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Ma meilleure amie Catarina et le lycée – Chapitre 4

Ma meilleure amie Catarina et le lycée - Chapitre 4



Salut à tous, vous remarquerez que j’ai changer le nom Catarina pour Caterina, jespère que ça ne vous gênera pas de toute façon c’est le même personnage y a qu’une lettre qui change. Bonne lecture :).

Chapitre 4 : Duel pour la belle

Je cours de toutes mes forces vers ce putain de super-marché.

J’ai calculé, si j’arrive à faire mes achats et à me rendre chez moi suffisamment vite je pourrait foncer chez Caterina et je ne les aurai laissé touts seuls qu’une demi heure. J’entre en trombe dans le magasin, attrape au passage ce qui me passe sous la main dans les étalages et me dirige rapidement vers le guichet…oh putain la queue est énorme (je parle de la queue devant le guichet hein…bande de pervers)

Je finis par sortir du super-marché et me précipite chez moi. Je dis à ma mère que je vais manger chez Caterina et claque la porte derrière moi…avant de remonter les 4 étages parce que j’ai oublier mes affaires de laprès midi.

Ça y est je suis chez Caterina, j’ouvre la grille avec le code et me précipite dans l’entrée avant d’appuyer frénétiquement sur le bouton de l’ascenseur…qui ne marche pas…bon c’est parti pour 9 étages d’escaliers. Bon au moins j’aurais fait du sport !

Je sonne chez elle et évidemment c’est Antoine qui m’ouvre.

— Ah. T’es venu finalement. Remarque-t-il un brin déçu.

"hé ouais mon coco, je suis la pour casser tes plans" me dis-je dans ma tête.

— Euh ouais, elle est ou Caterina ? Réponds-je.

— Elle prend sa douche, referme derrière toi. Dit Antoine en s’éloignant vers la chambre de Caterina. Je ferme la porte puis le suis.

La chambre est grande et joliment décoré. A l’angle de l’immeuble il y a donc deux fenêtres. Caterina m’a raconté qu’elle avait surpris son voisin, un quinquagénaire bedonnant, la mater par la fenêtre en se paluchant à plusieurs reprises.

Contre une des fenêtre, un bureau avec un ordinateur, sous l’autre fenêtre son lit et sur les deux autres murs, une penderie, et autour de la porte d’entrée des étagères avec une télévision.

Antoine va s’asseoir sur le lui et reprend ses activités qui étaient visiblement de regarder la télé. Je m’approche et j’aperçois alors des vêtements à côté de lui…un soutien gorge à armatures beige et une culotte de la même couleur. Qu’est ce que…du calme Yanis du calme…il y a un jean et un col roulé à côté donc c’est pas les vêtements de ce matin, ça doit juste être les fringues qu’elle va mettre après. J’étais déjà sur le point d’imaginer une scène ou Caterina se déshabillait devant Antoine, peut être histoire de finir le massage…

Antoine aperçoit mon regard sur les vêtements et me sourit ironiquement en s’allongeant confortablement sur le lit, l’air de me dire "Tu sais pas ce que j’ai pu faire en une demi-heure…". Son téléphone sonne alors. Il se lève et part dans le salon pour répondre.

— Antoine ?? Crie Caterina depuis la salle bain.

Je m’approche de la porte pour répondre.

— Il est partit téléphoner, c’est Yanis ! Réponds-je

— T’es venu finalement ? cool ! Tu peux dire à Antoine de me ramener mon sortie de bain après ? il est dans ma chambre.

— Euh…ba je peux le faire moi hein…

— Ah oui je suis bête ha ha, vas-y s’il te plaît. Demande-t-elle

Je vais vers sa chambre et fouille la penderie. J’essaye de ne pas me laisser distraire par les petites culottes et les soutifs qui s’agitent sous mon nez et attrape le plus court des deux sorties de bains (cochon jusqu’au bout n’en doutez pas)

Je me dirige vers la salle de bain et je trouve Antoine devant la porte qui a fini son appel et m’interpelle.

— Ah t’as le sortie de bain ? File le moi je vais le donner.

— Elle m’a demander à moi mec. Réponds-je, légèrement menaçant.

