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Ma femme fait du porno lesbien en cachette – Chapitre 1

Ma femme fait du porno lesbien en cachette - Chapitre 1



Je ne devais pas rentrer si tôt de ce déplacement. J’avais deux jours d’avance.

Je rentrais donc chez moi. Ma femme était au travail. Mon retour était une surprise.

Je décidais de décharger mes bagages plus tard et penetrais dans l’appartement.

Un petit tour à la cuisine pour casser une croûte et petit contrôle du domicile que j’étais heureux de retrouver. Il y avait un désordre inhabituel. Pas le bazar mais ma femme est plutôt du genre organisée. Dans la chambre le lit était défait. Très étrange…

Sur la commode, je vis des DVD. Je m’approchais et découvrit une dizaine de DVD porno. Qui n’étaient pas à nous. Je matais les titres et les pochettes. Des films amateurs.

— Putain mais d’où ça sort.

Les photos de couverture montraient des orgies lesbiennes.

Je regardais le lit défait et aperçus quelque chose sous

l’oreiller.

Je le soulevais et découvrit un gode ceinture. Il n’est pas à nous non plus.

Je commençais sérieusement à me poser des questions.

Je regardais encore une couverture et reconnus alors ma chambre. Exactement celle où je trouvais. Je regardais les deux femmes qui posaient et aucun doute,l’une était ma femme. Elle posait à quatre pattes, le cul levé, les seins sur le drap, jetant un regard de salope au photographe. Derrière elle se tenait une blonde magnifique qui la tenait aux hanches, pointant vers son entrejambe un gode ceinture rose tout à fait gigantesque. Elle aussi avait un regard qui en disait long.

Je me retrouvais alos dans un état psychologique étrange : furieux car trahi, trompé et humilié et également excité par tout ça.

Ma femme et moi baisons bien et souvent. Nous avons eu parfois des jeux très chauds où elle se révélait très salope mais jamais ça et dans mon dos en plus.

Ma femme est actrice mais de théâtre, je l’ai vu jouer mais pas tourner du porno lesbien ! Mais je savais aussi qu’elle peinait parfois à trouver des rôles. À 45 ans, disait-elle, ça devient difficile.

Moi je pars souvent en déplacement. Je regardais les autres pochettes, elle était sur toutes. Une photo la montrait allongée, cuisses ouvertes, un gode planté dans son ventre pendant qu’elle en suçait un autre.

Il était 15 heures. Elle devait rentrer vers 17 heures. Je pris ce dernier film, quittais l’appartement et remontais en voiture.

Il fallait que je réfléchisse à ce qui m’arrivait.

Pas loin de chez nous il y a un hôtel. Je m’arrêtais et y pris une chambre après m’être assuré que je pourrais visionner le DVD.

Sitôt dans la chambre, j’inserais le disque.

Pendant une heure, je matais cette actrice déchaînée, ma femme, se livrant avec un plaisir évident à des rapports saphiques totalement débridés dans mon salon où tous les meubles avaient été écartés. J’eus un orgasme quand je la vis se faire fister tout en léchant une chatte épilée, béante et dégoulinant de jus.

À la fin de la scène, elle écarta ses lèvres distendues et offrit la vue sur son sexe dévasté, tout en se léchant la bouche et en invitant à la rejoindre de l’index.

— J’ai épousé une actrice porno ! J’étais anéanti.

Anéanti et excité.

Le soir arriva et je décidais d’aller à l’appartement.

Il y avait 3 voitures devant chez moi. Je me glissais dans le jardin et gagnais la porte fenêtre. Le salon était allumé. Par transparence, je vis à travers le rideau 3 femmes. Elles portaient des cuissardes, du cuir et toutes une gode ceinture. Je fis le tour pour gagner la fenêtre de la chambre. Une femme installait une caméra sur pieds. Il y en avait déjà deux autour du lit.

La porte de la salle de bains s’ouvrit et ma femme apparue en collant résille, perchée sur des hauts talons. Son collant ouvert à l’entrejambe laissait l’accès à son sexe.

Elle s’approcha de la technicienne, qui sembla la complimenter et lui caressa les seins qu’elle a d’ailleurs très beaux. Puis elles s’embrasserent à pleine bouche.

Ma femme reçut une claque sur les fesses et la fille appela les trois autres. Elles entrèrent dans la chambre précédées par leurs énormes bites de silicone. Elles s’embrasserent toutes 3 ma femme. Et ce fut le début de l’orgie. Voir ma femme se faire défoncer, lécher ces trois chattes, avaler ces godes monstrueux tout en jouant la sainte nitouche, soulignant ainsi ce ce côté chienne en chaleur me rendit dingue.

Je décidais de passer à l’action et de virer ces godes de chez moi.

