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Ma femme en partage – Chapitre 1

Ma femme en partage - Chapitre 1



Nous habitons depuis toujours le centre de la France, en région auvergnate, dans une petite ville entourés de paysages verts et vallonnés. Nous étions au moment de ce récit mariés depuis 17 ans et nous avions déjà eu nos trois enfants. Javais 39 ans. Ma femme Laurence avait 37 ans. Aide-soignante dans une clinique, elle travaille plus précisément en pédiatrie. Je suis moi-même responsable financier dune grande enseigne commerciale.

Notre vie de couple, classique, aimante et douce, avait tourné au fil des ans à la routine, lhabitude des mêmes gestes toujours répétés. Même si lamour, les relations charnelles, avec Laurence restaient quelque chose de formidablement sensuel et satisfaisant, je souhaitais pourvoir vivre en sa compagnie des moments sexuellement plus forts et exaltants, des moments vraiment intenses.

Laurence est toujours une femme formidablement belle, la maturité la rendue encore plus sensuelle et désirable quà 20 ans et ses envies, ses besoins, ses audaces sont restées les mêmes, même si elle est demeurée une personne classique, voire « bourgeoise » et très convenable.

Laurence est une magnifique rousse aux yeux bleus. De taille moyenne, elle a de jolis petits seins, des hanches bien faites, des fesses toutes rondes, splendides, et elle a à ma demande- conservé une toison rousse (elle dit « blond-vénitien) » naturelle. Sa chatte forme un triangle fourni et épais aux délimitations nettes et droites. Si je suis moi-même resté naturel et ai conservé mes poils pubiens noirs, je les taille régulièrement pour faire plaisir à ma chérie.

Ma Lolo, Ma Laurence chérie, ne savait pas les situations dans lesquelles la conduisaient mes fantasmes inavoués. Ce sont ces situations qui mexcitent et nourrissent désormais ma libido.

Je lui ai glissé progressivement des allusions à des scènes inédites qui limpliquaient (ô combien) directement, je murmurais à son oreille, pendant lacte, des évocations qui létonnaient peut-être, mais quelle mettait sur le compte de mon excitation et de mes indispensables fantasmes.

Mais je nai un beau jour plus souhaité que ces images ne restent quà létat de délires érotiques. Clairement, je souhaitais dorénavant voir ma femme adorée être touchée, voire prise par dautres hommes.

Au bout de longs mois de propositions, de suppliques, de discussions au cours desquelles je lui répétais sans cesse que les évolutions que je souhaitais nétaient en aucune façon une remise en cause de notre couple et de notre amour, je parvins à la convaincre de maccompagner dans un club libertin, assez éloigné de notre domicile pour que nous réservions une chambre dhôtel à proximité de cet établissement mystérieux que nous allions découvrir. Inutile de préciser que jétais énormément excité par la perspective de montrer ma femme à dautres hommes, à des couples, même si javais indiqué à Laurence que cette visite était absolument sans engagement et quelle restait libre de tout.

Laurence avait adopté une tenue sexy entièrement noire : bas, jupe très courte et petit haut échancré sur un joli bustier. Javais pu obtenir de ma chérie quelle sorte sans culotte ; une première ! Dans la voiture, nous rendant de lhôtel au club, je la sentais nerveuse.

— Si tu ne veux pas, on ny va pas, ma Lolo, cest toi qui décidesmais tu sais, je pense que ce sera super excitant.

— Ça te fait vraiment plaisir mon chéri ?

— Je suis chaud comme jamais, jai déjà limpression que ma queue va éclater !

Passant la main entre mes cuisses, elle put sentir, à travers mon pantalon, la réalité de ce que je lui avais indiqué. Elle fit plusieurs allers-retours sur ma queue et membrassa rapidement dans le coin de la bouche.

Je la sentais se transformer, se mettre en condition psychologique au fur et à mesure que nous nous rapprochions du lieu visé. Progressivement, elle semblait même sêtre donné un défi quelle allait tenter de relever.

— Chéri, je me sens bizarre, à la fois inquiète et excitée, jai hâte ! Tu sais, on décidera de tout tous les deux !

— Cest comme cela que je conçois les choses, ma Lolo Lui dis-je, trop heureux de son ralliement à mon fantasme qui allait devenir réalité.

