Histoires de baise Histoires de sexe fétiche Premières histoires de sexe

Ma femme se libère – Chapitre 4

Ma femme se libère - Chapitre 4



Quelques jours plus tard Elodie rentra plus tôt qu’à son habitude du travail.

Elle s’était mise en tête de me faire une surprise en préparant un petit dîner en amoureux.

Elle s’était changée en mettant une jupe de couleur noire arrivant à mi-cuisses et avec un décolleté magnifique qui laissait deviner facilement ses énormes seins.

Elle portait des bas et des talons aiguille vernis, bref la panoplie complète qui me rendait totalement dingue…

A mon arrivée, elle me saute dessus en me disant qu’elle avait pensé à cette soirée toute la journée. Elle m’embrassait et prenait ma main pour la poser sur son joli petit cul rebondi.

Ma femme était décidément l’épouse parfaite : une bonne milf qui adore le cul mais qui ne laisse rien présager aux autres une fois passé le pas de la porte de notre domicile.

J’avais cependant bien conscience qu’elle excitait terriblement les autres mâles et qu’elle était elle aussi émoustillée par les regards que les hommes pouvaient poser sur elle.

— Tout cela m’a l’air très bien ma chérie, mais je voulais te parler de quelque chose d’abord.

— Oui, qu’y a-t-il ?

— Eh bien j’ai lu dans un article aujourd’hui que 80% des femmes avaient pour fantasme de baiser avec d’autres hommes que leur mari. Est-ce que c’est ton cas ?

— Pas du tout, je suis très heureuse de notre vie de couple et suis comblée sexuellement.

— OK, mais je voudrais simplement vérifier, car je souhaite que tu sois la plus épanouie possible. Pour cela, je te propose que l’on aille faire un tour dans un club libertin de la capitale ce soir. Aisi, nous pourrons boire un verre et simplement regarder comment ça se passe.

Elodie semblait étonnée de cette proposition.

— Je ne suis pas sûre, on ne sait jamais comment l’on peut réagir dans ce type de situation.

— Ne t’inquiète pas, c’est juste pur regarder

— OK ! Mais d’abord je veux boire un verre pour me détendre un peu.

Je sais que l’alcool a pour effet de rendre ma femme particulièrement chaude et je lui verse donc un whisky bien tassé qu’elle boit d’une traite !

Nous voilà donc dans la voiture et je la vois se trémousser sur son siège.

— Cette situation m’excite terriblement tu sais ! Mais j’ai peur que tu ne puisses te retenir et que tu pelotes des nanas dans ce club. Tu sais que je suis terriblement jalouse et je ne le supporterais pas.

— Mais non ne t’inquiète pas.

— Je préfère prendre une petite sécurité si tu le veux bien.

A ce moment elle se penche vers mon entrejambe, ouvre ma braguette et sort ma queue.

— Je vais te vider les couilles, comme ça tu seras moins chaud, me dit-elle en souriant.

Elle commença à me branler doucement et ma queue ne tarda pas à se raidir.

Alors que je conduisais en direction du club, elle mit alors ma bite dans sa bouche et l’avala toute entière.

J’entendais le bruit de succion de plus en plus fort et je sentais ma queue toucher le fond de sa gorge.

Je suis au feu rouge et j’aperçois sur le côté deux jeunes avec casquette vissée sur la tête qui regardent la scène.

Je le dis à ma femme qui leur jette un regard, entre-ouvre la fenêtre et se remet à l’ouvrage sur ma queue.

Les jeunes y vont de leurs commentaires salaces :

— Chouffe la tepu fréro. Comment elle lui bouffe la teub. Le bâtard il a trop de chance. T’aimes ça hein grosse salope ! Viens là qu’on te défonce nous aussi.

A ce moment, le feu passe au vert, j’enclenche la première et nous voilà repartis.

— Dommage, j’aurais bien accepté leur invitation, me dit-elle en souriant.

— Salope, vas-y pompe moi bien, on est presque arrivés !

Je trouve une place très près du club et je me gare immédiatement, car je sens que je ne vais plus pouvoir tenir longtemps.

