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Ma première fois – Chapitre 1

Ma première fois - Chapitre 1



Bonjour à tous et à toutes. Ça fait déjà quelques temps que je viens sur ce site mais uniquement en tant que lecteur de passage. Aujourd’hui, c’est mon tour de partager mon histoire, notre histoire devrais-je dire, puisqu’il faut être deux. Ce qui m’a décidé ? Ma moitié évidemment. Je ne peux rien lui refuser et elle m’a convaincu qu’il fallait que j’en passe par là, qu’écrire notre histoire, même si c’est sous forme érotique, serait la meilleure chose à faire si je voulais avancer dans la vie.

Une petite chose encore avant de commencer, j’ai mis cette histoire dans la rubrique « Divers » parce qu’il n’y a pas de rubrique plus appropriée qu’une autre pour la caser. Sans doute faudrait-il encore que la bonne case soit créée. Et puis ça vous laissera la surprise. Maintenant, pour rassurer certaines âmes plus sensibles que d’autres, je peux vous dire qu’il n’y a aucun des sujets suivants : « Avec plusieurs femmes », « Avec plusieurs hommes », « Gay », « Inceste », « Lesbienne », « Orgie, Partouze », « Pédophilie », « Trash », « Travesti », « Zoophilie ».

Pour cette histoire, appelez-moi Benjamin. Quant à l’endroit où j’habite, en France bien sûr, dans un coin un peu paumé. Je n’utiliserai évidement pas de vrais prénoms et si je reste vague sur l’endroit où c’est arrivé, c’est parce que ça n’apporterait rien de plus à l’histoire. De plus, j’y repasse à l’occasion et je suis toujours en couple avec la personne qui m’a initié. Or tout le monde n’est pas aussi ouvert d’esprit qu’on aimerait le croire…  Je vais maintenant vous raconter ma première fois, qui n’a rien de banale, avec une personne exceptionnelle. Plus qu’exceptionnelle même et si vous trouvez que je lui fais trop de compliments, c’est normal, vu que c’est elle qui va me relire.

C’était l’été dernier, je venais de finir mon année scolaire. J’étais tout excité de retrouver ma copine Emily. Bien sûr, je la voyais tous les jours à l’école. Mais ce n’était pas pareil pendant les vacances. On pouvait faire plus de choses, même si la présence des parents nous compliquaient un peu la tâche.

Pour leur anniversaire de mariage, mes parents décidèrent de partir en voyage deux semaines. J’étais évidemment fou de joie quand j’appris la nouvelle, même si je cachais bien mon jeu. Le soir-même, je l’annonçais avec impatience à ma copine par téléphone : on allait enfin pouvoir le faire, ça allait être le grand soir. Les grands soirs d’ailleurs, je ne comptais pas attendre le dernier jour.

J’étais déjà en train de tout planifier pour que mon petit frère ne soit pas dans nos pattes au moment critique, j’allais jusqu’à acheter une boite de capotes au magasin du coin pour éviter d’être reconnu à la pharmacie.

En revenant à la maison, je reçus ma première douche froide. Mes parents avaient engagé une babysitter pour mon petit frère. Comme si je ne pouvais pas m’en occuper ! La deuxième douche froide, c’était qu’elle avait à peine cinq ans de plus que moi et qu’elle allait dormir dans la chambre d’amis pendant toute cette période. Bref, dans la chambre à côté de la mienne…

Arriva le jour où mes parents partirent pour leur voyage d’anniversaire. Et ce fut là que je reçus la dernière douche froide. Mon père me présenta à la babysitter de mon frère. Elle s’appelait Alexandra. Elle était de taille moyenne avec des cheveux brun et des yeux verts. Elle avait une sacré paire de mais le plus important fut que je compris tout de suite à leur attitude qu’elle était « ma » babysitter.

Moi qui croyais avoir suffisamment caché mon jeu ! J’en revenais pas que mes parents aient engagé un chaperon pour nous empêcher ma copine et moi d’aller plus loin. Dans quel siècle ils se croyaient en plus ! Ce n’était pas comme si on avait pas l’âge requit pour faire ce genre de choses !

