Histoires de sexe arabes Histoires de sexe sœur

Maman…pourquoi es tu aussi salope ? – Chapitre 4

Maman...pourquoi es tu aussi salope ? - Chapitre 4



Sorti du buisson, je fais le moins de bruit possible pour arriver devant elle. Et là ! Mon Dieu quel spectacle ! J’avais déjà vu ma mère nue depuis longtemps. Pour elle la nudité ou la pudeur n’étaient pas un problème. Je dois même avouer que je me demandais si elle n’avait pas toujours essayé de m’allumer depuis ma période de jeune adulte. En tout cas j’avais bien mordu à l’hameçon, car dans mes rêveries érotiques, c’était toujours elle l’héroïne.

Mais là, la voir offerte, souillée par ces malotrus, les cuisses écartées comme une invite sexuelle, après toute la débauche à laquelle elle s’était joyeusement offerte, cela me semblait relever du miracle.

Alors que faire ? Toute cette séance de dépravation publique m’avait chauffé à blanc. Je sens mon érection déformer mon caleçon. Je sais que la bête ne demande qu’à sortir et satisfaire ses envies de luxure

En bon petit puceau, je n’ai qu’une envie, baiser presque la première femme venue qui s’offrirait à mes envies…et là j’en ai une devant moi, nue, chaude comme la braise qui ne demande qu’à s’offrir aux assauts d’un nouveau mâle. Oui mais

Un petit hic ! C est ma mère. Débauchée, baisée jusqu’à plus soif par de parfaits inconnus, avilie, souillée, désirable en diable, il n’en reste pas moins que cette femme est l’auteure de mes jours. Que l’acte contre nature que chaque fibre de mon corps réclame jusqu’à la folie, pénétrer ce vagin accueillant, chaud, dilaté, poisseux de sécrétions diverses, avec mon sexe turgescent, revient à pénétrer l’antre qui vit ma tête sortir, un beau matin du mois de novembre il y a de cela 19 ans maintenant. En effet cette caverne tant désirée a été le sas qui m’a conduit à la découverte du monde

Alors j’y vas t’y ou j’y vas t’y pas ?

Pendant que mon cerveau déchiré par des impératifs moraux, empile les arguments et contre arguments, que mon âme se déchire devant l’angoisse et la honte de l’inceste, mon corps lui, semble déconnecté et se fout pas mal de mon conflit intérieur. Je me vois ouvrir mon pantalon qui tombe à mes pieds, baisser mon caleçon qui suit le même chemin, et j’admire mon pénis qui n’a jamais connu une telle érection…j’ai l’impression d’avoir ajouté 2 ou 3 centimètres à ma longueur habituelle… Je tombe sur mes genoux , le regard halluciné, fixé sur l’objet de mon désir malsain. Ma main hésitante s’approche du trésor tant convoité. Je ne sais pas trop comment m’y prendre aller directement pénétrer la fente de mon doigt ? Caresser l’ensemble du pubis et des nymphes avec la paume de ma main en faisant un mouvement de bas en haut ? Caresser le clitoris turgescent du bout de mon pouce ?

Compliqué quand on est novice. Alors maladroitement j’approche presque en tremblant me doigts de son sexe, et dépose une caresse malhabile sur ses grandes lèvres. L’effet est immédiat, elle se cambre en exhalant un soupir de bien-être:

 "Oh oui, mhummmm ! Continue, doigte moi, j’ai envie de me faire tripoter…branle moi  !

Sur le coup de la surprise, j’ai vivement retiré ma main, mais devant l’invite pressante, je place ma paume sur le sexe béant et dégoulinant, et du pouce je masturbe le clitoris. Aussitôt ce ne sont que gémissements, petits cris de plaisir et au bout de même pas deux minutes, là voilà repartie dans un orgasme fulgurant .

"Ta queue, je veux ta queue ! Baise moi !"

Là, j’avoue que je n’en reviens pas. Elle ne cherche même pas à savoir qui veut la saillir; juste une petite excitation du bout des doigts et la voici décidée à se faire prendre par le premier mec venu Maman pourquoi es tu aussi salope ?

N’en pouvant plus, toutes mes bonnes résolutions moralistes s’écroulent, je veux baiser cette salope, même si c est ma mère ! Quel est l’homme normalement constitué, qui pourrait résister dans une telle situation ? J’approche mon sexe de son antre baveuse et doucement je m’y introduis…ça y est j’y suis. Je sens la douceur des muqueuses chaudes et si bien lubrifiées par sa cyprine, et le sperme des mecs qui m’ont précédé . Je devrais trouver ça dégueulasse , mais je m’en fous tout ce qui compte c’est le plaisir que je suis en train de prendre ! Et c’est vrai que j’y suis bien dans la chatte de maman, ça rentre comme dans du beurre. Je n’ai aucun effort à faire, cela glisse naturellement tant son vagin est dilaté par le plaisir qu’elle a pris précédemment. Tant est si bien que tout compte fait je m’y perds un peu . Je tente alors de la pénétrer en tire-bouchon pour avoir la sensation de frottement.

