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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 6

Maman très chaude, enfants pervers. - Chapitre 6



Chapitre 6 : Kate pose pour son fils et ses potes et fait la connaissance de Frank…

Le reste de la matinée est assez calme. Eric est parti voir un de ses ami, Aurélie est sortit aussi et mon mari est partit au boulot. Je me débarrasse des corvées habituelles et m’apprête à faire une lessive.

Je vais dans la chambre d’Eric et ramasse ses affaires à nettoyer m’arrêtant un instant avec ses sous-vêtements dans mes mains. Je les porte à mon visage et inhale profondément appréciant l’arôme ! Eric… typiquement Eric, Dieu que j’aime son odeur.

Je me demande ou m’amènera ma relation avec mon fils, comment tout çà va finir ? Je baise maintenant avec mon fils et mon mari ! Quelqu’un m’aurait prédit cela, je l’aurais traité de fou.

Je me découvre un appétit sexuel que je n’aurais pu imaginer et en plus avec un coté salope soumise à mon fils et dominante avec mon mari. Et pour couronner le tout je suis surement bisexuelle car il y a eu Lilly…

Je prends les frusques d’Eric et entre dans la chambre d’Aurélie. Un vrai capharnaüm, des vêtements sur le sol, son lit n’a pas été fait et le placard complètement sans dessus dessous. Comment une jeune fille peut être aussi bordélique.

Je range ses affaires et je repense à son bref baisé ce matin. Je veux croire que c’est un innocent baisé d’une fille à sa mère mais je ne peux m’empêcher de penser à autre chose. Faut dire que la vue accidentelle sur les plis de son short sur sa vulve ne m’aide pas à réfléchir correctement.

Encore une fois je m’en veux de penser de cette façon sur ma fille et je me mets à faire son lit. Les mains sous les couvertures, je tombe sur un slip de coton blanc qui, à ma grande surprise, me semble très humide. Voyons-çà de plus près, effectivement le gousset du slip est trempé mon cur bat plus vite. Je ne comprends pas pourquoi mes mains tremblent et que les effluves qui s’en échappent me font tourner la tête. L’air de la pièce à disparue, tout ce que je sens c’est la chatte d’Aurélie, ma fille. Je sais très bien que c’est du jus de chatte que je renifle. Elle s’est masturbée ce matin. Avant ou après notre conversation dans la cuisine ?

Lentement, les mains tremblantes, jenfouis mon nez et ma bouche dans le fond mouillé du slip et respire profondément. Huuummm… le doux parfum excite tous mes sens. Je m’assoie sur son lit le nez dans son slip et une de mes mains plonge dans mon entrejambe pour constater que je commence à mouiller.

Je suis une dépravée pour faire çà. Il s’agit de ma fille pas de Lilly ! Je me dis que je ne ferais jamais quelque chose comme çà avec ma fille mais à cet instant je n’en suis pas si sûre.

Mes doigts passent sous ma culotte et je caresse mon clito en tournant autour. Je suis dans un état second et tenant le slip de ma fille plaquée sur mon visage je me masturbe jusqu’à l’orgasme.

Je ne sais pas combien de temps je suis là mais je me rends compte que je crie sous mon extase avec ma langue qui lèche le slip de ma fille !

"Oh mon Dieu… oh mon Dieu…je suis perdue j’ai envie de ma fille

Ce fut de loin le plus bel orgasme que je me suis donné en me masturbant. Et pour ne pas culpabiliser je me dis que ce n’est pas grave d’avoir un fantasme de la sorte si on ne passe pas à l’acte.

Eric revient quelques heures plus tard et semble assez excité.

— Hé t’as bouffé du lion ou tu es excité par quelque chose ?

— Maman, nous avons trouvé un modèle, nous allons prendre quelques photos… nous allons prendre des photos d’un modèle réel !

— Attends, quel modèle, quelles photos ?

Il est déjà dans sa chambre sans me répondre. Curieuse je l’ai suivi dans sa chambre. Il prépare déjà son appareil photo numérique.

— Eric, quel modèle ?

— C’est une fille qui travaille pour S et P, l’agence des tops modèles, et elle a accepté de poser pour nous.

— Huuuummmm, intéressant, et quel genre de photos vous allez pour prendre ? Comme les nôtres

Il lève les yeux brièvement, et se rend compte de ce que je veux dire.

