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ma salope de cousine – Chapitre 1

ma salope de cousine - Chapitre 1



ma cousine

Bonjour à tous mes frères ! Comme je vous connais bien, je sais que vous êtes friands dhistoires pr0n Et cest pour ça que jai décidé de vous raconter les mésaventures (ou aventures selon le degré de votre perversité) qui me sont arrivées le mois dernier. Je précise pour les suspicieux que ceci est 100% no fake

Pour commencer qui suis-je ? Jai 16 ans, je vais passer en 1ereL (et no troll la dessus bande de racles, y aura de la meuf au moins) lannée prochaine dans un lycée de Lyon. Evidemment tout ça vous vous en foutez. Par ailleurs, je précise tout de suite que dans lintérêt de mon anonymat les noms seront modifiés.

Cet été, comme tous les étés, javais prévu de résumer mes journées au 15-18, Mine kraft, Pokémon et HentaiFR Jaimerais vous dire que je suis un faux geek qui cache son jeu de beau gosse timide pro de la guitare électrique et dun quelconque sport mais ce nest pas le cas.

Mes amis se comptent sur les doigts de la main, et je nentretiens dailleurs une relation sentimentale quavec cette dernière.

Ces amis parlons en, comme ça cest réglé puisquils ne serviront à rien : Philippe Eugène le joueur de WoW de base, ne parle que de ça, ne connaît que ça, est fier de sa copine Elfe de la nuit. Jean Hubert, tellement timide et casanier quil ny a que sur skype (mais à lécrit, attention) quon puisse espérer le voir sortir des vannes et enfin Marc Thierry, asiatique qui souffre dun complexe sur la taille de son Z (no racisme cest comme ça jy peux rien) doublé dune grande obsession pour la gente féminine sous toutes ces formes. Autant dire que même sils voulaient bien sortir de chez eux, ça ne me motiverait pas des masses.

Mais il y a tout de même des gens intéressants dans mon entourage, et cest ma famille. A ce niveau jai de la chance. Je suis fils unique et donc tranquille, jai un père cool mais de toute manière peu présent et surtout une mère, femme au foyer à en faire bander un eunuque. Je vous vois venir mais jai dis au début que jétais adepte de hentais, vous vous attendiez à quoi ?

Nous étions donc en fin du mois de juin, les cours étaient finis pour les 2nd, et javais donc entamé ma vie de reclus de la société depuis quelques jours quand, en plein après-midi, ma mère vint interrompre ma séance de cirage de ravioli de 15h :

« Fun ? Je peux rentrer ?

Je fermai alors mon dossier porno ainsi que la dizaine de sous-dossiers quil comptaient (un parcours du combattant de ma confection, bien que je doute son utilité étant donné que personne ne risque de venir ouvrir mon pc, ni même la porte de ma chambre pour venir me voir)

— Oui vas-y. Lui répondis-je.

Elle ouvrit et entra, accompagnée des magnifiques courbes de ses hanches et de sa poitrine clairement trop grosse pour tenir tranquillement dans son léger peignoir. Elle sassit sur mon lit et repoussa les mèches brunes encore mouillées de devant ses lèvres :

-Je viens de recevoir un appelle de Tati, elle nous propose de venir passer les deux premières semaines de Juillet chez eux. Il y aura Cécilia, ça fait longtemps que vous ne vous êtes pas vu, cest loccasion, elle doit avoir bien grandit. Et puis ça te fera sortir un peu. Quen dis-tu ?

— Euh eh bien, oui ok. Je tentais plus de cacher mon Z qui navait pas eu le temps de se calmer que de me concentrer sur ce que me disais ma mère, qui ne maidait pas beaucoup non plus.

-Très bien ! Eh bien commence à te préparer on part Lundi ! Elle quitta alors la pièce dans un hypnotisant mouvement de balancier du postérieur.

-Oui ça marche, tout de Euh attend quoi ?! »

Je suis sûr quelle a agité son cul si ferme, rond, et rembourré, et qui me donne tellement envie de le malaxé mais je mégare. Je suis sûr quelle a fait exprès pour me faire accepter si vite daller voir ma tante et ma cousine !!

En effet ça fait longtemps quon ne leur a pas rendu visite ni quils ne sont venus chez nous. Mais ce nest pas pour me déplaire. Ma cousine est insupportable dans son genre. Elle est un peu plus âgée que moi, peut être dun an ou deux je ne sais pas. Mais le fait est quon ne sest jamais réellement entendus. La dernière fois quon sest vu doit remonter à il y a presque cinq ans. Durant Toute notre enfance elle est passée par tous les stades. La sale petite peste, puis la chieuse de service, la grosse kikoo lol, la faussement dépressive, TOUT !

Jai toujours pris un malin plaisir à lemmerder le plus possible, malgré les airs quelle se donnait, elle navait pas de grande autorité sur moi ou sur quiconque. Ce qui fit delle un bon moyen de décompression lors des vacances passées à la campagne de ses parents où il ny a rien à faire.

Physiquement il ny a rien à dire. Elle nest pas laide mais toutes les modes quelle a suivit nont jamais été à son avantage. Et puis elle doit avoir changé depuis le temps.

Quant à ses parents ils nont rien de bien original non plus. Mon oncle nhabite plus avec elles depuis des années et ma tante est une banale caissière dans la supérette du village. Elle a toujours été une source de déception familiale. Pas dambition, un mariage raté avec un homme que personne nappréciait vraiment. Même moi elle me décevait tant elle ne valait pas ma génitrice dun point de vue physico hormonale sexuel

Enfin bref, le mal était fait. Je retournais au déballage de ma papillote qui commençait à simpatienter. Il était déjà 15h30 !!

Le lendemain soir, veille du départ, je préparais mes affaires : PC portable, disque dur remplit de films et dépisode de mes animes préférés (ainsi quun dossier pr0n habilement camouflé dans mon dossier de travaux pour le lycée). Je noubliais évidemment pas ma gameboy advance et tous les opus de pokémon, quelques mangas et toute la nourriture nécessaire pour les heures dautoroutes à venir. Jajoutais à la fin quelques fringues de change.

Après leffort, le réconfort ! Je bouclais péniblement ma valise (le dernier tome de « Kama-Sutra » ne passait pas) et allai me coucher dans mon lit, le 15-18 ouvert sur mon téléphone. Je naviguais dune fic sur les caissiers de monoprix à un topic pro-FN lorsque jentendis des bruits étranges provenant de la pièce dà côté.

Cette pièce cest la chambre de mes parents, les cloisons ne sont pas en carton mais quand on cogne dessus, forcément ça sentend ! Les bruits ressemblaient à despèces de gros « toc toc » réguliers contre le mur. Je mis mon casque pour ne plus les entendre mais les chocs étaient si fort que je ressentais des vibrations dans tout le sommier de mon lit !!

Je frappai alors à leur intention pour leur signaler que, quoi quils fassent, cétait bruyant !

Pas de réaction, jenlevai mon casque et alors je me rendis compte de ma bêtise:

Jentendais ma chienne de mère en train de hurler comme une dingue !! Le bruit était celui de leur lit sur la cloison, au rythme des coups de bite que ma mère se prenait en plein cul ! Elle criait, elle en sanglotait ! Cette salope suppliait mon bâtard de père de la prendre comme une truie. Rien quavec ses commentaires je savais tout ce quil se passait.

Bien sûr ce ne fut pas sans réveiller le tau piqueur de son terrier. Javais le bâton magique de San Goku à sa longueur maximale, gros et dur comme lépée broyeuse de Cloud.

Je ne pus mempêcher de mimaginer dans la pièce dà côté, ma mère à genoux devant moi, les larmes aux yeux et réclamant à gorge déployée de lui enfourner ma chose. Je lui aurais saisi le menton, lui aurais délicatement ouvert la bouche, puis y aurais glissé doucement mon pénis dans la bouche, jusquau fond. Puis après quelques allers-retours je laurais lentement retiré, essuyé quelque peu sur le visage et le front de cette truie.

Je limaginais ensuite se retourner et me tendre son cul qui me met tant au garde à vous, me priant denfourner mon sexe dans un des trous, nimporte lequel, mais de me dépêcher et pendant des heures de mais malheureusement je ne tenais pas assez longtemps et envoyais toute mon énergie dans une de mes vieilles chaussettes que je nenfile plus au pied depuis quelques années

Nous voilà partis pour la campagne perdue de chez ma tante et de ma casse-couilles de cousine. Heureusement il me reste encore quelques heures devant moi pour profiter de ma chère gameboy.

Pendant que mon père et ma mère discutait de tout et de rien sur un fond de RFM jai commencé une nouvelle partie de pokémon Rouge Feu. Jai commencé à avoir la trique lors du combat contre Ondine, cette cochonne en bikini avait le don de mexciter (comme nombre de femelles je vous le concède). En plus jadore les rousses. Jallumais mon PC pour aller lire quelques hentais pokémon. Mais très vite je nen pouvais plus, il fallait que je M+Z :

« Papa on pourrait pas sarrêter à la prochaine aire dautoroute, il faut que je pisse ? Demandais-je en toute honnêteté.

— Tes sérieux, on sest arrêté il y a une demi-heure.

