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Ma vie de lopette cocu – Chapitre 7

Ma vie de lopette cocu - Chapitre 7



Ma femme se leva vers 9h, jattendais avec impatience son point de vue sur les dernières heures écoulées. Je lui préparais son petit déjeuner lorsquelle prit la parole, elle semblait embarrassée :

N : « Tu as croisé Franck ce matin ? »

Moi : « Oui » dis-je simplement

N : « Il ne sest pas passé grand-chose de sérieux entre nous, il a surement du te le dire. Javais surtout envie de te faire réagir, jespère que cela a marché. »

Jétais très surpris par cette question, je ne my attendais pas vraiment, mais je fis mine de garder mon sang froid.

Moi : « Tu sais, je suis désolé de tavoir fait subir cela, je. »

N : « ça ta excite de me voir dans les bras dun autre ?, cest bien cela dont tu avais envie ? Franck ma assuré que tu étais cela sautait aux yeux que tu aimais être humilié de la sorte ? Pour ma part jai des doutes »

Moi : « Cest très confus, tu sais, je nai surtout pas envie de te perdre, et je souhaite que tu sois comblée, cest une certitude pour moi »

N : « Bon, en attendant, jai promis a Deb. que tu allais passer lui donner un coup de main cet après-midi, un copain a elle déménage, et ils manquent de bras, je me suis dit quun peu dexercice te ferait du bien. Je me suis engagé pour toi, sachant que ton emploi du temps nest pas surchargé aujourdhui, tu ny vois pas dinconvénient ? »

Un peu surpris que sa cousine ai besoin de moi pour de la manutention, et nayant pas vraiment le choix car je ne voulais pas mettre ma femme dans lembarras, je finis par me rendre à 14h chez Deb. Après mavoir accueilli, elle me proposa un café puis me relança sur mes penchants de « sous-homme ».

Labsence de ma femme aiguisant sa curiosité, elle se lâcha carrément, me mettant à laise sur le fait quelle ne me jugerait pas. La situation était troublante, même si je savais que Nat lui avait déjà raconté lessentiel à mon sujet. Elle était visiblement encore moins coincée que je ne le pensais. Finalement très à laise avec elle, je me confiais sans détour, lu relatant les moindres de mes désirs pervers. Elle buvait littéralement mes paroles.

Bref, elle finit par memmener chez Mickael, ami en commun de Deb. et Franck elle me présenta et nous nous mimes au travail, cela dura une bonne partie de laprès-midi.

Franck finit par nous rejoindre dans le nouvel appartement de Mickael pour nous aider à décharger le fourgon remplit de meubles et de cartons. A sa venue, je me suis sentie très mal à laise, en grande partie à cause des évènements des 12 dernières heures.

A 18heures nous avions quasiment terminé, Deb. se sauva car elle devait rejoindre ma femme pour une sortie entre filles, restaurant et cinéma au programme. « Franck te ramènera !» me dit-elle

Jolie petite maison en périphérie de Lyon, Mickael sétait achetait ce petit pavillon tranquille. Le boulot terminé, nous nous retrouvions tous les trois à boire quelques bières et manger des pizzas. Nous fîmes plus ample connaissance, et parlions de tout et de rien. Franck et Mickael se connaissait très bien visiblement, via son salon de piercing et tatou. Mickael était tatoué sur quasiment tous le corps, il me montra ses chefs duvres. Franck avait fait du beau boulot sur le corps de Mickael. Cétait une uvre dart à lui tout seul, dautant plus que son corps était plutôt musclé, ce qui ne gâchait rien. Bref il finit par me demander ouvertement depuis quand je connaissais Franck.

Je ne mattendais pas à cela et mon cerveau sactiva pour trouver une réponse qui tienne la route mais Franck me prit de vitesse :

Franck : « On sest connu à la boutique, cest sa femme qui me la emmené pour lui offrir des piercings ». Il resta évasif volontairement, et je mattendais au pire.

Mickael : « Tiens, tu me fais voir ? »

Franck : « Fais lui voir, ne soit pas timide !!! ». Pris au piège, je mexécutais devant les yeux ébahit de Mickael. Une fois de plus je me retrouvais le pantalon et une vieille culotte délavé de ma femme sur les chevilles.

Mick : « Incroyable ! Tu as bien bossé Franck ! Cest très esthétique, jadore » Curieux il ma assaillit de questions devant le regard amusé de Franck.

