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Ma mère avait un amant – Chapitre 1

Ma mère avait un amant - Chapitre 1



L’histoire que je vais vous raconter s’est passée il y a de nombreuses années. J’avais vingt ans à l’époque. J’en ai maintenant cinquante six. Je vivais encore dans la maison familiale mais pas souvent là car souvent en vadrouille avec mes copains et copines. Mon père, pas très souvent là non plus car très accaparé par son travail, ne s’occupait pas beaucoup de ma mère. C’est avec le recul quelques années plus tard que je l’ai compris.

Un vendredi, en plein milieu de l’après-midi, je passe à la maison pour me changer en vitesse et prendre des affaires avant de rejoindre les copains pour une grande virée du week end qui s’annonce prometteuse. En principe, je suis censé être déjà parti depuis le matin mais une panne de voiture nous a retardé.

Personne ne semble être là. La maison est grande aussi, je ne m’inquiète pas de ne pas tomber nez à nez avec mes parents, enfin, plutôt ma mère car c’est elle qui devrait être là. Je vais directement à ma chambre au 1er étage, laquelle a une vue magnifique sur notre piscine. Je prépare mon linge quand des voix s’élevant de la piscine attirent mon attention. Ce doit être mes parents. Je m’approche de la baie vitrée et là je me rends compte que si c’est bien ma mère, elle est en compagnie d’un homme que je ne connais pas. Ils ont l’air de discuter tranquillement aussi je m’apprête à retourner à mes occupations lorsque je vois l’homme lui prendre la main, la porter à ses lèvres et la couvrir de baisers sans qu’elle n’oppose la moindre résistance.

Ils échangent quelques mots puis se lèvent pour rentrer dans la maison. Je suis un peu désemparé, ne sachant vraiment pas quoi faire. M’en aller en me faisant le plus discret possible et oublier ce que je viens de voir où au contraire, descendre pour en avoir le cur net et savoir ce qui se passe exactement. Je choisis la 2ème solution, le cur à la limite du sur-régime. Je sors à pas de loup de ma chambre pour rejoindre le couloir qui donne sur le salon au rez-de-chaussée. C’est une position stratégique car elle me permet de voir pratiquement tout ce qui se passe dans le salon. Ils sont d’ailleurs déjà là, debout au milieu de la pièce.

L’homme parle à ma mère qui semble faire non de la tête mais il insiste. Elle lui sourit mais ne semble pas vouloir changer d’avis quand tout à coup il s’approche d’elle pour la prendre dans ses bras et avant qu’elle ne puisse réagir, il la fait taire en posant ses lèvres sur les siennes. Elle essaie de se dérober à 2 ou 3 reprises mais il revient à la charge à chaque fois. Finalement elle cesse de résister et laisse ses lèvres se poser sur les siennes. Ma mère desserre l’étau de ses dents pour le laisser prendre possession de sa bouche. Elle n’embrasse pas mais ne refuse pas de recevoir la langue de l’inconnu qui s’enroule certainement autour de la sienne. Les forces semblent l’abandonner. Je la regarde médusé, livrée aux mains de l’inconnu. Il ne perd pas de temps car déjà, la jupe glisse à ses pieds, le chemisier la rejoint. Elle est belle en petite culotte et soutien-gorge. Je me surprends à bander. Les seins jaillissent enfin, aussitôt pris en charge par deux mains avides qui les pressent tendrement, s’attardent sur les mamelons dont les tétons ne tardent pas à bander ferme eux aussi.

Elle gémit quand il se penche pour les lécher puis les sucer l’un après l’autre en pressant les globes entre ses doigts. Ça dure un long moment. Une éternité pour moi dont le sexe est de plus en plus à l’étroit dans mon vieux jean’s.

Maintenant ma mère répond fougueusement aux baisers, elle fait glisser la chemise de l’homme puis tandis qu’elle s’agenouille à ses pieds se débarrasse de la ceinture puis du pantalon. Elle regarde quelques secondes la bosse qui déforme le slip à hauteur de ses yeux et, après une très brève hésitation, tire sur l’élastique du sous-vêtement pour libérer un sexe aux proportions modestes mais en pleine érection dont la tête frappe nerveusement le ventre de son propriétaire.

