Toute la journée, j’étais seule et tranquille à la maison. J’ai profité de la matinée et de mon soulagement pour faire une bonne sieste jusqu’aux environs de midi, ce qui m’a redonné la pêche. Après avoir mangé, j’ai fait le ménage puis regardé la télé parce que je m’ennuyais un peu. Le soir, maman rentra de son boulot.
Bonsoir maman. Ça va ? Ta journée s’est bien passée ?
Bonsoir ma puce. Ma journée a été une véritable horreur, tu n’as pas idée ; j’ai bien cru que je n’en verrais pas le bout. Je suis complètement vannée ! dit-elle en soupirant.
C’est dommage, répondis-je, déçue d’apprendre que sa journée avait été un calvaire. Tu désires quelque chose de particulier ?
Non merci. Ne te dérange pas, ma puce, t’es gentille. Et toi, est ce que t’as passé une bonne journée ?
Oui, j’ai profité de l’absence de tout le monde pour faire du ménage dans la maison.
Fallait pas te donner cette peine, Cécile, on s’en serait occupé.
Rien du tout, maman, et puis ça m’a fait plaisir, dis-je d’un ton ferme. Maintenant, tu sais ce que je vais faire ?
Non.
Je vais aller dans la salle de bain, te faire couler un bon bain bien chaud parce que je veux que tu te détendes ; tu en as bien besoin. Ça marche ?
Oui, chef ! plaisanta-t-elle.
J’allai dans la salle de bain et préparai ce que j’avais promis à maman. Elle entra à son tour, se déshabilla devant moi sans la moindre gêne, et je pus alors la détailler. Elle devait faire un joli 85C qui tenait encore très bien malgré ses grossesses passées, avec de fins tétons rosés. Elle était mince ; ses cuisses avaient l’air ferme vu qu’elle pratique le tennis pendant son temps libre, très belle, et sans le moindre poil au niveau du pubis. Je me rendis compte que maman était tout simplement à croquer, et jesperai être aussi belle qu’elle à son âge. Une fois la baignoire remplie, je testai la température de l’eau qui se révèla idéale.
Bon, eh bien, c’est prêt ! Je vais te laisser te détendre, maman. Tu es sûre qu’il ne te faut rien d’autre ? Un thé ou un magazine, peut-être ?
On peut discuter ensemble si tu veux, me dit-elle en entrant dans son bain. Ooooh, ce que c’est bon… râla-t-elle de bonheur en s’y installant.
Avec plaisir, maman, répondis-je en m’asseyant sur le rebord de la baignoire. De quoi souhaites-tu parler ?
Je pensais plutôt que tu voudrais entrer dans l’eau avec moi ; on serait beaucoup mieux pour parler.
Maman, çaurait été avec plaisir, mais c’est à ton intention que je l’ai préparé.
Toi aussi, tu as bien mérité de te détendre, ma puce, vu le boulot que tu as effectué dans la maison. J’ai juste à vider un peu la baignoire. Allez, viens, ça me ferait plaisir.
Elle insistait tellement que ça me faisait mal au cur de refuser son invitation. Bon, je me mis nue à mon tour, sans complexes, rejoignis maman dans son bain et m’allongeai dos à elle. Elle m’enlaça tendrement. Bon sang, ce que je me sentais bien… L’eau était chaude comme j’aime, et dans les bras de maman, je me rendais compte qu’il n’y avait pas d’endroit plus sécurisant au monde ; c’était génial. Nous navons pas parlé pendant quelques secondes ; elle se contentait de me caresser les cheveux avec tendresse, comme lorsque j’étais gamine.
Alors comme ça, tu n’as jamais eu de rapports sexuels avec une femme, ma puce ?
Non, maman, jamais, avouai-je un peu honteuse.
Donc tu dois te sentir quelque peu nerveuse pour notre petite fête, j’imagine ?
Tu sais, avec Jeff, je serai à l’aise, y a pas de problème. Puis toi, je sais que tu vas assurer, mais je crains surtout pour moi.
Pourquoi ?
Peut-être la peur de ne pas assurer.
Je t’assure que tu fais fausse route, ma puce : tu as des talents dont tu n’as pas idée, m’assura-t-elle en me caressant la joue tandis que son autre main remontait vers un de mes seins. Notre baiser de ce matin est une preuve, t’es pas d’accord ?
Je te rappelle que c’est toi qui m’a embrassée, maman ; moi, je n’ai fait que répondre, dis-je en tournant mon visage vers le sien, la regardant ainsi dans les yeux.
Alors je vais me faire un immense plaisir de faire disparaître définitivement tous tes doutes. Embrasse-moi, et comme ça tu en auras la preuve à ton tour, m’invita-t-elle à me dépasser avec un large sourire.
Je la regardais tendrement ; une ambiance érotique et sensuelle semblait flotter dans l’air. Je m’humectai les lèvres, les approchai doucement de celles de maman. Un smack se fit entendre, un second, puis nous échangeâmes à nouveau un tendre et long baiser lesbien. Durant cet acte, mes bras entouraient le cou de maman qui se mit à me caresser doucement la base de mes seins de ses mains douces. Nos baisers se firent tantôt aventureux, tantôt sensuels, gourmands. Ma respiration devenait saccadée. J’ouvris les yeux et croisai son doux regard. Le mien envers elle était chargé de désir ; je sentais ma chatte s’humidifier, mon ventre se tordre petit à petit. Je voulais qu’elle aille plus loin, mais je n’osais pas le lui demander. Mais qu’importe, parce que nous avons recommencé à nous embrasser goulûment comme deux vraies amantes.