— Maman ce n’est pas ce que tu pense. Je t’ai parlé de Mick et Pierrot, mes deux meilleurs amis, hé bien, nous avons ouvert un site web et tu sais que nous sommes tous dans la photographie. Nous avons pensé qu’un magnifique modèle boosterait le lancement de notre site. Mick a rencontré cette fille grâce à un ami et elle a accepté de poser, nous avons rendez vous l’ancienne gare de triage dans vingt minutes.

Je le regarde plein d’inquiétude

— Eric, site web, images… s’il te plaît, attends une minute, je dois m’assurer que vous n’avez pas….

Il sait ce que je veux dire. Il s’approche de moi et me serrant dans ses bras il me chuchote dans mon oreille.

— Maman, je ne posterais jamais vos photos, pas ceux que j’ai pris… s’il te plaît, fais-moi confiance.

Je me sens un peu mieux, et mon cur commence à battre à vitesse normale. Son étreinte est rassurante et je me colle contre lui.

— Je sais bébé, je sais. Vous pouvez publier mes photos mais juste celles qui ne sont pas érotiques et encore moins celles qui sont pornographiques. OK

Nous nous sommes embrassés étroitement serrés l’un contre l’autre. Apres un instant il me lâche et sourit.

— Maman pourquoi tu ne viendrais pas avec moi ? Tu nous verrais travailler et tu rencontreras mes amis dis oui, s’il te plaît.

Je dois dire que l’idée me semble excitante. Je n’ai rien d’autre de prévu pour aujourd’hui donc sortir avec mon fils me semble être un plan parfait.

— Laisse-moi changer de vêtement et on y va.

— Maman, tu es très bien comme çà, répondit-il souriant.

— Tu ne veux pas que ta maman se face belle pour tes amis ou quoi d’autre ?

Je lui dis çà en mettant ma main sur ma hanche, et prenant une pose pas innocente.

— Houais… mets quelque chose de sexy, comme quand nous sommes allé dans ce bar.

Bien sûr, je sais de quel bar il fait allusion et l’idée de porter ce vêtement étriqué devant ses amis fait battre mon cur. Le porter devant mon fils c’est une chose mais porter cette tenue minuscule devant ses amis était quelque chose que je ne peux faire. Je me précipite à l’étage et à peine quinze minutes plus tard je redescends avec un sourire nerveux et m’arrête à mi course.

Dès qu’il me voit ses yeux brillent et je vois qu’il retient son souffle. je portais une mini-jupe noir en peau serrée avec des bas de nylon auto fixant qui s’arrêtent juste au-dessus de l’ourlet de ma jupe. J’ai mis la plus haute paire de talons hauts blancs que je possède et un chemisier dentelle d’une coupe très serrée et très décolleté. Le soutien-gorge que je porte est aussi en dentelle et combiné avec le chemisier, mes seins semblent cachés efficacement mais met bien en valeur ma forte poitrine.

— Whaou, maman ! La vache le look dit-il la bouche ouverte.

Je fini de descendre les escaliers en souriant, profitant de l’effet que j’ai sur mon fils. Je veux montrer mon corps, je veux qu’il soit fier de moi.

— Je suppose que tu aimes ce que je porte, pas trop court ou trop décolleté ?

— Pas du tout, tu es parfaite ! S’exclame-t-il.

— Tu ne pense pas que j’en montre un peu trop pour tes amis ?

Il me regarde avec un sourire malicieux.

— Maman, tu vas les rendre dingue de désir.

Il me tend la main comme un gentleman et nous partons. Cette fois, je suis assise sur le siège passager, et ma jupe remontée j’écarte un peu les jambes et il ne manque pas de jeter furtivement des petits coups d’il entre mes jambes. J’aime faire çà, j’adore le taquiner et le provoquer.

Il ne faut pas longtemps pour se rendre à l’endroit où la séance photo doit se dérouler, c’est une ancienne gare de triage qui est quasiment abandonnée. Il n’y n’a plus aucune activité en cours et les portes sont presque toutes fermées. Je suis surprise que l’une des portes soit assez ouverte pour laisser notre voiture passer.

— Eric, avons-nous l’autorisation d’être ici ?