On se jauge du regard quelque secondes, il sert les dents puis recule. Malgré sa silhouette athlétique, Antoine est plutôt peureux dans le genre ultra pacifique. En fait au collège c’était un petit gros qui se faisait marcher dessus, puis il sest mit à faire du sport et il s’est embellit, ça a remonté sa côte de popularité et il a commencé à traîner avec des gens cool mais au fond il reste le même qu’avant et je le sais. Il s’éloigne vers la chambre de Caterina et cette fois c’est moi qui lui lance un regard victorieux.

J’ouvre la porte que Caterina a déverrouillé, en bombant le torse, et entre dans la salle. Mes yeux se tourne aussitôt vers le rideau de douche et…waw…la silhouette de Caterina apparaît en transparence à travers le rideau.

Je n’aperçois qu’un vague reflet noire mais ça suffit à me faire bander…la savoir nue de l’autre côté…elle est de profil et je peux donc voir ses courbes avantageuses en détails, à larrière son pétard forme une courbure aguichante et digne des plages brésiliennes ce qui fait ressortir sa sublime cambrure, son ventre plat et au-dessus, ses deux magnifiques rondeurs. Je m’imagine arracher le rideau, l’attraper par ses longues cuisses galbés et la souiller contre le lavabo tout en jouant avec ses tétons et…mais je m’égare.

— Bon qu’est ce que t’attend ? S’impatiente-t-elle en sortant sa tête de derrière le rideau. Sa longue chevelure brune dégoulinante le long de son épaule à la peau bronzé.

— Ah oui tiens, Lui dis-je en m’approchant et en lui tendant le sortie de bain, pour l’attraper elle est obligée de se pencher en avant en ses deux pare-chocs viennent tendre le rideau de douche, me confirmant encore une fois leur incroyable résistance à la gravité et leur fermeté quand je vois comme il ne tombent absolument pas malgré leur taille plus que respectable.

— Dommage pour Antoine, Rit-elle.

— Hein ? M’exclamais-je en détachant mes yeux du rideau (dieu sait que c’est difficile)

— Oui il m’a dit tout à l’heure qu’il aurait aimé voir de quoi j’ai l’air les cheveux mouillés.

"Ouais il voulait pas voir que ça à mon avis" pensais-je.

— Ah OK.

Je ressort de la salle de bain, regrettant de ne pas avoir pu filmer et reste dans le couloir pour ne pas rejoindre l’autre abruti.

Deux minutes plus tard Caterina ressort (oui une fille aussi rapide c’est rare) enveloppée de son sortie de bain, Antoine arrive et marque un temps d’arrêt. Le sortie de bain que j’ai choisi lui arrive juste au dessus des genoux et la ceinture à la taille est très courte ce qui l’a obliger à serrer très fort faisant ressortir ses bon gros melons. et mettant en valeur ses larges hanches (larges mais pas trop hein, juste la perfection) Antoine me lance alors un regard….deux secondes…je rêve ! oui c’est bien de la reconnaissance que je vois dans ses yeux !

— Bon je vais me changer ! Dit-elle.

— Non attends, interviens Antoine.

— Pourquoi ? s’étonne-t-elle (on s’étonne tout les deux là d’ailleurs.

Antoine marque un temps d’hésitation.

— Ba t’es toute mignonne avec ta capuche c’est marrant ! reste comme ça. Dit-il en rigolant.

Caterina rougit, c’est vrai qu’avec son petit minois enfoncé dans sa capuche, ses grands yeux de biches, ses longs cils, son nez fin, ses joues rondes et ses lèvres de suceuses, elle exciterait n’importe qui.

— Bon d’accord sourit-elle.

Moi et Antoine échangeons un regard complice à nouveau, ce qui m’amuse.

On se dirige vers le salon, les yeux fixés sur son bassin enchanteur et on sassoit devant la télé, Antoine passe aussitôt son bras par dessus les épaules de Caterina alors que j’allais le faire, elle se blottit alors contre lui et il me fixe, goguenard.

Caterina lève une jambe et la pose sur la table basse avant de croiser l’autre par dessus. Comme elle est concentrée elle ne remarque pas nos regards avides sur ses superbes jambes galbés. Le tissu glisse doucement le long de sa peau soyeuse nous dévoilant un peu plus de ses cuisses mais elle regarde l’horloge et s’exclame :

— Il est presque 13 heure, on a cours dans une heure, va te doucher Antoine !

Il se lève avec regret et je tremble en imaginant qu’ils auraient pu se doucher ensemble.

