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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 25

Maman très chaude, enfants pervers. - Chapitre 25



Chapitre 25 : Partie mouvementée chez Jeannine

Le lendemain soir, comme prévu, Paul et moi allons chez Jeannine et quand je vois la maison isolée de deux étages au bout de l’impasse mon cur commence à battre plus vite. Il s’agit de la maison où il y a quelques semaines, j’ai fait une fellation à mon fils devant sa copine et son amie. Les images de cette nuit érotique clignotent dans mon esprit et me distraient de ma conversation avec mon mari.

— Chérie, nous arrivons. On va faire la fête !

Paul à lair assez enthousiasme pour cette soirée.

Il ne sait rien sur ma relation privilégiée avec notre fils, et me retrouver avec mon mari, au même endroit où jai fait une pipe à mon fils, ça va être bizarre.

— Paul, une minute, promets moi de ne pas trop boire.

Je lui ça car il devient exubérant quand il force un peu sur lalcool.

Il me regarde les yeux admiratifs en fixant mon décolleté.

Je porte une petite robe noire très à la mode qui s’arrête à mi cuisses qui met bien mes jambes bronzées en valeur. Le devant de la robe à un décolleté carré, qui laisse une large zone de ma poitrine exposée. Mes tétons sont cachés mais le tissu ne couvre pas entièrement mes larges aréoles. La robe a une fermeture éclair sur tout le devant qui s’arrête au niveau de mon entrecuisse pour finir par une fente qui dévoile mes cuisses en marchant. La tirette de la petite fermeture éclair a une boucle comme si elle était destinée à une personne pour accrocher son doigt dans la boucle et ouvrir ma robe. Je ne voulais pas la mettre mais il ma supplié dès quil l’a vu dans notre placard.

— HeuOuais, bien sûr, juste un peu.

Et il sort de la voiture.

Je baisse mes yeux sur mon décolleté pour massurer que tout est en ordre, alors que mon mari vient mouvrir ma porte. Je nai jamais dévoilé ma poitrine autant ! La moitie de mes seins sont visibles. Quest ce qui ma pris de mettre cette robe ? Cest juste une soirée entre amis et pas une folle nuit avec des copines ! La seule explication pour venir avec cette robe cest que je sais quEric sera là également avec Gina et je sais quil aime me voir habillée de façon provocante

« La salope de mon fils…Je suis sa salope, »

Pensais-je en souriant.

Si j’en ai l’occasion, je veux aussi discuter de ma relation avec Gina, la copine de mon fils. Je suis certainement attirée par sa beauté, mais cest la petite amie de mon fils et il faut que je cesse toute relation sexuelle avec elle. Malheureusement, la robe que je porte nest pas la tenue vestimentaire adéquate pour une discussion avec cette jeune fille pour essayer de la décourager d’avoir des relations intimes avec moi.

Quand Jeannine, la mère de Gina a demandé à mon mari de venir à sa soirée, j’ai, dans un premier temps, penser refuser me sentant coupable de ce que j’ai fait avec sa fille, mais elle a insisté et m’a finalement convaincu que Paul et moi nous devons absolument être là. Après tout, nous sommes amis depuis longtemps.

Mon mari mouvre la porte du passager comme un vrai gentleman. Je sors mon pied droit et pour éviter une flaque deau je me rends compte que jécarte largement mes jambes. Ca fait sauter ma robe sur mes hanches et je ne suis pas surprise de voir mon mari jeter un coup dil entre mes cuisses.

Mon mari lorgne sans vergogne mon string rose qui couvre uniquement (tout juste !) ma chatte. En fait un bout de tissu couvre seulement l’orifice vaginal et rien d’autre.

En voyant mon mari fixer mon string je ne peux mempêcher, en bonne salope que je suis devenue, de laisser mes cuisses écartées pendant un moment, lui laissant admirer les bourrelets que forment mes grandes lèvres de chatte de chaque coté du léger tissu.

Prenant mon temps je mextrais hors de la voiture et jatterri dans ses bras en plaçant mes deux mains sur ses épaules sans rabaisser ma robe, donc mon cul presque à lair.

— Je ne peux pas croire que je suis si maladroite

Chuchotais-je en le regardant.

Il respire plus fort, donc je lexcite et je mexcite aussi. Je lui montre mon cul et pensant que toute personne qui passerait accidentellement, pourrait me voir à moitié à poil, ça me fait de petits frissons.

— Chérie, tu commence à mexciter.

Dit-il en glissant ses mains sur mes fesses pour les palper.

— Ooohh, cest bon de sentir tes fesses nues !

— Tu ne vas quand même pas me prendre sur le capot de la voiture comme une putain ?

Jespère presque quil me dise oui et quil arrache mon slip ridicule pour me mettre sa bite dans ma chatte déjà humide.

— Ce nest pas lenvie qui me manque mais on pourrait se faire remarquer.

Et il tire ma robe vers le bas. Je me sens frustrée et déçue. Je voulais quil me prenne comme une pute de trottoir et il na pas compris ! Ce soir je suis terriblement chaude. Il va falloir que je me surveille.

En étant accueillit par mon amie Jeannine elle sent tout de suite mon humeur et me dit.

— Ooh, tout va bien Kate ?

Paul na pas lair de comprendre et jagite ma main en signe de résignation.

