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Ma Confession – Chapitre 1

Ma Confession - Chapitre 1



Je me souviens de cette soirée, le soir où tout a changé entre nous, comme si c’était hier. À l’époque, je vivais seul dans un petit appartement, dans une petite ville et je menais ma petite vie tranquillement, sans histoires. J’étais redevenu célibataire suite à la séparation d’avec mon ex-femme, après 17 ans d’un mariage devenu fantomatique sur les dernières années. Nous nous étions mariés très jeunes, à 21 ans je crois, suite à l’arrivée d’un bébé lui aussi venu très vite. Ma femme Mon EX-femme m’a quitté pour suivre un autre homme quelque part dans le sud et, même si j’ai souffert de la séparation, j’ai vécu tout ceci avec une sorte de soulagement. Le plus dur pour moi, ç’a été le fait qu’elle emmène notre fille avec elle, l’éloignant de moi et me meurtrissant le cur d’avantage.

Allie, c’est ma fille et je l’adore. Reliquat d’un mariage empli d’amour, je vois parfois en elle ce qui m’avait fait aimer sa mère à l’époque. Malheureusement, je ne la vois que trop peu souvent à mon goût, et uniquement pendant les vacances scolaires, afin de ne pas perturber le programme de sa despote de mère. Cette situation me désespère mais je m’en accommode en me disant qu’à chaque fois que je revois mon Allie, nos retrouvailles n’en sont que plus appréciées et chaleureuses.

Du haut de ses 18 ans, Allie est une gentille fille. Malicieuse et toujours souriante, elle a toujours le don de me mettre de bonne humeur. J’ajouterai que, en parallèle de son naturel rieur, Allie fait preuve d’une naïveté somme toute assez attendrissante. De nombreuses fois elle m’a surpris en se montrant des plus ingénues. Elle est celle que j’aime taquiner en l’appelant «petite lapine», à cause de ses dents quand elle était petite. De l’humour de papa, je suppose. Ça la fait moyennement rigoler depuis qu’elle porte un appareil dentaire, mais je ne peux m’en empêcher. Et même si je la vois grandir, je ne peux m’éviter de la surprotéger. J’ai beau savoir qu’elle partira pour faire sa vie un jour, elle reste pour l’instant ma princesse, mon trésor.

Pour vous la décrire un peu, Allie est plutôt petite, 1m65 je dirais. Elle a de longs cheveux châtains ondulés, parsemés de mèches blondes. Son visage jovial est toujours affublé d’un grand sourire. Et quand elle sourit, son petit nez mutin se retrousse et ses grands yeux marrons en amande se plissent, ce qui accentue son air espiègle. Sans vouloir me vanter, elle est plutôt jolie, ma fille. À mon grand regret, je dois reconnaître qu’elle n’est plus la petite Allie que je portais dans son lit lorsqu’elle s’endormait sur le canapé, et qu’elle est déjà devenue un vrai petit bout de femme. Rien ne dure éternellement, on le sait tous.

Ce qui m’amène à vous parler de cette terrible soirée où tout a changé. C’était un vendredi de novembre, il me semble. Allie était chez moi pour ses vacances, depuis une semaine déjà. Je me rappelle qu’il avait neigé ce jour-là. Les premières neiges de novembre, où le froid dehors est mordant et où l’on est content d’être blotti chez soi, comme emmitouflé dans un cocon de chaleur.

Allie avait proposé une soirée film à la maison, vu qu’il faisait trop froid pour marcher jusqu’au cinéma. J’avais accepté volontiers, tout heureux que j’étais de pouvoir passer du temps avec ma fille. Mais je lui avais fait promettre de lâcher son portable pour la soirée, elle qui passait son temps dessus, telle une sangsue sur une plaie fraîche. Elle a accepté à condition de pouvoir choisir le film. Et comme je suis un papa bienveillant, j’ai cédé, tout en sachant quel sort rempli de mièvrerie hollywoodienne m’attendait.

Allie a insisté pour que nous regardions le film en pyjama, nostalgique qu’elle devait être de son enfance qui commençait tout juste à s’évanouir. Et c’est vêtus de nos plus beaux atours que nous nous sommes installés sur le canapé, devant un film dont j’ai tout oublié ou presque. Je sirotais un whisky, petit plaisir coupable, et Allie s’était préparé un chocolat chaud avec une quantité monstrueuse de chantilly.

