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Maman ? – Chapitre 1

Maman ? - Chapitre 1



Mon gode glisse dans ma chatte. Ca fait plusieurs jours que jattends d’être seule à la maison pour me masturber complètement. Il nest que 15 heures, je suis seule jusquà 20 heures à peu près. Je me suis déshabillée pour me voir nue dans la grande glace su salon : je me trouve belle et désirable : jai envie de moi. Je caresse ma poitrine, mes pointes ressortent bien mieux : cest bon. Je masse mon ventre, entre un peu le doigt dans mon nombril : ça mexcite encore plus. Je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses, aussi je ne tarde pas à aller me coucher.

Je trouve mon joli gode rouge, tout simple. Je le prends dans la bouche comme une vraie bite : je suis assise au bord du lit, cette bite dans la bouche. Jécarte bien mes cuisses pour passer une main sur mon bouton. Je trouve lintérieur de ma chatte très lisse. Je laisse libre pour le moment mon clitoris que je viendrais encore flatter après, en attendant ma main passe sur mon puits où je ne marrête pas pour caresser. Jentre deux doigts dans mon postérieur en écartant bien mes fesses : jadore me faire sodomiser.

Enfin je suis allongée, je ferme les yeux pour fantasmer sur mon ami qui me baise si bien. Jimagine son pieu bien droit quand il vient dans ma bouche ou mon vagin. Quelques rares fois, hélas, il me la met dans le cul et ça jaime en me branlant avec lui.

Maintenant je pose le gode juste au vestibule de mon vagin. Je me baise seule. Cest bon quand il entre sans forcer dans mon con. Si ma main droite est à la manuvre en faisant des va et vient en tenant le gode, ma main gauche elle se consacre encore à mes seins. Je sens le plaisir monter lentement, je pose un doigt de la main gauche sur le cul. Je le caresse lentement, comme si je craignais lintroduction dun objet étranger : la pine de mon mec entre bien là, sans que je le demande et elle me fait du bien.

Mon gode remplit bien mon puits. Je fais plus vite quand.. La sonnerie de la porte tinte. Je ne bouge pas, la sonnette insiste: .je suis obligée daller voir ce qui ce passe, juste avant de jouir, cest énervant, cest rageant. Je me lève, enfile mon peignoir dans lespoir de jeter limportun.

Cest une livraison dun meuble. Jignorais cette commande. Je laisse entrer deux personnes assez costaudes. Jignore où doit être placé ce meuble de télévision. Aller, zou, au salon. Je passe devant ce couple: Un bel homme bien bâti et une jeune femme du genre déménageur, bien bâtie. Je me retourne brusquement quand jarrive dans le salon. Mon peignoir sentrouvre sur ma nudité: une cuisse et un sein déchappent.

Les regards de deux personnes ne me quittent plus. Je me doute bien de ce qui leur ferait plaisir, en voir davantage et..

Jen ai envie, je vais me donner à eux. Dabord jen jouirais ensuite je naurais pas de pourboire à donner. Et puis leurs sexes remplaceront avantageusement le gode, même si il y a une femme. Et alors, jai déjà couché avec une fille, il y a quelques années pour en retirer une extase monumentale.

Alors jouvre le peignoir. Mes seins, mon ventre, mon sexe sont à eux sils le veulent. Je mouille déjà alors quils ne mont rien fait. Tiens cest la fille qui sapproche. Elle nest quà quelques centimètres de moi. Je sens son souffle sur ma figure. Elle na quun petit pas à faire pur membrasser. Quest-ce quelle attend ?

Elle nattend que le feu vert de son équipier qui est sans doute son ami. Lui vient aussi vers moi, passe derrière et fait tomber le peignoir. Me voilà vite nue devant un couple. Enfin la fille pose ses lèvres sur les miennes. Elle ouvre la bouche, jen fais autant pour recevoir sa langue. Dans la catégorie des baisers, elle se classe en haut du classement : son baiser est profond, doux et sa salive délicieuse. Je sens mes seins grossir, surtout que lhomme placé derrière moi les prend en main. Lui aussi fait parti des bons peloteurs : il entame mon plaisir en pinçant légèrement mes tétons : ils bandent encore plus que quand je me le faisais.