Malgré le fait évident qu’elle était là pour me fliquer, ma mère l’avertit devant moi que j’avais invité Emily durant les vacances. Quelle comédienne celle-là ! Comme si la nounou était là pour mon petit frère ! Pourtant, elle semblait plutôt cool. Elle écouta les consignes de mon père et de ma mère tout en me souriant avec un air d’excuse.

Une fois mes parents partis, je me demandais ce que j’allais bien pouvoir faire. Je ne pouvais pas en rester là, surtout avec cette foutue boite de capotes sous mon lit qui me narguait à chaque fois que je rentrais dans ma chambre. Il fallait mettre Emily au courant aussi ! Pourtant, après réflexion, je décidais  de prendre un peu de recul pour l’appeler. Il fallait que j’ai un plan de secours et elle ne devait pas avoir l’air au courant pour notre chaperon.

Bizarrement, je ne pouvais pas en vouloir à Alexandra. Elle était sympa et savait y faire en tant que nounou pour mon petit frère. L’heure du dîner arriva et là aussi, elle sut d’instinct nous faire plaisirs. Elle prépara une marmite de pâtes à la sauce bolognaise. Moi qui croyais qu’on allait avoir droit à des crudités et autres trucs bio et peu caloriques.

Pendant que mon frère et moi mettions la table, je la vis soulever le plat de la plaque de cuisson. La manuvre ne lui demanda pas beaucoup d’efforts mais étira son chemisier pendant un bref instant. Elle aussi devait aimer les pâtes, vu ses rondeurs. Je me demandais une fraction de seconde si ma sympathie envers elle était dû à la taille de son bonnet avant de détourner précipitamment le regard.

Après le repas, je montais prendre une douche froide histoire de me calmer et de m’apprêter pour Emily. Elle n’avait peut-être pas d’aussi gros seins et je m’en foutais royalement. Elle avait toute la loyauté de mon cur et mes couilles n’y changeaient rien.

Une fois revenu dans ma chambre, je ne pus m’empêcher de ressortir la boite de sous le lit. Comme un foutu toc ! Ça devait au moins être la cinquième fois de la journée que je faisais ça ! On frappa à la porte et je sursautais violemment avant de planquer en toute vitesse ce que j’avais entre les mains.

Alexandra ouvrait déjà la porte et mon air surpris et à moitié coupable eut l’air de l’interpeller. Elle m’annonça qu’Emily devait déjà être arrivée car on avait sonné en bas. Elle voulait m’avertir avant d’aller vérifier si mon frère faisait correctement ses devoirs. Il avait encore école lui. Puis, elle repartit en me faisant un petit sourire en coin.

Je m’habillais en quatrième vitesse et remarquais que la boite dépassait à moitié de dessous le lit. Je mis un coup dedans pour la cacher un peu mieux avant de redescendre. Quelques instants plus tard, j’arrivais dans le hall d’entrée et ouvrait la porte à Emily.

Elle parut un peu surprise de me voir, comme si elle s’attendait à voir quelqu’un d’autre mais très vite elle se mit à me sourire. Devant ce sourire, j’oubliais les merdes de la journée et l’enlaçais avant de l’embrasser à pleine bouche.

Notre baiser ne dura qu’un instant car Alexandra venait d’arriver en nous disant « Calmoss les amoureux ! ». Mais, elle ajouta tout de suite sur le ton de la blague qu’il fallait prendre son temps au lieu de se sauter dessus.

Du coup, je n’arrivais toujours pas à lui en vouloir d’être là, même si elle allait nous surveiller pendant toute la soirée et le reste du voyage de mes parents. Je me demandais s’il n’y aurait pas de manière de l’amadouer…

On descendit tous les trois au sous-sol regarder un film sur le grand écran du salon et après seulement 20 minutes d’une comédie romantique, Alexandra nous laissa enfin tous les deux. J’en profitais tout de suite pour m’installer plus confortablement avec Emily. Une couette par-dessus nous, pour cacher toute activité suspecte au cas où la babysitter reviendrait, c’était effectivement beaucoup plus confortable.