Je regarde ma femme au visage si prude, aux lèvres si parfaites, aller et venir aspirer ma queue avec vigueur.

— Ahh, j’en peux plus, tiens avale sale chienne.

Elodie avala minutieusement, jusqu’à la dernière goute de mon sperme épais.

— Nous pouvons y aller maintenant me dit-elle.

A l’entrée, un vigile nous regarde de la tête aux pieds et nous fait rentrer.

Une fois à l’intérieur nous voyons une piste de danse et sur le côté un bar. Tout au fond se trouvent des alcôves dont j’imaginais bien l’usage…

Nous commandons un verre et regardons les gens danser sur la piste.

— Je sens que l’alcool me monte à la tête, il faut que je fasse attention car sinon je vais être complètement bourrée. Et puis ça m’a chauffée de te sucer comme ça, regarde.

A ces mots elle prend ma main et la glisse sous sa jupe. Je sens immédiatement qu’elle est totalement trempée.

— Ça te fait mouiller de sucer des bites, hein.

— Tu sais très bien que j’adore te sucer me répond-elle avec un sourire en coin. Il faut que j’aille me repoudre le nez, je reviens tout de suite.

— OK je t’attends.

Elodie se fraie un chemin entre les danseurs et je continue de mon côté à boire mon verre en matant les couples sur la piste de danse.

Elodie se trouve en face d’un homme d’une quarantaine d’années, manifestement bien bâti, à qui elle demande où se trouvent les toilettes.

— Venez, je vais vous accompagner, vous semblez un peu perdue.

— Oui, c’est la première fois que je viens ici.

— Très bien ! Venez

Il prend Elodie par la taille et la pousse en direction du fond de la salle. Sa main se hasarde jusque sur les fesses d’Elodie qui ne s’en rend pas compte. Ils arrivent alors dans une petite salle sombre où l’on entend des gémissements d’une femme qui est manifestement en train de faire l’amour.

— Ce ne sont pas les toilettes dit Elodie.

— Non mais j’ai bien senti que tu voulais autre chose, lui répondit l’homme qui posa alors sa main sur le sein gauche de ma femme.

— Je sais sentir les femmes en chaleur, et toi tu m’as l’air bouillante, n’est-ce pas ?

L’individu se frottait à Elodie qui se retourna pour tenter de partir, mais il le tenait maintenant par les hanches et se frottait sur son cul.

— Je ne peux pas, il y a mon mari dans la salle et il m’attend.

— T’inquiète, à l’heure qu’il est ton mari est en train de tripoter ma femme.

— Comment ?

— Oui, c’est moi qui l’ai envoyée pour le chauffer, et personne ne peut lui résister.

— Je n’y crois pas du tout.

— Ben regarde !

A ce moment, effectivement, Elodie me vit en train de caresser le cul de cette magnifique brune qui portait une mini-jupe et un t-shirt blanc qui laissait deviner une poitrine généreuse.

— L’enfoiré, et dire que je l’ai sucé juste avant pour être sûr qu’il ne soit pas tenté !

— Les mecs sont tous les mêmes ma jolie, mais ne t’inquiète pas, cela veut dire que tu as l’autorisation de faire ce que tu veux toi aussi.

A ces mots, l’homme glissa sa main sous la jupe d’Elodie qui eut un sursaut puis se cambra légèrement.

— Puisque tu aimes tant sucer, mets-toi à genoux et suce ça !

Sans plus réfléchir, Elodie se retourna et constata que l’individu avait sorti sa queue.

— Elle est énorme ! Lâcha-t-elle spontanément.

— T’inquiète, elle va très bien passer dans ta bouche de pute !

L’individu mit alors sa main sur la tête d’Elodie pour l’obliger à s’agenouiller ce qu’elle fit sans résister.

Elle ouvrit grand la bouche pour accueillir cette énorme queue qu’elle commença à lécher, puis elle tenta de l’avaler, mais elle ne put mettre que la moitié de ce sexe qui butait au fond de sa gorge.