Elle a posé sa tête sur mes cuisses, histoire que je lui serve d’oreiller pour regarder son film. Elle adorait déjà faire ça étant petite. Ce souvenir me tirait un sourire pendant que je regardais celle qui était en ce moment installée sur moi. Mon regard a glissé et j’ai basculé. Intérieurement.

Ma fille portait ce soir-là un pyjama rose en coton, dont le haut se boutonnait comme une chemise. Et à cet instant, mon regard a accroché quelque chose. Je n’ai pas compris tout de suite, mais c’était là. Son haut de pyjama s’était déboutonné et m’offrait une vue imprenable sur un de ses seins. Et j’ai essayé de détourner le regard, sans y parvenir, me contentant de me délecter du spectacle de ce petit sein blanc surmonté d’une délicieuse aréole rose. Je ne saurais dire si c’était l’action des radiateurs, du whisky ou de ce que je voyais, mais une chaleur entêtante m’envahissait tout à coup.

Allie bougeait parfois légèrement et je ne voyais plus que le coton du pyjama frottant doucement son téton déjà fièrement dressé. J’ai bien essayé de penser à autre chose mais telle une obsession, on finit toujours par s’y plonger de nouveau. À ce moment-là, j’ai senti que mon membre se gonflait dans mon bas de pyjama. J’ai paniqué : « Mon dieu, je bande juste à côté de sa tête ! S’il vous plaît, faites qu’elle ne s’en aperçoive pas ! ».

« Papa ? »

Mon cur ne bat plus. La honte m’étreint dans son étau et je ne sais plus que faire. Je bredouille.

« Ou oui ? »

Elle s’en est aperçu et va probablement me tuer.

« Maman te manque parfois ? »

« Euh oui, p-parfois »

J’ai du mal à rester calme. Je transpire un peu.

« Et tu te sens seul ? »

« Oui, un p-peu. Mais quand tu es là, tout va mieux. » parvins-je à répondre en esquissant un sourire faiblard.

Je me détends un peu, je pense qu’elle n’a rien remarqué. Comment le pourrait-elle d’ailleurs, puisqu’elle regarde dans l’autre direction, vers la télévision ?

« Oooh papounet ! T’es trop chou ! Tu mérites un câlin. »

Et sans que j’ai n’ai eu le temps de faire un mouvement, la voilà qui se redresse d’un bond sur le canapé, s’assoit à califourchon sur moi et m’enlace tendrement. Je sens ses seins se presser sur mon torse et je pourrais même jurer sentir le contact de ses tétons à travers le tissu de nos pyjamas. Et le pire de tout, c’est que son bas-ventre appuie contre le mien, ce qui a pour réflexe de durcir encore plus mon érection.

Je me maudis de trouver la situation si excitante et j’essaie de me calmer. C’est ma fille bon dieu ! Je ne suis pas censé la trouver si attirante. Mon sexe, lui, ne voit plus que la femme qu’elle est et m’envoie des signaux contraires. Si seulement elle pouvait arrêter de gigoter sur mon membre, ça aiderait.

« Papa ? Tu vas bien ? »

« Hum Oui, pourquoi tu demandes ça ? »

« Ben Tu es tout bizarre et je crois que». Elle baisse un peu la voix. « Je crois que tu bandes »

Merde. Ça a fini par arriver. Le temps s’arrête. Mon cerveau s’embrouille. Je la vois qui m’observe de ses yeux d’habitude si jolis et qui sont en cet instant si interrogatifs. Je me force à répondre.

« Je euh oui. C’est vrai. Mais c’est parce que je suis seul depuis longtemps et que tu es une jeune femme très attirante. Et puis je »

« Montre-moi. » me coupe-t-elle.

« Qu quoi ? »

« Oui, montre-moi » me lâche-t-elle en arborant un sourire.

« Tu veux ». Je suis estomaqué. « Tu veux voir mon sexe ? »

« Oui allez s’il te plaît papa ! Je n’en ai jamais vu un qui bande. »

Je reste interdit, ne sachant que faire. Allie me presse de ses yeux suppliants. Ma fille veut voir ma bite.