Avec un intérêt diminué pour le film, on commença alors nos petits jeux de préliminaire. On s’embrassa passionnément, puis je passais à l’attaque de sa poitrine. Je caressais ses seins, en me débrouillant comme je le pouvais avec le soutien-gorge encore attaché. Elle répliqua en frottant mon sexe à travers mon boxer. Je bandais comme un âne, à la limite de faire mal tellement j’étais compressé dans mes vêtements.

Pour diminuer l’intensité de ce qui m’arrivait, je temporisais en reprenant mon exploration. Ma main passa sous sa jupe et je lui caressais le clito avant de faire glisser le bout de mon doigt dans sa fente. Elle semblait apprécier la caresse mais, elle aussi, temporisa mon ardeur en sortant complètement ma queue pour la branler.

Après autant d’attente et avec l’excitation du moment, je ne pus retenir deux trois « Oh… putain ! » bien grossiers. Emily m’embrassa en allant plus vite sur mon manche. Je me retenais pour en profiter le plus possible, en essayant de calmer le jeu, même si Emily n’était pas de cet avis.

Soudain, Alexandra débarqua. On l’entendit descendre bien avant de la voir venir. Elle avait peut-être eut le tact de nous laisser le temps de nous rhabiller en vitesse mais, dans la précipitation, on ne se posa pas trop la question. Quand elle nous dit qu’il était déjà assez tard, alors que le film n’était même pas terminé, je compris pour de bon que nous venions de nous faire griller.

Emily me dit un « A demain » très rapide avant de filer en quatrième vitesse. Alexandra ajouta que moi aussi je devais aller dormir parce que le lendemain elle irait emmener mon frère à l’école et qu’elle voulait en profiter pour faire les courses avec moi.

J’essayais de garder mon calme le plus possible. Entre ma colère de m’être fait prendre et mon sang qui irriguait surtout le bas de mon corps, je savais qu’il valait mieux faire profil bas. J’essayais de rattraper Emily mais elle avait déjà quitté la maison.

J’étais maintenant seul avec ma boite de capotes dans ma chambre et je trouvais le monde vraiment injuste. Pas assez calme pour pouvoir m’endormir, je décidais d’aller faire un tour en bas, histoire de regarder un film à la télé ou un épisode de série.

Apparemment, Alexandra n’était pas si fatiguée que ça, car elle regardait un truc en bas. Là aussi le monde s’acharnait contre moi. Je commençais à descendre et je m’arrêtais en plein milieu de la cage d’escalier avant de faire demi-tour illico.

Je venais de tomber sur ma babysitter en train de regarder du porno gay ! Du moins, le peu que j’en avais vu me disait que ça devait être ça. Un gros plan d’une bite énorme qui défonçait le cul poilu d’un mec ! Merde ! Moi qui me croyait ouvert d’esprit, j’étais carrément rouge en rentrant dans ma chambre.

Au bout d’un petit moment, j’eus un rire incontrôlé. Merde, quoi ! La nounou qui regarde du porno, il fallait la trouver celle-là. Je comprenais mieux son désintérêt pour la comédie romantique. Apparemment, ce n’était pas sa cam. Après ça, je réussi à m’endormir dans un torrent de pensées sans queue ni tête où s’agitaient Emily, Alexandra et moi.

Le lendemain, Alexandra ne laissa rien paraître de ce qu’elle avait fait durant la nuit et je fus réveillé, comme promis, en même temps que mon frère. Une fois arrivé à son école, on alla au magasin du coin.

Durant les courses, je gardais un petit sourire au coin des lèvres en repensant à la scène d’hier soir. Alexandra me sourit en retour. Ça n’était sans doute pas pour la même raison mais son sourire était amical et sincère. On commença alors à sympathiser en discutant de tout. Elle était très directe pour une fille et elle n’était pas du genre timide.

Le courant passa rapidement et j’appris qu’elle vivait en colloc avec deux autres filles et qu’elle faisait des études. Le baby-sitting aidait à arrondir ses fins de mois. Elle aimait faire du vélo et de la natation mais uniquement à la mer. Elle ne gardait plus de contacts avec sa famille à cause d’une embrouille sur son choix de vie, notamment vis-à-vis des garçons.