— Le père de Mick travaille à la SNCF et il nous a donné l’autorisation et les clés de la porte, et il sait que nous cherchions seulement un cadre pour prendre des photos.

Nous arrivons dans une zone dégagée et une voiture est déjà là et deux garçons debout sont à coté.

— Salut les gars, où est Mick ? Demande Eric.

— Aucune idée, il devait déjà être ici,

répond un grand garçon aux cheveux blond.

Je suis légèrement surprise que les deux amis de mon fils soient beaux et bien bâtis. Ils sont tous les deux en jeans et t-shirt plaqués sur leur corps révélant leur poitrine et leurs bras musclés.

— Je vous présente ma mère, maman c’est Pierrot et Frank… ah… mais tu connais Pierrot, c’est le fils de Jeannine.

Mon amie Jeannine ? Oh, je n’ai pas vu Pierrot depuis longtemps, il a tellement grandi !

— Bonjours jeunes gens, ravi de vous rencontrer et content de te revoir Pierrot. Comment va ta mère ?

— Bonjour Madame…

— Voyons, appelez-moi Kate.

Je veux qu’ils se sentent à l’aise et le seul moyen que j’ai trouvé c’est qu’ils m’appellent par mon prénom. Ils me regardent un peu incertain mais me serrent la main.

— Maman va bien mais elle est très accaparée par son travail.

Jeannine travaille dans le monde de la mode. Ce n’est pas un modèle bien que sa beauté le lui aurai permis mais elle est assez petite. Elle bosse dans le service assemblage des photos et articles. Nous avons été un temps de bonnes amies et la vie nous a un peu éloignées l’une de l’autre.

— Enchanté de vous rencontrer, Kate, déclare Frank.

— Maman aime beaucoup la photo et elle voulait assister à une prise de vues.

— Cool Kate, vous posez aussi ? Demande Pierrot.

— Non, non…Je m’intéresse juste aux travaux d’Eric de temps à autre, çà me semble un passe-temps agréable…

Je me demande s’ils s’aperçoivent que je rougis en car en disant cela j’ai repensé aux photos qu’Eric a pris de moi

— Et bien, si vous voulez mon avis, vous seriez heu, vous pourriez facilement poser, vous avez un corps digne d’un modèle,

Dit Pierrot. Et son visage est devenu un peu rouge.

— Je lui souri pour lui faire comprendre que je prends çà comme un compliment venant de sa part.

J’ai une bonne impression sur eux. J’aime bien Pierrot, il est poli, avenant, confiant, mais encore un peu jeune. Ses cheveux blonds et ses yeux bleu lui donne un air de surfeur qui a traîné sur les plages. Je remarque quand même que ses beaux yeux bleus me regardent en balayant mon corps de haut en bas. Il a beau le faire discrètement mais la femme que je suis le remarque immédiatement.

Frank est presque l’opposé de Pierrot. Cheveux noirs et le teint plus foncé lui confère un regard plus direct, un peu arrogant. Il est plus grand qu’Eric ou Pierrot et plus épais dans la région de la poitrine et des bras, ses muscles sont très saillants sous son t-shirt. Ses yeux bruns sont assez inquisiteurs et perçants. Mon corps vibre chaque fois qu’il me regarde et inconsciemment ma poitrine se raidit.

— Mick a une demi-heure de retard. Je me demande s’il a un problème avec son modèle

Dit Frank avec une voix grave.

Eric et Pierrot le regarde avec un froncement de sourcils.

— Donnons lui un peu de tempsdéclare Eric.

Ils préparent leurs caméras et aménage la zone pour le grand moment. Puisque je n’ai rien à faire, je m’assois sur une des poutres qui sort sous les wagons de chemin de fer et je les regarde. Encore une fois, je vois Pierrot me mater discrètement quand il croit que je ne le regarde pas. De temps en temps Frank fait de même et j’ai peur de ce que je trouve dans son regard.

Enfin après environ dix minutes de plus, nous entendons une voiture arriver. Mick sort de sa voiture et nous rejoins.

— Et bien nous sommes dans le caca ! Pas de modèle. Elle s’est désistée à la dernière minute.

— Putain, qu’est que tu lui a dit ?

— Je lui ai dis simplement ce que nous avions en tête… c’est tout.

— Mick ! je t’avais dit de ne rien dire jusqu’au dernier moment ! Crie Frank.