Je penetrais dans l’appartement sans faire de bruit et franchit le couloir. J’entendais des

gémissements, des

soupirs et un vocabulaire très cru. Ça je savais qu’elle aimait !

Je me mis dans l’encadrement de la porte.

Ma femme était sur le dos, la tête vers la porte. Elle était occupée à lécher la chatte béante d’une des filles, pendant qu’une autre la baisait a grand coups de reins. J’entendais les bruits de succion, les soupirs. La réalisatrice me vit. Elle me fit un grand sourire.

Pour récupérer de ce chaos, être sûr de ne pas rêver, je m’appuyais contre le mur, les yeux clos.

Ma bite tendue me dit que c’était réel. Je repassais la porte.

Elle était en levrette.

Une des filles lui léchait l’anus. Elle gémissait fort, la bouche encore rempli d’un gode, certainement celui qui lui avait dilaté la chatte.

La fille qui le portait me vit à son tour et me fit un clin d’oeil tout en faisant la bouche de ma femme.

La troisième était sous ma femme et lui tétait les seins.

Celle qui lui léchait l’oeillet se redressa et remplaça sa langue par deux doigts. Lentement elle entama la dilatation anale de mon épouse.

Je savais aussi qu’elle aimait se faire enculer.

Elle l’avait fait avant de me rencontrer.

3 puis 4 doigts.

Ma douce cambrait les reins.

Entre ses cuisses, je vis une autre main apparaître. Celle de la fille qui lui léchait les seins. Les doigts envahirent sa chatte. 4 tout de suite tellement elle était bien ouverte et lubrifiée.

Entre ses fesses 5 doigts d’une main, dans chatte également et dans sa bouche une queue énorme. Et elle aimait ça.

Et moi je bandais toujours autant.

Quand le poing disparut dans ses reins, elle feula comme une panthère.

Elle abandonna le gode, regarda la caméra que la réalisatrice avait a la main.

Ma femme tourna la tête, suivant la caméra qui tournait autour du lit. Et soudain, elle me découvrit ne arrière plan. Au même moment, la seconde main disparue dans sa chatte.

Double fist !

Elle prenait son pied. Tout à son plaisir, elle ne réagit même pas à ma présence.

La femme au gode se libéra de ce monstre et vint s’asseoir devant ma femme qui se mit immédiatement à lui bouffer la chatte.

La fille la tenait par les cheveux et sans ménagement lui plaquait le visage contre son ventre.

Les deux poings allaient et venaient sans ménagement.

La caméra enregistrait tout.

Je crois que ma femme eut un orgasme terrible.

Les deux filles sortirent de son corps. Jamais je n’avais vu ses orifices si ouverts. Mais elle semblait avoir encore envie. Comme une vraie salope, elle ouvrait ses fesses avec ses mains maintenant ainsi son anus béant.

Je contemplais son corps comme je ne l’avais jamais vu. Quant à son comportement, je vous laisse juge.

Celle qui était encore à genoux derrière elle, l’encula avec son

gode d’une seule poussée qui lui arracha encore des gémissements terribles qu’elle ponctua d’encouragements crus.

La réalisatrice reprit le contrôle.

La scène s’arrêta sur un clap.

— on se fait un petite séance uro, les filles ?

Elles allèrent dans notre grande salle de bains et je suivis. Ma femme s’arrêta, me regarda avec un drôle d’air, me caressa la joue en disant :

— On à bientôt fini mon chéri.

Une fille lui dit alors :

— Ah c’est ton mari ?

— Oui, qui veux-tu que cela soit ?

— Il est cool en tout cas et certainement très vicieux pour supporter ça.

Je tentais de prendre la parole pour exposer mon point de vue mais la réalisatrice claqua dans ses mains.

— Allez allez !

Une fille s’assit sur le rebord de la baignoire.

Elles étaient toutes très belles et hyper sexy. Toutes perchées sur de hauts talons.

Ma femme s’assit sur le carrelage.

Immédiatement elle

chercha à lécher la chatte de sa partenaire. Celle-ci gémit et plaqua son sexe baveux sur la bouche gourmande. La langue de ma femme devait bien fouiller sa chatte car son plaisir n’était pas feint.

Une des filles attendait debout à côté de moi. Mes yeux allait de ma salope de femme aux seins de cette fille superbe.

La réalisatrice caméra au poing filmait le lechage gourmand.

Soudain la fille signala qu’elle ne pouvait plus se retenir. Ma pute se recula et attendit bouche ouverte.

Un jet clair jaillit soudain, frappant le visage de ma chienne. Elle se caressait les seins avec l’urine chaude, se pinçait les tétons et finit par se fister la chatte jusqu’à ce que le jet se tarrisse.

