toi, à chaque fois qu’elles reviennent de la cuisine ?

Oui ? !! fut étonnée Lana.

Eh bien, je veux que tu fasses remonter ta robe et que tu écartes les cuisses, qu’elles puissent admirer ta beauté au maximum, répondit Arthur avec un petit sourire.

Je vais me rendre aux toilettes, et je verrai ainsi quelle sera leur vision.

Arthur se leva et fila rapidement dans un bref aller-retour dans les toilettes. En sortant, il mit un temps d’arrêt, et observa sa jeune amie. Lana était redressée sur sa chaise, la robe avait remonté à mi-cuisse, et les jambes étaient écartées. Le sexe doux de la jeune femme était visible par tout cet angle du restaurant.

Arthur revint s’asseoir :

Parfait, mais il ne faut pas bouger.

D’accord.

Les premiers plats arrivèrent, et une des deux serveuses eut un sourire plus appuyé à l’attention de Lana.

Elle a vu… déclara Arthur.

Au deuxième sourire de la serveuse, Arthur décida qu’il fallait qu’elle profite pleinement, et demanda à Lana de passer ses doigts entre les lèvres de son sexe et de s’assurer que la serveuse le verrait.

Lana s’appliqua ainsi à préparer les passages des serveuses en cuisine, pour passer ses doigts sur son sexe. Les quelques essais qui furent ratés mirent Lana en mouille. Elle avait du mal à ne pas bouger, et au prix d’une grande concentration, elle réussit à se faire voir des deux serveuses qui passèrent le reste du repas avec des regards plus appuyés et pétillants à l’attention de la jeune Lana.

Arthur et Lana finirent leur repas, amusés de la situation. Lana réussit à surmonter sa gêne, aidée par les quelques verres de vin.

Ils sortirent et Arthur déclara que la soirée devait se finir chez Stéphanie.

…/…

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