Mick reste debout sans broncher, un regard franc dans les yeux.

— Hé bienQuand elle m’a demandé des détails je n’allais pas lui mentir Frank. Répond-il sur un ton sévère.

Les deux garçons sont très tendus et pendant un moment j’ai pensé qu’ils pourraient venir aux mains. Il me semble nécessaire de calmer ses jeunes gens.

— Doucement les garçons ! Puis-je faire quelque chose pour vous aider

Ils me regardent comme s’ils me voyaient pour la première fois. Leur regard de colère se transforme en coup d’il curieux. Plus je m’avance vers eux plus la situation se détend et lorsque je me tiens enfin entre eux deux, leurs regards est plus de l’admiration plutôt que de la colère.

— Désolé, je ne pense pas que nous nous connaissons…

Me dit Mick en me tendant la main poliment.

— C’est la mère d’Eric, déclare Mick avec une certaine déception dans sa voix.

— La Maman d’Eric ! Mme…

— Appelez-moi Kate, s’il vous plaît, dis-je en lui souriant.

— Je ne sais pas ce que vous comptiez faire mais rien n’est catastrophique. Vous n’avez qu’à trouver quelqu’un d’autre pour prendre sa place, c’est tout !

— Maman, vous ne savez pas combien de temps il nous a fallu pour la convaincre, elle était parfaite pour cela, nous avions tout mis en place…

— Attends… Attendez une minute… dit Pierrot.

– Kate je vous ai dis que vous avez tout pour faire un modèle

Tout à coup, tous les garçons me regardent sous un autre angle, leurs yeux montent et descendent sur mon corps. Je reste stupéfaite de surprise je ne m’attendais pas à çà !

— Moi ? Ooh non… sans façonJ’ai juste émis une . Non je ne peux faire çà.

Pourquoi ais-je aussi chaud tout d’un coup ? Ma peau transpire presque pendant que je reste là figée, entourée des par eux.

Pierrot demande ;

— Eric, çà te dérange si ta mère pose pour nous

— Non, pas du tout, je pense même qu’elle ferait un super modèle, répond mon fils d’un regard interrogateur.

Je tremble et ne sais que faire. Ce n’est surement le but que je recherchais quand j’ai interrompu leur dispute…

— Allez Kate, on peu essayer… vous voulez bien pose pour nous ? Demande Frank.

Ils attendent ma réponse. Je les regarde et je vois dans leurs yeux de l’enthousiaste de l’admiration et de l’excitation, ils veulent vraiment que je pose pour eux. Même Frank, qui ne me plaisait pas trop, me regarde avec de l’espoir dans ses yeux.

Je regarde Eric et je vois ses lèvres bouger en silence « s’il te plaît, maman ».

— OK, mais si je fais çà, c’est moi qui déciderait qu’elles photos vous utiliserez sur votre site. Dis-je fermement.

— Ok, pas de problème !

— Vous choisirez, bien sûr.

— Oui, parfait !

Chacun d’eux se presse autour de moi en souriant et hochant la tête pour marquer leur approbation. Je suis entourée d’hommes jeunes et beaux qui veulent prendre des photos… Je ne suis pas sûre que c’est bien de faire çà mais néanmoins je retourne à la voiture pendant un bref moment, pour faire semblant de mettre un peu plus maquillage et comme je l’espérais, Eric m’a suivi pour me parler.

— Maman, Merci pour ce que tu fais.

— Eric dis-moi que je ne fais pas une bêtise quel genre de photos voulez-vous prendre ?

Je fais une retouche à mon maquillage quand je sens sa main sur ma cuisse. Mon cur s’accélère. Serais-ce sa réponse ?

— Quoi que tu pense, c’est toi qui décide jusquoù l’on peut aller

Et tout en me disant çà sa main glisse sous ma jupe.

— Eric, je ne veux pas trop en montrer, surtout si vous mettez les photos sur internet. En outre, ce sont vos amis.

Sa main atteint rapidement mon slip et son doigt a court le long de ma fente et en salope que je suis devenue mon corps réagi instinctivement en ouvrant mes jambes ce qui fait que ma minuscule jupe saute au dessus de mes hanches comme un élastique.