D’ailleurs, ça lui posait encore des problèmes par rapport à sa colloc actuelle. Sans lui poser plus de questions, parce qu’elle n’avait pas l’air de vouloir s’étendre sur le sujet, je me remis à sourire. Je me doutais que ça devait avoir un rapport avec ce que j’avais vu hier soir.

Puis, ce fut son tour de me poser des questions. Elle n’avait aucune gêne à m’interroger sur des trucs personnels. Une fois dans la voiture avec les provisions, elle finit par me lâcher : « Hier soir, quand je suis revenue voir le film, j’imagine que tu aurais voulu que je vous laisse seul un petit peu plus de temps toi et ta copine, hein ? »

Oui… elle était vraiment très directe ! Je lui répondit un « Bah oui » timide et pas très confiant, me demandant si elle en parlerait à mes parents mais elle me prit carrément à contre courant : « Tu comptais te servir des capotes, hein ? Si tu le veux vraiment, je pourrais vous laisser un moment de libre…

Tu es sérieuses ?

Pourquoi pas ? Ce n’est pas comme si Emily n’était pas consentante…

Bien sûr qu’elle l’est ! Mais… mes parents ne t’ont pas demandé de nous surveiller ?

Ça va pas non ? T’as passé l’âge ! C’est ton frère que je dois surveiller. Enfin, c’est pour ça que tes parents m’ont engagé. me répondit-elle avec un clin d’il malicieux.

Euh ouais. C’est vrai !

Et puis, je ne peux pas vous surveiller tous les deux, tout le temps. Donc, si tu fais des choses dans mon dos, enfermé dans ta chambre avec ta copine, alors que je me suis endormie devant un film en bas au sous-sol…

Surtout, s’il est tard…

Oui, mais en restant raisonnable, OK ? C’est pas comme si tu n’allais pas la revoir durant les jours qui suivent.

Si ça se passe comme ça, ya aucun soucis, je serais debout tous les jours en même temps que mon frère.

Promis ?

Promis. »

Décidément, Alexandra était vraiment cool. En revenant, elle s’arrêta devant le cinéma et me conseilla de faire les choses bien en invitant Emily pour une toile. C’était comme d’avoir la grande sur parfaite qui te soutient en tout. Je me disais que j’avais vraiment de la chance d’être tombé sur elle comme nounou, plutôt qu’une de mes tantes.

En rangeant les courses, elle me posa aussi tout un tas de questions sur le genre de porno que je regardais et sur quoi je fantasmais pendant que je me masturbais. J’étais carrément gêné au début, limite intimidé. Il y a deux jours à peine qu’on se connaissait et elle était plus vieille que moi. Et j’étais déjà avec Emily quoi ! Pourtant, elle réussit à me détendre d’un coup quand je finis par comprendre où elle voulait en venir.

Elle me dit d’oublier tout ce que j’avais vu et entendu. Que ce n’était que du chiqué et du surjoué. Qu’il fallait se rendre compte qu’Emily ne serait pas aussi détendue pour une première fois et qu’il faudrait le faire à son rythme et non au mien.

Je trouvais ça touchant. Bien sûr, je savais déjà tout ça. D’ailleurs, avec Emily, je ne m’étais jamais imposé, au contraire, j’avais souvent tendance à céder à toutes ses demandes. La sollicitude de cette « grande sur » qui donnait des conseils entre la réalité et le porno, alors que de son côté elle ne se gênait pas, me faisait l’apprécier encore plus.

Pendant le reste de la matinée, je décidais de mettre au parfum Emily en lui téléphonant. Je ne voulais pas laisser de messages textos, pas pour ce que je voulais lui annoncer. Au final, sans parvenir à lui dire grand chose, ses copines étant à côté, je réussis à lui faire mon invit’ au cinéma, en insistant sur le côté romantique à deux, tout ça, tout ça. Pour être sûr d’y être que tous les deux, sans ses copines. Ça m’était déjà arrivé que l’une d’elle s’invite.

