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Ma tentation incestueuse – Chapitre 7

Consentante - Chapitre 5



Le lendemain matin, je me réveillai avec la tête dans le sac ; j’avais peut-être passé la nuit la plus merdique de toute ma vie. Je n’ai pu fermer l’oeil que très tard, et le peu que j’ai réussi à dormir ne m’a pas du tout permis de me reposer. Comment maman allait-elle réagir ? Et Jeff ? Quallait-il se passer, maintenant qu’elle était au courant ? C’est avec une boule dans l’estomac et la gorge serrée que je me préparais à affronter les foudres de maman. J’enfilai un peignoir et sortis de ma chambre pour me rendre à la cuisine ou j’entendais Jeff et maman discuter tranquillement tout en mangeant. Je m’assis à leur table et me servis un bol de café. Je ne dis même pas bonjour ; je me sentais bien trop nerveuse pour pouvoir ouvrir la bouche.

Ah, bonjour ma puce ! Tu es enfin levée, et ton père est parti tôt au boulot : on va donc pouvoir discuter tranquillement tous les trois.

Discuter de quoi ? Qu’est-ce que tu voulais absolument nous dire à tous les deux de si important ? interrogea Jeff.

Jeff, dis-je, maman est…

Je voudrais discuter avec vous de votre relation qui dépasse et de loin la relation frère-sur basique, me coupa maman.

Euh… de quoi parles-tu ? demanda Jeff avec de l’inquiètude dans la voix.

Bon, écoutez, je ne vais pas y aller par quatre chemins ; je vais être plutôt directe : je sais que tous les deux, vous êtes amants, et… déclara-t-elle fermement mais calmement en posant sa tasse de café sur la table.

Ça, pour être directe, elle l’était, il ny avait aucun doute ! Jeff manqua de s’étouffer avec une gorgée de son café en entendant cette phrase. Maman et moi l’aidâmes de notre mieux, et une fois cet incident réglé elle continua :

Je disais donc que je sais que vous couchez ensemble, parce que je vous ai entendus cette nuit. Notez bien que je suis beaucoup plus ouverte que votre père à l’inceste, parce que si c’était lui qui avait tout découvert, vous auriez eu droit à un joli soufflet de sa part, au minimum, je pense que vous vous en doutez.

Pourquoi tu nous dis tout ça, maman ? Ça ne te met pas en colère ? T’as pas envie de traiter Jeff de salaud, ou pire ? Merde, fais quelque chose ! lui demandai-je inquiète, au bord des larmes, prête à craquer.

Non, pour la simple et bonne raison que vous êtes adultes, consentants, et que vous savez prendre vos responsabilités. De plus, sachez qu’avant de rencontrer votre père et ça, il ne l’a jamais su j’ai moi aussi eu une éxperience incestueuse avec un de vos oncles.

Quoi ? nous exclamâmes-nous en chur.

Jeff et moi étions sur les fesses. En quelques heures, maman nous avait surpris, elle n’était pas en colère, et par-dessus le marché elle venait carrément de nous avouer qu’elle-même avait eu une aventure incestueuse. C’était incroyable, mais vrai. Nous nous regardions Jeff et moi ; ni l’un ni l’autre ne savait plus quoi dire.

T’es sérieuse ou tu déconnes, maman ? demanda Jeff.

Je suis tout à fait sérieuse, mon grand, répondit-elle simplement en avalant une gorgée de café.

Qu’est-ce qui nous a trahis ? l’interrogeai-je.

Vos échanges de SMS. Avant, j’avais eu de légers soupçons lorsque vous étiez sortis de la chambre de Jeff lors de mon retour à la maison. T’étais rouge, un peu haletante, et votre histoire de chatouilles ne tenait absolument pas la route. Je me suis dit que c’était étrange ; mais mes soupçons se sont accentués lorsque j’ai aperçu du coin de l’oeil un des messages que tu as envoyé à ton frère. Et évidemment, lorsque je me suis levée cette nuit pour en avoir le cur net, les gémissements que j’ai entendus à travers la porte ne laissaient plus vraiment la place au doute.

Mais papa n’a pas été réveillé ? demanda mon frère. J’ai tenté de prévenir Cécile, mais je me suis rendu compte qu’elle ne pouvait pas s’empêcher d’exprimer son plaisir.

Allons, tu sais très bien que lorsque ton père dort, même un tremblement de terre ne pourrait pas le réveiller. Tes avertissements, j’ai pu les entendre aussi à travers la porte ; mais bon : si Cécile n’arrive pas à se retenir de s’exprimer, ce n’est pas grave après tout. Faut dire, ma chérie, que tes petits cris étaient très mignons…

Mes craintes s’envolèrent. Je me sentais tellement soulagée que j’eus un énorme fou-rire ; je me sentais beaucoup mieux. Lorsqu’il fut passé, maman reprit sa conversation :

Mais j’aurais un petit service à vous demander enfin, avec votre accord, ça va de soi mais sachez qu’il ne s’agit pas de chantage quelconque.

Qu’est-ce que tu voudrais, maman ? Tu voudrais te joindre à nous ? lui demandai-je pour plaisanter, étant persuadée que la réponse serait évidemment négative.

Ben, si ça ne vous dérange pas, oui : t’as touché juste, ma puce ! répondit-elle en baissant les yeux, rougissant comme une pivoine.

Sa réponse était en tous points surprenante. Jeff et moi échangeâmes quelques regards interrogateurs.

À vrai dire, je ne sais pas, maman, répondis-je décontenancée. Et toi, Jeff, qu’est-ce que t’en penses ? Tu serais d’accord pour un plan à trois avec maman ?

