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Ma petite fille et sa copine en vacances – Chapitre 2

Ma petite fille et sa copine en vacances - Chapitre 2



Je viens de passer l’après midi avec Jennifer, la copine de ma petite fille Audrey qui est sortie.

Lorsqu’elle rentre, elle nous trouve sagement installé à faire un jeu de société. Elle s’inquiète de la santé de sa copine, et celle lui dit que ça va un peu mieux mais que ce n’est pas encore ça, et qu’elle pense ne pas sortir.

Ma petite fille va se changer et j’en profite pour glisser un mot à Jennifer:

— Pourquoi tu lui as dit ça, je croyais que tu étais guérie!

— Oui, je le suis, mais j’ai envie de rester avec toi.

— Tu n’en as pas eu assez cet après-midi, tu en veux davantage?

— Oui, elle me rend folle ta queue. Tu veux bien que je reste?

— Sans aucun problème ma puce, on va…

Audrey nous rejoint et on change vite de conversation.

On dine, ma petite fille propose de rester, mais Jenny insiste pour qu’elle sorte.

On se retrouve en tête à tête et elle vient se pendre à mon cou:

— Tu es content que ta petite salope soit restée.

— Touche ma queue, et tu vas avoir la réponse.

Elle pose ma main sur ma braguette déjà gonflée, et je glisse ma main sous sa jupe:

— Tu m’affoles ma chérie, et ta bouche si près de la mienne! Je peux t’embrasser?

— Tu veux dire un vrai baiser, avec la langue?

— Oui j’en ai trop envie. Mais rassure toi, ce n’est pas un baiser amoureux que je veux donner à ma petite chérie, mais une grosse pelle sans sentiments à ma belle salope.

J’approche mes lèvres des siennes, elle ne fait rien pour m’éviter, et on se roule un patin des plus chauds. On est soudé l’un à l’autre, nos langues s’enlacent, je la masse à travers sa culotte et je sens ses mains fébriles qui essayaient en vain de défaire ma braguette. Je me dégage pour défaire mon froc, le baisser ainsi que mon slip, et l’invite à descendre sa culotte. On se recolle, nos bouches se soudent, je la fouille tandis qu’elle me branle et me masse les couilles. On se roule à nouveau des pelles goulues, je la sens hyper chaude, autant que moi, je la veux. Je prends mon manche à pleine main et frotte mon gland dans ses poils à la recherche de sa fente brulante. Elle se recule:

— Attends, je vais chercher un préservatif.

— Non, j’ai horreur du caoutchouc. Tu ne prends pas la pilule?

— Non, je n’ai pas confiance.

— On peut baiser quand même, tu ne risques rien. Tu m’as épuisé cet après midi, il va me falloir du temps avant de jouir encore et je me retirerais bien avant.

— Tu me tentes cochon, tu me le jures.

— Oui ma salope adorée, je vais finir dans ta bouche, ou dans ton cul si tu préfères.

— Non merci, dans la bouche ce sera parfait.

— Tu n’aimes pas la sodomie?

— Je n’ai jamais essayé, mais ta queue me semble bien grosse pour une première fois.

— Ok, comme tu veux. Viens, on va aller à ma chambre.

On se met à poil, elle s’allonge cuisses ouvertes et je viens entre ses jambes pour la brouter, la fouiller encore. Elle est bien ouverte et je remonte lentement sur elle, jusqu’à introduire mon sceptre dans sa fente impatiente. Je commence à la limer en douceur mais je la sens inquiète:

— Détends toi ma chérie, laisse toi aller, tu ne risques rien. Je te jure de me retirer à temps.

Elle me fait confiance et s’abandonne à mes assauts de moins en moins tendres. Je la pénètre à grands coups de reins, le défonce, et cette petite salope m’encourage à y aller encore plus fort. Je me démène comme un sauvage, lui roule des pelles, puis j’abandonne, épuisé.

Je me retire, me couche sur le dos, la queue à l’équerre et pas encore décidée à jouir. Elle vient sur moi, m’enfourche, me chevauche, au pas, au trot, au galop. Je me laisse faire avec délice et c’est elle qui s’épuise à son tour malgré son jeune âge. Je me suis reposé les jambes et les reins, et je vais la reprendre, en levrette cette fois. Elle est à quatre pattes sur le lit et je l’embroche de toutes les forces qu’il me reste, je vais et viens virilement dans son vagin.

Je fatigue à nouveau, sais que je vais bientôt jouir, et on s’installe pour un 69. On se suce, on se lèche, éperdument, sans parler, elle m’abreuve régulièrement de ses savoureuses dégoulinades, et je finis par la désaltérer moi aussi. Je jouis, j’éjacule, je décharge, je balance la purée, et je l’entends gémir en même temps qu’elle s’applique à avaler toute ma semence.