-oui, ça vaje te verrais plus tard.

Long dîner, couples bien habillés, bavardages avec des connaissances, consommation d’alcool

Dans la soirée je vois Gina qui donne un coup dil circulaire et, mapercevant, elle me sourit et me fait signe. Elle se dirige vers la cuisine et jai compris quelle minvite à la suivre.

Cest peut-être loccasion davoir une conversation privée. Discrètement jabandonne mon mari en pleine discussion et je suis Gina dans la cuisine. Gina est devant le réfrigérateur ouvert et dès que je suis entrée, elle se penche vers le bas sur ses jambes raides, faisant semblant de regarder dans le tiroir pour me montrer son cul.

Comme dhabitude, elle à sa jupe courte qui roule sur le haut de ses cuisses pour me laisser voir son petit slip blanc.

Cette fille a le don de mexciter. Jadmire ses cuisses bronzées et sa paire de fesses toujours aussi alléchante. Dieu, que cette fille est chaude !

— Gina, je peux te parler ?

Elle tourne lentement sa tête vers moi sans bouger son cul.

— Oh, Salut Kate. Alors tu tamuses bien ?

Bien que son visage soit sérieux, je vois dans léclat de ses yeux que cette coquine de jeune fille est entrain de jouer avec moi, de me taquiner avec son cul.

— Oui merci. Je voudrais te parler en privé quelque part sans être interrompus.

– Oh, parler de quoi ? Demande-t-elle innocemment.

— Je pense que tu sais exactement de quoi nous devons parler, jeune fille !

Elle sourit de nouveau, se redresse et ferme la porte du réfrigérateur.

— Suis-moi, dit-elle.

En pensant comment aborder le problème, je réalise que jai le cul bien galbé de Gina qui se balance devant mes yeux en montant lescalier. Sa jupe est si courte que je vois son slip coincé profondément entre ses fesses. Ca me donne la chair de poule et jai la bouche sèche.

Arrivé dans sa chambre japerçois Sylvie assise sur le lit qui lit un magazine.

— Oh Salut Kate !

Je ne m’attendais pas à la trouver là mais je me dis que je peux dune pierre faire deux coups.

— Salut Sylvie.

Je me tiens au milieu de la pièce et regarde Gina fermer la porte, marcher vers le lit et s’asseoir à côté de Sylvie, en face de moi, les bras en appui derrière elle. Sa jupe courte roulée en haut de ses cuisses cache à peine son slip et elle me regarde. Sylvie regarde Gina et voyant ou devinant ce que fait son amie, elle sincline de la même façon, laissant ses cuisses lisses et laiteuses aussi visibles que celles de Gina. Toutes les deux portent des jupes décolière minuscules ce qui narrange pas du tout les choses

Je comprends immédiatement quelles cherchent à mexciter. Ces deux filles, très proches et sexuellement de connivence essaye de me contrôler par mon addiction au sexe. J’ai le sentiment que Gina est le maître et Sylvie suit ce qu’elle fait.

Bien sûr, la vue quelles me donnent est superbe et ensorcelante, mais je suis venue pour autre que chose que la bagatelle.

— Les fillesil faut que lon mette les choses au point.

Les deux damoiselles me regardent sans broncher un seul cil et je remarque que Gina écarte ses genoux.

— Ce que nous avons fait ne doit plus ce reproduire. Jen suis la première à blâmer pour vous avoir permis que cela se produise. Les femmes ne sont pas sensées agir de cette façon, en particulier avec une adulte comme moi. Je veux dire que je suis assez vieille pour être votre maman… et en plus votre mère est on amie, Gina.

Comme Gina, les jambes de Sylvie se séparèrent et je vois maintenant sa petite culotte blanche. Mon cur commence à saccélérer et jessaye de mon mieux de ne pas regarder entre ses jambes.

— Ce que vous avez vus entre moi et mon fi et Eric cest une erreur impardonnable. J’ai été faible pour permettre cela et ce nest pas prêt de se reproduire. Aussi loin que nous avons été ensemble ce jour-là jai eu tort. Je sais que vous découvrez votre sexualité, comme il est très courant entre filles de votre âge, mais je ne peux le faire avec vous. Je suis mariée et j’aime beaucoup mon mari.

— Je comprends, Kate, tout le monde peut avoir un moment dégarement. Dit Gina en se levant.

Je remarque que Sylvie a placé ses mains sur ses cuisses et quelle saisit les bords de sa jupe en me souriant innocemment. Ses jambes se déplacent et maintenant je vois parfaitement sa petite culotte.

« Oh non, je ne peux pas encore me laisser avoir par ces deux petites garces ! »

Mon esprit menvoie des signes d’avertissement, mais je reste les yeux fixés sur le slip de Sylvie.

Gina est près de moi et place sa main sur mon épaule.

-Kate, ce qui est arrivé entre nous est magique. Sylvie et moi on trouve que cest tout simplement génial que tu nous as rejoins dans nos relations sexuelles. Autant toi que Eric… Eh bien… disons que si j’avais un fils avec une bite comme la sienne, je ferais exactement la même chose.

Et avec un sourire enjôleur, elle laisse glisser sa main sur mon bras jusqu’à mon coude quelle saisit et elle met son bras autour de ma taille.