Mickael compris rapidement à qui il avait à faire, et se mit à jouer le même jeu humiliant que Franck. La température monta dun cran lorsque Franck détailla sa soirée et sa matinée en ma compagnie dans les moindres détails. Mickael nen croyait pas ses oreilles et salivait pratiquement à lécoute de Franck. Franck épilogua sur mes compétences à le sucer le matin même, et sur le plaisir évident que jen avais retiré. La cerise sur le gâteau, à laquelle je ne mattendais pas : Mickael était gay.

Inutile de vous dire mon malaise à ce moment-là, les deux gaillards étaient chauffé à blanc par les quelques bières éclusées. Franck macheva en me demandant de montrer à Mickael mes talents de suceuses. Mickael ne se fit pas prié et je me retrouvais à quatre pattes devant la chaise de Mickael pour la deuxième fois de la journée à sucer un quasi inconnu.

Mickael : « Cest vrai que tu es doué, ah, cest trop bon »

Mickael minvita à me mettre nu, et a quatre patte jai donné le change a Franck qui avait aussi sorti sa queue. Les deux compères avaient préparé leurs coups, jen suis sûr car pendant que je suçais Franck, Mickael me prit en photos sous toutes les coutures. Très excité par la situation continuais à pomper Franck et Mickael quant a lui sétait discrètement placé derrière moi et me titillait la rondelle. Ce qui provoqua inévitablement une demie érection avorté par mes anneaux.

Je me sentais comme une chienne en chaleur a quatre pattes sur le carrelage, Franck me tenait la tête. Je faisais des bruits de succions et Franck sen amusait.

Mickael menduit lillet avec une substance froide, aucun doute cétait du lubrifiant. Jusque-là personne ne mavait pénétré à part mon plug. Mickael commença à fouiller mon anus avec un, deux, puis trois doigts, alors que Franck quant a lui était toujours occupé à me baiser la bouche en me tenant la tête. Lorsquil estima mavoir suffisamment lubrifié, Mickael présenta a lentrée de mon orifice et poussa en douceur son gland. Il était très doux et son sexe rentra en douceur centimètre par centimètre. Je me sentais rempli, il était plutôt bien membré, mais bizarrement je navais pas mal. Il rentra jusquà la garde, puis entama un léger va et vient. Le gel quil avait dû mettre devait être anesthésiant car je ne ressentais pas de douleur, cétait même bon. Franck se retira au bout dun moment de ma bouche et reprit quelques clichés de la scène. Jétais complétement piégé, je ne sais pas ce quil avait lintention de faire avec ces clichés, mais pour lheure, je me faisais baiser par Mickael et jy prenais un plaisir certains, mon sexe à demi mou ruisselait littéralement de plaisir. Au bout de 15 bonnes minutes, je sentis Mickael avoir un spasme et se planter au fond de moi. Je sentis une vague de plaisir mirradier. La stimulation de ma prostate due à la pénétration me fit juter par spasme, avec la même frustration que lorsque ma femme me caresse en meffleurant le sexe. Mickael se retira et Franck prit sa place sans même me demander son avis.

Il me lima à son tour pendant plusieurs minutes. Javais le cul en feu. Il juta également, mais mon plaisir était retombé. Il navait même pas prit la peine ni lun ni lautre de mettre un préservatif.

Jétais donc à quatre pattes, remplies de leurs spermes respectifs.

Mickael : « Quel cul serré, jadore »

Franck : « Jai bien fait de te lemmener, quen penses-tu ? »

Ainsi tout cela avait été clairement prémédité, Deb. et Franck mavait jeté en pâture à leur ami Mickael.

Franck reprit : « Bon allez ma petite salope, je vais te ramener chez toi, je suis crevé, dépêche-toi de te rhabiller »

Honteux, je mexécutais et Franck mannonça sur le trajet du retour ses plans avec moi, il voulait que je lui obéisse en tous points, sinon ces clichés pourraient circuler malencontreusement sur le net, ou entre les mains de ma femme. Pour faire simple, il mexpliquait clairement quil me fallait convaincre ma femme, lencourager sur son désir de sépanouir sexuellement, car selon lui elle avait trop de réticence. Il voulait également je lui serve de vide couille, dobjet sexuel. Cest avec cela en tête que je rentrais chez moi, fourbu. Je ne mendormi quaprès une bonne douche et de la crème apaisante sur mon illet. Je nentendis donc pas ma femme rentrer au milieu de la nuit..

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