— Eric s’il te plait

Je jette un coup d’il par la vitre pour m’assurer que personne ne voit ce qui se passe. Je vois que ses amis regardent dans notre direction de temps en temps mais ils ne peuvent pas voir ce que fait mon fils. Je continue à faire semblant de me maquiller juste pour être sûr qu’ils ne soupçonnent rien.

— Maman, quoi qui se passe je suis sûr de mes amis…

Ses doigts sous mon slip caressent maintenant mon clito engorgée et frotte les parois de mon vagin.

— Doux Jésus, Eric, arrêtepas icion ne peux faire çà..

Malheureusement, mon corps réagit à ses attouchements et bientôt ses doigts sont remplis de ma mouille.

— Regarde comme tu mouille ma petite maman

Il a retiré ses doigts et les tient en face de moi, dégoulinant d’un liquide clair. Cette odeur a tout de suite un effet érotique sur moi. La bouche est sèche et mon cur qui bas la chamade je prends ses doigts dans ma bouche pour les sucer rapidement. Huuummm que c’est bon

— Ok, je pense que tu es prête tu vas faire çà comme une pro !

Il s’éloigne et je reste assise ne sachant que faire et je me demande jusquoù je peux les laisser prendre des photos. Je peux bien sur dévoiler une partie de ma peau mais tout peut déraper. Je ne suis pas seule avec mon filsc’est copains sont là et des photos seront sur internet.

Je reviens vers eux près de l’une des voitures de chemin de fer, avec le soleil qui brille sur le coté.

— Ok, que dois-je faire ?

Ils commencent à parler tous à la fois. Chacun d’eux a une idée de la façon de le faire, alors ils discutent de l’une et de l’autre. Enfin, Mick parle et ils écoutent.

Et la séance de prise de vues commence.

Je fais ce qu’ils me demandent et çà clic de tous les cotés. Je me sens à l’aise car ma jupe est soigneusement tirée vers le bas et mes seins sont couverts à moitié. Je prends différentes poses suivant leurs instructions et je mets sur mon visage le plus beau de mes sourires.

Je tourne je virevolte je me cambre et fait flotter mes cheveuxje me baisse comme pour prendre quelque chose et ma jupe comprime mes fesses

Mais avec tous ses mouvements mes seins sont soumis à rude épreuve et s’échappent de plus en plus des limites de mon soutien-gorge et du chemisier. Je veux m’assurer que je n’en montre pas trop, mais dès que j’essaye de remettre en place mon chemisier les garçons me crient de garder la pose.

Je remarque que Frank s’arrange pour prendre mes seins en photo ! Et sans vraiment se cacher et sans aucune pudeur, devant mon fils et ses amis.

Loin dêtre courroucée, au contraire, j’arque encore plus mon dos. Ainsi, il veut mieux voir la ferme rondeur de mes seins.

Clic, clic, clic, clac sur… mon décolleté et mes seins

— Kate vous faites çà très bienparfait, juste ce que nous voulions, déclare Mick.

J’espère que mes mamelons sont encore couverts. Des frissons d’excitation commencent à réveiller ma libido.

— Ok, que diriez-vous d’être un peu plus provocatrice… quelque chose de plus sexy, dit Mick.

— Je pense qu’elle saurait bien faire çà, déclare Frank.

Je le regarde et ses yeux sont braqués sur mes seins. Je baisse mes yeux pour constater que mes auréoles dépassent de mon soutien-gorge et mes tétons sont à peine recouverts par le tissu transparent. Rapidement, je tire mon soutien-gorge laissant mon chemisier légèrement en dessous et Frank me jette un regard froid.

— Comment, une pose provocante ? Qu’entendez-vous par pose provocante ?

Il ne répond pas tout de suite et je vois Eric qui lui donne un coup d’il.

— BenJuste une pose sexy pour le bouquet final.

Huuummmils veulent une pose sexy… J’étends mes jambes légèrement espacées je plie une des jambe et je saisi mes cheveux pour les élever au-dessus de ma tête et je ressort ma poitrine.

Tout d’abord je n’entends rien puis c’est des exclamations et les clics des appareils. Je de l’air sur le haut de mes cuisses et je soupçonne que je montre les bords de mon slip

Devant leurs exclamations de contentement ma respiration s’accélère er mon cur bat plus vite.

