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Maman l'espace d'un instant – Chapitre 8

Maman l'espace d'un instant - Chapitre 8



Cette soirée hivernale me motive dans l’idée de me blottir une fois de plus dans les bras de la femme qui me donne de l’amour avec un grand A, celle qui a su me rendre le plus heureux des hommes, donc ma très chère maman.

Papa était en déplacement et ne rentrais que le lendemain dans la journée, donc je dormais sur place, ce qui nous laissait beaucoup de temps pour nous deux, et c’est la première fois que cette situation arrivait de nuit.

Maman était rayonnante comme à son habitude avec une joie de vivre magnifique, des yeux qui en disent long, un visage enjoué qui laissait distinguer le plus beau des sourires, un vrai rayon de soleil.

Mes yeux s’attardent longuement sur ces jambes ornées de bas noirs, puis en relevant les yeux elle c’était approché et me gratifia d’un bisou des plus somptueux suivi de quelques caresses le long de ma colonne vertébrale, j’avais des idées en moi et sans doute que elle aussi

Alors mon chéri ont est troublé à ce que je vois, mais sache que c’est mignon, ça me touche et me plait énormément.

Oui maman c’est de l’amour pur et dur avec des vrais sentiments.

Elle me proposa un café que j’acceptais volontiers, mais à peine servi elle se jeta sur moi m’embrassant avec fougue et détermination, je faisais exactement comme elle sans trop me poser de questions inutiles.

Elle enleva sa jupe, baissa sa culotte et commença à me malaxer l’entre jambe dans ce moment érotique, divin mais très précieux pour nous deux.

Une dizaine de minutes plus tard maman était à quatre pattes sur le tapis du salon, moi faisant des mouvements dans son vagin, mais l’union ne dura pas, car en peu de temps j’envoyais tout mon jus en elle, et j’étais vraiment déçu, je me sentais minable, vraiment bon à rien, et je voulais repartir chez moi tellement j’avais honte.

Mais ma mère me rassura en tout point histoire que je reprenne un peu confiance en moi, et oui nous ne sommes pas des robots, ce sont des choses qui arrivent, mais le principal est là, tu m’as remplie d’amour et ça c’est ce qui compte me lança-t-elle.

Cela m’avait légèrement remonté le moral un petit peu mais j’avais une bien mauvaise mine car pas vraiment content de moi.

Je finissais tant bien que mal mon café, elle se trouvait à genou et me masturbé de la plus belle des façons en me fixant droit dans les yeux sans rien dire, et me suça tendrement en effectuant des mouvements cadencés le long de ma tige qui ne demandait qu’une chose, simplement arroser cette bouche chaude et accueillante.

Oh maman c’est bon je me sens trop bien là, tu es vraiment une connaisseuse en cette matière, et il est vrai qu’elle pratiquait la chose à la perfection, le summum du plaisir.

Oui mon amour j’aime ta bite, j’aime le sexe, je veux ton sperme, je ne désire que toi car tu es mon amour celui qui fait du bien à mon esprit et à ma vie en général.

Résultat avec ces jolis mots je jouissait dans sa bouche par grands flots épais et chauds, elle avala tout le contenu et se régala de ce nectar d’amour sans en perdre une seule goutte.

Le restant de l’après-midi nous le passions à regarder la télévision tranquille dans le canapé l’un contre l’autre en s’échangeant par moment des regards coquins et surtout des bisous d’affection et de tendresse.

En fin de journée papa contacta maman par téléphone, elle qui était accoudée à la table du salon et moi qui la limait dans cette position par l’anus depuis le début de leur conversation sans qu’il se doute de quelque chose car elle arrivait à masquer ces cris en se mordillant un peu les lèvres, mais dans le feu de l’action raccrocha volontairement et jouissant de toutes ces forces pendant que je me vidais dans son petit trou.

Elle le rappela de suite après prétextant avoir tombé le combiné, et moi je lui léchais la raie.

Oh chéri tu es un vrai gourmand c’est incroyable.

Oui maman j’aime ça et je t’aime avant toute chose.

Plus aucun mot, le calme plat avant la suite des événements, et c’est là que l’impensable s’est produit, je suis allé au petit coin et elle arriva, je commençais à uriner et elle plaça son visage au-dessus de la cuvette tellement rapidement que c’était inévitable, un arrosage doré comme il se doit visage et bouche.

Oh non maman plus jamais ça, je n’aime pas du tout, pourquoi tu ne l’as pas demandé aussi ?

Elle me répondit simplement qu’elle voulait essayer une fois dans sa vie et que c’était juste par amour pour moi, mais après coup avoua que ce n’était pas si bon que le sperme. Cela me rassura au plus haut point.

Mais j’ai sombré dans une sorte de sidération tant cette pratique était pour moi immonde. C’est sûr que si je l’avais vu venir ou si elle me l’avait gentiment demandé avec amour, la réponse aurait était absolument négative sans possibilité de négociation.

Un instant plus tard jembrassai et frôlai avec mes lèvres sa poitrine, elle me demanda de la téter, et je cédai a son désir en obéissant tout en la mordillant par moment.

Elle s’abandonna totalement et intégralement, se laissant aller avec une excitation sans limite, et dans un chuchotement me demanda clairement de lui bouffer la chatte, nous voilà donc allongés dans le couloir de l’entrée, ma mère sur le dos et moi entre ces cuisses dans un plaisir charnel d’une bonne vingtaine de minutes.

Elle jouit de plaisir en hurlant et se tortillant dans tous les sens me serrant le visage entre ces jambes.

Ah je vais venir, continue je le sens, oui je viens je t’aime.

Effectivement j’ai eu pour cadeau mon visage trempé par la sensation de plaisirs de maman.

Viens sur le lit de suite j’ai vraiment trop envie de toi encore.

Sur le lit de mes parents je sentis sa peau douce et satinée se coller contre moi, et palpant le haut de ses cuisses, je rebandais aussi sec. Autant dire que nos deux corps étaient en parfaite osmose avec effervescence.

Elle se laisse faire en glissant sur mon corps pour s’offrir à moi me chevauchant avec envie et amour.

Je suis en ébullition, je me liquéfie, et quelques déhanchements plus tard, mon sexe se cabra puis dans des cris de jouissance éjacula dans le vagin de celle qui m’avais mise au monde il y a quarante ans, mais elle en voulait encore.

Elle me lécha le sexe un moment pour qu’il reprenne vigueur puis s’empala à nouveau dessus, son bassin en mouvement se souleva et s’abaissa comme une déferlante qui s’accélère au fur et à mesure des pénétrations, j’en profitais pour caresser ces seins aussi.

Je sens arriver l’orgasme avec puissance, tout va très vite d’un coup, elle crie de plus en plus fort et nous ne dirigeons plus rien, mais dans un ultime soubresaut nous jouissons tous les deux dans cette position, avec une fois de plus un remplissage de son intimité dans les règles de l’art.

Bref il était déjà 22 heures, et il fallait préparer le repas.

La nuit se passa divinement bien sans complexe que ce soit sur le lit, la table du salon, le sol de la cuisine ou encore dans le garage dans plein de sens et de positions pour des moments libérés d’amour sans penser à rien d’autre qu’à nous deux, notre amour.

Et j’avoue que cette nuit-là, maman a eu vraiment très soif.

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