Mais c’est sans compter les qualités de baiseuse de ma génitrice. Car elle aussi ne doit pas sentir grand chose tout compte fait alors en professionnelle du sexe, elle commence par crocheter ses jambes sur mon dos pour verrouiller la pénétration, puis contracte les muscles de son vagin pour littéralement m’emprisonner dans cette caverne si douce.

Alors effectivement mes va et vient sont terriblement jouissifs pour tous les deux Ma mère se met à ahaner et respirer bruyamment. Putain c’est trop bon, je la baise à couilles rabattues, je sens qu’elle prend son pied et moi aussi…je sais que je ne vais pas pouvoir encore tenir bien longtemps comme ça..

Au bout de deux, trois minutes de ce traitement, je ne peux plus me retenir et j’éjacule en poussant un grand cri de jouissance; sentant cela Josiane ne peut se retenir et jouit à son tour .

Putain je l’ai fait , je me suis dépucelé et en plus avec ma mère  ! Écoutant les réactions de mon corps et reprenant mes esprits, assis tout près d’elle, je ressens une immense satisfaction, et en la regardant, un peu de gêne aussi ! Cette femme nue, qui s’est offerte et a encore joui, m’était normalement interdite, et pourtant je l’ai baisé comme la dernière des putains…mais dans le fond n’est ce pas ce qu’elle est devenue ? Je me dis que tout cela doit rester secret, personne ne devra jamais savoir , même pas elle oui mais alors je ne pourrai plus jamais la baiser ? Maintenant que j’ai goûté à ça, je ne peux plus m’en passer. A chaque fois que je la verrai près de moi , à la maison, dans ma chambre, quand elle s’exhibera à nouveau nue devant moi, j’aurai toujours envie de la sauter alors que faire ?

Avec le recul, je dois bien admettre que ma prise de décision à ce moment là, de même que le plan machiavélique qui a point dans mon esprit, a été grandement influencée par la phrase qu’elle prononça à ce moment là :

"Je ne sais pas qui tu es, certainement pas Mario, ni un mec de sa bande, eux ils ont l’habitude de baiser, toi tu es novice, cela se sent, mais en tout cas ça a été fort agréable. Tu veux mon cul à présent ? Allez ne sois pas timide, viens m’enculer !"

J’étais abasourdi par son manque de vergogne confondant ! Non seulement elle s’était faite baiser par un parfait inconnu, mais en plus maintenant elle lui demandait de la prendre en sodomie ! Maman pourquoi es tu aussi salope ! En tout cas j’allais en profiter et mettre mon plan à exécution.

Après avoir trempé mon gland dans sa chatte baveuse pour assurer la lubrification de son petit trou, j’appuie légèrement contre l’entrée étoilée. Elle m’avale directementc ’est " la porte des étoiles" cet orifice là ! Il faut dire que son anus présente un orifice lui aussi béant, par lequel s’écoule un filet de sperme. Sentant mon hésitation et ma prudence , elle me dit:

"Tu peux y aller si tu savais comme les autres m’ont ramoné et défoncé le cul ! Allez, encule moi grave !"

Alors j’installe ses jambes sur mes épaules pour avoir un meilleur angle de pénétration, et m’allongeant sur elle, je m’accroche à ses seins que je me mets à pétrir et là je la défonce putain j’encule ma mère jusqu’à la garde !

De nouveau c’est un concert de gémissements et de cris de jouissance. C’est à ce moment là que j’ai compris, s’il me fallait encore une preuve de sa dépravation, que ma mère est une vraie nymphomane insatiable !

"Allez vas y petit salop, prends ton pied et ramone moi putain tu me fais trop du bien ! C’est quoi ton prénom au fait ?"

Ah! Il était bien temps de faire les présentations Je lui prends la bouche et lui roule un palotde derrière les fagots. Nos langues s’unissent, se mélangent…c’est trop bon ! Puis approchant ma bouche de son oreille, je lui mords le lobe et lui murmure très doucement:

"Je m’appelle Luc. Tu es une vraie salope maman, enfin je préfère t’appeler Josiane ! Mais j’avoue petite putain que tu m’as fait marcher dans le ciel…

( Puis d’une voix grave), Je suis ton fils !

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire