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Ma petite soeur, mon amour – Chapitre 2

Ma petite soeur, mon amour - Chapitre 2



Le lendemain matin, il est 6 heures quand je me réveille. Celia dort encore. Elle est en boule, j’ai une belle vue sur ses magnifiques cheveux, son cou dégagé, son dos et enfin le haut de sa raie des fesses. J’observe, pendant dix bonnes minutes, ma petite soeur, si belle, si tendre, si gracieuse. Enfin, elle se met sur le dos, pousse un grand soupir et entre-ouvre les yeux. Elle me sourit. Ce rapport incestueux d’il y a quelques heures dont elle ne voulait pas de première apparence, elle en a rêvé: 

-Alors, dis-moi, tu as aimé? 

-Oui, beaucoup. Tu sais, au début je ne voulais pas, j’avais peur. 

-Tu n’as pas à avoir peur, l’inceste, si personne ne le sait, on s’en fiche. 

Après l’avoir rassurée, elle file à la douche. Je reste encore un peu dans son lit, je sens son odeur. Mon engin se gorge de sang, gonfle comme jamais. Je reste, pendant trente longues secondes, le visage immobile sur son oreiller. Ma main droite vient se coller à mon sexe, qui continue de gonfler à une vitesse impressionnante. Je pars à salle de bains, bien décidé à remettre ça. Elle a laissé la porte entre-ouverte, laissant apparaître ses délicieuses formes de jeune femme. J’entre, je monte dans la baignoire, je l’enveloppe dans mes bras. Mon pénis colle haut de ses fesses. 

-Et si Maman vient? me demande-t-elle inquiète.

-Elle est déjà en bas, j’ai entendu la télé et l’odeur du café. Cette fois-ci, c’est toi qui prends les commandes. 

On commence à s’embrasser comme un couple, comme si on y était depuis toujours, en couple. Je l’embrasse dans le cou, je sais maintenant que ça lui procure beaucoup de plaisir et d’excitation. Elle m’embrasse le torse et me lèche les tétons. Elle descend, mon ventre, mon aisne, mon pubis, mon sexe. Elle descend même jusqu’à mes boules qu’elle prend une à une dans sa bouche, ma bite se baladant tranquillement dans ses cheveux. Elle passe une main sous mes boules pour aller chercher mon périnée et mon anus. 

Elle me suce sauvagement en me malaxant l’anus avec deux doigts. Mon excitation est à son maximum, je commence à gémir. Celia respire très fort, elle se touche les seins et la chatte de l’autre main. 

-Assieds-toi.

Je m’exécute immédiatement, très pressé de voir et de sentir ce que ma petite soeur va me faire. Mon sexe raide comme un piquet est à présent juste en face de sa petite chatte épilée. Elle s’accroupit, et fait rentrer mon sexe d’un seul coup, je sens mon gland toucher le fond bouillant et si confortable. C’est elle qui fait tout, les va-et-vient, l’excitation à tous les deux, elle m’embrasse même de son propre gré. Ses jambes fines entourant ma taille, elle me baise comme une pro. 

-Je vais bientôt venir.

-On va ralentir alors. 

Elle sait s’y prendre, mais de cette maniere-là, jamais je n’aurais pu imaginer.

Nous ralentissons le rythme, j’en profite pour embrasser ses seins, mais à ce moment-là, elle jouit comme je n’ai jamais fait jouir une fille. Je sens les contractions de son périnée sur mon sexe, Celia pousse un énorme soupir et gémit de plaisir. Je la secoue avec trois-quatre va-et-vient bestiaux et je balance la purée. 

Nous restons un quart d’heure côte-à-côte, laissant l’eau couler. Nous nous embrassons avec passion, avec une certaine tendresse. 

-Les enfants! Tout est prêt! Qu’attendez-vous? 

-On arrive! Il y a juste un problème avec la douche! crie Celia en riant à moitié. 

On s’habille et on file en bas. 

Pendant le petit déjeuner, Celia laissait en évidence son décolleté et me souriait avec douceur. 

Pendant toute la journée, j’y ai pensé. Ma petite soeur a toujours été extrêmement discrète sur les questions d’intimité et de famille. Malgré que ce soit ma soeur et que ce soit interdit, j’ai une certaine envie de Celia, pas que physiquement, mais aussi sentimentalement, amoureusement. 

Le soir, je rentre après ma mère et avant ma soeur. J’aide ma mère à préparer le repas et je mets la table, je veux que Celia n’ait qu’à mettre les pieds sous la table. J’entends sa voiture se garer dehors. Je sors pour l’accueillir. 

-Coucou princesse. On a tout préparé avec Maman. 

-Je suis super fatiguée, mais ma journée a été plutôt bonne. 

On s’embrasse tendrement avant de rejoindre ma mère à l’intérieur. Je la tiens par la taille tout le chemin. 

Après le repas, nous décidons de regarder un film. Tous les trois affalés sur le canapé, je me raproche d’elle. Elle dort à moitié, épuisée par sa journée à la fac. Je profite de son état de semi-conscience pour lui faire un câlin, la coller, lui faire des papouilles, de toute façon ma mère ne sera pas choquée car ça, on l’a déjà fait plein de fois. 

-Ne la réveille pas, elle doit être très fatiguée, me dit ma mère. 

Celia sourit. 

-Non, continue, ça me détend, chuchote-t-elle.

Pendant tout le film, et pendant que ma mère dormait, j’ai continué ce câlin. Ce câlin qui est très vite devenu incestueux. Lorsque je l’embrasse dans le cou, je sens ses tremblements, ses frissons, encore plus forts qu’avant. La toucher et me faire toucher en-dessous des vêtements est encore plus excitant. 

-T’as envie de moi, hein? 

-Depuis très longtemps. Mais je n’ai jamais voulu passer le cap, car tu es mon frère , et…

-Moi je m’en fiche complètement. Puis merde on est grands… 

-Tu penses que quand on sera en vacances…

-On verra comment tout cela évolue. Moi je veux être avec toi, et toi seule. 

-… 

-Et arrête avec tes bonnes murs, tu m’énerves! 

On recommence à s’embrasser et à se tripoter. Elle s’arrête d’un coup, et retire sa main, qui carressait ma bite par dessus mon boxer, de mon pantalon. Elle me regarde d’un regard froid, et s’attendrit peu à peu. 

-Tu sais, je t’aime énormément. Mais là, tout de suite, j’ai besoin d’un break. 

Je n’ose plus rien dire. J’ai très peur de la blesser, je sais que Celia est très sensible.

Ce soir-là, nous nous coucherons dans nos chambres respectives. Je la regarde, elle me sourit timidement et rentre dans sa chambre en fermant la porte à clef derrière elle. 

Dans une semaine, nous devons partir en vacances ensemble, avec ma mère et une de mes cousines éloignées. Pendant ces jours, Celia ne m’a adressé la parole que pour de banales choses. Nos sentiments l’un pour l’autre, le sexe, et même tout simplement notre relation frère-soeur, ont été mis de côté. Elle le voulait alors j’ai respecté. 

Paraît-il que la patience paye toujours. Je verrai bien ce qu’il se passera pendant ces vacances. 

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