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Ma Mère, mon premier amour – Chapitre 2

Ma Mère, mon premier amour - Chapitre 2



Il ne se passa rien de spécial pendant un certain temps, et puis un matin de septembre, alors que je me préparais pour l’école, ma mère est sortie de la salle de bain habillée et maquillée, et me rencontrant dans le couloir, elle me demanda: " Je te plais comme ça ? ". Elle ne portait pas une nouvelle tenue, mais une tenue dans laquelle j’aimais la voir, jupe plissée un peu au-dessus du genou dans un tissu à carreaux noir, marron foncé et clair, et puis un pull chaussette crème, qui moulait sa poitrine, et des bottes noires, rien de très provoquant mais elle était belle ainsi, et surtout j’aimais la voir ainsi, car lorsqu’elle montait l’escalier du sous sol, j’avais une vue superbe sous sa jupe ample, et avec les bottes cela prenait une autre dimension.

En y repensant, je me dis que ma mère devait le faire exprès, car à aucun moment elle ne me demandait de passer devant elle. Non, elle montait devant moi, le temps que je me déchausse au pied de l’escalier, elle, gardait ses chaussures et arrivée au palier, souvent elle prenait quelque chose dans le placard (conserves ou autres) ce qui la faisait rester quelques instants en haut du palier et des fois face à moi, ce qui me permettait de voir plus ses fesses, mais son bas ventre, et donc la forme arrondie de son entre-cuisses qui me faisait tant fantasmer, voire sa petite culotte blanche.

Mais revenons à sa demande dans le couloir, je lui réponds " Oui, tu es bien comme ça ! " Heureuse sans doute de ma réponse elle me fit un petit bisou sur la joue et me quitta. Nous voici parti pour l’école, elle me dépose et me dit à midi.

A midi passé elle arrive du boulot et me prend au passage, je vois à son visage que quelque chose ne va pas, je lui demande et elle me répond qu’elle a une forte migraine. Et oui j’ai une Maman migraineuse. Elle me dit qu’elle a pris son après midi et me demande de ne pas faire de bruit. Arrivés à la maison, nous voici au bas de l’escalier du sous sol, elle monte et bien évidemment je ne manque pas de jeter un oil sous sa jupe, un moment tant attendu par moi.

Dans la maison, elle me demande de me débrouiller tout seul pour me faire à manger, qu’elle va prendre son médicament et se coucher.

Je ne me souviens plus du nom du médicament du moment, mais l’effet était de vous foutre K.O, de dormir en attendant que ça passe. Ma mère part dans sa chambre, rideaux tirés et se couche sur son lit.

Moi, je me prépare à manger, sans faire de bruit. Le repas fini je range dans le lave vaisselle et puis je regarde un peu la télé. Vers 15h, je me décide d’aller dans ma chambre, et passant devant la chambre de mes parents, je me décide à ouvrir sans faire de bruit la porte, j’ouvre, et je vois ma mère dormant sur le lit, n’ayant même pas pris le temps d’ôter ses bottes, en chien de fusil.

Je m’approche et dit à voix basse :" Maman ?", pas de réponse, je suis sur le point de faire demi tour, et puis une pensée coquine me passe par la tête, voir sous sa jupe.

J’entre alors dans un conflit de ce qui est bien et mal, le faire ou ne pas le faire, et puis le désir est plus fort.

Je m’approche et contourne le lit et je m’assoies par terre contre le lit pour ne pas la déranger. Je reste ainsi plusieurs minutes à la regarder. Je me décide enfin, du bout des doigts je prends le bas de sa jupe plissée et je commence à soulever tout doucement le tissu. Au départ pas grand chose se passe, car il me faudrait soulever totalement la jupe pour voir, alors je me reprends et en fin de compte je relève sa jupe vers son ventre tout doucement, ce qui me dévoile tout doucement ses cuisses. Elle est là offerte à mon désir, ma tête pétille d’excitation, je continu, le souffle court, les mains tremblantes, mais je continu de relever sa jupe, et voici apparaitre la naissance de sa culotte.

Je trouve cela très excitant de voir ma mère porter des bottes sans collant, bottes noires et petite culotte blanche, un délice. Je reste ainsi en contemplation devant ce spectacle, mon sexe me fait mal, enfermé dans mon pantalon et compressé par ma position assise et pliée.

Je reste ainsi à regarder sa culotte , et puis que cache cette culotte ? Le désir est plus pressant encore, alors très très délicatement, retenant mon souffle, du bout des doigts et faisant tout pour ne pas trembler, je relève un plus haut sa jupe, afin de dégager l’élastique de sa culotte. Ouf ! Pas de réactions. J’approche mes doigts, et je vais au contact de l’élastique, puis j’attends quelques secondes, qui me semblent être des minutes. Je pince doucement l’élastique, mais suffisamment pour pas qu’il m’échappe des doigts et réveille ma mère. Je fini par arriver à glisser une phallange sous l’élastique, ça y est ! Je tiens sa culotte, maintenant tout doucement je soulève sa culotte pour pouvoir ensuite donner un mouvement vers le bas et dégager sa toison. Cela est le plus beau jour de ma vie, tout d’un coup je vois apparaitre ses poils, sans que j’ai besoin de détourner le regard, je suis là je mate cette chatte qui me fait tant envie. J’ai une vue parfaite sur tout le haut de sa toison, je dis toison, car sa chatte est vraiment bien fournie, brune à souhait.