« Mais Allie, je suis ton père. C’est c’est malsain ! » réponds-je, tout en étreignant l’hypocrisie de celui qui a eu une érection en matant sa fille quelques minutes auparavant.

« S’il te plaît. Je dois voir.»

Elle s’enlève de moi pour s’asseoir à mes côtés. Elle se tourne un peu dans ma direction, sa main s’approche et tire légèrement sur l’élastique de mon bas de pyjama. Je retiens mon souffle. Ses yeux sont plongés droit dans les miens. Je soupire. Lentement, elle baisse mon pantalon, dévoilant à son regard mon sexe au garde à vous.

Allie s’approche un peu, l’observe. Je trouve la situation gênante et j’essaie de briser ce silence oppressant.

« Alors qu’est-ce-que tu en dis ? »

« C’est ça a l’air si gonflé et je sais pas, raide »

«  ». Je soupire à nouveau.

«  mais c’est joli. Et plus je le regarde, plus je »

« Oui Allie ? »

« J’ai un peu chaud. »

Allie me jette un regard à nouveau.

« Je peux le toucher ? Ça a l’air tellement oui, gonflé c’est le bon mot. »

« Allie, tu ne dev »

Sans attendre mon accord, sa main attrape mon sexe. J’ai un spasme, mon cur bat la chamade, ma queue se raidit encore plus. Cela faisait longtemps qu’on ne m’avait pas touché à cet endroit. Allie serre sa main, et naturellement sans le vouloir, applique un léger mouvement de bas en haut et inversement. Elle ne doit pas savoir que ça m’excite davantage. Les signaux de l’interdit clignotent ardemment dans mon cerveau, je les ignore consciencieusement. Ma fille est en train de me branler et j’aime ça. Plus rien n’a d’importance.

« J’aime bien ça » me lance-t-elle. « C’est tout chaud et ça palpite dans ma main. Et je sens que ça m’excite un peu »

« Vraiment ? »

« Oui papa C’est moi qui te fais cet effet-là ? ». Ses joues rosissent un peu.

« Hum. Oui ma petite lapine ». Je lui lance un sourire qu’elle me rend, malicieuse comme toujours. « C’est parce que j’ai vu un de tes seins tout à l’heure et c’est arrivé. »

« Oh. Moi je les trouve trop petits, ils peuvent pas être excitants ! »

Si elle savait comme elle se trompe. Sa main droite est toujours en train de me caresser, sa main gauche se dirige vers ses boutons de pyjama. Elle en défait un. Puis deux. Puis tous. La situation n’est plus du tout sous contrôle.

« Tu veux les voir mieux, papa ? Comme ça on saura s’ils sont assez bien pour un homme, hihi ».

« Oh Allie oui, tu peux me les montrer même si on ne devrait pas ». J’essaie encore de justifier quelque chose, mais le fait est que je ne réfléchis plus tellement.

Elle écarte les pans de son haut, et l’enlève. Me dévoilant une poitrine menue mais fièrement dressée. Enfin, pas si menue que ça, ses seins sont d’une taille très correcte pour son âge. Je n’ai plus qu’une envie, c’est de les toucher. Mais je me contiens.

« Ma petite Allie, ils sont très bien tes seins, moi je les adore ! »

« Merci p’pa, c’est gentil pour mes nichons ! »

Ces quelques mots ont l’effet de m’exciter encore. Allie a dû sentir mon sexe se secouer d’un spasme et elle serre sa main plus fort. Elle doit sentir que j’aime ça et décide de me branler plus vite. J’ai chaud. J’ai envie d’elle.

Je la laisse me caresser encore quelques temps. On devrait s’arrêter avant qu’il ne soit trop tard. Mais je sais au fond de moi que c’est déjà le cas. Et, sans même y penser, je me relève du canapé et enlève mon pyjama. Je me retourne vers ma fille, toujours assise en bordure de canapé. Mon érection, désormais monstrueuse, se balance à quelques centimètres de son visage. Je peux sentir son souffle chaud caresser doucement mon gland pointé vers elle.

Allie me lance son regard de petite biche timide qui me fait fondre à chaque fois. Sauf que cette fois, je ne fonds pas, je bande pour elle.