— Gina, tu es la petite amie de mon fils, il taime. Ce que j’ai fait est inexcusable et n’aurait pas dû se produire. J’avais pris des médicaments qui ont obscurcis mon jugement et je te promets… ça ne se reproduira jamais

Mais je faiblis dans ses bras.

-Ca va Kate, ne tinquiète pas, oublions le passé et profitons du présent. J’ai envie de danser, pas toi, Kate ?

Je perds un peu pied, car je vois Sylvie tirer sa jupe et écarter ses genoux pour que japerçoive entièrement son slip. En regardant bien je remarque une tache verticale et rectiligne et je me rends compte avec étonnement qu’elle mouille de la chatte. Jen oublie ce que fait Gina et quand j’émerge, je réalise quelle est contre moi et que jai mes mains sur ses fesses et que Sylvie à mit en route une musique douce.

Je retire rapidement mes mains comme si son cul était en feu.

— Non, Gina, tu ne mécoute pas. Je ne peux pas faire ça Je ne suis pas comme ça, c’est ce que j’essaie de te dire

Mais je marmonne et je butte sur mes mots en me rendant compte que son décolleté est maintenant plus important qu’avant. Elle a certainement déboutonné des boutons sans que je le remarque.

— Alors ma petite Kate, pourquoi tu lorgnes sur mes seins maintenant ?

Salope ! Elle a raison, cest ce que je fais. Mon cerveau est un peu embrouillé par l’alcool que j’ai bu plus tôt mais je sens quelle me manipule.

Soudain, la porte souvre et nous regardons qui nous a interrompues. Avec un soupir de soulagement, je vois que cest Eric.

— Hé, les filles quest ce que vous faites ici ?

Il a immédiatement remarqué Sylvie avec sa jupe relevée qui montre sa petite culotte et Gina et moi enlacées au milieu de la pièce. Nous sommes prises en flagrant délit et restons figées pendant quil pénètre dans chambre.

— Continuez les filles, ne vous interrompez pas pour moi.

— Tu ninterromps rien Eric, nous ne faisons que discuter.

Sylvie rebaisse sa jupette et je me sépare de Gina tandis quEric se dirige lentement vers le canapé pour sasseoir.

— Eric, je parlais avec Gina et Sylvie de ce qui cest passé il y a quelques semaines… tu sais… nous tous dans le bain à remous

-Oh, je vois maman.

Mais je remarque tout de suite un sourire coquin sur son visage. Je suis tellement concentrée sur Eric que je n’ai pas remarqué quand Gina a tiré mes mains vers le haut pour les placer sur ses épaules.

— Je leur ai dit que nous avons fait une bêtise.

Les yeux dEric sont rivés sur nous. Je sens le corps de Gina bouger au rythme de la musique et Sylvie s’approche derrière moi. Je dois admettre, la musique est langoureuse et mon propre corps bouge plusieurs fois sur le rythme de la musique.

— On ne doit plus laisser les choses aller si loin.

Je sens Sylvie juste derrière moi et ses mains sur mes hanches pour suivre la musique avec nous. Presque inconsciemment, mes propres hanches commencent à bouger à l’unisson avec les filles qui me prenne entre elles.

— Il ne faut plus que ça se reproduise.

Toujours regardant Eric je vois que son Jean commence à gonfler dans son entrecuisse et mon cur bat plus vite. Je sens aussi une paire de mains sur mon cul qui le presse légèrement. Je regarde Gina qui me sourit et se presse fermement contre moi.

— Non, sil te plait, Gina

— Détends-toi, Kate, on ne fait juste que danser.

Daccord on danse, mais dune façon provocante et aguicheuse. Comme un mec qui veut emballer sa cavalière pour ensuite la mettre dans son lit. Ce nest pas exactement ce que je suis venu faire ici.

— Eric, tu aime nous voir danser ?

Il fait signe que oui de la tête et jai vu ses mains se rapprocher de son entrejambes pour sarrêter au dernier moment et ne toucher sa bite qui grossit de plus en plus.

Gina lui sourit et passe ses mains de haut en bas sur mon cul pour me donner de lubriques sensations. Et en plus je sens les mains de Sylvie qui viennent se placer sur mon ventre pendant que nous dansons sur cet air lent et accrocheur.

— Ta mère me semble chaude, tu ne trouves pas Eric ? Roucoule Gina.

Je regarde mon fils pour mapercevoir quil est très excité au rythme de sa respiration. Je mapprête à dire quelque chose mais il me devance.

— Oui elle lest, cest une femme très chaude ma mère.

— Veux-tu en voir un peu plusde ta mère ?

Dit Gina en explorant mon cul de ses mains.

Gina me sourit et lèche ses lèvres en regardant mes seins. Jessaye de libérer mes bras mais Sylvie me les maintient fermement. Je sais bien que si je le voulais je pourrais me libérer en tirant très fort, mais je nai pas vraiment envie de lutter.

Maintenant, les mains de Sylvie sont sous mes seins quelle touche doucement.

— Ahhh… s’il vous plaît… stop

Mais le cur ny est pas et je commence à permettre à ces deux jeunes filles perverses, de faire exactement le contraire de ce que je viens de dire il y a 2 minutes.

— Oh, Kate, c’est trop chaud, laisse toi aller

Me chuchote Gina dune voix basse que seulement Sylvie et moi entendons. Et Eric répond enfin

— Oh, oui j’aimerais en voir plus d’elle.