Elle se retourne, viens s’allonger sur moi, dans mes bras, et on se fait un tendre câlins avec des mots doux et gentils qui changent de nos insultes.

On repart au salon, on regarde la télé, on échange des caresses et des baisers. Elle a encore envie de sucer et reprend ma queue moitié molle. Elle s’active dessus et me refait bander. L’heure avance et il faut que l’on arrête avant qu’Audrey ne revienne. Elle cesse sa turlutte en regrettant de ne pas m’avoir fait jouir une fois encore. On se rhabille et elle me fait une proposition:

— Quel dommage que tu n’aies pas éjaculé, j’ai soif de ton sperme. Si tu es d’accord je peux te rejoindre dans la nuit pour te pomper et recevoir ta jute.

— Tu es une sacrée gourmande et je ne vois pas comment te dire non, surtout que je bande toutes les nuits. Mais il ne faudrait pas qu’Audrey s’en aperçoive.

— Ne t’en fais pas, tu sais bien que l’on partage la même chambre mais que l’on a chacune notre petit lit. Je serais féline et elle n’entendra rien; par contre il faudra que l’on fasse ça dans le noir et sans parler, pour être plus sûr.

— Tu penses à tout, coquine.

— Alors c’est oui?

— Bien sûr, mais dépêche d’aller dormir avant que ta copine ne revienne.

On échange un long baiser et elle va se coucher. Je regarde la télé jusqu’à ce que ma petite fille rentre. Minuit, elle est là:

— Toujours pas couché papy, tu sais que tu peux, on te l’a dit.

— Oui, mais je m’inquiète toujours quand vous êtes dehors, et là encore plus de te savoir seule.

Elle me dit que je suis gentil, me fait une bise et me souhaite une bonne nuit. Elle part se pieuter et j’en fait autant.

Je me couche entièrement nu avec juste le drap sur moi. J’ai du mal à m’endormir, repense à cette nouvelle et incroyable aventure qui m’arrive. Une heure du matin, je n’ai pas trouvé le sommeil, je bande, je me caresse la queue, je pense à Jennifer et ai peur qu’elle ne dorme toute la nuit.

A peine cette idée m’a effleuré l’esprit que je sens des doigts qui me touchent dans le noir pour estimer ma position. Elle est là ma petite salope, et elle retire mon drap sans tarder pour s’installer entre mes jambes. Je sens sa main sur mon manche, aussitôt remplacée par sa bouche. Je suis allongé, me laisse faire par cette petite gourmande vraiment douée, puis je me redresse et me penche sur elle pour chuchoter quelques mots:

— Viens sur moi, je veux te bouffer la chatte.

Elle me répond par un susurrement à peine audible:

— Non, je te suce, c’est tout.

— Allez, viens, je veux ta mouille.

— Chut, il ne faut pas qu’elle nous entende.

— Ok, je t’attends.

Je me rallonge, elle me pompe non stop mas ne semble pas décidée à changer de position. J’ai trop envie d’elle et me dresse à nouveau pour la saisir et la faire pivoter. Elle essaie de résister, bizarrement, mais ne peut rien contre moi. J’ai enfin ma gueule entre ses cuisses et elle cesse de lutter pour s’offrir. On se fait un 69 d’enfer, comme l’après midi, à un petite différence prêt: elle s’est rasé le minou, sans doute à cause de la remarque que je lui ai faite. J’aimais bien sa toison, mais c’est vrai que pour un cunnilingus c’est aussi bien ainsi. J’essaie de me contrôler au maximum pour retarder ma délivrance, quand à elle, elle ne se retient pas du tout et n’en finit pas de s’écouler dans ma bouche, de me régaler de sa succulente cyprine.

Je jouis enfin, j’explose dans sa bouche, et je sens ses lèvres qui m’enserrent fermement pour ne rien perdre de ma semence, et tout avaler. Elle me garde en elle jusqu’à ce que je débande, puis elle dégage et s’en va sans un mot.

Le lendemain matin, c’est elle qui arrive la première à la cuisine. Elle me fait la bise, mais je lui demande un baiser qu’elle hésite à me donner de peur que ma petite fille nous surprenne. J’insiste et elle me l’accorde, vite fait. J’en profite pour glisser ma main sous sa chemise de nuit, et elle se recule aussitôt.

Trop tard, j’ai eu le temps d’effleurer sa vulve nue, d’effleurer sa toison, sa petite touffe, ses poils soyeux, des poils qu’elle n’avait pas cette nuit.

Ca va vite dans ma tête, j’ai un énorme doute sur l’identité de ma visiteuse nocturne, un doute qui se transforme immédiatement en certitude.

A suivre…

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