Sa bouche s’entrouvre légèrement. Je vois sa petite langue rose luisante chercher à sortir. Elle veut goûter mon sexe mais n’ose pas.

« Suce-moi. » lui lancé-je. Quel genre de père je serais si je n’abusais pas de temps en temps de mon autorité ?

« Je Oui papa. J’en avais envie mais je savais pas si je saurais faire. Et puis, je sais même pas si ça va rentrer dans ma bouche »

« Allie, tais-toi, essaie, tu verras si tu aimes ça. »

« D’accord ! Hi ! ». L’ingénue, le retour.

Jeune fille attentionnée à l’égard de son père, elle me sourit, me fait un clin d’il et dépose un petit baiser sur mon gland. Puis elle ouvre sa bouche et avale ma bite goulûment. J’ai les jambes qui défaillent un peu quand je sens la chaleur de sa bouche recouvrir mon sexe comme un écrin satiné. Sa tête fait de lents mouvements de va-et-vient, elle trouve rapidement la technique. Oh Allie

Sa langue me parcourt avec amour et passion, me lèche, explore mon intimité. Je l’entends soupirer. Je crois qu’elle aime ça. Je m’entends prononcer une phrase venue des tréfonds de mon inconscient perverti :

« Alors ? Tu aimes la queue de ton papa ? »

Ce qu’il me restait de honte et de retenue s’est envolé à ce moment là. Les abîmes du plaisir avaient ouvert leurs portes et m’avaient englouti tout entier.

Et Allie. Mon Allie. Qui hoche doucement la tête, et au travers de mon pieu planté entre ses lèvres j’entends sa petite voix :

« Hon hon Voui aime ça »

Et à la liste des qualités que ma fille adorée possède, j’ajouterai que, oui, elle suce très bien. Normal, me direz-vous, avec des lèvres aussi douces et charnues.

Mon sexe est tendu comme jamais. Allie me fait un bien fou et je sens que je pourrais jouir à cet instant, dans sa bouche humide. Ce serait l’extase.

Je contemple ma fille, sa chevelure ondulée, ses grains de beauté éparpillés sur sa peau si douce, ses tétons qui dardent au possible. Elle est si belle. Et mon regard de père se pose sur son entrejambe. Elle porte toujours son bas de pyjama et je remarque qu’une auréole humide s’est formée au travers du coton. La petite coquine mouille outrageusement !

Je ne pensais pas qu’elle pouvait m’exciter encore plus, mais si. Mon sexe tumescent qui va-et-vient dans sa bouche est sur le point d’exploser tant il est gonflé de désir. Et ça me fait d’autant plaisir de voir qu’elle aime me sucer. Je crois qu’il est temps de pousser l’audace et d’aller voir les secrets d’Allie.

J’ai du mal à retirer mon sexe de sa bouche, tant elle le dévore avec fougue et ardeur. J’y parviens et l’entends pousser un soupir brûlant. Elle passe langoureusement sa langue sur ses lèvres, comme pour goûter encore une fois cet attribut maintenant retiré de son emprise buccale, et me dit :

« Oh papa C’était si bon et tout chaud dans ma bouche. J’aime bien ça, te sucer. Mais ça va ? J’ai réussi ? J’ai fait comme il faut ? »

« Bien sûr, c’était très bien ! Ma petite lapine aime bien les carottes apparemment ».

« Hihi oui ! ». Elle rit avec joie et ne semble pas être gênée par ce qu’il vient de se passer. « Mais maintenant, mon pyjama est tout mouillé, je pensais pas que ça me plairait autant. »

Je l’aide à se mettre debout et lui dis :

« C’est pas grave, on va l’enlever ce pyjama. À moins que ça te gêne de te mettre toute nue devant ton vieux père ? »

« Hum Un peu. Et si tu me trouves pas belle ? »

« Allie, voyons ! Regarde-toi, tu es la plus belle chose que cette terre ait porté ! »

« Bon d’accord, j’enlève mon pyjama mais t’as pas intérêt à t’moquer ! »

Par réflexe de pudeur, elle se retourne et commence à baisser son pantalon, qui finit par tomber à ses pieds. Elle est nue désormais, petite chose gracieuse offerte à mes yeux devorants. Je la détaille de haut en bas. De jolies épaules, des hanches finement dessinées, une cambrure affriolante et un joli petit cul rebondi, aux fesses serrées. Et je crois que je salive d’envie.