Alarmée, je jette un regard désapprobateur à mon fils qui hausse simplement des épaules en me souriant. Gina lui répond.

— Ah, bontu veux en voir plus. Ses seins peut-être ?

Encore une fois je le regarde en faisant « non » de la tête, mais lui il fait « oui. »

-Gina, non, je viens de vous dire quil ne faut pas que lon fasse ca !

Elle me fixe dans les yeux avec une telle intensité sexuelle qu’elle me fait presque gémir d’excitation.

— Mais nous ne faisons rien, on danse

Gémit-elle langoureusement en fixant mes lèvres comme si elle était sur le point de m’embrasser.

Comme si cétait un déclic pour Sylvie, la jeune fille attrape la boucle de la tirette de ma fermeture éclair sur le devant de ma robe pour jouer avec elle. Je lui tire sa main de peur qu’elle veuille tirer dessus mais Sylvie résiste et je ne fais encore rien pour la forcer.

Gina regarde Sylvie dun air entendu et Sylvie tire sur la fermeture éclair quelle descend lentement vers le bas. Un peu paniquée je vois la fermeture éclair descendre sous mes seins en les exposant davantage.

— Non ! Stop, vous ne pouvez pas ! Pas devant mon fils !

Murmurais-je dun air suppliant.

— Mais cest Eric qui veut les voir, Ericton fils. Tu ne veux pas lui faire plaisir ?

— Non ! Comme tu viens de le dire, cest mon fils et il ne doit pas voir mes seins !

Je regarde mon fils et je limplore des yeux mais

il reste assis en frottant sa grosse bite à travers son pantalon.

— Toutes les mamans ont des fantasmes secrets, murmure-t-il,

Mais nous avons toutes les trois entendu.

Mon visage devient rouge, plus de lentendre dire ça, que d’embarras. Oui, j’adore ce que mon fils me fait et jaime être sa salope, mais ces deux jeunes filles nont pas besoin de le savoir !

— Non, non…Oh Dieu, Gina s’il te plaît laisses-moi partir.

Il semble que j’oublie Sylvie car je sens de lair autour de mes tétons et je vois que la moitié supérieure de mes grandes aréoles sont visibles !

Je regarde mon fils et puis Gina, secouant la tête alors que je sens que ma chatte frissonne dexcitation. Gina devine mon excitation, me sourit, puis regarde Eric.

— Un peu plus Eric ?

Mon fils reste les yeux rivés sur nous et sa bite en pleine érection dans son pantalon nous fait une très grande impression.

— Oui, dit-il après quelques moments de tension.

« Mon Dieu, cela devient dangereux. Je dois m’arrêter tout de suite. »

Sylvie a immédiatement tiré la fermeture éclair plus bas et les bords de ma robe noire sont tombés sur les côtés exposant mes seins et mes tétons dressés. Jessaye de protester, mais mon corps m’a trahi avec ces signes d’excitation.

— Les filles, soyez gentille, arrêtez maintenant.

Le visage de Gina rougi alors qu’elle regarde mes tétons si proches de sa bouche. Sylvie tire la fermeture à glissière, jusqu’à ce qu’elle s’arrête à hauteur de mon nombril et puis elle glisse ses mains sur mes seins en déplaçant le tissu.

— OOoohh, Kate, quest ce quils sont beaux !

Dit Gina dune voix légèrement tremblante.

Je regarde mon fils qui continue de frotter sa queue puis Gina, et je sens inexorablement que mon moi salope prend le dessus sur la mère de famille.

Tandis que les mains de Sylvie massent mes seins par-dessous, Gina place ses mains sur le dessus pour couvrir mes tétons. Je fais face à Eric et Gina se déplace complètement sur le côté afin que mon fils est une vue dégagée.

— Eric, tu veux voir les seins dune maman en chaleur ? Demande-t-elle.

— Oh, oui répond mon fils.

Lentement, elle retire ses mains sur mes seins et Sylvie fait de même. Eric me regarde avec des yeux plein de ce désir que je connais bien et je me réprimande pour être si faible.

Sylvie continue de tirer sur mon zip et ma robe est ouverte jusquà mon pubis. Tout le monde est excité et me regarde avec de grands yeux étonnés par la situation.

Gina vient de mettre une jambe entre les miennes et je sens que le slip quelle porte est mouillé.

— Tu es si belle Kate, murmure-t-elle en appuyant son corps contre le mien.

— Gina…Sylvie… les filles

Je suis excitée et je le montre !

Pourquoi ? Pourquoi ai-je permis de me retrouver dans cette situation. Est-ce l’excitation de faire quelque chose dérotique devant mon fils ? Il a une vue parfaite de nous et regarde sa mère provocante prise en sandwich entre ses deux jeunes amies !

Soudain je sens que Sylvie veut ôter ma robe en la soulevant au dessus de mes hanches et avec mes mains libérées, je saisi les poignets de Sylvie pour lempêcher daller plus loin.

— Non, je ne peux pas, je vous ai dit qu’il n’en est pas question !

Bien que je brûle denvie d’aller plus loin, je ne veux pas passer pour une totale salope devant ces filles. Je dois quand même être capable de me fixer des limites.

Gina a juste souri et prend mes seins pour frotter en cercles mes tétons tout durs avec ses pouces.

Je tiens efficacement Sylvie pour lempêcher de soulever ma robe, mais ça permet à Gina davoir un accès illimité à mes seins et elle en profite pour les presser et les caresser.

En regardant mon fils, je vois quil apprécie vraiment le spectacle, vu le contour de sa bite visible dans son pantalon.

Gina se cambre, appuie son sexe sur ma cuisse et caresse mes seins. En passant sa langue sur ses lèvres de manière séduisante, sa tête se rapproche de mes seins.

Je lâche les poignets de Sylvie et jattrape les mains de Gina pour les décoller de mes seins et les maintenir sur les côtés. Dès que les poignets de Sylvie sont libre, elle tire ma robe au-dessus mes hanches et la roule autour de ma taille. Immédiatement je sens ses mains partout sur mes hanches et mon cul.

Me voila presque nue, en string, devant ces jeunes pervers dont mon fils.

Je lâche Gina et jessaye de baisser ma robe, mais Sylvie me saisi mes poignets et les tient bien. Elle lève mes bras et place mes mains derrière ma tête. Je frissonne, impuissante, et je sens une chaleur familière arrivée tout au long de ma chatte.

Mon fils nintervient en aucune façon et Gina me saisi par les hanches pour se presser contre moi et membrasser sur la bouche en plaquant ses seins contre les miens.

Tout ce que je sens cest sa langue humide qui explore ma bouche en se tordant dans tous les sens pour toucher des endroits qui menvoient des ondes dexcitation à travers mon corps. Tellement absorbée par son baiser irrésistible, je nai pas remarqué quelle mentraîne vers mon fils et quelle séloigne de moi pour me retrouver face à mon fils avec Sylvie derrière moi.

Ses yeux grand ouvert détaillent le bas de mon corps mis à nu et se fixent sur ma chatte à peine cachée par mon minuscule string. Sa main glisse sur son pantalon pour caresser sa queue dure dessous.

« Oh, non pas encore »

Gina se plaque dans le dos de Sylvie, enveloppe ses bras autour de la jeune fille et met ses mains sur mes hanches, nous poussant dans la direction dEric, Sylvie me tenant toujours mes mains.

Nous manuvrant judicieusement, je me retrouve avec un sein à une portée de main de mon fils, ma robe ouverte en deux et au-dessus de mes hanches, avec mon micro string qui dessine parfaitement mon sexe. Il me regarde avec une visible émotion dans ses yeux.

En temps normal jaime ce regard denvie de mon fils, mais pas maintenant, pas avec Gina et Sylvie ici.

— Kate montre à ton fils ce quil veut voir. Laisse-moi taider Kate.

— Gina, vous… vous nallez pas faire ça.

— Pourquoi ? N’est ce pas agréable ?

— Mais cest mon fils Je ne peux pas…

Sylvie continue de tenir mes mains et Gina membrasse passionnément sur mes lèvres. J’adore quand elle m’embrasse et joublie ce quelle veut faire jusqu’à ce que je sente quelle tire sur ma robe.

— Gina arrête, s’il te plaît…

Dun ton implorant mais faible pendant quelle tire ma robe vers le bas.

Le fragile tissu noir tombe autour de mes pieds et je me retrouve complètement nue à l’exception de mon micro string et de mes talons hauts. Les regardant toutes deux, je vois clairement dans leurs yeux leur désir de sexe.

En fait, elles sont comme moi. Des salopes qui veulent assouvir leurs besoins en sexe. Quil soit masculin ouféminin. Au plus profond de moi jadmets que je suis prête à faire n’importe quoi en ce moment…N’IMPORTE QUOI !

Gina tire sur la robe et instinctivement je lève mes pieds ce qui lui permet de la ramasser. Ma robe en main je la vois réfléchir puis elle murmure quelque chose à l’oreille de Sylvie qui à contrecur lâche mes mains.

Je me détends un peu et je mets mes mains sur mes seins pour les couvrir comme une petite fille timide. Gina viens vers moi et resta là à m’admirer.

— Kate, vous êtes vraiment une belle femme. Si désirable. Tu es ce qu’on appelle une femme libérée de première classe. Une MILF, (cest-à-dire une maman quon a envie de baiser) dans toute sa splendeur.

Cette Gina a le chic pour trouver les mots qui me chauffe encore plus.

Au point ou nous en sommes, je retire lentement mes mains loin de mes seins et je mets mes bras le long de mon corps.

— Voila, tu deviens une maman sage et obéissante. Nest-elle pas belle, Sylvie ?

Dit Gina en madmirant.

— Ooh, si, jaime son corps. Que fait-on maintenant

Me regardant, je réalise que mes tétons sont tout durs et allongés et que mon string mal placé est coincé à l’intérieur de la fente de ma chatte.

— Gina, passe-moi ma robe. On arrête de jouer je dois rejoindre mon mari avant quil ne soit trop tard.

« Mais je vais regretter de ne pas moccuper de mon fils qui sexcite devant mon corps nu. »

Comme si Gina lisait dans mes pensées, elle pose sa main sur la bosse dans le pantalon de mon fils et commence à le caresser en face de moi. Mes yeux fixent sa main et elle a un sourire vicieux.