— Ben ouais mais je commande pas ma vessie

— Cest bon chérie moi aussi il faut que jy aille. Intervint ma mère.

— Bon très bien, mais après ça on fonce, on a encore du chemin. »

Il ne fallut pas trop de temps pour atteindre laire de pause suivante. Mon père décida de nous attendre à lombre, proche de la voiture. Pendant ce temps je me dirigeais avec ma mère vers les toilettes :

« On dirait que celles des hommes sont fermées, tu vois ce qui est écrit ? Fit-elle quand nous approchions.

— « Travaux » apparemment, ben cest pas grave je vais aller quelque part derrière des buissons.

— Oh non quand même, viens dans celles des femmes on sen fiche. Rétorqua-t-elle en riant.

— Euh non vraiment je tassure, je vais aller derrière un buisson. Je suis plus un gamin maintenant après tout ! Me défendais-je. Je nallais quand même pas me lustrer avec ma mère dans la cabine dà côté !! Lexcitation serait trop forte, elle entendrait tout.

— Oh, tout de suite, je sais bien que tu as grandis, tu es un homme maintenant. »

Oui je suis un homme, et un homme qui ne pouvait plus tenir son érection. Je ne répondais pas et allais au plus vite dans un coin isolé.

Je vérifiais quaucune table pique-nique ne se trouvait à proximité, et descendait ma braguette pour libérer la bête. Lastiquage pouvait commencer.

Mais la patience mavait fait défaut. Je nétais pas tout à fait seul. Non loin devant moi, dans un maigre bosquet, je voyais clairement deux personnes. Lune delles se débattait.

Je lâchai mon sexe pour prendre mon courage à deux mains et mapprochai discrètement. Etait-ce une agression, un racket, ou pire, un viol ?

Je finis par être suffisamment proche pour distinguer clairement la situation sans toutefois mêtre fait repérer. Et en réalité la « victime » avait plutôt lair dapprécier son sort.

Une grande brune aux cheveux mi-longs, avec des courbes légères mais justement faites. Ses hanches étaient parfaitement dessinées et débouchaient sur des jambes dune finesse et dune longueur juste divine. Ses seins nétaient pas très gros, mais avaient une superbe forme ronde. Ils étaient visiblement au goût de lhomme qui les agrippait et les malaxait avec force. Il se tenait derrière elle et la prenait dans une levrette à la fois sauvage et sensuelle.

A chaque coup de reins je pouvais lire sur le visage de linconnue la difficulté quelle éprouvait à retenir ses cris. Elle parvenait tout de même à ne laisser échapper que quelques gémissements. Mais quand ils devenaient rugissement, lhomme la faisait taire en basculant sa tête en arrière et en lembrassant dune ardente fougue animale.

Ne pouvant plus évacuer son plaisir par la voie orale, le corps de la femme se mettait alors à frémir comme si tout son sang commençait à bouillir. Et lhomme attisait ce feu en faisant tomber sa main, du téton jusquà lentrejambe, et pressait contre le minuscule point faible.

Le résultat ne se fit pas attendre et dans un ultime râle, la femme retomba au sol, le corps brillant de sueur. Dans cette nouvelle position lhomme et moi avions vu sur lensemble du dos de la sublime créature. Ses épaules fines régnaient sur une encolure douce et libérée des cheveux qui tombaient désormais sur le visage. Elle se cambrait en formant le plus bel angle quil puisse été donné dadmirer. Un angle qui relevait une croupe ronde et ferme que lhomme tenait avec assurance de ses mains puissantes.

Après quelques minutes dans cette position, il se pencha sur elle et attrapa sa chevelure. Il lui fit lever la tête et lembrassa dans le cou avant de terminer sa chevauchée dans un soupir commun.

Puis ils se séparèrent et sallongèrent ensemble entre les feuilles pour reprendre leur souffle.

Javais eu le temps dassouvir mes pulsions devant ce spectacle de fauves suffisamment pour retourner, satisfait, à la voiture où mes parents devaient maintenant mattendre impatiemment :

« Eh ben alors, tes sûr que cétait la vessie qui était remplie ? Sesclaffa mon père à mon retour.

— Maman est toujours aux toilettes ? Métonnais-je, remarquant son absence.

— Oui, fit-il le sourire en coin, elle est allé se rincer, on a un peu profité que tu mettais du temps si tu vois ce que je veux dire. Il rit et me fit un clin dil. »

Nous approchions de la sortie de lautoroute. A partir de cet endroit il restait tout au plus quarante-cinq minutes avant le village de ma tante

Bon, eh bien je vais me refaire Ondine. Javais sauvegardé juste devant pour le plaisir de me refaire cette salope en boucle.

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