— Montre-moi comment tu suces bien. Ton mari m’a dit tout à l’heure que tu étais une suceuse hors pair.

— Ah oui, il t’a dit ça ! Eh bien il va avoir ce qu’il mérite !

Elodie s’efforça alors d’avaler encore un peu plus loin la bite de l’homme qui ne put s’empêcher de faire état de sa surprise.

— Putain, mais t’es vraiment chaude toi ! Vas-y pompe moi bien.

Elodie était surexcitée et ses cuisses étaient trempées de mouille. Elle accélérait le mouvement et l’homme lui tenait l’arrière de la tête pour la forcer au maximum à avaler sa queue.

— Elle est bonne ta grosse bite ! Hummmm j’adore ça !!

— Doucement, tu vas me faire jouir à me sucer comme ça !

Il prit Elodie par les cheveux pour la remonter, la retourna contre la banquette, lui écarta les cuisses et tira sur la ficelle de son string.

Il glissa deux puis trois doigts dans la chatte de ma femme qui n’en tenait plus.

— Putain, j’ai jamais vu une chienne pareille, je vais avoir besoin de renfort pour te calmer toi ! Youssef, vient voir ! Regarde cette salope, elle en veut dans tous les trous !

— Sans problème, répondit-il.

Le nouvel individu sortit à son tour sa queue et la présenta à Elodie qui, sans dire un mot, la mit dans sa bouche.

Le premier homme, quant à lui, enfonça sa queue dans la chatte de ma femme qui était déjà complètement ouverte et mouillée à souhait.

— Tu sais que ton mec est en train de baiser ma femme au moment où je te parle, glissa-t-il à l’oreille d’Elodie.

— Eh bien baisez-moi vous deux, il n’y a pas de raison que mon mari soit le seul à en profiter !

— Comme tu voudras sale chienne dit Youssef. On adore les milfs bien prudes dans ton genre qui viennent s’encanailler ici.

Il prit alors la tête d’Elodie à deux mains et la força à avaler sa bite.

— Voilà c’est bien, avale ma queue comme une bonne salope. T’as pas honte d’aimer sucer des nuds comme ça sale chienne ?! Heh Christophe, vas-y défonce là !

Le fameux Christophe mettait des grands coups de butoir dans la chatte de ma femme qui était totalement livrée à ces deux hommes.

— Au fait, ton mari ne baise pas du tout ma femme, il t’attend gentiment au bar et attend que tu reviennes. Il ne m’a jamais parlé de toi et n’imagine certainement pas ce que tu es en train de faire en ce moment !!

— Oh merde, t’es vraiment une ordure lui répondit Elodie.

— Tu veux qu’on arrêt Youssef et moi ?

— Non allez-y, j’en peux plus, j’aime trop ça bordel !

— C’est bien ce que je pensais ! Tiens, je vais t’enculer pour la peine, mais ne t’inquiète pas, on ne répètera rien à son cocu de mari.

Sans plus attendre, Christophe présenta son énorme queue devant le petit trou de ma femme et l’enfonça progressivement.

Elodie était tellement excitée qu’elle mit un coup de reins qui fit rentrer cette grosse bite dans son cul d’un seul coup.

— Ah ouais ?! T’es encore pire que ce que je pensais !! Eh Marco, va me chercher le mari !

A ces mots un troisième type vint me chercher en prétextant que ma femme avait fait un malaise.

Lorsque je suis arrivé, j’ai vu Elodie à quatre pattes, la jupe relevée, un grand gaillard en train de l’enculer et un autre en train de se faire sucer.

Elle me jeta un regard et me dit : Putain, c’est trop bon, je ne peux pas m’en empêcher, ces deux salops me baisent trop bien. Hannn ! Putain, il m’encule trop bien avec sa grosse bite !

J’étais à la fois effaré et excité par cette scène.

— Oh la pute, je vais me décharger dans son cul !

— Et moi je vais lui gicler dans la bouche, tiens !!!!

Les deux individus se retirèrent après plus sieurs soubresauts !

— Elle est vraiment trop bonne ta femme mon vieux !

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire