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Ma surprenante amie – Chapitre 1

La masturbeuse - Chapitre 1



Mon nom est Éliza. Jai 33 ans, divorcée depuis 2 ans et sans enfants. Je suis assez grande, 1.75m pour 60 kilos. Je prends soin de mon corps, je mentraîne et je mange sainement. Jai une poitrine assez forte, 95 bonnets D et mes fesses sont bien rondes et bien fermes. Jai un visage que je considère comme agréable. Jai des cheveux noirs qui sarrêtent un peu en bas de mes épaules.

Je me suis mariée assez jeune, 21 ans. Notre union a durée 10 ans. Robert sest avéré être un parfait trou du cul. Je préfère oublier toute cette histoire.

Côté sexe, je me débrouille comme je peux. Quelques fois, des coups dun soir, desquels je sors souvent déçue.

Je me suis acheté quelques sextoys que jutilise assez souvent pour assouvir mes envies sexuelles.

En passant, je vous ai dit que jétais très portée sur la chose? Non? Eh bien oui! Jadore le sexe!

Je suis bisexuelle. Je crois que je lai toujours été. Jai baisé autant avec des hommes que des femmes, souvent avec les deux à la fois. Rien ne me fait jouir comme de me faire baiser avec force par derrière, à quatre pattes, pendant que je bouffe une belle petite chatte bien épilée et bien baveuse qui souvre devant moi. Ça me procure des orgasmes très puissants.

Jaime bien aussi me faire lécher et bouffer la chatte par une belle petite cochonne pendant que je suce une queue bien raide. Mes baises à trois se sont toujours déroulées avec une fille et un mec. Jamais avec deux hommes. Je trouve plus érotique de baiser quand il y a une fille dans les parages et en plus, le type prend son pied doublement, ce qui le rend plus cochon, ce qui nest pas pour me déplaire.

En ce samedi, jai invité une copine à dîner avec moi à la maison. Après, nous discuterons pendant la soirée devant un verre de vin et peut-être, regarder un film, en nous racontant nos histoires de filles.

Elle sappelle Corinne, elle a 29 ans. Il y a 3 ans que nous nous sommes rencontrées lors dune soirée chez des amis communs. Tout de suite, ça a connecté entre nous. Même humour, même opinions sur tout. Vers la fin de mon mariage, elle était là quand javais besoin de parler. Vraiment une bonne amie. Elle aussi est célibataire.

Mais je nai jamais pensé à la chose sexuelle avec elle. Je ne sais pas pourquoi, car elle est excessivement jolie. Elle a un corps de rêve. Elle est grande comme moi, environ le même poids, ses seins semblent un peu plus gros que les miens et son petit cul bien rond sattire les regards de ces messieurs et bien souvent, celui des dames.

Ses cheveux noirs sarrêtent à sa nuque. Elle a de grands yeux bleus et des lèvres pulpeuses. Son grain de beauté à la Marylin ajoute quelque chose de coquin à son visage et de très érotique.

Elle est très discrète quant à sa vie sexuelle. Non pas quelle soit coincée, mais elle ne désire pas trop en parler et je respecte sa décision. Elle a un côté secret que jaime bien.

Après avoir bien mangé, nous nous retrouvons au salon à boire du vin et à discuter. Nous ne voyons pas le temps passer. Vers deux heures du matin, un peu éméchées, la discussion se porte sur le sexe.

— Jaurais bien besoin dune bonne baise. Je suis en manque Corinne.

— Pourquoi tu me dis ça, tu veux baiser avec moi? Et elle part dans un grand éclat de rire.

— Non bien sûr. Jaurais besoin dune bonne queue tu sais, pour me ramoner bien comme il faut. De plus, il y a longtemps que je nai pas sucé une belle bite bien dure.

Nous n’avons jamais parlé de ces choses là. Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs. C’est ce que toutes les bonnes amies font pourtant. Il y a comme un silence d’une seconde, peut-être de gêne de la part de Corinne. Ai-je été trop loin dans mes révélations? Mais elle me demande:

— Tu aimes sucer?

— Oh oui, vraiment! Jadore faire gémir un type quand ma langue passe doucement sur son gland et fouille son méat. Ensuite je le pompe pour le faire venir dans ma bouche. Jadore. Et toi, tu aimes sucer?