Je vois sa petite main de salope experte qui travaille sa viande à travers son pantalon pour parfaire lérection de sa belle bite que je connais si bien. Ma bouche salive devant cette braguette tendue à mort. Sylvie relève sa chemise et commence à lécher les tétons dEric qui ronronne comme un gros chat en me regardant. Les mains dEric se tendent vers ces deux jeunes filles perverses et il tire sur leur jupe pour caresser leur cul bien ferme.

— Kate, veux-tu voir cette grosse bosse qui déforme le pantalon de ton fils ?

Me demande Gina. Et dans ma tête,

« Oui, oui, je veux la voir et la sucer. »

— Non, Gina… ça suffit !

Mais je proteste tellement faiblement que Gina me sourit et desserre sa ceinture.

— Que veux-tu que je fasse avec la grosse bite de ton fils, Kate ?

Je secoue ma tête d’un côté à l’autre sans dire un mot. Bien que jaie envie de sucer la bite de mon fils, je ne veux pas tomber dans leur piège. Gina fouille dans son pantalon un moment et en retire la grosse queue dure de mon fils pour la branler doucement.

— Oh, oh ! Regardez comme elle est bien dure ! Viens là, Kate, que peut-on faire avec cette énorme bite ?

— la la sucer

Voila ! Je lai dit ! Cest sorti tout seul de ma bouche envieuse.

— Cest ce que tu veux, Kate ? Tu as bien dis que tu veux que je suce sa bite ?

Cette petite garce voit bien que je ne peux plus supporter létalage de sa bite en face de moi et que je perds mon control. Regardant bien Gina dans les yeux je lui dis clairement.

— Suce-la !

— Heu, tu veux me voir sucer la bite de ton fils ! Tu es une vraie salope ! Approche-toi pour mieux en profiter.

Et me souriant elle baisse sa tête et prend la bite dEric dans sa bouche.

Je la regarde tremblante dexcitation, quand elle suce sa bite en face de moi. Finalement, mes genoux me lâchent et je meffondre sur le tapis entre les jambes dEric.

La bouche de Gina travaille savamment le sexe de mon fils en le léchant sur toute sa longueur puis en gobant son gros gland. Ses doigts suivent sa langue de la tête du nud jusqu’à ses couilles écrasées sur le canapé. Je la regarde avidement et mon désir de se joindre à elle grandi.

Eric regarde Gina et me donne de temps en temps un coup dil. Ses pupilles sont dilatées, ce qui indique qu’il aime ce qui lui arrive. Sylvie me sourit et approche sa tête prés de mon fils. Elle regarde Gina en se léchant ses lèvres et attend son tour pour prendre Eric dans sa bouche.

Cest un nouvel aspect de Sylvie que je découvre. Jusqu’à présent, j’ai pensé que la jeune fille était totalement gouine et n’avait aucun intérêt pour les garçons. En la voyant attendre la bite de mon fils je suis convaincu qu’elle est Bi.

— Toi aussi ma petite salope tu veux maider ?

Dit Gina en remarquant son amie près delle, la bouche ouverte.

— Huuummmm… gémit Sylvie.

Gina retire de sa bouche la bite dEric et la pousse en direction de celle de la jeune fille qui lenveloppe rapidement de ses lèvres roses pour la sucer.

Elle se tourne vers moi et avec un clin dil en souriant.

— Tu ne veux pas goûter ?

Jai faillis dire oui, mais je fais non de la tête.

Gina baisse sa tête et lèche la base de la bite de mon fils alors que Sylvie suce son gland comme une pomme damour.

— Tu es bien sûre ?

Jai presque mal aux bouts des seins à voir ces deux filles lui sucer sa bite et elles le remarquent à la longueur de mes tétons si durs. Je suis sûre aussi que mon regard doit manifester mon désir et cest inutile de nier que jai fortement envie de lavoir, moi aussi, en bouche. Je chuchote.

— Je ne devrais pas…

Gina voit tout de suite mon hésitation et ma faiblesse. Elle saisit ma main doucement et la tire vers la bite de mon fils.

— Ok, tu peux quand même nous aider un peu et la tenir Dit-elle

Je vois dans ses yeux quelle est excitée sachant que je vais toucher la bite de mon fils. Et moi, ça mexcite quelle me voit le faire.

— Je Gina…Je ne devrais pas, Dis-je presque confuse

Soudain je sens ma main toucher la chaude, palpitante et très humide bite… la bite de mon fils.

— Oh, vous êtes des diablesses ! Que me faites-vous faire !

Mais je referme mes doigts autour de cette belle queue que je connais très bien. Le visage de Gina est déjà rouge d’excitation.

— Huuummm, oui Kate tiens la bienjuste pour nous.

Gina lèche la bite de mon fils en alternance avec Sylvie qui suce son gland. Les deux filles semblent perdues en ce moment tellement attentionnées par leur double fellation. Eric a fermé les yeux et râle doucement, appréciant fortement leurs mignardises.

Les voir ainsi, déclanche un réflexe en moi et ma main commence à branler la grosse bite de mon fils.

— OOohhh, gémit Eric

Gina suit ma main des yeux et elle me fait un coup dil.

— Oh oui Kate, Aide-nous donne lui aussi du plaisirhuuummmmm

Gémit-elle en continuant de lui sucer ses couilles.