Caterina frisonne et fait mine d’aller se changer, je la suis car on discute en même temps. On entre dans la chambre et je massois sur son lit

— Tu peux sortir le temps que je me change s’il te plaît ? Demande-t-elle.

— Oh tranquille y a le temps et on a pas fini de parler.

— Oui mais j’ai froid.

— Ah ben viens là, Souris-je en tapotant la place à côté de moi.

J’imagine qu’elle va refuser mais non ! elle s’approche de moi et on s’allonge à mes côtés, je m’adosse contre les coussins et passe un bras par dessus ses épaules, ravi. Au fil de la discussion, elle finit par me parler de Antoine, en baissant le ton pour ne pas qu’il l’entende.

— J’ai l’impression qu’il me drague…

— C’est à dire. Demandé-je en me crispant.

Elle se retourne sur le côté pour poser sa tête dans le creux de mon cou et je vois ses obus basculer sur mon torse, son sortie de bain est bien décolleté et j’ai une vue royale sur sa poitrine sculpturale. Ses deux nichons se frottent l’un contre l’autre lorsqu’elle se déplace et je dois plier les jambes pour ne pas qu’elle remarque mon érection. Elle fronce les narines, je dois pas sentir très bon après le match et ma baise dans les toilettes…sans compter le stress que j’ai eu en les espionnant, elle ignore l’odeur puis me demande.

— Ba je sais pas c’est son attitude…

— Et toi t’en pense quoi ?

— Et bien, il me plaît bien…t’en pense quoi ? Demande-t-elle en levant ses adorables yeux vers moi, m’obligeant à détourner le regard de ses airbags.

— euh…

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase parce qu’on entend Antoine dans le couloir. Il entre, changé, les cheveux mouillés et aperçoit Caterina à moitié allongée sur moi, ses seins écrasés sur mon torse. Il serre la mâchoire et déclare.

— Il est temps d’aller manger non ?

Caterina a mit son jean et son col roulé et je suis avec Antoine et elle dans la cuisine, les deux savent cuisiner, pas moi.

Ils se promènent dans la petite cuisine triangulaire, Antoine n’en manquant pas une pour frôler ses seins ou ses fesses. Soudain il s’arrête et déclare :

— Au fait, l’appel de tout à l’heure c’était pour m’inviter à une soirée vendredi soir (je vous rappelle qu’on est mardi) et j’ai le droit d’incruster deux personnes…Ça te dit Caterina ? C’est chez Diego, le mec qui habite dans l’énorme villa avec piscine prés de la mairie.

Caterina écarquille les yeux et sourit.

— Sérieux ? mais les soirées dans ce quartiers sont ultra sélective d’habitude !

— Oh si c’est toi tu peux entre n’importe où, Répond-il en souriant, charmeur.

Elle saute à son cou et lui fait un bisou bruyant sur la joue. Elle se tourne ensuite vers moi et il se place derrière elle, posant ses mains sur ses hanches mais elle ne remarque rien dans son enthousiasme.

— Tu viens Yanis ??

— Ah désolé mais si j’incruste ça ne peut être que des filles…demande plutôt à Alice, Assène alors Antoine avec un regard vainqueur à mon égard. Heureusement la partie n’est pas fini pour moi…

— Oh tinquiète pas pour moi j’ai déjà était incrusté par un pote…je serais là.

— Super. Me répond-il peiné.

Caterina me lance un sourire radieux et s’avance vers moi, peut être pour me faire un câlin aussi mais Antoine la tire par les hanches en la retournant vers lui et lui rappelle qu’il doivent finir le repas vite.

— Euh Yanis, je veux pas te vexer mais tu gêne un peu vu que tu reste dans un coin sans rien faire…et en plus tu sens pas la rose, tu peux aller dans ma chambre en attendant qu’on finisse nos affaires ? Demande Caterina sans même me regarder dans les yeux.

Je grogne et sort en regardant Antoine avec un regard féroce car il tient toujours Caterina par les hanches pendant qu’elle s’affaire à la poêle.

Je m’assois dans le lit, énervé, quand soudain j’aperçois l’ordinateur…déverrouillé. Je m’en approche et ouvre le dossier photo. Je sors précipitamment une clé USB de mon sac et je copie tout le contenu pour plus tard, le chargement prend du temps et Caterina mappelle pour manger, je suis donc obliger de retirer précipitamment ma clé et de partir.

Jespère avoir tout de même un beau butin…maintenant je verrais ce qui se passera à cette soirée.

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