Toujours de dos, je l’entends me dire :

« Assieds-toi papa. »

« Pour quoi faire ? »

« Discute pas, fais-le. »

« Tu me donnes des ordres maintenant ? Oh et puis après tout »

Je m’exécute et me rassieds sur le canapé. Toujours nu et mon érection également au rendez-vous. Faut dire qu’avec ce que mon mat avait subi, il n’avait pas envie de se coucher de suite.

« Ça te plairait de voir ma chatte, petit papounet ? » demande-t-elle solennellement.

« Oui Allie, je ne rêve que de ça »

« Très bien, mais je veux que tu te masturbes en me regardant. »

Un peu surpris par sa demande, je décide néanmoins de m’exécuter. La petite bougresse a pris de la confiance à ce que je vois. Et ce n’est pas pour me déplaire. Allie se déplace alors devant moi. Je ne vois que son profil et ses seins qui ballotent légèrement quand elle marche. Elle fait durer le suspens. Puis elle se retourne complètement pour enfin me faire face. J’aperçois désormais sa jolie toison pubienne, faite de légers poils d’un blond clair.

Allie décide de s’asseoir face à moi, jambes serrées, sur la table basse située entre le canapé et la télé.

« Qu’est ce que tu veux voir, papa ? »

« Tu le sais très bien »

« Dis-le. »

« Montre-moi ta chatte, Allie. »

« J’aime bien quand tu m’ordonnes les choses Je crois que ça m’excite d’être la petite fille à son papa. »

Je n’ai rien dit mais je savais que ça m’excitait aussi grandement, qu’elle me soit soumise et servile. À l’abri derrière ces fenêtres, nous étions devenus des amants. Une relation impossible mais pourtant, qu’il était si bon de goûter ce fruit défendu.

« Alors écarte donc ces cuisses ! » clamé-je en haussant un peu le ton. Si elle voulait être excitée, autant la servir.

« Oui papa. Mais n’oublie pas, tu dois te branler ! »

Je lui fais plaisir, je m’empare de mon manche d’un geste assuré. Et c’est vrai qu’elle a raison, ma bite n’avait jamais été aussi grosse et enflée. Les veines saillantes, un véritable engin de ramonage. J’ai commencé à me caresser. Je vois Allie regarder avidement ma queue. Si j’avais su que ça m’exciterait autant d’exhiber mon pilon distendu devant ma fille Ses jambes se sont ouvertes d’elles-mêmes. Enfin je pouvais voir ce que je désirais tant en cet instant.

Deux lèvres gonflées entourant une petite fente luisante d’humidité. Parfaite, sublime, et m’appelant. Je distinguais une petite larme de cyprine qui perlait au coin de ses lèvres, courant sur sa peau d’albâtre. Cette petite chatte suintait littéralement le désir. Mon sexe bouillonnait. Allie se délectait. Elle fit glisser ses mains sur ses seins, parcourir son ventre et s’arrêtant dans sa toison pour jouer avec. Peut-être attendait-elle mon assentiment pour descendre plus bas ?

« Tu peux te caresser aussi si tu veux. » lui dis-je.

« Fais-le, toi ! »

Quelle petite effrontée. Mais elle savait déjà que j’en mourais d’envie.

« Alors ramène ta chatte par ici, papa aimerait beaucoup faire sa connaissance ! »

« Je viens » minauda-t-elle.

Elle se leva et s’approcha, plus entêtante que jamais. Et comme tout à l’heure, elle s’assit à califourchon sur moi, ses jambes de part et d’autres des miennes. Sauf que la situation était beaucoup moins innocente qu’il y a quelques minutes.

Et j’ai là, devant moi, sa vulve écartée et offerte. Je pouvais sentir son odeur, l’arôme suave d’un sexe brûlant mélangée à des effluves de vanille. Son gel douche, peut-être. Je passe avec délicatesse un doigt dans sa fente. Elle soupire fortement. Je recueille un peu de son nectar et le porte à ma bouche. Je savoure le jus de son intimité avec délectation.