Une de ses mains descendit sur mon ventre quelle caressa tendrement tandis que ses doigts dessinaient mes seins. Elle se mit à jouer sensuellement avec mes mamelons, passant la pulpe des doigts dessus, les massant, faisant ressortir mes tétons ; j’en frissonnais. Notre long baiser s’arrêta, et je me laissai aller aux caresses expertes de maman en faisant basculer ma tête sur une de ses épaules. Je sentis ses mains descendre encore un peu en direction de mon intimité et j’écartai les cuisses afin de l’inviter à poursuivre l’exploration de ma petite chatte que je sentais s’ouvrir et devenir toute mouillée. J’attrapai une de ses mains pour la placer moi-même sur l’un de mes seins, et la pression que j’exerçais encouragea ma mère à me le pétrir avec une certaine douceur. Elle joua plusieurs minutes avec sa main aventureuse, sans jamais dépasser la limite à ne pas franchir, et les baisers qu’elle me déposait dans le cou me faisaient un effet dingue. Lorsque ses doigts entrèrent en contact avec mon clito durci, le petit gémissement aigu qui sortit de ma gorge symbolisa mon entrée au paradis saphique.
Eh bien mon bébé, je trouve ton gémissement adorable… me complimenta-t-elle en débutant ses caresses.
Oooh, mamaaan… soufflai-je, les yeux mi-clos en me blotissant contre elle.
Oui, mon bébé. Est-ce que ça te plaît ?
C’est merveilleux, ma petite maman chérie.
Dis, si Jeff nous surprenait toutes les deux, là, maintenant, que se passerait-il à ton avis ?
Ooooh… Il… il choperait une érection du tonnerre, j’en suis sûre ! répondis-je, submergée par le plaisir qu’elle me procurait.
Qu’est ce que tu voudrais qu’il te fasse pendant notre petite fête, dis moi ?
Je voudrais qu’il… Ooooh… qu’il me prenne en levrette pendant qu’on sera en 69 toi et moi… Je… je voudrais que… Haannmmm…
Oui, continue, ma puce. Parle-moi de tes fantasmes.
Je voudrais qu’il remplisse ma bouche de son jus crèmeux et poisseux…
Tu y as déjà goûté ? Il est bon ?
Délicieux, maman ! Si tu aimes le sperme, tu vas adorer celui de Jeff.
Ça te dirait qu’on se le partage avec un baiser devant lui ? Lui, il adorera regarder ça.
Oh ouiiii, avec joie…
Parler de mes désirs pendant que ma mère me caressait accentuait les sensations déjà fortes qu’elle me procurait. Mon état d’excitation était décuplé, je perdais doucement la tête, plongée dans les méandres du plaisir. Je sentais mes muscles se contracter. Maman appuya un peu plus fortement sur mon clito et me caressa de plus en plus vite. J’essayais au maximum de retarder l’inévitable, de profiter de son savoir-faire, mais maman était une amante expérimentée. Je l’embrassai de nouveau, la dévorai à l’image du plaisir qui m’envahissait. La raison n’existait plus, je me laissais emporter, je n’en pouvais plus.
Maman… Maman… Mamaaaann, je… hoquetai-je, ma bouche collée à la sienne.
Je suis là, mon bébé, dit-elle comme pour me rassurer. Je t’aime ; jouis comme une folle. Vas-y !
Je me contractai, me tendis comme un arc, me blottis encore plus contre ma mère ; mes yeux roulaient, et je hurlai longuement mon bonheur lorsque l’orgasme me secoua.
J’embrassai maman pour la remercier de ce fabuleux orgasme, et lorsque le plaisir est retombé, je me retournai afin de lui donner du plaisir à mon tour. Je l’embrassais amoureusement, lui léchais le cou, les mamelons, faisant aisément ressortir la pointe de ses seins. Ses mains m’invitèrent à continuer ; je me mis à la téter, ce qui la fit gémir.
C’est bien, ma puce. Continue comme ça… souffla-t-elle.
Mes mains n’étaient pas inactives car l’une d’elle s’occupait de l’autre sein et l’autre entra en contact avec sa chatte mielleuse. Ce seul contact la fit frissonner, et je me mis à la recherche de son petit bourgeon d’amour. Je le cherchai quelques secondes, et sus que je l’avais trouvé lorsque j’entendis maman pousser un petit râle de satisfaction. Je frottai doucement mais fermement l’endroit sensible tout en titillant ses tétons avec la pointe de ma langue.
Oooh, ma chérie… Je le savais, tu viens de me donner raison.
C’est bon, ma petite maman chérie ?
Oui, mais accélère ! supplia-t-elle, le visage déformé par le plaisir. Tu m’as rendue folle avec tes cris. Oh, mon bébéééé…
J’obéissais à ses instructions. J’avais des gestes peut-être malhabiles, mais au bout de quelques secondes maman hurla son bonheur en se raidissant. Je me sentais fière de moi : j’avais fait jouir une femme, et qui plus est, ma mère. Nous nous embrassâmes tendrement et je me blottis quelques instants contre elle. Cest à ce moment-là que nous entendîmes papa rentrer de son boulot. Nous nous regardâmes, amusées, et nous nous sommes mises à glousser comme deux collégiennes complices avant de sortir de la baignoire et de nous habiller pour l’accueillir.
Dans la soirée, je décidai d’envoyer à Jeff par SMS le compte rendu de ma première fois torride avec une femme :
"Je viens de donner raison à maman ; elle te le confirmera. Bisous, et à demain."
Une suite ?