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Ma fille, sa copine, mes rêves – Chapitre 2

Ma fille, sa copine, mes rêves - Chapitre 2



La nuit venue, je ne cessai de me demander si quelqu’un m’avait effectivement vue dans ma douche, si ce n’était pas une invention de mon esprit fatigué par le sport. Qui aurait donc pu m’observer ainsi? Soit ma fille…soit Lou. Car personne n’aurait pu me surprendre par hasard.  

 

J’en venais à me demander quelle éventualité je préférais : être épiée par ma fille ou sa copine?? Et puis en même temps, je repensai à ce que j’avais découvert : ma fille était lesbienne, et elle en était aux choses sérieuses vu le cuni que Lou lui avait prodigué…je me surprenais même à penser qu’elle avait l’air de savoir s’y prendre, la bougre…La vision de ses fesses blanches qui émergeaient du jean, de ses cheveux blonds plongés entre les cuisses de Gaëlle, toutes ces visions ne cessaient de m’assaillir, m’empêchaient de trouver le sommeil 

 

Le souvenir de cette scène et la fatigue m’assaillaient conjointement ; je n’ai aucune autre excuse pour que ce que je fis après…je sentis mon bras se rapprocher de mon entrejambe, lentement, comme mû par une volonté propre, puis ma main caresser mon sexe épilé…je me souvins de mes folles nuits avec des camarades étudiantes qui m’avaient fait découvrir le sexe lesbien…puis mon esprit dériva vers ma fille et sa copine qui couchaient ensemble, qui goûtaient à leur tour à ce joli fruit défendu…plongée dans une fièvre rêveuse, je prenais la place de ma fille dans la scène que j’avais surprise hier. J’admirai le visage de Lou dévorant sous mes yeux mon entrejambe, et je finis par m’abandonner totalement dans cet état brumeux qui marque la frontière entre le rêve et la conscience…dans cet espace de liberté et de détachement qui me tendait les bras, je me retrouvai en train de poser mes lèvres sur celles, rouges et sucrées, de Lou… 

 

Je planais. Et en même temps, je découvris dans mon rêve une sensation terriblement douce, chaude ; mon corps se masturbait et était proche de l’orgasme, mais mon esprit avait atteint une émotion irréelle, planante…je ne sais si j’avais embrassé ces lèvres une seule fois, ou si mon esprit avait vécu milles baisers ; j’avais l’impression d’avoir connu durant un siècle cet état de désir mais que je l’avais vécu en une seule seconde. Le baiser venait de commencer, mais je connaissait déjà tous les détails, le goût merveilleux des lèvres qui m’avaient tentée ; mais la seule envie que j’avais étaient de continuer à fusionner ainsi, j’étais en manque 

 

Je finis par sentir non plus une mais deux paires de lèvres dans notre baiser évanescent ; une autre personne s’était jointe à Lou et moi, je cherchai à prolonger ce moment de découverte…quand la lumière revint dans le monde imaginaire que j’avais rejoint, je vis l’image de Gaêlle qui réalisait l’impossible, en embrassant à la fois Lou et moi. Je mis quelques secondes à prendre conscience du trio que nous formions dans mon esprit. 

 

Je sursautait à la vue de ma fille, arrêtant mes caresses au bord de l’orgasme. je me demandais comment on pouvait être assez folle pour inviter sa fille dans ses rêves érotiques (ce qui rendait presque anecdotique le fait de fantasmer sur sa copine). Je réussis à m’endormir, non sans être dévorée par l’envie de jouir, ou par la pensée de comment j’aurais agi si Lou m’avait vraiment surprise nue auparavant 

 

Lou avait passé la nuit chez nous, le lendemain elle et ma fille devaient passer leur journée dehors avec des copines : un temps nécessaire pour m’aérer l’esprit…malgré mon sens moral, je n’ai pu m’empêcher de jeter quelques coups d’il à Lou dans sa tenue de nuit, dès le petit-déjeunerElle était toujours aussi mignonne, même dans la réalité ! Une journée sans les filles ne serait pas de trop pour oublier les sensations qui me venaient, me dis-je. 

