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Ma soif sexuel avec ma grand-mère – Chapitre 1

Ma soif sexuel avec ma grand-mère - Chapitre 1



C?est avec beaucoup de plaisir et un peu d?émotion, que je vais vous relater un très beau passage de ma vie. J?avais à l?époque quinze ans, et comme toute les années, ma grand-mère Annie de son prénom, rassemblée chez elle une partie de ses petits enfants. Annie avait 58 ans, veuve, le physique de Muriel Robin, avec autant d?humour il faut le reconnaître, ce qui faisait qu?on ne s?ennuyer jamais en sa compagnie. Malheureusement depuis peu, elle nous a quitter et s?est pour cela que je me suis permis de vous écrire, pour lui rendre un hommage à ma manière.

Ce jour là donc, nous étions chez elle, fêtant comme il le fallait nos retrouvailles d?un jour. Au court de l?après-midi, Annie nous rassembla nous tous les garçons à venir dans sa chambre. Une fois sur place, elle ferma la porte et nous demanda pour 10Fr lequel de nous autre voudraient lui montrer son zizi. Dix Franc étant à l?époque des fait, une somme assez importante, un après l?autre mes cousins se libérèrent , exhibant leur sexe à Annie en toute innocence. Comme une fois leur récompense prit, mes cousins disparaissaient de la chambre, je fus seul en compagnie de ma grand-mère, toute émoustiller d?avoir vue autant de zizi en une journée, qui me demanda de m?exécuter à mon tour. Très pudique à l?époque je refusa, vexant ma grand-mère sur le coup. En fin d?après-midi, une fois tous les garnements partie, j?aida Annie à remettre en état les lieux. L?épisode de la chambre revint sur la table, me demandant le pourquoi du refus, alors que ce n?était qu?un jeu. Je lui expliqua alors que j?étais devenu un homme et qu?il n?était pas question que je fasse ce geste et un plus devant tant de monde. Elle approuva mon front parler, mais n?étant pas femme à ce démonter, elle me proposa de me donner cent Franc. Elle me prenait au dépourvu, pour une telle somme il n?était pas question que je refuse. Je lui demanda, pas que je n?avais pas confiance en elle, de me payer avant. Elle ouvrit un tiroir de son buffet, et sous la pile de torchons elle sortit une boite, qu?elle ouvrit pour extraire un billet de cent Franc, qu?elle me tendit avant d?aller s?installer dans son fauteuil. Elle me demanda alors de m?approcher du fauteuil. Elle se déchaussa et une fois son pied gainé de nylon couleur chair, elle le frotta contre mon genou. Peu à peu son peton monta doucement. Je commença à avoir de plus en plus chaud. A cette instant elle retira son pied et me demanda de descendre mon pantalon. Je m?exécute, retirant mon pantalon puis mon slip. Elle pose alors son pied sur ma jambe et le remonte de nouveau le long de ma cuisse jusqu?à cette fois ci mon sexe. J?avais du mal à contrôler mon érection tant la caresse du nylon me fis frissonner. Elle me regarda, hocha la tête en signe de surprise et elle se mit à caresser mon sexe avec son pied. De haut en bas, de gauche à droite. Je soupirai de bonheur, tant la sensation était puissante. Annie lève alors son deuxième pied, dans son mouvement sa robe remonte et je peux admirer son porte-jarretelles tenant haut perchés sa paire de bas. Mais le panorama de s?arrêter pas là, j?avais en guise de compensation la vue de sa culotte blanche. Je ne pus plus me contrôler et gicla mon foutre sur elle. Mon sperme fusait à grands jets visqueux, comme jamais auparavant. Elle s?en est même prit une dans la bouche, sur ses cuisses où de longues estafilades blanches tranchaient sur ses bas couleur miel. Gêner et honteux, je me rhabilla et m?enfuis aussi loin que je le pouvais, jurant à moi même de ne plus retourner chez Annie. Quelques passèrent, quant un soir, ma mère vint me chercher dans ma chambre, me signalant un appel pour moi. C?était Annie qui me demanda de passer à son domicile après mes cours. Une fois sur place, après m?avoir expliquer le pourquoi sur sa conduite, elle m?invita de nouveau à prendre mon pied devant elle. Suite à cet épisode, je me suis exhibé devant elle pratiquement tous les soirs qui ont suivit. Je la sentait heureuse de goûter mon sperme. Il y avait entre nous que de la jouissance. Jamais , elle s?était permis de me toucher de ses mains, jusqu?à ce jour mémorable, où dans la buanderie, pendant qu?elle triait le linge sale que sa fille Gildas avait déposer matin. La découverte d?un string mauve m?avait mis dans un telle état, que ma grand-mère s?en est tout de suite apercevoir, à la bosse que j?avais en haut de mon pantalon. Elle prit la dentelle et me la porta à mon visage, pour que je la flaire et ainsi m?impreigner de son odeur malifique. M?incitant à penser à la boule de poil noir qui l?avait souiller. Dans ma rêverie, je sentis sa main qui me libérer, j?avais à cet instant la taille d?un organe reproducteur. Tout en restant derrière moi, elle commença pour la première fois à me branler, d?une façon assez experte d?ailleurs. Je ne bougeais plus, humant simplement la dentelle et à l?écoute de toutes les sensations que sa caresse m?apportait. Elle continua comme cela, jusqu?à ou ne tenant plus, je conclu ces man?uvres par une éjaculation qui m?apparus impressionnante. Puis un jour, Annie me proposa un défis, celui de faire saliver une paire de veuves, en réalisant un strip-tease. S?était quant même une drôle d?idée, mais le challenge me plu énormément. Tous les jours qui suivirent, je m?exerçais à ôter mes vêtements d?une façon sexy. Allant jusqu?à me procurer une cassette sur le sujet, pour me perfectionner. Le jour faste arriva. Pour l?occasion, je m?étais muni d?un masque pour ne pas être reconnu. Dès que je me suis aventurer dans le salon, j?ai pus m?apercevoir qu?Annie m?avait menti, la paire de veuves promis avait fais place à une demie douzaine de mamies. Je lança la musique et commença mon strip-tease. Je me déboutonna ma chemise puis me la retira, restant le torse nu. Puis après quelques déhanchement, je glisse mes mains le long de ma poitrine dans un mouvement sensuel, jusqu?à atteindre la boucle de mon ceinturon. Que je défis d?un mouvement long. Je déboutonna ma braguette. Une fois cette opération effectuée, je me remis à danser. Après quelques minutes de défoulement, je descendis mes mains au niveau de mon pantalon pour le faire glisser à mes cheville. Me retrouvant ainsi simplement vêtue d?un collant que j?avais empreinté à ma mère, pour la plus grande surprise de mes mamies. Je pris donc un certain temps, pour me remplir de cette sensation exquise, qu?est de ce sentir observer ? J?agrémentais ma danse de quelques situations plus polissonne. Les vicieuses avaient les yeux rivaient sur ma queue raide que le nylon ne pouvait pas cacher. A cet instant, je ne sais pas ce qu?il m?a passé à faire ce geste. Je me suis approché d?une des invité. J?ai saisi sa tête de mes deux mains et je l?ai collé contre mon sexe complètement regorgé de sang. Je me suis frotté contre sa bouche, puis je me suis entendu lui demander de me déchirer le nylon, ce qu?elle exécuta. Agrandissant de mes mains le trou, j?ai pris mon sexe pour pouvoir me masturber ainsi à la vue des veilles dames. S?est avec un cris d?animal que j?éjacula, partageant équitablement ma semence avec toute les convives. Une fois cette opération exécutait, je pris le chemin de la salle de bains. Alors que je massais mon cuir chevelu et malgré que j?ai les yeux fermaient, il me sembla sentir une présence. Je me rince, et quant j?ouvre mes yeux, Annie est là, assise sur le rebord de la baignoire. Elle saisit la savonnette et entreprend de me savonner lentement avec douceur. Tout cela m?a bien entendu

