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ma découverte du candaulisme, ma femme me trompe avec mon meilleur ami – Chapitre 2

ma découverte du candaulisme, ma femme me trompe avec mon meilleur ami - Chapitre 2



MA DÉCOUVERTE DU CANDAULISME. 2ème partie

JE NAURAI JAMAIS CRU QUE MA FEMME SOIT SI CHAUDE.

Deuxième partie.

Pour me venger et lhumilier, je veux quelle me trompe devant mes yeux. Mais le pire, cest quelle aime ça.

Damien

Nous sommes rentré de vacances mais Sophie est bizarre, elle est resté muette pendant pratiquement toute la route alors quà lordinaire, cest une vrai pipelette.

Elle ma dit inviter Antoine ce soir, pourquoi pas ? Je lui demanderai de me raconter les conquêtes quil a eues pendant nos vacances.

Il y a une drôle dambiance pendant le dîner, dès que leurs regards se croisent, ils tournent la tête.

Au café, Sophie me dit quelle a quelque chose à mavouer.

-Damien, jespère que tu vas me pardonner, je ne sais pas ce qui ma prise pendant ces vacances mais je tai trompé avec Antoine.

Antoine linterrompt :

-Cest de ma faute, ça faisait 6 mois que je navais pas touché une femme et davoir en permanence Sophie quasiment nue devant moi, je nai pas pu résister.

Je rentre dans une colère folle, les injurie, traite Antoine de salaud, de traître, de gigolo.

Sophie en prend aussi pour son grade, (sale pute) et dautres qualificatifs que je nose même pas écrire.

Il me faut bien une heure avant que je ne me calme. Je suis furieux mais je vais me venger dune manière dont ils ne sattendent sûrement pas.

Je vais enfin pouvoir réaliser mon fantasme que Sophie naurait jamais accepté autrement.

-Ecoutez-moi bien tous les deux, vous avez trahi ma confiance mais je vais vous lancer un défi.

Si vous le relevez, je réviserai peut-être mon opinion sur vous. Êtes-vous daccord ?

Perplexes, ils sempressent daccepter sans savoir ce que je vais leur demander.

-Je veux vous voir faire lamour devant moi !!!

On entendrait voler une mouche. Il se passe bien 3 minutes avant quils ne retrouvent la parole.

Sophie me traite de pervers et mannonce quelle nacceptera jamais.

Antoine ne sait pas si cest du lard ou du cochon.

Je reprends la parole :

-Ce nest pas négociable, cest ça ou le divorce !

-Pourquoi-pas ? Rétorque Antoine, ce nest pas pire que ce que lon a fait, Sophie, pense à ta famille !

-Bon Je nai pas le choix à ce que je voie. Avoue Sophie.

Je leur explique :

-Antoine, tu vas déshabiller Sophie puis se sera à son tour, je vous dirai la suite après !

Il sexécute, lui retirant lentement sa robe avant de dégrafer son soutien-gorge, puis il sattaque à sa petite culotte. Elle tremble de tous ses membres.

-A toi maintenant !

Elle hésite, mimplorant du regard, mais je ne fléchis pas. Elle commence par déboutonner sa chemise, il se penche pour laider à la retirer. Elle sattaque à son pantalon mais elle est tellement nerveuse quelle doit sy reprendre à plusieurs fois pour réussir à déboutonner les quelques boutons de la braguette.

Elle descend le pantalon jusquaux chevilles, lui levant les pieds pour le retirer et sarrête. Ses yeux sont fixés sur le slip qui laisse entrevoir une jolie bosse. Ce pourrait-il quil bande déjà ?

-Allez, va jusquau bout, retire son slip !

Obéissante, elle attrape lélastique de chaque coté et abaisse enfin avec lenteur son slip.

Je savais déjà quAntoine était mieux membré que moi mais il faut quelle descende le slip pratiquement à mi-cuisse pour libérer son sexe.