Mais comment faire pour voir plus bas ? Je change alors ma stratégie et je prends sa culotte avec mon autre main par le côté de sa culotte replace délicatement le haut de sa culotte, puis ma mère va m’aider sans le savoir, est-ce au contact de l’élastique, en tout cas elle bouge un peu et replis un peu plus sa jambe au contact du lit, alors que l’autre au dessus s’allonge un peu. Cela me rend plus aisé de dégager sa culotte à l’entre-cuisse, je m’aide des deux mains pour dégager davantage, et je vois alors pour là première fois sa vulve.

Devant cette vision, je n’arrête pas de me dire " Que tu es belle Maman!".

Tout d’un coup l’oil sur le réveil me sort de mon désir, il est déjà 16h, je replace délicatement sa culotte, je suis sur le point de redescendre sa jupe, lorsque le désir me reprend, l’envie de toucher un peu. Je commence par ses seins, encore une fois du bout des doigts, je caresse et je vais suivre le galbe de ses seins, je fini par poser délicatement ma main sur un sein et reste ainsi plusieurs minutes. Elle dort à point fermée, bénie soit ce médicament.

Puis je retourne à sa culotte, et pose le bout des doigts et fait des aller retour jusqu’à l’entre-cuisse, je sens la douce chaleur de sa peau au travers du tissu, et je sens la texture de sa toison sous sa culotte.

Tout d’un coup ma mère bouge et là voici sur le dos, la tête sur le côté, j’ai eu peur ! Je ne bouge pas et attends; rien !, elle dort toujours et encore, je pense que le médicament fait son maximun d’effet. Le fait de se mettre sur le dos, sa jupe est coincée sous elle, et je ne pourrais pas la remettre bien. Par contre ses cuisses sont légèrement écartés, et me voici prenant doucement un talon pour soulever et déplacer un peu sa jambe, puis au tour de l’autre jambe, ainsi j’arrive à lui faire écarter les cuisses. Je suis émerveillé devant tant de beauté, ma mère est là allongée, jambes écartés, jupe relevée sur son bas ventre, en botte, m’offrant la vue pleine et entière sur sa culotte blanche.

Une pensée folle me vient, m’allonger sur elle, tout du moins me frotter sur son bas ventre. Et me voici montant délicatement sur le lit, comme un chat, entre ses cuisses, et puis sans retenu, pris dans mon désir, je sors mon sexe pour pouvoir être au contact, je prend appuis sur les bras, pour me pas me poser sur ma mère, ce qui me demande un effort et des tensions musculaires, mais j’y arrive. Je dépose mon sexe au contact de sa culotte, et je frotte mon sexe tendu sur sa culotte.

Ma mère me surprend et bouge, je me crois être pris, mais non ! Elle marmonne et dit dans un deuxième sommeil:" C’est toi mon petit chéri, tu viens faire un câlin !", et elle m’enlasse, et je retrouve allongé sur elle, au contact de sa poitrine, et elle reprend :" Maman est malade…, je m’occupe pas de toi !…..fais un câlin si tu veux..", sans ouvrir les yeux, sans prendre conscience que sa jupe est relevée, que je suis le sexe dehors. Je ne dis rien, je ne bouge pas, je suis juste en appui sur les coudes pour ne pas l’écrasser et risquer de la sortir de son sommeil. Puis tout doucement je commence à bouger mon bassin, imperceptiblement, mais cela me suffit à me faire bander, ferme et dur, puis je tente de lui faire écarter un peu plus les cuisses, en écartant un peu mes jambes, l’effet ne tarde pas, et j’obtiens ce que je voulais, elle a ouvert un peu plus ses cuisses, comme-ci de rien.

Ma joue est contre la sienne, je fais en sorte de contrôler ma respiration, je lui fais un petit bisou dans le cou, pour réponse je sens sa main venir dans mes cheveux. Je lui refais alors un baiser plus appuyé dans le cou, avec ses doigts elle fait comme des bouclettes avec ses doigts, mais baisers deviennent plus appuyés encore, appréciant sans doute mes baisers, plus l’effet second produit par son médicament, elle laisse échapper des "huuummms" d’encouragement, et laisse même échapper un "…. mon petit chèri!…", je prends cela pour un encouragement, et je me décide à glisser ma main sous moi, pour tenter de déplacer sa culotte. Pour une première fois je me débrouille bien, puisque j’arrive à crocheter le côté de sa culotte, pour là déplacer et dégager sa vulve.J’ôte ma main, et me pose sur ma mère, et reprend alors mais petit frottement, elle n’a rien dit, est elle conscience ? non, elle dans un état de semi-léthargie, Mon sexe retrouve de sa raideur, reculant davantage mon bassin, je permet à mon gland de frotter plus bas dans l’entre-cuisse, un premier passage me fait passer entre ses lèvres, mon excitation est à son comble, enfin, je suis au contact de sa chatte, mon inexpérience ne fait louper l’entrée de sa chatte, ce qui a pour effet de sortir un peu ma mère de sa léthargie, je sens ses doigts bouger de nouveau dans mes cheveux.

Suite prochainement.

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