Pour moi, je suis partant, répondit-il presque immédiatement. Mais ça ne se fera pas si Cécile n’est pas d’accord ; et si elle l’est, il faudra nous promettre que ça restera entre nous trois.

C’est logique, mon chéri. On pourra faire ça lors du réveillon de Noël : comme vous le savez, votre père ne sera pas là, et nous aurons tout le temps d’effacer d’éventuelles preuves de notre aventure.

C’est sûr que toi, avoir deux filles en même temps dans ton lit, tu ne vas pas dire non, n’est ce pas ? demandai-je à Jeff. Et puis c’est vrai que, de mon côté, j’ai jamais eu d’experience avec une femme. Mais bon, t’es toujours très mignonne, maman, lui dis-je en lui prenant la main. Tu dois sûrement te faire draguer ; et puis j’ai confiance en toi. Je sais que tu ne le répéteras à personne. Alors considère que c’est un oui pour ma part, déclarai-je après avoir vite fait pesé le pour et le contre dans ma tête.

Ben tu sais, vous avoir toi et maman en même temps, je dois dire que l’idée est excitante… dit-il fier comme un coq en passant son bras autour de mes épaules.

Au fait, maintenant que je suis au courant pour vous deux, vous n’avez plus à vous cacher en ce qui me concerne. Donc si vous souhaitez vous embrasser ou coucher ensemble en ma présence, vous pouvez y aller, y a pas de soucis !

Ben moi qui pensais te connaître, maman… m’étonnai-je.

C’est certain que tu es vraiment pleine de surprises, ajouta Jeff. Je sais pas du tout quoi dire.

Mais t’es sûre que ça ne te gênera pas, maman, de nous voir nous embrasser ? lui demandai-je en rougissant.

Ne t’inquiète pas pour ça et embrassez vous ; allez-y ! dit-elle d’un ton doux mais presque ferme en souriant.

Puisqu’elle nous y autorisait, hors de question de se priver. Jeff et moi échangeâmes un long et langoureux baiser sous les yeux ravis de maman. Cétait drôle, tout de même, de rouler des pelles à son frère devant notre propre mère.

Bon allez, je vais être en retard. Vous avez une remarque ou des questions avant que je me prépare pour filer au boulot ? demanda maman en se levant de table.

Moi non, si ce n’est que j’espère être à la hauteur. T’as déjà embrassé une fille, maman ? lui demandai-je, sans réfléchir.

Bien sûr, ma puce ; qu’est ce que tu crois ? répondit-elle en gloussant. J’ai fait ce genre d’expérience étant plus jeune, et je suis sûre que tu seras à la hauteur ; je me fais pas de soucis là-dessus.

C’est génial ce qu’on apprend sur toi, maman ! s’exclama Jeff.

Je vis son regard devenir pétillant quand il a posé ses yeux sur moi, et je le comprenais tout à fait. Il allait réaliser le plus vieux fantasme masculin du monde, avec sa sur et sa mère, s’il vous plaît…

Dis, petite sur chérie, je pense à un truc : je voudrais beaucoup te voir embrasser maman ; après tout, tu ne lui as pas dit bonjour… déclara-t-il de façon espiègle. N’est ce pas, maman ?

Il a raison, ma chérie, ajouta maman qui se mit à côté de moi.

Allez, petite sur chérie ! m’encouragea-t-il en se levant pour se mettre à côté de nous afin de bien voir le baiser lesbien que je m’apprêtais à échanger avec ma mère.

Je me levai de table et fis face à maman. Ses mains chaudes se posèrent sur mes joues, ses yeux bleu-gris plongèrent dans les mien ; le temps parut suspendre sa course. Elle posa délicatement ses lèvres chaudes sur les miennes, qui s’entrouvrirent afin de laisser nos langues faire connaissance et jouer l’une avec l’autre. Je fermai les yeux, goûtant à cette volupté féminine. J’échangeais mon premier baiser lesbien avec la femme qui m’avait mise au monde. Je me sentais bien, réconfortée, et me rendais compte qu’embrasser une femme ou un homme ne faisait strictement aucune différence, à part un zeste de douceur supplémentaire chez une fille. Mes bras qui étaient ballants enlacèrent doucement mais sûrement ma mère, pour finir en étreinte douce et sensuelle. Notre baiser incestueux mère/fille dura ce qui semblait être une éternité, et il sarrêta doucement, me laissant peu à peu réaliser ce que nous venions de partager. J’étais rêveuse ; maman embrassait divinement bien.

C’était génial, les filles ! J’en ai pas loupé une miette ; c’était vraiment excitant de vous regarder vous embrasser avec autant d’amour, dit Jeff. Allez, encore un !

Non, je dois y aller ; mais je te confirme que tu seras à la hauteur, ma Cécile : tu embrasses très bien, me rassura maman, souriante, en lâchant mon visage. Vous êtes d’accord pour qu’on fasse ça pour le réveillon ?

Oui ! répondit Jeff.

Oui, moi aussi, répondis-je tout doucement en hochant la tête.

Merveilleux ! s’exclama-t-elle. Allez, je vais vraiment être en retard si je continue à traîner. Bonne journée, les enfants ! nous souhaita-t-elle en allant se préparer.

Bonne journée, maman, nous répondîmes en chur.

Moi aussi je dois me préparer : je vais faire une surprise à Sophie ; je vais la voir et m’assurer qu’elle va bien, dit Jeff. Je serai de retour demain dans la journée.

Embrasse-la pour moi, lui suggérai-je en embrassant à nouveau mon frère.

Je réalisais à quel point j’avais la chance de vivre dans une famille aussi merveilleuse que la nôtre. En tous cas, une chose était sûre désormais : moi qui pensais que le réveillon de Noël serait juste animé parce que nous serions en famille, il allait être, en réalité, vraiment torride !

Une suite ?

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