 

Mais quand les filles revinrent pour le dîner, de nouvelles bouffées de chaleur m’assaillirent ; ma fille était ravissante, et Lou…avec son fin haut blanc, sa jupe d’été violette, et ses cheveux blonds attachés par un ruban, elle était juste à croquer…pendant le repas, je rougissait à chaque fois que nos pieds se touchaient sous la petite table, et je ne pouvais m’empêcher de jeter quelques coups d’il vers la poitrine de Lou et les blancs lacets de son corset…Mon dieu, ce fut le repas le plus éprouvant de ma vie, sans aucun doute…je me disais : "quelle honte si elles venaient à entendre tes pensées ! Quel choc cela leur ferait ! ".  

 

Il ne me restait plus alors qu’une nuit à passer dans la même maison que cette Muse…lorsque j’allais me coucher, je regrettai de ne pas avoir de somnifère capable de m’éviter un autre rêve érotique. Alors qu’après un peu de temps le sommeil se rapprochai de moi, j’entendis des bruits de pas discrets près de ma porte, puis ma porte s’ouvrir 

 

Je m’attendais à trouver Gaëlle, mais la silhouette vers laquelle je me retournais avait de longs cheveux blonds…étais-je déjà endormie? tout ceci n’était qu’un cauchemar (ou le plus beau des rêves)? Non, quand elle avança vers moi je vis distinctement Lou, avec un haut en coton (qui laissait pointer ses seins), une fine culotte rouge, et un sourire ravageur sur le visage 

 

Je ne pus parler que quand Lou était arrivée au bord de mon lit :  

— Mais…mais qu’est ce que tu fais ici ? 

— Hé bien je t’aguiche ca ne se voit pas? 

— Quoi? 

— je t’ai fait du pied tout à l’heure mais ca ne t’as pas suffi apparemment…il faut donc que je vienne jusqu’ici, à ta merci 

— tu es complètement folle !  

— Non, je suis chaude et j’ai trèèèès envie que tu me baises Hélène…si j’avais su que la mère de Gaëlle serait aussi canon…quoi, tu ne me trouves pas jolie? 

— tu es très belle mais 

— allez, j’en ai envie et je sais que tu nous m’as vue en train de brouter Gaëlle l’autre jour. Tu n’as pas aimé? 

Je n’ai même pas pu répondre tellement j’étais surprise.  

— Oh mon dieu tu t’es masturbée en pensant à nous ! Tu es aussi chaude que moi, avoue 

— Lou, je t’en prie…mmhh 

 

Lou prit ma tête à deux mains et m’embrassa d’un coup après s’être mise à califourchon sur mon corps allongé. J’aurais aimé résister ne serait-ce qu’un peu, mais ses mains, sa peau, le goût fruité de ses lèvres…c’était comme dans mon rêve. J’avais encore de la honte, mais sa langue a balayé mes doutes. Elle me rendait chaude, elle me transmettait l’excitation.  

 

Ses mains descendirent sous mon haut pour toucher mes seins, je pressai même ses doigts de fée contre mes mamelles, jusqu’à ce que j’enlève le haut pour qu’elle vienne le lécher mes seins (un peu pendants mais toujours aussi désirables apparemment) ! Je me sentais vivre ; juste sentir sa langue, ses doigts passer sur mon corps, c’était tellement électrisant ! Avoir sa bouche plaquée contre ma peau âgée, sur des zones qui n’avaient plus été stimulées depuis longtemps, quel choc c’était… 

 

— tu es tellement sexy, tu me faisais mouiller rien que de penser à ton corps sous la douche… 

— petite perverse, je savais que j’étais espionnée, tu m’as donné la peur de ma vie !  