Comme l’heure de midi était déjà dépassée, je descendis en cuisine pour voir ce qu’on allait manger et si je pouvais donner un coup de main. Je ne trouvais personne, rien n’était prêt et aucun signe d’Alexandra. Elle n’était pas au sous-sol non plus.

En faite, elle était dans sa chambre et avant d’avoir pu toquer à sa porte, je me ravisais en continuant mon chemin, les joues à nouveau rouges. Je venais d’entendre du porno, c’était sûr et certain ! Un mec avait l’air de beugler dans une autre langue en prenant son pied.

On mangea plus tard et une fois fini le déjeuner, on repartit chacun dans sa direction : elle dans le salon pour réviser ses leçons et moi dans ma chambre pour jouer à la console. Au bout d’un moment, elle toqua à ma porte et l’ouvrit dans la foulée pour savoir ce que je faisais. Une fois de plus, l’intervalle entre le moment où elle toqua et le moment d’entrer fut très court. Au moins, cette fois, je n’avais rien à cacher.

Elle me sourit en m’annonçant qu’elle avait fini ses révisions et qu’elle avait envie de se détendre un peu en me bottant les fesses à Halo. Elle avait sans doute vu le boîtier de jeu sur mon bureau la veille. J’acceptais en rigolant et lui donnait une manette. Je ne m’étais jamais fait battre à un FPS par une fille. Et ce jour-là… bah, il faut une première fois à tout comme on dit.

Ça ne m’empêcha pas de demander ma revanche, qu’elle me donna volontiers mais je n’eus pas le droit à la belle. Elle était vraiment douée ! En restant bon joueur, je lui proposais un autre jeu. Je ne voulais pas rester sur deux défaites consécutives. Cependant, elle me rappela qu’elle devait aller chercher mon frère et aussi que je devais me préparer pour ce soir.

Une fois de plus, sa façon de jouer les grandes surs me fit sourire et je m’exécutais sans protester. Elle partit avec sa voiture et moi à la douche. En revenant plus tard, elle nous fit à manger à la va-vite. A nouveau des pâtes, ce qui n’eut l’air de déranger personne. Ensuite, elle repartit emmener mon petit frère à son cours de judo, ce qui me laissait libre de mes mouvements pour la suite.

Je pensais qu’Emily serait là de bonne heure mais elle était en retard. Tellement en retard qu’Alexandra était déjà de retour avec mon petit frère. Pour me dépanner, elle me proposa même d’aller la chercher et de nous pousser jusqu’au ciné pour être à l’heure à la dernière séance. En échange, on devait juste lui acheter du pop-corn pour elle et mon frère. Ils allaient regarder un film ensemble devant la télé avant d’aller dormir.

La soirée était partie pour être inoubliable mais tout alla de travers. Déjà Emily n’eut pas l’air d’apprécier le dépannage d’Alexandra quand on arriva chez elle. Je m’étais ça sur le compte de la jalousie, car ma nounou s’était montrée très familière avec moi. Sans doute le « mon petit Ben » était rentré en travers de la gorge de ma copine.

Ensuite, pendant le film, il n’y eut rien de plus trépidant que sa tête posée sur mon épaule et toutes mes tentatives pour rendre les choses plus pimentées tombèrent à plat. Sur le chemin du retour, je sentis comme de la distance entre nous.

On finit par rentrer et se mettre à l’aise. Pour ne pas perdre complètement la soirée, je ne trouvais rien de mieux à faire que d’aller fouiner dans le bar à alcool de mes parents. Je savais que ce n’était pas très très classe et pourtant je réussis à me convaincre qu’Emily en avait vraiment besoin.

On prit un verre chacun : de la vodka. Emily fit la grimace et pour plaisanter je lui fis la grimace à mon tour. On se mit à rire et on recommença une fois encore avant de monter. Du coup, on alla dans ma chambre et on s’embrassa. La situation s’était enfin détendue.

Nos lèvres se trouvèrent dès le début, puis nos langues. Mes mains essayèrent de trouver un point d’entrée vers sa poitrine. Elles passèrent par en-dessous un chemisier serré et s’infiltrèrent sous un soutien-gorge avant de rencontrer les deux petits seins d’Emily. Elle soupira d’aise au moment où mes doigts se refermèrent dessus.