mis dans un état second, mon sexe prenant du volume à chaque passage de sa main sur la partie sensible. Une fois l?opération terminait, elle pose la poire sur son socle et coupe l?eau. Elle prend ma queue dans sa main droite tandis qu?avec son autre main, elle se met à me masser mes testicules. Elle approcha alors son visage de mon sexe et commença à me laper le dessous du gland. Ses petits coups de langue se fond plus précis, allant même taquiner mon gland gorgeait de sang. Puis après un long moment de ce fabuleux traitement, elle avala ma queue. Des va et vient sont suivis, avant de me prendre par la main et de m?emmener dans sa chambre. Elle se coucha sur son lit, ouvrant ses jambes. Je m?aperçus tout de suite de tout absence de dessous. Elle se mit a écarter ses lèvres intimes de ses doigts. Puis d?un simple geste, m?invita à m?allongeais sur elle. Elle guida mon sexe vers l?entrée de sa chatte, et je poussa doucement. S?était merveilleux. Une douce chaleur entoura mon gland, puis au fur à mesure de mon intromission, toute ma queue sentait la chaleur que seule une femme peut vous procurez. Une fois au fond, je commençais un mouvement réflexe de va et vient comme dans tous les films X que j?avais jusqu?à maintenant visionner. Annie gémissait doucement et ses mains quittèrent ses cuisses pour me saisirent par les épaules. Je sentis ses ongles entraient dans ma chair. Sentant, alors mon plaisir montait, je ressortis ma queue de son fourreau brûlant quelques secondes et j?admirais son vagin béant se refermant doucement. Je la prenais alors par petites introductions, assez courtes pour ne pas éjaculer, mais assez profond pour lui arracher des plaintes de bonheurs. Puis, elle changea de méthode, et c?est elle qui m?imposa le rythme. Ma queue allait et venait, ressortait et replongeait dans son volcan. Elle criait qu?elle en voulait plus, encore plus profond. Alors n?en pouvant plu, je l?inonda de mon plaisir, à grandes giclées de sperme. Très vite son ventre s?est mis à me pomper, me vidant le sexe jusqu?à ma dernière goûte de semence. Mon plaisir fut infinie. Je resta un long moment allonger sur son corps épuisé, alors qu?elle me parler du bonheur qu?elle avait ressentit. Je me rappel encore très bien de la vison que j?ai eus lorsque m?étant décoller de son corps, la vue de son sexe laissant s?écoulait le mélange de nos sécrétions. Je rentra ensuite chez mes parents, assez fière de moi, d?être devenu un homme, mais hélas honteux d?avoir assoupie ma soif sexuel avec ma grand-mère. Après cet épisode, il ne s?ait plus rien passer entre nous.

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