Eric et tous ses potes me regarde de la même manière… avec désir. Encore une fois, je me sens puissante pour contrôler les hommes avec l’aide de mon corps. ils sont comme des marionnettes, prêtes à tout pour un coup d’il sur mon anatomie.

Je soulève un peu plus une de mes jambes sachant que je leur montre probablement mon slip. Ils tournent autour de moi en cliquant avec leur appareil sous tous les angles possibles de mon corps. Je les laisse faire, pour l’instant ; Après tout, je suis toujours couverte et décente mais je m’empresse de dire avant que çà devienne incontrôlable ;

— OK les gars, j’ai un peu chaud et je dois me rafraichir, que diriez-vous d’une pause, Je peux vous dire qu’ils sont déçus ; ils ne voulaient pas m’arrêter. Je tire ma jupe car vu sa position c’est sûr qu’ils on vu mon slip.

— Ou sont les toilettes ?

— Maman, il n’y a ici aucune salle de bains. Tu n’as qu’à te mettre les voitures de chemin de fer, me dit-il comprenant mon besoin.

— Ok, je reviens dans quelques minutes,

En partant je regarde Frank qui se tient derrière moi. Ses yeux fixés sur moi sont pénétrant et me déshabille. Il y a quelque chose de malsain dans son regard, comme s’il évaluait la marchandise avant de la consommer. Son regard me fait un peu peur et je suis partie indifférente en balançant mes hanches.

— Si vous avez a faire allez y, je reste là pour m’assurer que personne n’embête la maman d’Eric.

C’est la voix de Frank.

— OK t’as raison je vais me chercher un carte mémoire. Dit mon fils.

— Je prends soins de ton appareil photo et je vais m’assurer que tout va bien pou ta mère.

Oh Dieu, pas lui…Je n’ai pas du tout, confiance en lui. Je suis vite parti vers un autre wagon et je passe l’angle de celui-ci, je marche un peu et je fini dans un endroit isolé, entouré de voitures, une voie sans issue. Je remonte à l’extrémité et j’écoute.

Après quelques secondes j’entends marcher. Mon cur me saute à la gorge ! Comment peut-il me trouver si vite ? Ne voulant pas l’affronter je vais le plus loin possible et tourne derrière le dernier wagon. Et j’attends.

Je n’entends plus rien mais je sais qu’il est là, dans l’angle et qu’il me regarde qu’il regarde mon cul avec ce regard d’animal en chasse.

Je retiens mon souffle pendant quelques secondes… je dois faire quelque chose

Je baisse ma tête et je lève lentement ma jupe au-dessus de mes hanches. Je l’entends soupirer, assez fort, que n’importe qui entendrait si il était assez proche. Je ne réagi pas mais je sais bien qu’en faisant cela je reconnais le fait qu’il est là. Je ne peux juste me résoudre à lui faire face.

J’attends quelques secondes dans l’espoir qu’il s’en va mais j’entends un déclic… mon Dieu, il prend des photos de moi. Cette pensée s’enregistre lentement dans mon cerveau et mon corps réagit automatiquement ! Ma chatte devient très humide.

Je devrais me retourner et lui a demandé de s’en aller, mais je ne le fait pas, quelque chose me bloque et je reste là, tremblante.

OK Kate, rabaisse ta jupe, me dis-je. Au lieu de cela, j’attrape les côtés de mon slip et lentement je le descends légèrement vers le bas de mes hanches comme si je me préparais à faire pipi ! Je ne sais pas pourquoi je fais çàquelque chose en lui m’hypnotise il est là et me regarde et prend des photos.

Alors que mon slip est à mi-chemin vers le bas de mon cul je me penche les jambes raides et je le glisse jusqu’à mes chevilles et le retire. Mon Dieu, je ne sais pas ce qui m’arrive. J’entends le bruit de son appareil qui filmplus près, beaucoup plus proche maintenant. Je suis resté dans la même position et j’écarte une jambe, me penche un peu plus et me soutenant d’une main sur le sol en dessous.

Je sais que ma chatte est maintenant bien en vue ainsi que mon cul nu ! Je sens ma cyprine qui coule à l’intérieur de mes cuisses. Tout mon corps est chaud.

