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Maman lesbienne – Chapitre 4

Maman lesbienne - Chapitre 4



Notre sommeil fut profond après une jouissance aussi forte. Heureusement que nous travaillions le lendemain, sinon je pense que nous aurions passé la nuit à faire lamour. Maman me réveilla avec de tendres baisers. Jouvris les yeux et lui souris. Jétais heureuse. Je percevais au fur et à mesure que ce nétait pas seulement sexuel. Je ne pensais pas que je pourrais être amoureuse de ma propre mère et ressentir autant de plaisir en tant que femme. Nous ne réfléchissions pas au fait que cette relation était « interdite », nous vivions notre passion à fond.

Naturellement, nous restâmes nues pour prendre notre petit-déjeuner. Nous étions au printemps et ici près de Toulon il faisait déjà beau. Nous discutâmes de ce que nous ferions ce week-end. Nous tombâmes daccord pour pique-niquer si le temps se maintenait. Je relançais maman pour que nous nous épilions complètement. Nous devions acheter ce quil nous fallait samedi au supermarché. Maman crut bon de préciser :

— « il faut que nous soyons discrètes à lextérieur et surtout avec la famille ».

Cétait superflu car je nosais imaginer les personnes que nous connaissions nous voir nous embrasser à pleine bouche, même si nous assumions notre homosexualité et ne la cachions pas individuellement.

Nous partîmes chacune de notre côté après un doux baiser.

Après mes cours, je fis un saut au magasin où maman travaillait et dont était la gérante. Je déposai un chaste bisou sur sa joue. Je restais discrète car il y avait un peu de monde et surtout ses deux vendeuses. Cétait un magasin de vêtements pour femmes, une grande marque de prêt à porter. Je nétais pas pressée et je décidai dattendre quelle ait fini de travailler pour rentrer avec elle. Jenlevais ma veste et donnais un coup de main. Maman ne mélangeait pas le travail et le plaisir, elle restait donc très professionnelle dans ses fonctions. Je ladmirais, elle était belle et resplendissante. Je pense que notre relation lui faisait du bien et à moi aussi. Lidée me vint de lui faire une surprise excitante. Je filai dans la réserve et discrètement jenlevai ma culotte. Je navais plus rien sous ma jupe. Je glissai ma culotte dans mon sac et revins aider.

A 19H30 nous fermâmes le magasin. La nuit était en train de tomber. Les filles partirent de leur côté et nous regagnâmes la voiture pour rentrer à la maison. Maman conduisait, nous avions à peine à dix minutes de trajet à cette heure. Je profitais dun feu rouge pour relever ma jupe et lui montrer que je navais rien sous ma jupe pour elle. Elle caressa ma cuisse en souriant, frôlant ma chatte humide et repartit au feu vert. Quelques centaines de mètres plus loin sans que je my attende, elle arrêta la voiture dans une ruelle sombre. Elle défit sa ceinture, sapprocha de moi et posa ses lèvres sur les miennes. Sa main gauche remonta ma jupe. Je me laissai faire, contente quelle ne soit pas restée insensible à ma surprise. Tout en membrassant fougueusement, elle glissa deux doigts dans ma fente trempée de désir. Elle me branla ainsi pendant quelques minutes. La situation mexcitait et la jouissance menvahit rapidement. Je pris la main de maman pour lécher ma mouille sur ses doigts. Nous repartîmes vers la maison.

En arrivant, nous nous déshabillâmes. Nous avions la chance de ne pas avoir de vis-à-vis, nous en profitions donc. Après le repas, nous ne perdîmes pas de temps. Je navais pas de cours le lendemain, mais maman travaillait. Nous rejoignîmes sa chambre qui était devenue la notre depuis quelques jours. Tendrement, nous nous câlinâmes, nous embrassant, nous caressant. Sans nous concerter, nous nous mîmes en 69, moi en dessous. Je profitais de cette vue imprenable sur cette chatte largement ouverte en dévorant son doux clito. Sa langue fouillait mon intimité, cétait tout simplement divin. Je tremblais de plaisir et rendais chaque coup de langue. Sa mouille coulait dans ma bouche. La jouissance montait dans mon ventre. Je dévorais le clito de maman et sentais les contractions annonciatrices de son orgasme. Nous jouîmes en même temps.

Mon visage était trempé de mouille. Maman sallongea à mes côtés et membrassa.

Nous restâmes un moment inertes. Je lui proposai dessayer le gode ceinture sur elle car je navais jamais utilisé ce genre dengin. Elle accepta, alla le chercher dans larmoire et maida à men harnacher. Il était vraiment gros, mais, sachant que javais réussi à insérer toute ma main, je ne doutais pas quelle le reçoive en elle. Jétais à genoux sur le lit. Elle commença à le lécher pour le lubrifier un peu, puis se mit à quatre pattes devant moi. Je présentai le gode à lentrée de son vagin en le maintenant dune main. La chatte de maman brillait de sa mouille. Je poussais doucement. Centimètre par centimètre le gode disparaissait entre les poils. Je le faisais ressortit un peu pour me renfoncer un peu plus loin. Lorsque je sentis le gode buter sur le col de lutérus, je pris les hanches de maman entre mes mains et entama un doux va-et-vient, modifiant le rythme en fonction de ses gémissements.

Une idée folle e traversa lesprit en voyant ses fesses offertes et son anus dilaté. Je mis le majeur de ma main droite dans ma bouche pour le lubrifier de ma salive puis le dirigea vers son petit trou. Au contact de mon doigt, il se contracta et se relâcha. Doucement, je le faisais rentrer et sortit en le tournant. Cela semblait doubler le plaisir de maman qui se trémoussait sous ces caresses. Jaccélérai les mouvements de pénétration du gode et elle poussa un long cri de jouissance.

Délicatement, je me retirais de son intimité. Et mallongea près delle en la prenant dans mes bras. Elle haletait encore. Je déposai un baiser sur sa bouche. Javais toujours le gode ceinture à ma taille et ce sexe tendu avait quelque chose de saugrenu et dexcitant. Quelques minutes plus tard, maman avait retrouvé ses esprits. Toujours excitée, je lui demandai si elle pouvait essayer sur moi le gode ceinture. Elle me fit remarquer quil était gros pour moi qui navais pas lhabitude dengin de telles dimensions. Dun sourire je balayai cet avertissement, retirai le gode et lui tendis. Elle le fixa sur ses hanches. Je me mis à quatre pattes, elle se plaça derrière moi. Pour me préparer à cette pénétration, elle commença à glisser deux doigts dans ma chatte déjà humide. Rapidement, elle rajouta un autre doigt. Je cambrai mes reins pour faciliter cette pénétration. Délicatement, elle retira ses doigts quand elle mestima prête et me prévint quelle les remplaçait par le gode. Avec, envie, je sentis le gland énorme forcer lentrée de mon vagin. Maman minterrogea pour savoir si cela allait. Je la suppliai de continuer. Elle continua. Je me sentais écartelée mais à la fois terriblement émoustillée. Je sentis enfin le gode au fond de moi. Jétais dilatée et remplie. Une sensation nouvelle sempara de moi. Lintérieur de mon vagin semblait découvrir une sensibilité que je ne connaissais pas. Ceci ajouté au frottement du gode sur mon clitoris déclencha un orgasme fulgurant qui me fit perdre connaissance durant quelques secondes.

Penchée sur moi, maman sourit quand je rouvris les yeux. Elle retira le gode et je me blottis dans ses bras. Nous nous endormîmes ainsi, repues damour.

A suivre…

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