Plutôt que de chercher à glisser mes doigts dans ce trou qui ne demande que ça, je décide de frotter mon sexe sur le sien. Mon gland glisse lentement entre ses lèvres ; elle mouille tellement que mon nud est totalement trempé. J’effleure sa crevasse et la frotte avec ma bite désormais aussi dure qu’une colonne de marbre.

Allie pousse des petits « haaan » d’extase. J’adore lui faire du bien. Son bassin roule de plus en plus vite. C’est elle qui se frotte contre ma queue à présent. Elle me branle avec son sexe, m’étreignant de son étau de chair et m’enduisant de sa mouille en fusion. Ses grandes lèvres épousent ma verge dans une danse volcanique. Je crois bien qu’elle va craquer.

Mais elle trouve le courage de s’arrêter, essoufflée. Elle s’approche de mon oreille et me glisse :

« Papa, je t’en supplie j’ai trop envie je veux que tu me baises ! Baise-moi ! »

« Bien sûr ma princesse, tout ce que tu veux. Papa t’aime. »

« Je sais déjà que tu m’aimes mais là, ce que je veux c’est sentir ta queue en moi. »

Et qui pourrait résister à une telle injonction ? J’agrippe alors ses petites fesses rebondies pour la soulever un peu. Je la dirige vers ma hampe et la fais lentement descendre. Allie s’empale doucement sur mon dard, la tête en arrière en poussant un long « oooooh » de contentement. Ça a été si bon pour moi à ce moment-là que j’ai failli jouir rien qu’en la pénétrant.

J’étais en elle, au plus profond de son intimité. Nous étions unis plus que jamais. Sa chaleur fiévreuse me consumait alors.

Et je la baise, puisque c’est tout ce qu’elle demande. Elle s’accroche à moi avec force, fait rouler son bassin pour accompagner mes coups de reins. Je n’ai qu’une envie : faire jouir ma fille dans un orgasme déchirant. Elle me dit d’y aller plus fort. Mes coups de boutoir la font crier, et elle s’interrompt parfois pour laisser échapper un « ooh papaaa » ou « han oui ! Tu me baises bien ! ». Elle joue les dévergondées et ça décuple mon appétit. Je la pistonne sans retenue.

Je la sens se raidir, se cambrer. Son vagin parcouru de spasmes étreint mon sexe et elle me mord l’épaule au moment où elle jouit. Je suis comblé par son bonheur. Toujours en elle, j’ai ralenti la cadence pour la laisser reprendre son souffle et ses esprits. Mon gourdin me fait mal, tant il est prêt à déborder. Il faut que je me soulage au plus vite.

« Papa ? Je crois que j’ai eu un orgasme. C’était tellement intense. Et toi, tu as joui ? »

« Pas encore, ma belle. »

« Alors je vais t’aider ! » lâche-t-elle en souriant.

Je n’ai pas le temps de donner mon avis qu’elle s’est déjà enlevé de moi. Elle se met alors à me masturber frénétiquement.

« Il faut que je vois ! Montre-moi ! Jouis pour moi, papa ! »

Ma furieuse érection subit les assauts de son poignet. Elle tient vraiment à ce que j’éjacule. De toute façon, je ne peux me retenir plus longtemps. Et mon sexe s’enflamme, déversant une quantité hallucinante de sperme. Mon fluide chaud se répand sur les mains de ma fille, qui observe le phénomène avec la plus grande attention, un sourire angélique sur le visage. Le spectacle a l’air de lui plaire. Une fois la source tarie, Allie rigole un peu et passe son index sur mon gland encore palpitant, recueille un peu de ma semence et la porte à sa bouche pour la goûter. Petit haussement d’épaules.

« Merci papa. C’était vraiment chouette ! »

« De rien ma princesse. Tu t’es bien débrouillée. »

Alors voilà ma confession. Ce fut ce soir-là. Ce soir où j’ai enfreint l’interdit et où je n’ai rien regretté. On a repris nos vies, Allie et moi, sûrement un peu plus proches qu’avant. Mais depuis lors, nous n’avons plus regardé de films ensemble.

Ou peut-être que si. Qui pourrait savoir ? Un papa se doit de garder quelques secrets

FIN

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