J’entends qu’il pose son appareil et le bruit du zip de sa braguette ! Oh Dieu, je ne peux pas le laisser me baiser ! Pas l’ami de mon fils, pas ici… pas maintenant. Mon slip est en face de moi et sans réfléchir je l’attrape et la porte à mon visage pour l’inhaler. Euh… cette odeur… ce goût…

Tout à coup je sens sa queue entrer en contact avec l’ouverture de ma chatte… oh Dieu enfin ! je craignais qu’il n’ose maisJe ne peux pas!!! Trop tard !

— Aaaaaahhhhhhh…

Ma chatte est tellement humide que sa bite a glissé à l’intérieur de mon corps d’une seule poussée. Et que c’est bon ! putain il en a une longue !! je la sens qui frappe mon utérus ! Sa bite remplit bien mon vagin et il me baise et j’aime çà. Je gémi de plaisir et me tenant par les hanches il me baise par derrière de plus en plus rapidement.

Il gémit lui aussi, me ramonant la chatte avec un désir bestial. Je recul mon cul pour encore mieux le sentir et que sa queue me perfore le vagin le plus loin possible.

— Ahhhhhhh… ouiiiii, bais-moiOOOhhhh…

J’approche rapidement de l’orgasme, ma chatte remplit par la bite d’un ami de mon fils, qui me baise comme un fou. Les premiers spasmes arriventmon plaisir envahi tout mon corps et je hurlerais si je pouvais. Il me baise comme un animal et au plus fort de mon orgasme il reste enfoncé dans ma chatte et je gémis comme une salope que je suis devenue.

Lorsque je me calme et reprends mes esprits il sort sa bite de ma chatte et je sens un soulagement car il m’a baisé comme une brute et je suis un peu irritée. Il me prend avec ses mains, me retourne et me fait face.

Son visage en sueur est juste en face de moi et il me force à me mettre à genoux. Il ne perd pas son temps et il force ma bouche pour m’enfourner sa queue humide. Je résiste un court instant mais dès que je goute à sa bite je ne peux m’empêcher de le sucer pour avaler ma mouille. J’enfonce sa bite au fond de ma gorge me rappelant comment mon fils aime la façon dont je le suce.

— Oh oui… suce bienoui, tu es une salope ! Suce ma grosse bite ! J’ai tout de suite vu que tu es une petite salope quand tu nous a montré ta petite culotte mouillée. J’étais sûre que t’étais une chaudâsse, que tu aime la bite et que t’avais envie d’en prendre une dans ta chatte de salope.

Oh Dieu, ses mots me rende folle ! Je le suce de toutes mes forces, enfonçant profondément sa longue bite. De temps en temps, pour reprendre ma respiration je le lèche, aspire juste son gland ou ses couilles gonflées.

J’entends le bruit de son appareilCe salaud a ramassé son appareil photos et reprend des photos de moi entrain de lui faire une pipe. Mais à ce stade, je m’en fou complètement ! Je veux de la bite et j’en bouffe ! Je veux lui soutirer son foutre dans ma gorge et gouter au sperme du pote de mon fils..

— Ouii, ma chatteT’es douéeOOOhhhh, ouiiiii comme çàputain t’es une sacrée pipeuse !

— Uhhhhmmmm… oui… C’est tout ce que je peux répondre la bouche pleine.

Enfin, je sens sa queue se raidir et gonfler dans ma bouche. J’enfonce son gland dans ma gorge en tenant la base de sa bite et il décharge son sperme tout en continuant de prendre des photos !

— AAaahhhh, ouiiiiiavale mon foutre salope ! Bois le bon jus de Frank. Putain t’es vraiment chaude toi !

Et j’avale au fur et à mesure des jets qui giclent dans ma gorge puis dans ma bouche. Je goute et je bois cette bonne crème en gémissant de plaisir encore une foiset encoreet encore !

Enfin, les couilles vide il sort sa bite de ma bouche, remonte son pantalon et je me redresse sur mes jambes un peu flageolantes.

— Kate ! Tu es vraiment un bon coup ! J’aime les chattes brulante comme la tienne et j’espère qu’on remettra çà bientôt. Et…ne t’inquiète pas…Je ne dirai rien à Eric, je vais lui raconter n’importe quoi

Il me donne un baiser rapide et avec son sourire arrogant il s’éloigne.