L’homme semble lui parler. Ma mère acquiesce de la tête puis, approche son visage de la verge tendue, hume son odeur en posant ses narines sur le gland avant de le lécher. Des petits coups de langue d’abord puis des grands, sur toute la longueur du chibre. Elle descend jusqu’aux couilles en le recouvrant de salive. Je devrais m’enfuir mais l’excitation m’ordonne de rester. Je sors mon sexe pour commencer à me branler en le couvrant de salive à mon tour.

L’homme gémit doucement, une de ses mains sur la tête de sa partenaire qui semble apprécier le goût de ce sexe qu’elle avale maintenant sans aucune retenue. Elle aussi pousse des gémissements marquant son excitation. Elle le pompe de plus en plus fort si bien que ne tenant plus, l’homme la fait arrêter puis la retourne pour la mettre à quatre pattes. Il s’agenouille à son tour derrière elle en tenant son sexe d’une main. Je devine qu’il le guide entre ses fesses. Je vois son bassin se tortiller avant d’avancer doucement. Il doit être dans l’entrée de sa chatte. Malheureusement, d’où je me trouve je ne vois pas grand chose sauf les fesses du gars qui se contractent tandis qu’il s’enfonce en elle. J’entends ma mère pousser un long soupir en encourageant son amant.

Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Le gars la tient par les hanches, il a commencé à la besogner, déclenchant à chaque fois qu’il la pénètre des « oui » des « encore » d’encouragement. Ça me fait drôle de voir ma mère en train de se faire mettre par derrière par un inconnu d’autant que c’était la toute première fois que je voyais ma mère en train de faire l’amour. Elle était belle, la croupe tendue, les reins cambrés au maximum pour permettre au vit de la pénétrer le plus profondément possible. Des sensations de gêne et d’excitation se contrariaient dans mon esprit. J’avais envie de mieux voir cette pénétration aussi, je décidais, oubliant toute prudence de descendre au rez-de-chaussée en passant par un escalier dérobé. J’arrivais dans le couloir jouxtant le salon. De là, je pouvais mieux voir ma mère se faire prendre. Je pouvais même voir le sexe du mec entrer et sortir de la fente malgré l’épaisse toison brune.

Je ressortais mon sexe pour le branler en fantasmant sur le corps de ma mère, ses fesses magnifiques et sa chatte dégoulinante de mouille. Je m’approchais un maximum au risque de me faire repérer mais l’excitation était trop forte. L’homme lui assénait de véritables coups de boutoir pour le plus grand plaisir de sa partenaire qui poussait maintenant, non plus des gémissements mais des cris au même rythme que ses propres grognements.

Oui. Ouiiiiiiiiiiiiii. Plus fort, je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiir.

La voix de ma mère était devenue presque méconnaissable transcendée par les vagues de plaisir et les contractions de plus en plus rapprochées dans son ventre.

C’était une femme, une femelle que j’avais devant moi. Magnifique avec son ventre plat, ses hanches larges, ses seins ballottant au rythme des coups de boutoir et ses fesses, mon dieu, ses fesses que j’aurais tant aimé pouvoir caresser à la place de cet homme dont les mains n’en pouvaient de les palper, les écarter même pour mieux découvrir son anneau brun si appétissant.

L’homme accéléra encore sa saillie en attirant violemment ses fesses vers son pieu. Je me mis à jouir lorsque je les entendis exploser presqu’en même temps.

Je jouiiiiiiiiiiiiiis. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!! Ouiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiii.

L’homme continua de la prendre encore quelques secondes avant de s’écrouler sur son dos, épuisé, repu de plaisir.

Je m’éclipsais rapidement de la maison pour rejoindre mes copains, la tête pleine d’images de ma génitrice en train de jouir sous les coups de queue d’un inconnu. Du statut de mère elle était passée à celui de femme désirable capable de donner et prendre du plaisir. J’avais hâte de revenir à la maison, revoir ma mère, cette femme que je ne connaissais pas.

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