Je continue de pomper lénorme bite de mon fils mais je ne me résous pas à faire comme ces deux salopes.

Gina se redresse pendant un moment pour essuyer son menton et elle pose sa main sur mon cou pour mattirer vers elle et membrasser.

— Merci pour ton aide, Kate. La queue de ton fils est excellenteune saveur uniquetu sais

Sa langue glisse à l’intérieur de ma bouche et j’ai immédiatement le goût du sexe de mon fils sur ma langue et je gémis dans sa bouche ouverte.

— Muuummm…

Elle sourit contente de son baiser et retourne sucer la bite de mon fils. Bien évidemment son baiser intensifie mon désir pour la bite dEric.

Je me rapproche de ma friandise préférée et ouvrant ma bouche je marrête à quelques centimètres de la bite de mon fils. Gina le remarque et s’éloigne en tirant Sylvie me laissant la belle queue dEric en mains, pour moi seule, et juste en dessous de ma bouche. Les deux jeunes filles me regardent tranquillement, et je ne peux mempêcher de baisser mon visage. Je mapprête à sucer mon fils, quand !

— Kate ! Tu es là ?

Je suis congelée et, ma bouche ouverte, je reste en vol stationnaire au-dessus du gland de la bite de mon fils. C’est la voix de mon mari ! Horrifiée je lâche cette queue si désirée et je me recule en même temps que Gina et Sylvie.

— Gina ? Helloil y a quelqu’un là-dedans ?

Nous lentendons frapper à la porte. Affolée je me lève à la recherche de ma robe. Gina met un doigt à ses lèvres pour me dire de rester silencieuse.

— Oui je le suis là mais Kate nest pas avec moi. Cri-t-elle.

— Merci Gina, Désolé de vous avoir déranger.

— Il me semble lavoir vue dans le jardin.

— Ok, je vais jeter un coup dil, Merci.

Mon cur bat très fort dans ma poitrine, mais je lui lance un regard reconnaissant.

— Ou est ma robe ?

— Kate, tu ne vas pas partir maintenant, nest-ce pas ?

Gina se lève et en m’embrassant, elle presse ses seins bien développés contre mes seins nus.

— Kate, nonpas maintenant. JeJ’étais vraiment impatiente de… reste Kate

Elle a lair vraiment sincère et je lécouterais presque à la voir me supplier ainsi.

— Pourquoi Gina,

Elle baisse les yeux pour regarder mes seins en appui sur elle.

— Parce que je voulais te voir sucer la bite dEric

Chuchote-t-elle.

Cest à peine audible et ni mon fils ni Sylvie nont entendu. La regardant dans les yeux, je vois combien ça représentait pour elle.

— Je vais peut-être revenir mais il faut que je vois ce que mon mari me veut.

Elle me regarde plein despoir et me donne un long et intense baiser. Je marrache de cette fille brûlante de désir et jenfile ma robe en voyant Sylvie sucer de nouveau la bite dEric. Gina me sourit et se dirige vers le canapé pour se laisser tomber à côté dEric.

La dernière chose que je vois avant de sortir, cest la tête de Gina qui monte et descend sur la grosse bite de mon fils.

Je descends rapidement lescalier pour chercher Paul. La pièce principale semble plus encombrée maintenant et il y des gens que je ne reconnais pas. Enfin, j’aperçois Jeanine parler à quelqu’un et je m’approche delle.

-Doù viennent tous ces gens ?

— Kate ! Ou étiez-vous passée ? Paul vous cherche, il est dans le jardin. Ah, ces gens, ce sont des copains de travail de mon mari qui ont décidé de sinviter à la fête. Apparemment mon merveilleux mari na pas su tenir sa bouche fermée au sujet de notre petite sauterie.

— Je vais voir si je le trouve.

En allant vers le jardin je vois pas mal de bouteilles dalcool vides sur la table. Rhum, whisky, vodka et qui sait quoi d’autre. Secouant la tête, je sors dans le jardin. Je vois Paul parlant au mari de Jeannine et quelques autres gars, que je ne connais pas.

— Kate ! Te voila ! Viens ici que je te présente. Les amis, voici ma femme Kate, dit Paul fièrement.

J’apprécie son admiration et le fait qu’il soit fier de moi, mais je vois quil est un peu ivre.

— Paul chéri, tu passes un bon moment ?

Je lui demande ça alors qu’il passe son bras autour de moi et membrasse la joue. Il empeste l’alcool.

— Oui ma belle, très bien, c’est une grande fête. George sait comment mettre de lambiance

George est peu plus âgé que moi et mon mari mais en bonne forme. Ses cheveux bruns et sa fine moustache mince et sombre lui donne un air de conquistador espagnol.

— Jaimerais bien que ma femme soit aussi d’accord. Elle est un peu énervée contre moi dès quelle a vu arriver tous mes amis de travail. Je ne sais pas pourquoi, c’est la fête après tout.

George se met à rire et levant son verre, propose un toast. Tous les hommes lèvent leur verre et prennent une gorgée de leurs boissons.

— George, va chercher ta femme elle samusera avec nous et elle oubliera tout ça. Dit un gars.

— Oui, George, et je peux lui faire une boisson qui la mettra rapidement de très bonne humeur. Ajoute un autre gars que je ne connais pas.

Mon cher mari lève son verre et applaudi.

-A votre santé !