J’étais épaté par ses performances et je bandais comme un âne.

J’avais une furieuse envie de la baiser comme elle le méritait. Mais je n’étais pas de taille après ce que je l’avais vu avaler.

Soudain, la réalisatrice se tourna vers moi :

— Tu veux ?

— Euh…

Ma voisine se mit à me dévêtir. En quelques instants, je me retrouvais nu, la bite tendue.

Heureusement, je suis généreusement pourvu.

Je m’approchais de ma femme.

Elle me tendit la main et m’attira fermement vers elle et m’embrassa à pleine bouche. Je succombais. Mon amour et mon désir déclenchèrent un baiser torride et je finis par me retrouver assis à côté d’elle. La deuxième fille s’approcha. Sa chatte aux grosses lèvres ouvertes m’excita encore.

Ma chérie appuya sur ma tête et me fit plonger entre les cuisses écartées. Je dévorais ce sexe offert, t’étais le clitoris gonflé pendant que la fille ondulait.

— Ouiiiiii, dit-elle, quelle bonne langue !

Je sentis ma femme se déplacer et elle se retrouva derrière la fille. Je compris qu’elle avait commencé à lui lécher l’anus aux gémissements qu’émettait la fille. Parfois nos langues se

touchaient.

Et soudain, je reçus à mon tour le contenu de la vessie sur mon visage et dans la bouche. Je me mis à lécher furieusement cette chatte dont le goût avait changé.

La fille dut jouir aussi très fort. Elle maintenait nos deux têtes devant et derrière, s’offrant alternativement à nos léchages.

Puis, toujours avec la même autorité, la réalisatrice appela la dernière fille.

Elle avait remis son gode ceinture.

Nous étions tous les deux encore à genoux.

Le gros gode entre nous. Ma femme s’en saisit et d’autorité me le plaça devant la bouche.

— Lèche, il m’a sodomisé tout à l’heure.

Et comme dans état second, j’avalais ce sexe factice au goût délicieux.

Ma femme me rejoignit et nous le sucions à deux.

La fille le releva et se mit à pisser sur nos deux visages collés joue à joue.

Nous recevions ensembles cette douche dorée fantastique.

Quand la source fut tarie, un calme étrange s’installa.

J’embrassais alos ma salope adorée. Elle me répondit avec passion. Je commençais à lui malaxer les seins avec force car le désir me taraudait. Après ce que j’avais vu, mettez vous à ma place.

— T’es une salope, lui murmurais-je à l’oreille.

— Oui, depuis toujours, répondit-elle.

— J’ai envie de te défoncer.

— Huummm.

Il fallait que j’expulse cette tension folle qui m’enivrait trop.

Je me relevais et la tirais pour qu’elle se lève, puis je l’attirais dans la chambre voisine. Les filles nous suivirent. La réalisatrice filmait.

Je jetais ma pute sur le lit, la traitant à voix haute de ce qu’elle était, une chienne.

Elle se retrouva sur le dos. Je lui écartais les cuisses pour voir l’ état de sa chatte toujours béante, toujours dégoulinante. Sans hésiter, je lui pourrais 4 doigts. Elle se cambra et se mit à se pétrir les seins. Je fouillais son sexe avidement.

Puis j’écartais ses fesses. Son oeillet fripé s’ouvrit à son tour.

— Oui ! Oui, criait elle, encore, puis soudain elle m’attrapa l’avant bras des deux mains et me força à la fister. Son cul précédemment bien travaillé et lubrifier avala mon bras.

La caméra était là et ça aussi ça l’excitait.

Je me mis à lui laper la chatte comme un fou tout en manoeuvrant mon poing en elle.

Je n’en pouvais plus.

Je ressortis mon poing tout gras et lui soulevant le bassin, lui mit les fesses en l’air. Ainsi je pus déguster son anus.

Elle se remit son poing dans la chatte pour se baiser furieusement. Elle eut un nouvel orgasme.

Là je décidais de la sodomiser avec ma queue. Ce fut étrange d’entrer sans peine dans son cul dont je n’avais jamais cru qu’il put s’ouvrir autant.

Je la baisais à grands coups de reins mais pas très longtemps car j’avais atteint des sommets d’excitation.

Je lâchais ma semence à l’entrée de son cul.

— super, dit la réalisatrice, c’est dans la boîte.

Ma femme avait prévu le dîner pour elles 4.

J’ai vécu un diner surréaliste.

Nous n’avons sérieusement discuté que le lendemain, le temps que les esprits s’apaisent.

Je me sentais …. remarié à une autre femme, la mienne.

Un soir, elle revint avec le DVD.

Et nous avons regardé tous ses films. Elle a adoré me voir me branler en la regardant.

Elle m’a même dit qu’elle aimerait tourner avec moi.

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