Il était déjà tard lorsque nous sommes arrivés. Après être passés par le vestiaire, nous nous rendîmes directement vers le bar. Il y avait là quelques couples, des hommes seuls, jeus limpression que nous étions scrutés, surtout Laurence, comme de nouveaux venus, sujets de curiosité. Je sirotais un whisky, Laurence ayant également opté à ma surprise- pour cette boisson. Lalcool nous aidait progressivement à nous sentir plus à laise. Serions-nous plus tard plus totalement désinhibés ? Lavenir nous le dirait. Après de longues minutes de silence et de doux baisers, lorsque japprochais mes lèvres des siennes en posant simplement ma main sur son genou, je la relançai :

— Tu vois un homme, un couple, qui te plait ou que tu trouverais agréable pour partager une discussion, ou autre chose ?

— Le grand brun costaud, au bar, jai limpression quil me regarde.

— Regarde-le aussi, et souris-lui !

Elle le fit, de manière de plus en plus appuyée (peut-être un effet de son second verre ?). De fait, lhomme savança jusquau canapé où nous finissions de consommer. Il vint sinstaller à gauche de Lolo, placée désormais entre nous deux, sur ce canapé en arc de cercle, jambes croisées.

— Bonsoir, moi cest Franck.

— Bonsoir, je mappelle Manu ; Laurence

Dans le même temps, je caressais de nouveau le genou, puis la cuisse droite de ma petite femme, remontant insidieusement sa courte jupe. Dun signe de la tête, jindiquai au dénommé Franck den faire autant de son côté. Sa main droite se posa doucement sur le genou de ma femme, remontant doucement vers la cuisse charnue de celle-ci.

Pour la première fois, je voyais la main dun homme sur la peau de la femme que jaime. Je bandais dur de contempler la scène de ce partage, pourtant encore anodin au regard de ce qui allait pouvoir se passer.

Sa main remontait encore, atteignant la partie la plus douce de la cuisse, en son intérieur, puis vers laine où il atteignit du bout des doigts le début de la pilosité pubienne de Laurence. Il marqua un temps darrêt, semblant surpris de cela, les femmes fréquentant le club, comme tant dautres, se rasant ou sépilant très majoritairement. Je dis doucement à ma chérie, dans le creux de loreille, de bien vouloir écarter ses belles grosses cuisses, ce quelle fit lentement, mais immédiatement. Dautres personnes, des hommes seuls, sétaient approchés du coin que nous occupions afin de profiter de la scène.

— On peut aller dans un salon plus calme ? senquit Lolo, minterrogeant à voix basse, avec un regard fiévreux.

Jacquiesçai et Franck, sur un léger signe de ma part, se leva, lui prenant la main délicatement pour nous guider vers une petite pièce éclairée dune lumière douce et tamisée.

La porte à peine fermée, placé derrière Laurence, il souleva la petite jupe serré de ma femme et lui caressa doucement le cul. Nous étions encore tous trois debout et Franck, caressant dorénavant à pleine main les belles fesses de ma chérie, passa une main sur son ventre, la main descendant progressivement vers son con roux et velu. Franck semblait fasciné par lépaisseur et la douceur de cette toison. Embrassant Lolo dans le cou, il la fit sassoir, puis sallonger, sur le sofa rouge. Il ne bougeait plus. Laurence semblait minterroger du regard. Je mapprochai delle, lui murmurant à loreille : « tu veux bien quil te caresse ? », elle répondit « oui, mais reste tout près de moi ».

Jindiquai à Franck : « tu peux la caresser, si tu veux ».

Je soulevai complètement la jupe de Lolo, lui écartant doucement les cuisses en la laissant allongée, les pieds restant à terre, lembrassant dans le cou et au coin de sa bouche rouge vif.

Franck sapprocha, caressa de nouveau les belles cuisses de ma femme et sagenouilla entre elles, approchant son visage de son chatte. Il la caressa délicatement du dos de la main, insistant dabord sur les poils roux puis approcha ses deux pouces des lèvres du con de Laurence, quil écarta doucement, dégageant les poils, et lécha tout en mettant le nez dans sa toison. Il humectait progressivement de sa salive lintérieur du con et aspirait avec régularité le petit clito de ma chérie dont je suçais alternativement les seins tout en contemplant ce spectacle trop excitant : un autre homme profitait de lintimité de ma femme, que moi seul connaissais depuis des années et admirais tant, juste dans le secret conjugal de notre couple, ni elle ni moi nétant adeptes du naturisme ou de lexhibition et étant demeurés traditionnellement fidèles ; quel temps nous avions perdu ! Je laimais encore davantage de lentendre gémir de laction dun autre, son regard éperdu fixé sur le mien.

(à suivre)

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