Mes caresses et notre long baiser continuèrent encore un peu, puis, elle commença à gémir. Je décidais alors de passer à la vitesse supérieure en faisant glisser une main vers le bas de son corps. Emily me devança. La sienne atteignit mon entrejambe et se débarrassa de mon jeans bien avant que j’ai réussi à lui enlever le sien. Un taille 36 ultra serré !

Elle commença par me caresser lentement avant de partir sur un rythme plus soutenu. Elle allait limite un peu trop vite car, à cette vitesse-là, je n’allais pas pouvoir me retenir très longtemps. J’étais excité comme un taureau en rut et le fait de savoir qu’on allait enfin le faire ne m’aidait pas à me calmer, c’était tout le contraire.

J’essayais de reprendre les choses en main en lui appuyant légèrement sur les épaules pour la mettre à genoux, pendant que je m’asseyais en défaisant complètement mon pantalon. Je me disais qu’une fellation, beaucoup moins rapide, me permettrait de reprendre contenance. On avait encore jamais essayé !

Impossible d’en garder un souvenir agréable ! Je n’ai pas forcément une queue très grosse, c’était surtout Emily qui avait du mal à ouvrir suffisamment la bouche le problème. Ses dents griffaient constamment mon gland à chaque aller-retour. Et comme en plus je n’avais pas le courage de lui dire qu’elle s’y prenait mal, je décidais d’y mettre fin le plus vite possible. Pour le coup, ça avait refroidi mes ardeurs.

Maintenant plus clair dans ma tête, je voulais lui rendre la pareille. Je l’installais à ma place avant de lui enlever complètement son jeans. Son slip partit dans le même temps et je me retrouvais à ses genoux lui écartant les jambes après une brève résistance de sa part, comme par jeu.

Je fus aussi mauvais qu’elle mais ça ne m’empêcha pas d’essayer très fort de la faire jouir par un cunnilingus. Au bout d’un moment, elle me repoussa la tête et me sourit. Je lui souris à mon tour avant de tendre ma main en-dessous du lit sans vraiment remarquer qu’elle avait essayé de me dire un truc. Intriguée par mon geste, elle avait hésité et attendait la suite.

Je ne trouvais rien de mieux à faire que de lui mettre la boite sur ses genoux. Elle essaya alors de me dire gentiment qu’elle ne voulait rien faire ce soir mais je n’étais pas sur la même longueur d’ondes.

Du coup, le ton monta et après une tentative pour la retenir de force par le poignet, elle finit par prendre ses habits sous le bras en me claquant la porte au nez. J’allais la rattraper quand je vis Alexandra parler avec elle en bas des escaliers. Emily pleura dans ses bras et ma babysitter me fusilla tellement du regard que la retraite dans ma chambre me parut être la meilleure solution.

Un peu plus tard, Alexandra toqua et entra sans attendre comme à son habitude. Elle vint s’asseoir à côté de moi. Sans tourner autour du pot, elle m’annonça : « Ça va te faire un choc mais, apparemment, « ton plan cul », c’était carrément du gros délire pour Emily. Elle n’a pas apprécié que tu « brusques » votre relation comme ça. Et moi, je n’ai pas apprécié que tu te serves de l’alcool pour pouvoir baiser ! D’ailleurs, tes parents non plus ne devraient pas appréciés… »

Je restais plongé dans mon silence avant de lui demander ce que j’avais merdé, comme si elle, elle avait la réponse en tant que fille. Elle finit par me répondre qu’avec l’alcool et le stress, Emily lui avait avoué que ce n’était pas tant ce que j’avais fait le problème. C’était ce qu’elle ressentait, elle. Elle voulait quelque chose de plus sérieux pour sa première fois, voire attendre le mariage.

Je n’en croyais pas mes oreilles ! Venant de la bouche de mes parents ou des siens, « pas avant le mariage », OK. Mais Emily ? Je voulus tout de suite aller en bas pour lui demander si c’était vrai. Alexandra m’arrêta dans mon élan et me dit que ce n’était pas la peine, qu’elle était déjà partie et partie pour de bon.