— Oh moi, tu saisje…

— Je sais que tu ne parles pas souvent de ces choses-là. Pardonne-moi mon indiscrétion.

— Ce nest rien. Toi, tu aimes bien en parler hein?

— Oui, je suis ce quon pourrait appeler une cochonne, à la limite, une salope. Jadore baiser et jadore en parler. Je suis en manque!

Le vin embrouille mon esprit. J’ai envie de parler de sexe… vraiment beaucoup. Ça m’allume.

— Tu as baisé avec des filles aussi?

Sa question me surprend un peu. Je ne saurais dire si sa question est intéressée. Je soupçonne quelque chose tout à coup et le vin aidant, je sens mon estomac se serrer à la pensée que nous pourrions baiser ensemble.

— Oui, souvent. Et toi?

— Eh bien oui souvent moi aussi.

Mon esprit pervers, engourdi ou allumé par lalcool, senflamme à la vitesse de léclair. Je sens une chaleur naître dans mon entrecuisse. Si javais été seule, jaurais relevé ma jupe et poussé le devant de mon string sur le côté pour caresser ma chatte, qui devient très humide en ce moment même. Mon cur bat la chamade, ma gorge sassèche.

— Ah oui? Fis-je à demie étonnée, mais très intéressée den savoir plus tout en essayant de cacher le trouble que sa révélation a fait naître en moi.

— Jaime bien les queues aussi, mais seulement dans le cul. Toi, tu aimes te faire enculer?

Je suis de plus en plus surprise par ses révélations et ses questions. Jamais elle na parlé ainsi depuis que nous nous connaissons. Mais la cochonne mallume de plus en plus.

— Euh oui Jaime bien me prendre une grosse bite dans le fion et ma faire limer à fond. Mais pourquoi pas dans la chatte? Tu naimes pas te faire remplir la moule?

— Jaime mieux dans le cul, cest tout.

Ça y est, je mouille! Je vais masseoir innocemment près delle. Je la regarde dans les yeux avec un regard que jimagine très cochon, un regard pervers.

— Pourquoi tu me regardes comme ça? Jai dit quelque chose de mal?

— Non non, ça va. Cest seulement que jsais pas, cette discussion mallume un peu. Ça doit être le vin.

— Oui, ça doit être ça. Tu aimes te faire brouter la fente par une fille?

Décidément, elle ny va pas par quatre chemins! Je commence doucement à me tortiller d’excitation.

— Mmmm oui Jadore. En général, les filles ont une langue plus douce et savent plus y faire quun homme à mon avis.

Jose ensuite une question. Je sens ma respiration haletante.

— Dis-moi Corinne, tu aimerais me le faire

— Te bouffer la chatte? Jsais pas, ça dépend.

— Ça dépend de quoi? Ten fait pas, je suis épilée, si cest ça qui tinquiète, hahaha!

Jessaie de faire passer ma remarque comme une plaisanterie pour cacher létat dans lequel je suis. Corinne me trouble de plus en plus. Elle me fait mouiller. Jimagine son visage entre mes cuisses et sa langue contre mes lèvres mouillées qui force lentrée de mon vagin en feu.

— Et toi Corinne, ta chatte est épilée?

— Plus un poil lisse comme au jour de ma naissance Mais tu sais Éliza, ça dépend surtout de ce qui se passera après, entre nous si nous baisons. Tu sais, notre amitié

— Ouais, je comprends ce que tu veux dire. Ça pourrait briser quelque chose.

— Oui, cest ce que je veux dire. Tu sais, je tiens beaucoup à toi. Je ne voudrais pas perdre ton amitié pour une baise.

— Tinquiète.

Je suis trop excitée. Je plaque ma bouche sur la sienne et bonheur! Elle ne recule pas. Nos langues se cherchent, se trouvent. Nous nous embrassons passionnément. Déjà, je sens sa main caresser mes seins dont les tétons sont pointés. Je prends les siens à mon tour. Ils sont gros et très fermes, probablement refaits à la silicone, mais je men fous. Jaime les gros seins, jaime les caresser, les lécher, les sucer.

Je déboutonne lentement son chemisier tout en lembrassant dans le cou. Je lèche son lobe et murmure à son oreille :

— Jai envie de toi Corinne Maintenant

Suite bientôt

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