Tous les hommes lèvent leur verre et boivent. Je fronce des yeux, mécontente, mais je ne dis rien. Je ne peux pas me concentrer avec tous ces gens et je me demande ce qui se passe dans la chambre à l’étage.

Je tire Paul sur le côté et je lui donne un coup sur les cotes.

— Tu mavais dis que tu ferais attention sur la boisson.

— Je sais mon bébé, mais ne tinquiète pas. Je suis désolé, mais je tiens encore debout.

Je ne veux pas lui faire de scène devant tout le monde et je vois Jeannine qui se dirige vers nous, alors je lui souris.

-OK, mais promets-moi darrêter de boire.

Jeannine nous a rejoints et tous semblent vouloir la convaincre de boire avec eux. Apres quelques blagues un peu limites ils se dirigent vers la cuisine avec Jeannine pour lui préparer une boisson.

Je suis restée seule dans le jardin, regardant par les fenêtres, tout ses gens qui se mettent à rire et qui boivent. Je lève mes yeux vers la chambre ou se trouve Gina, mais ne vois rien, juste une faible lumière qui brille à travers la fenêtre. Que font-elles ? Stupide question ! Je sais très bien ce que font les filles.

Je prends un peu lair frais du jardin et je marche jusqu’à une des tables de pique-nique et saisissant une grande bouteille de vin je me verse un verre. Dans de profondes réflexions je me demande quoi faire ? Une partie de moi, vous voyez laquelle veut retourner à létage et découvrir ce qui se passe, alors qu’une autre partie, la plus faible, me dit de rester tranquille.

Réalisant que mon verre est vide, je men verse un autre que je bois.

Un couple sort de la maison. Cest Sarah, une amie de Jeannine, avec quelqu’un que je ne connais pas. Je sais que Sarah est mariée mais ce nest pas son mari. Je ne suis pas surprise de la voir sans son mari, elle m’a toujours parue très libre. Elle est habillée très sexy et très court. Par une fenêtre je vois son mari qui rit avec dautres gars.

Sarah rit bizarrement à ce que lui dit l’homme, et ils ont lair passablement éméchés. Ils ne mont pas vue et ils se dirigent vers le côté de la maison. Je vois Sarah qui donne un coup dil vers la maison avant quils ne disparaissent dans l’ombre. Ma curiosité lemporte car jai une forte suspicion. Pourquoi Sarah irait avec un inconnu dans un coin sombre du jardin ? Ils nont pas vraiment de raison d’y aller, à moins que…

Je veux savoir ! En silence je les suis furtivement jusqu’au coin. Je ne vois pas grand-chose parce qu’il fait noir. Jécoute et jentends bientôt des grognements et de faibles gémissements.

— Mon Dieu, est-il entrain de la baiser ?

Son mari nest pas très loin, à l’intérieur de la maison, et elle se fait sauter par un autre gars ?

— Quelle salope ! Pensais-je et je frissonne involontairement.

J’entends maintenant un gémissement constant et le son que fait une grosse bite dans une chatte serrée et trempée ou une bouche humide. Ma curiosité lemporte et je cherche à en voir plus mais il fait trop sombre. Je suis sur le point de faire demi-tour quand une lampe sallume dans la maison du voisin et le coté de la maison est faiblement éclairé.

Je vois Sarah à genoux devant l’homme, sa bite dure dans sa main et sa bouche refermée sur son gland, qui suce une belle et longue bite tout en la branlant de la main. Sa robe est remontée sur ses hanches et ses jambes écartées, elle expose son cul sans slip dune façon obscène.

Je mets ma main sur ma bouche pour ne pas quils mentendent soupirer denvie et je ferme mes yeux pour mieux entendre les bruits érotiques de la bouche de Sarah qui avale maintenant toute la bite en suçant.

« Oh, que jai envie de faire comme elle ! »

Je me dirige vers la maison, avec la pensée de trouver mon mari. Cest la seule personne qui pourrait m’empêcher d’aller à l’étage… dentrer dans la chambre de Gina.

Jentre dans la maison et je suis arrêtée par un mec qui me semble un peu parti.

— Salut, je ne vous connais pas vous

Il est pas mal, mais ivre, et ses yeux se portent immédiatement à mes seins.

— Moi non plus et je dois retrouver mon mari.

Il réussit quand même à mettre son bras autour de ma taille et de mattirer vers lui. Je résiste mais à moitie débraillée, mes seins fermes, presque sortis de ma robe, sécrasent contre sa poitrine. Je baisse mes yeux pour m’assurer qu’ils ne sont pas à lair mais heureusement seule une petite quantité de mes auréoles est visible.

-Lâcher-moi ! Vous êtes ivre ! Dis-je avec dégoût.

Je le repousse fermement et il trébuche en arrière sans pour autant ne pas quitter des yeux ma poitrine un peu dénudée.

Je cherche Paul mais je ne le vois pas. Par contre pas mal dhommes reluque mes seins que je nai pas recouvert.

« Tous des porc ! »

A suivre

Phantome

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1 commentaire

  • C’est incroyable le nombre de fautes d’orthographe dans ce texte !
    À croire que son auteur n’a jamais été à l’école primaire ! Je ne parle pas d’études supérieure !
    Je vais lire la seconde histoire : Cécile, pour voir si c’est mieux…

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