— soit pas fâchée, je sais comment me faire pardonner 

 

Elle se redressa, enleva d’abord son haut, dévoila des petits seins parfaits, rondelets, des mignons petits mamelons qui remplissaient le creux d’une main…elle se caressa sa poitrine devant moi, juste pour le plaisir de m’aguicher (et dieu que c’était efficace !), en se déhanchant effrontément. J’ai moi-même fait glisser sa jolie petite culotte le long de ses jambes, pour avoir accès aux magnifiques fesses que j’avais déjà admirées et à une colline bien lisse ; sans autre contrainte que celle du désir, j’ai attiré ensuite Lou à moi, pour nous allonger l’une contre l’autre, entièrement nues… 

 

— lèche-moi la chatte, ma douce…" implorais-je 

— ha, tu vois que tu aimes te faire brouter le gazon !  

— pitié, lèche-moi… 

— répète-le… 

— allez ma gouine, broute-moi comme tu as brouté ma fille !!! 

 

Aussitôt Lou descendit vers mon entrejambe qui était déjà bien humide, et se mit tout de suite à donner des petits coups de langue, elle commençait à recueillir un peu de mon nectar. Ma main dans ses cheveux, je la pressai à mon contact, mûe par le désir implacable de sentir sa langue contre ma vielle chatte, de la sentir m’explorer, de la voir embrasser ma chair 

 

Cette jolie goudou ne manquait pas de pratique, je la sentais aller droit vers mes zones sensibles ; je ne revenais toujours pas de voir une jeune fille comme elle prendre plaisir à brouter une femme de plus de 20 son aînée…et comme elle me faisait jouir, comme c’était bon ! Rester à peu près silencieuse devenait un supplice, sa langue dans mon tréfonds me procurait tellement de sensations ! J’avais dépassé le rêve, je jouissais, et je jouissais avec une jeune beauté blonde qui se délectait de ma mouille !! Durant ces ultimes instants de gloire érotique, j’appuyai mon con contre son visage autant que je le pouvais, essayant de prolonger ces belles secondes 

 

Lou gardait son air effronté et coquine, même avec les joues et les lèvres dégoulinant de cyprine. Elle remonta vite vers mon visage, m’embrassa et me fis partager le goût de ma mouille. Je devenais accro, je l’embrassai follement, passa le doigt sur le fruit qui m’était si défendu 

 

-enlève ton doigt, on va faire quelque chose de plus marrant !  

 

Je n’insistai pas et elle me fit allonger, avant qu’elle se relève et dépose sa chatte contre ma bouche ! Même dominée ainsi, je n’émis aucune réserve, j’aimais la position qui me permettait d’avoir un bel accès à son cul de fée. Grâce à cette prise délicieuse je pus moi aussi entrer en elle : je me délectai de ce fruit bien frais, jouai avec son clito, pendant qu’elle malaxai ses seins, elle savait parfaitement comment m’exciter 

 

Avec son sourire satisfait et sa manière d’onduler, on voyait qu’elle était dans son élément, tellement chaude…avec le recul j’aurai dit qu’elle était faite pour ca. Tout en elle m’excitait, cette façon de m’avoir séduit, de m’avoir fais retrouver un plaisir disparu, j’essayais de lui rendre un peu de cela en la broutant du mieux que je le savais. Elle mis plus de temps à jouir que moi, j’avais pu profite sans vergogne de son adorable derrière, de ses cuisses qui suaient, du nectar qu’elle me servait à boire  

 

Quand elle enleva ses jambes de mon visage je restai haletante, exténuée, mes forces m’abandonnaient et le sommeil me tendait cette fois les bras. Sans que je puisse dire quoi que soit, mes yeux virent Lou repartir de la couche, me faire un sourire coquin avant de disparaître. Mon corps tremblai encore, mais je suis sûre d’avoir rejoint Morphée dans l’instant où elle a quitté ma chambre…

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