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Ma fille Cloé – Chapitre 6

Ma fille Cloé - Chapitre 6



Après une bonne douche et un bon repas pour nous remettre en forme, Cloé pose sur sa maman et moi son regard ravageur et dit :

Papa chéri, tu sais ce que j’aimerai, c’est que maman soit prise par d’autres hommes devant moi, je dois te dire que cela me turlupine depuis un bon moment.

Rien que d’y penser, je mouille terriblement ; vous pouvez le constater ! La coquine remonte sa jupe ; en effet, son tanga est humide. Ma femme s’approche et lui passe sa main sur l’entrejambe, en prenant soin de faire glisser ses doigts sur la fente protégée que par le fin tissu de la culotte.

Mon Dieu, ma chérie, tu es insatiable, tu es digne de ta maman, mais avant, comme tu me l’as demandé, je vais te faire un fist d’enfer, après nous reparlerons de ton fantasme !

Oui, je veux bien essayer le fîst, ça doit être bon, car tu as joui comme une damnée lorsque je te l’ai fait subir !

Ma femme lui tapote la chatte et lui dit :

Prends la pose petite nymphomane, tu vas savoir ce que c’est un bon fist !

Rapidement, Cloé se met nue, elle se place sur le canapé, jambes repliées sur son ventre. Je propose de préparer le terrain, ma femme acquiesce en faisant un large sourire. Je verse sur la jeune chatte assoiffée un filet d’huile, et badigeonne abondamment la fente ; Cloé agite déjà son bassin. Deux de mes doigts pénètrent le temple, tournent à l’intérieur en s’enfonçant profondément dans le conduit. Cela provoque quelques frémissements à notre fille :

Oh, papa, continue, c’est trop bon !

Je lui souris, et enfonce un troisième doigt ; je m’évertue à dilater le mieux possible le conduit de chair qui mouille de plus en plus. Cloé grogne de plaisir, elle glousse comme un animal. Je regarde ma femme et lui fais un signe de tête, je retire mes doigts noueux du vagin dégoulinant de cyprine. Ma femme s’agenouille face à Cloé, elle enduit sa main de lubrifiant puis un à un enfonce ses doigts dans la vulve gourmande. Ses doigts sont en elle jusqu’aux dernières phalanges, Cloé soupire, elle souffle comme un buf, les doigts de ma femme tournent dans la gaine en forçant l’entrée récalcitrante. Cloé grimace, pousse un cri lorsque le vagin avale la main maternelle.

Maman, maman, ooooh, je suis remplie !

Ma femme murmure :

Maintenant ma chérie, cela va être que du bonheur !

Elle tourne doucement la main en faisant de lents va-et-vient, Cloé a la bouche grande ouverte pour prendre un maximum d’air. Ma femme commence à accélérer le mouvement sans quitter des yeux les réactions de Cloé, son ventre a de nombreuses contractions comme s’il était secoué de spasmes. Ma femme augmente le ramonage, Cloé grogne de plus en plus fort. J’écarquille les yeux, le ramonage est violent, ma fille couine sous les assauts répétés, la chienne va jouir en rut. J’extirpe de mon pantalon mon membre raide et le masturbe sauvagement.

Oh oh, regarde ma chérie, papa prend son pied aussi ! dit ma femme en souriant.

Cloé n’entend rien, elle est trop absorbée par le ramonage intense que lui inflige sa maman. Elle agite son corps fortement en poussant des cris de bêtes blessées. Elle se cambre, pousse un cri rauque prolongé. Sa cyprine gicle avec force sur l’avant-bras de ma femme qui ferme le poing et augmente la cadence. Cloé a les yeux révulsés, elle halète fortement, son corps est secoué de spasmes violents, elle gicle abondamment

Moi, je déverse ma semence sur ses seins, ma femme l’étend de sa main libre en faisant des cercles sur la peau fine de notre jouisseuse. Doucement, ma femme retire sa main, elle caresse la vulve béante un bon moment, sans omettre au passage de taquiner le bouton d’amour.

Alors ma chérie, comment a été cette nouvelle expérience ?

Mon Dieu maman, terrible, c’est trop bon, si j’osais, j’en redemanderai !

Non, ma chérie, c’est assez pour aujourd’hui, ton cur va exploser ! répond ma femme.

Le corps gluant de ma semence, Cloé n’a d’autre choix que de rejoindre la salle d’eau. Pendant le dîner, la coquine revient sur son obsession.

Alors maman, cela te plairait de te faire prendre par d’autres que papa ?

Tu sais, papa me l’a déjà proposé plusieurs fois déjà, j’hésitais jusqu’à ce que tu en parles, eh bien, je suis d’accord, je crois que cela ne peut être que jouissif !

Ouah, bravo maman !

Moi je ne peux qu’applaudir à cette heureuse décision, je crois que cela va me faire bander terriblement. Maintenant, il reste à savoir avec qui ; c’est à ma femme de choisir le ou les heureux élus. Longuement, nous naviguons sur le Net à la recherche du partenaire idéal. Ma femme flash sur un couple aux murs libres, je suis heureux qu’enfin elle se décide. Je prends contact avec le couple, nous échangeons quelques photos, satisfaction totale. Le rendez-vous est pris pour le week-end à venir. La veille, c’est effervescence à la maison, la nuit fut agitée, le sommeil, dur à trouver. Enfin le jour est arrivé. La sonnette de la porte d’entrée retentit, je vais ouvrir ; le couple est au rendez-vous, je le fais entrer et le dirige vers le salon ; les présentations furent brèves, lui, c’est Paul, elle, Lise. La femme est grande, élancée, un beau brin de fille ; lui, trapu, taillé à la hache ; un bel homme comme l’avait fait remarqué ma femme en voyant sa photo sur le Net.

Nous prenons un ou deux verres pour faire de plus ample connaissance ; je demande si ma fille peut participer aux ébats, le couple en est ravi. Enfin, je propose de passer à l’acte, je débarrasse la table basse, pousse un peu les fauteuils. Le signal est donné. Rapidement, nous nous retrouvons entièrement nus. L’homme, habitué à de telles situations, prend l’initiative. Il s’approche de ma femme, se place derrière elle, et passe ses mains sur les lobes fessiers ; il les palpe longuement, et complimente ma femme sur la fermeté de ceux-ci. Ensuite, il se plaque contre ses fesses, saisit doucement les seins généreux de ma femme, en tâte la texture, puis les masse doucement ; aussi incroyable que cela puisse paraître, les deux mamelons se dressent immédiatement comme par enchantement. La femme, quant à elle, demande à ma fille de s’allonger sur la table avec un coussin sous les reins.

Cloé obtempère, elle replie instinctivement ses jambes sur son ventre, la coquine sait réagir positivement. La femme contemple les deux orifices ainsi offerts, elle sourit puis suce ses deux doigts, en prenant soin de bien les enduire de salive. Elle les fait glisser de la fente à l’anus de nombreuses fois, elle appuie sur l’anus avec son majeur à chaque passage sur celui-ci. Avec une main d’experte, elle sort de son écrin le bouton d’amour, et le frotte avec son pouce. Son autre main glisse sur la fente entrouverte qui commence à s’humidifier. Elle y enfonce deux doigts, Cloé se cambre, le doux va-et-vient que pratique la femme la fait frémir de plaisir. Moi, je m’installe dans un profond fauteuil, ma queue est déjà raide, je la caresse doucement en ne perdant rien du spectacle. L’homme saisit ma femme par les hanches et fait mine de la sodomiser ; ma femme agite sa croupe, elle sent contre son fessier la queue de l’homme qui prend de l’ampleur.

Elle passe sa main derrière elle, saisit le manche ; elle se retourne brusquement sans lâcher sa prise. Le membre de l’homme est large et épais, les veines qui le parcourent le rendent monstrueux. Ma femme fait plusieurs pressions sur l’engin puis le branle doucement, le mandrin prend sa taille maximum. L’homme la repousse sans brusqueries ; il lui pose ses mains sur les seins et fait tourner ses pouces autour de mamelons. Ses pouces tournent sur les aréoles brunes sans toucher les bouts. Les seins de ma femme se raffermissent davantage, les bouts épais se dressent comme jamais, l’homme les étire doucement à la limite de la douleur, ma femme pousse des soupirs bruyants en fermant les yeux. L’homme les presse délicatement, ma femme grogne de plus en plus. Moi, je suis surpris de la dextérité du bonhomme, c’est un vrai pro.

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