Putain !!! Je comprends pourquoi les femmes lui courent après. Je suis scotché à la vue de cette queue aux proportions peu ordinaires qui nest même pas en érection.

-Bien Maintenant je veux que vous vous caressiez !

Il glisse la main sur sa poitrine, il est face à deux superbes globes bronzés, surmontés de petites aréoles roses au centre desquels se dressent deux tétons durs. Il pose sa main sur lun des seins. Sophie ferme les yeux quand il pose sa bouche sur le deuxième téton, le suce, laspire.

Elle commence à se détendre, soffre à ses caresses. Il pose lautre main sur ses superbes cuisses légèrement entrouvertes. Elle tressaille et me regarde interrogative, je lui sourie.

Suite à cet encouragement, elle me rend mon sourire et se déplace légèrement libérant laccès à sa féminité. Elle écarte ses jambes davantage, elle soffre à Antoine qui poursuit les préliminaires pour lamener au plaisir.

Il continue à sucer son sein tandis que la main descend et caresse son ventre. Elle cambre ses reins et gémit de plus en plus. Sa main remonte sur la chair nue de ses cuisses. Lentement, elle écarte ses jambes répondant à ses caresses sur son pubis.

Il pose lentement sa main sur le sexe offert. Elle frémit et se met à le caresser, palpant ses bourses à la base de son organe.

Je lencourage:

— Cest bien ma chérie, tu en as déjà vu une grosse comme ça ? Prends-la en main.

Elle le caresse ne faisant aucun cas de ce que je lui dis. Elle a le souffle court, son regard vitreux est rivé sur le bel engin en pleine ascension.

Antoine avance son bassin vers elle. Deux grosses boules pendent maintenant à la base dune hampe qui nen finit plus de croître.

Putain Mes mensurations rivalisaient à peine quand il était au repos, mais là il me fout la honte avec une telle érection !

Bon sang, quest-ce qui marrive ? Je vois ma femme caresser la bite dun autre homme et ça me fait bander à mort. Jextirpe mon sexe, dur comme lacier. Le spectacle mexcite au plus au point, mon sexe atteint une érection incroyable.

La main de Sophie savance vers la colonne de chair tendue. Mon cur saffole quand ses doigts étreignent son engin, sagrippent dessus avec hésitation. Sa main semble perdue sur une telle matraque !

Antoine grogne de plaisir.

Elle tourne sa tête vers moi, interrogative en murmurant.

— Quelle est grosse et dure !

Je lencourage, dans un état second :

— Vas-y ! Branle-la bien !

Elle fait courir ses doigts avec vigueur sur toute la longueur de lénorme pal, allant des couilles généreuses au gland gorgé de sang.

Elle sest agenouillée maintenant devant lobélisque, la bouche ouverte, comme prête à avaler son gros chibre quelle prend à deux mains et se déchaîne comme une hystérique sur lincroyable trique.

Je remarque sur son visage, son regard trouble rivé sur cet axe magnifique et surtout, ses lèvres entrouvertes, prêtes à lavaler.

— Ah ! Cest trop bon ! Ouiiii, continue !

Antoine donne des coups de rein, portant au devant des lèvres luisantes de Sophie lénorme gland violacé au contact de la bouche béante de ma femme, tentée demboucher la bite tendue.

Sans interrompre pour autant ses caresses, elle me regarde en me suppliant, le regard vitreux de plaisir.

— Je peux la sucer ?

-Oui ! Vas-y, pompe son gros nud !

Antoine nattendait que ça et dun ample mouvement du bassin, il pousse le dard congestionné entre les lèvres gourmandes de ma femme !

Jai vu alors Sophie plonger sur cet énorme sucre dorge, sefforçant den enfoncer le plus possible dans sa bouche. Je ne compte plus pour elle, elle est submergée par le plaisir quelle prend à senfoncer profondément la teub enflée.

Sa bouche distendue tente den avaler le plus possible, dans un bruit de succion et de gargouillis, bavant et crachant sur le phallus dAntoine. Mordillant le gland hypertrophié avec précaution.

Je suis troublé, je suis là à regarder ma femme, lêtre le plus cher pour moi, le plus intime, en train de tailler une pipe magistrale à mon meilleur copain!

Quelle sensation étrange ou se mêle jalousie, envie, rejet, plaisir! Je naurais pas cru jouir autant à lobserver ainsi,sa bouche pleine du sexe dun autre! Je lencourage de la voix.

— Oui, ma chérie ! Avale-là ! Bouffe-la toute ! Mords-là !

Antoine rigole et surenchérit :

— Tu es une sacrée pompeuse, allez, essaie den prendre encore un ou deux centimètres, je suis sûr que tu peux le faire !

Il lui met une main sur la nuque pour quelle ne puisse se retirer et réussit à pratiquement entrer 5 centimètres de plus de son rostre mais doit la libérer avant quelle ne sétouffe, la gorge obstruée par son gland volumineux. Elle tousse, reprenant lentement son souffle.

Je me suis approché, glissant ma main entre ses cuisses jusquà sa chatte brûlante.

Mes doigts pénètrent dans sa fente trempée de mouille. Ma caresse fait de leffet, car elle se déchaîne de plus belle sur le gros dard tendu.

Je linjurie presque en la branlant frénétiquement :

-Espèce de salope, tu aimes les grosses queues on dirait, bouffe-lui ses couilles, fait-le jouir !

Elle mobéit et gobe ses grosses boules.

Elle sinterrompt soudain et me lance comme dans un défi:

— Quelle est grosse, CA cest de la queue !

Vexé par sa réflexion, je la saisis par les hanches et enfonce sans résistance ma bite dans son petit con baveux. Bon sang comme cest bon !

Je me déchaîne tellement je suis excité de la voir prise par nos deux queues.

Je pilonne sans ménagement la chatte douce et chaude de ma garce de femme qui dégouline de mouille.

Je la secoue tellement, quelle a arrêté de le sucer, accrochée de ses deux mains à lénorme pieu collé contre son visage.

Elle gémit de plus en plus fort. Antoine en profite, il lui caresse les fesses, les écarte de sa main et glisse un doigt fureteur sur la petite rosette brune de Sophie.

Elle sabandonne sans retenue à mes ruades, jenfonce ma queue le plus loin que je peux. Elle remarque à peine ce doigt qui fouille sa rondelle.

La frénésie des sens nous submerge !

Antoine vient de sortir un préservatif de taille XXL de son pantalon, puis le déroule sur sa queue de cheval et me déclare en se levant:

-A mon tour maintenant.

Il vient se mettre à coté de moi, la barre de chair dressée, pour prendre ma place.

Docilement alors, je me retire de la grotte tout chaude. Je suis un peu frustré et me rend compte de la différence énorme entre nous quand nos deux verges sont cote à cote. La sienne fait pratiquement le double aussi bien en longueur quen épaisseur.

Il la prend par les hanches et présente son gland mafflu contre la vulve de ma femme.

Jai un instant de doute. Comment un engin pareil peut-il entrer dans la petite chatte de Sophie ? Ca na pas lair de linquiéter, bien au contraire même

Elle se cambre davantage et vient delle-même sempaler sur lénorme jonc !

Je vois les lèvres gonflées du minou de cette cochonne épouser sans faillir ce défonce-cul.

Je suis fasciné par la lente progression de ce manche de pioche dans létroit fourreau heureusement bien préparé par mes soins. Son jonc repousse les grands lèvres vers lintérieur.

Sa chatte gourmande accepte sans problème la pénétration monstrueuse !

Elle en redemande même.

— Oh oui, cest bon, trop bon, je suis pleine de ta queue !

Elle gère ses mouvements afin de profiter de chaque centimètre. Elle pousse au maximum, à la limite de la douleur mais le plaisir est le plus fort !

— Tu aimes ? Lui demande Antoine.

— Oui !!!!!!!!!!!!!!!! Bordel, ça cest de la bite !

Mais on dirait quelle se fou de moi, la salope !!!

Je naurais jamais cru quil puisse la prendre aussi facilement, lélasticité du vagin accepte sans difficulté sa matraque mais malgré les mains crispées sur les hanches voluptueuses de mon épouse, sa colonne de chair narrive pas à entrer en entier.

Je naurais pas cru prendre mon pied à voir ma femme ainsi tronchée, à lentendre hurler son plaisir avec un autre. Je me branle comme un dingue à les regarder, me surprenant à les encourager.

-Vas-y, explose-la, montre lui ce quest un vrai mâle, hein, espèce de grosse cochonne, jespère que tu dégustes!

Sa volumineuse colonne de chair entraîne les chairs intimes qui épousent au plus près ce diamètre hors-normes, les lèvres enflées de sa chatte rentrent et sortent au rythme du formidable piston!

Un orgasme terrible, la secoue toute entière. Cest la première fois que je la vois dans cet état là, proche de lévanouissement.

Il en profite pour lui mettre un doigt dans le cul, puis deux. Je me demande si elle sen rend compte ?

Je présente ma bite à ses lèvres, elle saute dessus comme une affamée, je ne peux résister longtemps à ses succions, je suis sur un nuage, elle suce ma queue bien dure avec gourmandise.

Je sens que je suis sur le point de décharger, ma semence remplie sa bouche, je suis fou de bonheur quand elle ouvre la bouche pour me montrer quelle a tout avalé. Elle naime pourtant pas trop ça.

Antoine me ramène sur terre en mannonçant :

Jai préparé la porte de derrière, cest drôlement serré, tu ne las jamais franchie ?

-Non.

-Cest ta femme, à toi lhonneur Alèse-la un peu sinon elle va trop souffrir !

Nous intervertissons nos places. Je suis si excité que je rebande aussitôt.

Sophie na jamais voulue que je la sodomise, mais elle accepte tout ce que veut Antoine.

Merde, cest pas vrai ça!!! Mais autant en profiter.

Je lui lèche lanus consciencieusement essayant dy entrer ma langue.

Je lui prépare le cul avec du gel, introduit un doigt, puis deux et enfin trois dans son trou déjà bien dilaté par le plaisir à venir.

Je présente mon gland contre son anus et pousse doucement mais sûrement, elle est si excitée que sa rondelle s’ouvre comme une fleur, elle maide même en se reculant de plus en plus, pendant quelle suce la queue dAntoine.

Mon excitation est à son comble quand je sens tout étonné, ma queue pénétrer le cul de Sophie sans grande difficulté. Sophie est pleine des deux cotés lui provoquant un plaisir indescriptible.

Antoine lâche enfin la sauce et remplit sa bouche, mais Sophie retire aussitôt sa bouche et il continue à éjaculer en se tenant la bite.

Bordel de bordel !!! Je nai jamais vu ça !!! Des jets surpuissants se succèdent à un rythme effréné. Ils lui crépissent le visage, les cheveux et le dos que jen suis même éclaboussé.

Bon, jai définitivement compris, je ne fais décidément pas le poids. Mes cornes vont encore grandir.

Je la pine à fond, écrasant mes couilles sur son pubis imberbe et après quelques minutes, lui enduit le conduit de ma semence.

Antoine demande à Sophie de lui faire retrouver toute sa vigueur puis remet un préservatif en lui expliquant la suite à venir.

Je vais masseoir sur le divan, tu vas te mettre dos à moi, poser tes mains sur mes épaules et tes pieds sur mes cuisses. Je te laisse la liberté de faire comme tu le souhaites. Si tu ne veux pas, je ne veux pas te forcer, tu sais que mon chibre est plus gros que celui de Damien, je ne te tiendrai pas rigueur si tu ne veux pas que je te sodomise.

Ils se mettent en position, Antoine tient son gourdin le temps que Sophie baisse son bassin, coinçant son énorme cheville contre sa petite mortaise.

Après un temps de pause, elle commence à descendre son bassin et jassiste à un miracle.

Sa petite rosette luisante de mon sperme senfonce doucement sous la pression de son gland énorme avant de céder dun coup et dabsorber toute la longueur de lintrus, délicatement.

Jassiste à la lente pénétration de cette incongruité dans la rondelle de ma garce dépouse.

Elle gémit, se met à crier mais continue à sempaler de plus belle. Elle gueule son plaisir de se faire déchirer par cet énorme défonce-cul. Encore une chance quon nait pas de voisins !

Elle tremble de tout son corps quand après plusieurs tentatives, elle réussit enfin à absorber en totalité le sceptre royal dans ses intestins.

— Dis que taimes ça ! Sexclame Antoine, je veux tentendre crier !

— Ouiii jaime ça, mmmmmm !!!

— Plus fort, salope !

— Ouuuuiii !! Jaime ton énorme bite dans mon cul !!!!

Et Sophie se met à monter et descendre sur cet immense tuyau pendant de longues minutes,

lâchant à chaque poussée un gémissement de plaisir, se faisant empaler le plus loin possible par la bite qui lui défonce son fion pour la deuxième fois de sa vie.

Antoine me regarde et me demande :

-Tu attends quoi ? Elle a un trou de libre, non ?

Je mets un temps à réagir à sa proposition, complètement estomaqué.

Au point ou jen suis, autant y aller, ça sera une première pour Sophie et moi.

Sa chatte est tellement ouverte qu’elle avale comme un rien mon engin. Les mains dAntoine malaxent sa poitrine.

On lui défonce les trous comme des taureaux en rut. Je la traite de chienne, elle narrête plus de jouir.

La sensation est bizarre à chaque pénétration quand je sens ma queue comprimée par la matraque qui sactive de lautre coté de cette fine cloison de chair.

Leffet est si intense que je ne mets que quelques minutes pour arriver à la jouissance.

Je méjecte de ce fourreau brûlant pour me répandre sur son bas-ventre.

Sophie reprend de plus bel lastiquage de son pieu quand enfin Antoine lui annonce dans un grognement, éjectant de son anus son poireau :

-Je vais gicler bordel, astique-moi, vite !!!

Elle se laisse retomber sur Antoine, lui retire prestement la capote et lastique comme une folle avant de sasseoir sur lui, face à face, enserrant entre ses cuisses le colosse prêt à entrer en éruption. La queue dAntoine est si longue quelle dépasse entre les cuisses de Sophie.

Quand, il se met à éjaculer, on dirait que cest elle qui jouit.

Elle presse à mort la hampe augmentant encore la pression de ce formidable piston.

Je crois rêver lorsque je vois cette lance envoyer des jets dune épaisseur et dune puissance folle.

Elle a le corps couvert de foutre du ventre jusquaux cheveux quand elle finit de lui vider les burnes, lui aussi en a plein le visage.

Il se met à rigoler en mavouant :

-Elle est vraiment bonne ta femme et finalement, je ne regrette plus ce qui cest passé pendant les vacances !

Je fulmine de ses paroles mais à lintérieur de moi, je ne suis pas mécontent quand je vois comme les choses ont tournées.

Antoine est partit Mais après cette révélation pour Sophie et moi, on est appelé à se revoir bientôt.

Ce qui ma consolé, cest que juste avant de sendormir, Sophie ma murmuré :

Cest peut-être un bon coup, mais je naime que toi, mon amour !

Elle ma embrassé et sest écroulé, repue de fatigue.

Je me demande quand même comment je vais pouvoir rivaliser à coté dun tel homme.

Va-t-elle me rester fidèle ou être reprise par le démon de midi ? Je me le demande.

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