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Ma mère toute à moi – Chapitre 1

Ma mère toute à moi - Chapitre 1



Ma mère toute à moi.

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu l’image de ma mère celle d’une femme réservée et plutôt timide.

C’est un petit bout de femme de 36 ans d’un mètre 55, mince, avec une petite poitrine proportionnée à sa taille. (85C je l’ai su plus tard)

A la maison mon père faisait la loi, décidait de tout, que ce soit nos activités familiales le week-end, de la destination des vacances ou des programmes télé que nous regardions le soir.

Il parlait souvent du fait que les hommes étaient faits pour commander et les femmes pour obéir.

Très macho comme discours je vous l’accorde et même si mai 68 était passé par là, il n’avait pas encore bouleversé les équilibres homme/femme dans notre famille.

Étant fils unique mon père s’attachait à m’inculquer ces vérités prenant souvent à témoin ma mère qui disait-il était parfaitement heureuse de sa situation.

Il ne fait aucun doute que la domination de mon père sur ma mère se prolongeait au delà de la vie quotidienne, familiale, mais également la nuit lorsqu’ils me croyaient endormi.

Mais je ne dormais pas. Âgé de 18 ans à l’époque j’écoutais, la queue durcie les gémissements de ma mère d’abord étouffés puis de moins en moins discrets au fur et à mesure que son plaisir montait.

Ses gémissements je les connaissais si bien que je finissais par les identifier et que je pouvais imaginer ce que mon père était en train de lui faire. Halètements légers quand il la caressait ou la léchait. Soupirs et gémissements beaucoup plus marqués m’indiquaient qu’il était passé à une phase plus " pénétrante " des opérations. La réaction beaucoup plus marquée de ma mère lors de cette étape m’indiquait nettement sa préférence pour la pénétration et souvent d’ailleurs l’étape des préliminaires me semblait inexistante entre eux.

J’avais d’ailleurs remarqué les derniers temps que mon père la prenait de plus en plus violemment (aux bruits que faisait leur sommier) et que maman n’était pas forcement préparée pour l’accueillir aussi brutalement. Leurs ébats commençaient de plus en plus souvent par un Han !!! ou bien un Ouille.. !!!! me confirmant qu’il la forçait plus qu’il ne lui faisait l’amour. Mais bien vite les gémissements arrivaient et bientôt sa jouissance montait toujours proportionnelle à la violence avec laquelle elle était prise.

Les 6 derniers mois la brutalité de leurs ébats avait clairement augmenté ainsi que les jouissances de ma mère. Une nuit je fus surpris par un cri que je ne lui avais jamais entendu pousser, beaucoup plus rauque et venant " du ventre " ainsi que des non !….non.. nooonnnn !!!!… aaaahh !!… aah. !! Que je ne lui avais jamais entendu pousser. Le lendemain je remarquais d’ailleurs des cernes beaucoup plus creusées sous ses yeux. Elle avait " les yeux de l’amour " signe qu’elle avait vraiment apprécié ce qu’on lui avait fait cette nuit.

Il ne faisait aucun doute pour moi que ma mère s’était fait enculer cette nuit, que c’était sans doute une des première fois que cela lui arrivait et que mon père ne lui avait pas demander son avis pour le faire. Mais elle avait aimé.. Aimé quoi ?… la sodomie ? . avoir été forcée ?… ou plus surement la combinaison des deux.

Plus le temps passait, plus le regard envers ma mère changeait. Il ne faisait aucun doute pour moi qu’elle était soumise sexuellement et qu’elle prenait plus de plaisir à être forcée que respectée. Ces réflexions m’emmenaient dans des fantasmes absolument délicieux où j’imaginais maman dans des situations de soumissions de plus en plus honteuses et dégradantes pour elle et dans lesquelles elle prenait de plus en plus de plaisir.. Sans imaginer un seul instant qu’un drame m’amènerait à concrétiser mes rêves pervers.

(à suivre.)

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