Je refusais de la croire et me réfugiais au sous-sol avec mon portable pour la joindre et avoir une explication. Je n’eus pas le droit à une rupture en direct, juste à un SMS un peu long où elle me faisait comprendre en tournant autour du pot ce que venait de me dire Alexandra. Première trahison.

En lisant entre les lignes, je compris aussi que l’idée de la nounou venait d’elle. Plus exactement, de ses parents, après qu’elle leur avait raconté mes projets pour les vacances. Deuxième trahison.

J’étais encore en train de réfléchir à quoi lui répondre quand je reçus un autre texto qui, lui, indiquait très clairement que c’était fini et, petite pointe de méchanceté gratuite ou non, que cette relation se serait arrêtée de toute façon avant la reprise des études. Troisième trahison.

Je me mis à pleurer. Ce n’était pas très viril mais, la fatigue, l’alcool et le stress me firent lâcher les grandes eaux. Je ne m’aperçus de la présence d’Alexandra que quand elle me tendit un mouchoir. Elle avait aussi les deux verres et la bouteille de vodka que j’avais laissé en cuisine.

Avec un air compatissant et en me disant que j’avais l’air d’en avoir besoin, elle me servit un verre avant de faire pareil pour elle. Ensuite, elle resta à écouter ce que j’avais sur le cur en me resservant une lichette de temps en temps. Ça me fit énormément de bien de vider mon sac et même si la discussion devait ressembler à un monologue, Alexandra m’écouta sans m’interrompre.

Ma litanie continua et elle se rapprocha de plus en plus de moi. J’étais très détendu et me sentais soutenu dans ce moment difficile. Sans me rappeler exactement comment ça a commencé, elle s’est précipitée sur moi en me volant un baiser, sa langue parcourant ma bouche tout en m’agrippant la mâchoire d’une main. J’étais peut-être décontracté avant son baiser mais, après cette attaque soudaine et parce que j’avais encore des sentiments pour Emily, je me tendis d’un coup, comme un ressort.

Elle me repoussa la tête et d’un ton assez autoritaire m’expliqua : « Tu vois Ben… quand tu forces quelqu’un à faire quelque chose qu’il ne veut pas… et sous l’emprise de l’alcool, ça ressemble à ça ! »

Je ne trouvais pas quoi lui répondre. D’autant plus qu’elle n’avait pas tout à fait tord. Puis, par entêtement et parce que je ne voulais pas lui montrer qu’elle avait raison, j’essayais de l’embrasser à nouveau. C’était ma manière à moi de lui prouver qu’à la place d’Emily je n’aurais pas eu peur.

A ce moment, j’étais complètement enivré par l’alcool et par l’odeur d’Alexandra. Elle devait utiliser le gel douche de ma mère car ses cheveux étaient imprégnés de la même odeur. Elle me repoussa sur le côté avec une force insoupçonnée avant de déclarer d’un ton autoritaire : « OK, OK ! Attends deux secondes, mon petit Ben ! Si tu veux prouver quoique ce soit, c’est avec Emily que tu devrais le faire. Parce qu’avec moi, il n’y a pas de soucis… si on continu comme ça, tu vas la perdre ta virginité. Dès ce soir ! Par contre, tu es bien conscient qu’il n’y aura pas de retour en arrière possible, hein ?

Oui. Répondis-je d’un air de défi.

Oui, quoi ? Soit plus précis.

Oui, je veux prouver quelque chose. Non ce n’est pas en rapport avec Emily. Oui, je suis partant pour tout ce que tu as dis d’autres.

Très bien, dans ce cas… laisse-toi faire ! »

Elle commença par se mettre à califourchon sur moi et enleva son haut. Elle avait vraiment du monde au balcon, on devinait aussi des abdos bien dessinés. Elle devait faire du sport. J’explorais tout doucement l’intérieur de son soutien-gorge. Je me mis à bander dur, ma main n’arrivait même pas à prendre un sein au complet. Alors, quand elle relâcha l’agrafe et que ces obus libérés rebondirent sous mes yeux, je me mis à les pétrir des deux mains.