Je sens la main de la fille sur ma chatte ; jécarte les jambes pour faciliter ses caresses. Je ne sais comment elle se branle en tout cas pour moi elle me fait vite jouir.

Je sens contre mes fesses grossir la bite de lhomme. Le morceau a lair dimportance. Jessaie de la lui toucher : il ouvre sa braguette ; je peux la lui sortir. Je ne rêvais pas : il a un gros morceau. Je le branle comme je peux, par derrière ce nest pas si commode que ça.

La main de la fille sincruste toujours sur ma chatte, elle me doigte maintenant. Je mordille sa langue pendant quelle me branle. Avec elle ce nest pas un touche pipi, cest une véritable baise qui commence.

Quand je laisse tomber la bite je la sens venir entre mes fesses. Mon Dieu, il ne va pas menculer comme ça, debout avec une main de fille dans ma chatte. Pour le moment il profite que jai les jambes écartées pour poser sa queue entre mon con et le cul. Il se masturbe plus quautre chose. Je sens quand même la grosseur de ce morceau.

Jarrive à ouvrir la chemise dhomme de cette femme pour caresser ses seins. Ils ne sont pas très gros, juste ce quil faut, un peu, comme moi. Jattaque ses tétons, elle en gémit. A son tour de me mordiller la langue. Je défais les boutons de son jean et descends la fermeture éclair. Elle ne porte rien dessous. A mon tour de la branler. Elle me laisser faire. La position de ladversaire est la suivante : deux filles nues qui se masturbent et une bite entre les cuisses.

Jai plus envie de la fille que de son mec. Elle se donne à moi sans problème. Je peux aller avec le couple dans le chambre, même si le gode est encore sur le lit. Au fond il ne dépare pas dans le futur qui arrive vite. Elle se couche la première, je vais sur elle en prenant linitiative et la direction de notre plaisir. Lui nous regarde en se tenant la bite quil caresse machinalement. Je suis au pied du lit, ma bouche collée contre la chatte mouillée. Ma langue fait le tour du propriétaire : dabord elle sent bon, ensuite elle a bon goût. Je passe lentement sur le périnée. Jarrive sur le rectum quelle entrouvre. Le bout de ma langue arrive à lécher un peu à lintérieur : elle en jouit vite, la garce. Je me positionne en 69 sur elle. Je ne tarde pas à avoir sa langue à son tour qui cherche mes coins fragiles. Elle me fait jouir. Je ne tarde pas à la faire partir en passant sur son clitoris.

Notre positions doit terriblement exciter lhomme qui, nu, vient sur moi. Le spectacle lui a plut, il y participe avec nous. Il veut menculer. Je nai rien contre quand je me souviens de sa grosseur : il va me faire mal.

Sa compagne pour la première fois nous parle, me parle :

— Nai pas peur, il sait bien enculer sans faire de mal, il va te faire jouir encore plus pendant que je te suce.

— Cest vrai ?

— Il mencule toujours, jaime avoir sa bite.

Maintenant il vient comme il faut sur moi. Je sens sa bite sur mon cul. Son amante ma bien mouillée avec ma cyprine. Jai quand même de lappréhension. Il force un peu pour que son engin entre dans mon cul. Ensuite, sans que jai eu trop mal il entre facilement. Je sens bientôt ses poils contre mes fesses ; Il me lime comme sil me baisait normalement. Mon cul en attendant commence à ressentir les effets de la sodomie : je jouis presque trop vite. Il ne jouit pas encore : il prend le gode sur le lit, me le donne :

— Encule Maman.

Parce quen plus il lappelle maman ! Au fond je men fous totalement. Jai le gode en main, il devait que me baiser. Je vais enculer une autre fille. Jai vite repéré son anus, jai presque le nez dessus ; Je lui mets avant le gode dans le con pour le mouiller et sans prévenir dès que je sors de son sexe, jentre vite dans lanus. Leffet est presque immédiat : elle jouit en même temps que son copain : Je reçois la décharge dans le cul, jen jouis.

Nous nous rhabillons tous. Jembrasse sur la bouche mon amante dun après midi. Quand ils partent je ne connais rien de plus dun quun Maman. Jai le bas ventre comblé, mieux que si je métais branlée seule.

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