Je le haïs je le haïs pour ce qu’il a pu faire de moi. Et je me déteste moi-même pour l’avoir laisser me faire ça. Je suis restée là un moment pour penser à ce qui vient de se passer. Je pense qu’il n’ira pas se vanter de ce qu’il vient de faire mais je n’en suis pas aussi sûre. Et il a pris des photos mais bon je ne peux plus revenir en arrière. Il faut que je le vois plus tard pour qu’il efface ces photos compromettantes.

Je remets mon slip et regagne la zone ou tous les gars m’attentent impatiemment.

— Maman, enfin. On allait partir à ta recherche. T’as eu un problème ?

— Je me suis bêtement perdue, cet endroit est comme un labyrinthe. Je suis désolé les gars, je n’ai quand même pas été si longue

— Aller, pas de problème. Nous sommes prêts pour vous Kate. Maintenant tenez ce panier et prenez de nouvelles poses pour nous.

La séance photos a reprise et je remarque que Frank ne prend guère de photos mais me regarde plutôt en souriant d’un air convenu.

Ils m’ont fait écarter légèrement les jambes, et même en me penchant un peu, çà reste de bon goût, juste légèrement sexy.

Eric n’a pas essayé de prendre des photos sous ma jupe, mais le reste des garçons étaient presque au niveau du sol avec leurs appareils. Je les laisse prendre quelques photos sans tirer sur ma jupe et après environ vingt minutes de plus, ils ont finit.

— Ok, on a ce qu’il faut. Terminé ! Dit Mick comme un photographe professionnel.

— Superbes photos Kate. J’ai hâte de les voir sur l’ordinateur, vous avez été sexy et en même temps très nature. Êtes-vous sûre que vous n’avez jamais été modèle

Demande Pierrot déjà entrain de visualiser certaines des images sur son appareil.

— Non Pierrot, c’est la première fois que je fais çà. Je ne sais pas comment ces photos seront mais j’ai eu plaisir à poser.

J’aime beaucoup Mick et Pierrot. Ils sont polis, respectueux et je me sens vraiment à l’aise avec eux. Avec Frank c’est différent, il est arrogant et effrayant et bien sûr c’est lui qui a réussi à me baiser aujourd’hui.

Eric s’approche de moi et serrant ma main murmure ;

— merci maman » dans mon oreille. Je lui souri en lui donnant un bécot en retour. Alors qu’ils rangent leur équipement je me suis retrouvée seule près de Frank un court moment. Je m’approche de lui, un peu incertaine.

— Frank, les photos que vous avez prises… vous ne devriez pas… pourriez vous s’il vous plaît les effacer…

Il sourit sciemment en me regardant, balaye mon corps de son regard perçant et bien malgré moi je sors ma poitrine en me redressant.

— Huuummm, ce sont les meilleures photos de toutes celles que j’ai prises, comment je pourrais les effacer ?

— Frank s’il vous plaît…J’AI…Je vous ai laissé faire quelque chose qui n’aurais du jamais arriver c’est… mauvaistrès très mal…

— Comment mauvais ? Il me semble que vous avez appréciée, non

— J’ai juste… perdu le contrôle… s’il vous plaît comprenez moi, je le supplie.

— Si vous voulez vraiment que je les efface vous devrez faire d’abord quelque chose pour moi.

— Mon Dieu, n’ais-je pas déjà fais assez ?

Je le regarde choquée, me demandant ce qu’il pourrait me demander de plus !

— Pas encore ! Mais je ne pense pas que c’est le moment d’en parler. Je vous appellerais bientôt, me dit-il avant qu’Eric s’approche de nous.

Je le regarde, la haine dans mes yeux. Le salaud ! Comment puis-je être si stupide pour l’avoir laissé me baiser ! Et en plus je l’ai laissé prendre ces photos !

— Maman, tu es prête ?

Je fais demi-tour, passe devant Eric et me dirige vers la voiture. Je suis énervée et effrayée. J’ai peur de comprendre ce que je devrais faire pour obtenir qu’il efface ses images.

Eric tente de me parler lors de notre trajet de retour, mais je ne peux pas lui dire quoi que ce soit. Je voudrais bien, j’aurais bien besoin de son aide, mais j’ai peur de ce qu’il pensera de moi s’il découvre que j’ai baisé avec son ami.

A suivre

Phantome

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