Je n’avais aucune expérience en la matière vu la taille mais elle me guida. Alexandra me donna une petite claque sur le haut de la tête en me disant d’y aller plus mollo sur les mamelons. Puis, d’y aller plus ferme, quand elle comprit qu’elle m’avait trop refroidi au point que ma caresse devenait trop timide. Ensuite, elle descendit de mes jambes et retira mon jeans d’une traite avant de s’agenouiller devant moi.

Après l’épisode des dents d’Emily, je n’étais pas vraiment chaud. Alexandra ne me laissa pas le temps d’y penser trop longtemps, car elle se jeta sur ma queue sans hésitation. Elle prit mon sexe avec sa bouche en me regardant droit dans les yeux. Ses lèvres ourlaient le bout de mon gland et sa langue caressait ma hampe d’une façon divine. Je ne sentis pas une seule dent. Tout en douceur et volupté. C’était comme si elle ressentait ce qu’elle me faisait. C’était trop bon !

Je ne savais pas d’où lui venait sa technique. En repensant au porno gay, je me disais qu’elle ne devait pas avoir eu trop de partenaires, qu’elle était encore dans la phase des adolescentes fans de yaoi. Ou alors c’était l’inverse : à force d’en voir, elle avait peut-être appris des trucs, alors qu’Emily avait toujours eu du mal à regarder ne serait-ce qu’un extrait.

Puis, elle avala mon chibre en entier. J’arrêtais de penser tout court tellement c’était bon ! J’allais jusqu’au fond de sa gorge et la sensation d’être comprimé à souhait tout en douceur était à tomber par terre.

D’ailleurs, je n’étais pas loin de jouir, quand Alexandra me saisit fermement par les couilles d’une main et me serra la base du pénis de l’autre avant de me dire de me calmer si je voulais en profiter un peu plus. Elle alla même jusqu’à me promettre que si je tenais encore cinq minutes, je pourrais la prendre mais que dans le cas contraire…

Elle ne finit pas sa phrase car elle avait déjà reprit une fellation du tonnerre. Elle alterna les hauts et bas, les allers-retours lents et doux avec les rapides et fermes avant de monter en puissance. J’arrivais de moins en moins à me contrôler mais, ce qui m’acheva vraiment fut de constater qu’elle agitait sa main dans son pantalon. Elle se caressait en même temps que de me sucer et là, j’oubliais carrément Emily pour jouir dans la bouche de ma cochonne de babysitter.

Alexandra eut l’air surprise. Je ne savais pas si c’était dû à la quantité ou si c’était par rapport à sa mise en garde que j’avais ignoré. J’avais l’impression que ça n’en finissait pas ! En tout cas, elle n’en perdit pas une goutte.

Rien ! Aux pauses entre les cours, toutes les filles disaient et rabâchaient que c’était dégueux, qu’il n’y avait que les actrices porno qui faisaient ça. Bah là… j’avais en face de moi une babysitter porno, ma babysitter.

Mais une babysitter un peu furax. Ou du moins qui avait l’air d’être restée sur sa faim. Je lui proposais de lui rendre la pareille mais elle m’annonça que c’était trop tard, que j’avais laissé passer ma chance.

Je ne savais pas quoi en penser et mon trouble dû se voir, car elle ajouta plus doucement qu’il me fallait une petite pause avant d’en remettre une couche. Elle me proposa d’aller prendre une douche pour me rafraîchir.

J’en profitais aussi pour faire un tour aux toilettes et une fois ma douche finie, j’allais dans ma chambre, la queue tendue comme une banane. Je voulais prendre la boite de capotes sous mon lit mais elle n’y était plus. Je me retournais soudain au son de la voix d’Alexandra : « C’est ça que tu cherches ? Ramène-toi, la suite se passe dans ma chambre… »

Voilà pour cette première partie. La suite arrivera bientôt car je pense qu’en une fois ça aurait été trop indigeste. En tout cas, si vous avez aimé mon histoire, vous aimerez sûrement son dénouement. Et d’ici à la prochaine fois, restez libres de vivre toutes vos envies.

Osez.

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