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ma mère….ma concubine ! – Chapitre 3

ma mère....ma concubine ! - Chapitre 3



Affolée par la tournure que prenaient les évènements, ma mère tenta la fermeté

"-Arrête ça tout de suite …tu ne peux pas faire ça, ERIC !!!…"

Ma bouche était sur son sexe et elle tentait désespérément de refermer les jambes, ma tête interdisant qu’elle y parvienne ; je chuchotais :

"- Allez, arrête ! ose dire que tu n’as pas envie ?, tu mouilles !"

" – Ce n’est pas une raison, je suis ta mère, tu ne peux pas faire ça " ;

j’ôtais ma bouche de son sexe pour la remplacer par deux doigts qui commencèrent à légèrement caresser son clitoris, et à délicatement frotter l’entrée de son sexe :

"- tu es si douce, ça fait trop longtemps que j’ai envie de toi, chuchotais-je, laisse-toi faire..!"

en disant cela, je créais un rapport qui la dédouanait de la moindre culpabilité, puisque implicitement j’acceptais dêtre le seul initiateur de la relation ; ça pouvait marcher …en insistant, ce que je fis en faisant pénétrer un peu plus mes 2 doigts dans son sexe humide ! Elle gémit, toujours protestant :

"- ce n’est pas bien, tu ne peux pas ME faire ça, tu te rends compte ?"

"- oui, je me rends compte que j’ai envie de toi et que je vais te prendre !"

Elle gémit de protestation

"Oh ! non, s’il te plaît, ne fais pas ça"  ;

mais j’avais noté 2 choses : elle chuchotait elle aussi, donc elle ne voulait pas franchement que les voisins entendent une éventuelle dispute et d’autre part, si elle n’écartait pas encore les cuisses, …elle ne cherchait plus à les refermer non plus ! Jenfonçais donc plus avant mes doigts et commençais à la doigter de manière cadencée et régulière, titillant à chaque fois son bouton qui grossissait d’un plaisir qu’elle aurait voulu dissimuler ; je l’observais : elle s’était laissée tomber sur le lit, la tête en arrière, les yeux fermés de honte et se laissait toucher par son fils, passive, mais manifestement pas aussi en colère qu’elle aurait aimé le faire croire, ses halètements légers trahissant son plaisir ! Elle était à moi ! Mais le plus dur restait à faire, je vous expliquerai plus tard mon plan machiavélique ! Pour le moment, j’écartais franchement ses jambes et je commençais à la lécher, tout en caressant son corps, atteignant enfin ses petits seins enserrés dans la guêpière qu’elle n’avait pas eu le temps d’ôter, puisque j’avais fantasmé depuis longtemps de la prendre ainsi : en guêpière et bas à coutures ! Je titillais ses mamelons, ce qui lui fit augmenter ses halètements, avec de temps en temps, pour la forme des

"-Arrête…"….

sans qu’elle fasse le moindre mouvement pour essayer de s’échapper à ma fouille de son intimité ! Au bout de quelques minutes de ces préliminaires à sens unique, je savais bien qu’il était hors de question d’attendre le moindre "retour" de sa par ! Trop tôt pour qu’elle accepte d’être ma partenaire régulière comme je le prévoyais ! je lui chuchotais donc à l’oreille, en me couchant sur elle

"-tu vas voir, tu vas aimer"

et j’écartais son sexe franchement pour essayer de m’y introduire ! là, elle ouvrit les yeux et je lus la panique dans son regard, elle comprenait que le petit jeu devenait sérieux et que j’avais l’intention de la prendre, la rigidité de mon sexe parlant pour moi, d’ailleurs ….elle essaya de se dégager et devint vraiment mécontente

"-Eric, arrête ça, tu vas beaucoup trop loin, je suis ta mère et on ne peut pas faire ça " !

Cest le moment que j’attendais : je voulais m’imposer, lui imposer mes désirs sexuels, pour qu’elle sache qu’elle serait désormais à moi quand bon me semblerait ; je lui pris les poignets assez fermement et pesais de tout mon poids sur son corps en lui disant d’une voix ferme

"- Non, j’ai trop envie, tu vas voir, tu aimeras "

et je la pénétrais d’un coup, sans trop de difficulté car elle était mouillée de ma salive et de ses sécrétions ! elle cria, fort, cette fois-ci, de surprise, que j’aie osé passer à l’acte ..,.et de la taille de mon sexe, plutôt conséquente :

"-OH, comment peux-tu…..halètement, puis -Arrête, tu es trop gros, tu me fais mal …."

c’était fichu pour elle, j’étais en elle et je n’en ressortirais qu’après lui avoir injecté le "poison" de notre relation à venir, le dressage allait pouvoir commencer !

suite ??

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