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Maman voulait mon fric, je me suis payé ma mère – Chapitre 4

Maman voulait mon fric, je me suis payé ma mère - Chapitre 4



Au réveil, toujours sur le lino, je me demandais dans quel état desprit, jallais retrouver ma petite maman chérie.

Maman se réveilla lorsque je me mis à bouger à côté, elle se tourna vers moi avec un grand sourire et me dit :

— Mon fils, quel baiseur, tu fais, je taime mais maman doit aller se laver et se changer. – Maman se penchant sur la bassine, je lui dis :

— Non, maman laisse la bassine, va te faire belle, je me charge du reste ! – Une idée perverse venant de traverser mon esprit.

Maman sortit de la chambre, se dirigeant vers la salle de bain, en tortillant son cul souillé.

Je filais et passais un peignoir dans ma chambre et revins, ramassais la bassine et allais à la cuisine. Je vis une bouteille deau, presque vide, sur la table de la cuisine, la pris, la vidais dans lévier. Pris lentonnoir, servant à transvaser le restant dhuile dune bouteille dans une autre, se trouvant sous celui-ci, le plaçais dans le goulot de la bouteille deau vide, attrapais la bassine du jus de maman et me mis à la vider dedans. Une fois, la bassine fut vide, je refermai la bouteille, pris une étiquette pour les aliments congelés et y inscrivis : « Bouillon iodé de la mer, 2 cuillères à café, replace 1 pincée de sel. », la collais dessus et la plaçais sur le plateau à condiments. Je cachais la salière, nettoyais la bassine, la mis à égoutter. Je pris la bassine habituelle pour le ménage, mis de leau et quelques gouttes de javel, pris une serpillière et un balais puis retournais dans la chambre. Je contemplais les dégâts, de la cyprine dans laquelle une forme circulaire y était dessinée, juste à côté, un coussin trempé de la mouille odorante de maman, plus loin, des traces marquaient le lino.

Je me mis à éliminer les traces de nos ébats, les traces de mascara et du rouge à lèvres furent les plus durs à retirer, jouvris la fenêtre pour faire sécher plus vite.

Quand maman revint en chantonnant, resplendissante, dans cette robe dété blanche à fleurs bleues, largement décolletée, la ceinture assortie et un soutien-gorge en dentelle blanc, dont une bretelle dépassait celle de la robe, relevait avantageusement la beauté de la poitrine de maman, talons hauts blancs, bas blancs, puis un courant dair glacial, exhibant maman, leva sa robe, me montra, durant un dixième de seconde, les jarretelles blanches attachées aux bas et ne pus voir si elle avait un culotte. Cela me surpris en cette saison, certes la maison était bien chauffée mais en février, quand même ! Je sus que mon argent avait servi à embellir ma petite maman chérie qui shabillait pour moi car quand papa est là, elle ne porte que des collants.

Je refermais la fenêtre, mapprochais de maman, lui déposais un bisou sur ses lèvres, Jos me tint la tête dune de ses main, me roula une de ces pelles, wouahou, ma bite fit un bond entre les pans du peignoir, elle passa à deux reprises son autre main sur mon chibre, le caressant sans toute fois me branler, se décolla de ma bouche et me dit dune voix sensuelle :

— Il est temps daller faire ta toilette, mon ange et ne te paluche pas sous la douche de tes parents, en pensant trop fort à ta petite maman, jaurais peut-être envie dans laprès-midi. – Elle me fit un clin dil, se retournant, se dirigeant vers la sortie de la chambre.

La douche fini, je retrouvais maman, en bermuda clair et chemisette ouverte blanche. Affairée à préparer le déjeuner, je me plaçais à côté delle, les fesses contre le plan de travail, elle éclata de rire, tombant sur la bouteille et me dit :

— Mon chérie, tu nes vraiment pas très doué avec lorthographe, Il y a une faute à « mère ». – Maman nest pas dépourvu dhumour.

Elle porta le goulot à ses narines puis sa bouche, elle en versa entre ses lèvres et se retourna vers moi, membrassant, me faisant partager sa cyprine refroidie, elle me dit :

— Tu veux vraiment que je cuisine avec, mon chéri ??

— Oui, ma petite maman, il ny a pas plus bio, il a été tiré, il y a à peine quelques heures, du producteur aux consommateurs et on ira à la source quand il y en aura plus !

— Daccord, essayons ! On verra bien, si ça le fait bien, on continuera toute la semaine, sinon, on se remettra au sel traditionnel. Mais quand ton père rentrera, jarrêterai de lutiliser car il nest pas stupide, il comprendra lallusion de létiquette ! Daccord ?

— Oui, maman chérie, essayons, on verre bien. – lui passant la main sur sa croupe et allant dresser la table.

Mais une érection se mit à poindre, la tentation était trop forte, je vins me placer derrière ma petite maman chérie, baissai mon bermuda, plaçai mes mains sur ses hanches, embrassai le cou et le lobe, lui susurrant des mots doux à son oreille :

— Ma douce petite maman, que tu sens si bon, tu es si belle, que je ne peux pas réprimer mon érection pour jolie petite maman.

Soulevant le bas de sa robe, la relevant au-dessus de son porte-jarretelle, la bloquai de mes mains revenues sur ses hanches, je vis que point de culotte ne recouvrait son gros popotin. Maman, écartant ses jambes, fit claquer ses haut-talons sur le carrelage. Emmanchant ma bite, je la mis en butée sur ses lèvres bouillantes et ruisselantes, maman se cambra en gémissant :

— Oooh ! Laurent ! Laisse-moi finir de faire la cuisine ! – en poussant son cul vers ma bite qui ne put quentrer dans la chatte en fusion de maman. Je laissai maman faire, ne bougeant pas dun poil. Maman fit des mouvements lents et réguliers de son cul, en continuant de cuisiner :

— Maman est folle de ta queueeeee, mon fils chérie ! Viens, prends maman ! – se dandinant sur mon sexe fiché en elle, levant tantôt une jambe tantôt lautre, maman devait folle, Jos arrêta les plaques à induction sous les poêles et casseroles :

— Laurent, baise-moi !!! Salooo, baise-moooi !!! – Maman accéléra sa cadence, se déchaîna sur mon pieu, décidé à la laisser prendre son pied, toute seule.

— Ooooooh !!! Salooooo, baaiiiiiissssses moooooooiii !!! Oooooooooh !!! Mooooon fiiiiiiiils !!! Mamaaaan !!! Viiiiiiennnnnnnt !!! – Elle jouit, ma queue plantée dans sa chatte, un jet de son jus de femelle en chaleur atteignit le sol.

Jos se laissa glisser parterre, prit ma bite et se mit à la sucer, mit toute la longueur de queue entre ses lèvres, les mains posées sur mes fesses. Quand ma bite arriva au fond de sa gorge, je butai contre la luette. Je me mis à faire des va-et-vient entre ses lèvres. Attrapant sa poitrine, elle fit rouler mes couilles sur ses démentielles mamelles, jattrapai sa tête entre les miennes. Elle commença à accepter mes coups de butoir au fond de sa gorge, je sentis que jallai bientôt jouir. Maman poussa dun brusque coup de tête, mon gland passa la luette, fermant les yeux et déversai mon jus, directement dans lsophage de ma bonne maman.

— Oooooh !! Mamaaaaaan !! Tes booooonne, ma coooo choooone !!

Quand jai rouvert les yeux, je la vis, le visage rouge devant moi, je me retirai de sa bouche, des filets de bave et de sperme mêlés reliaient mon sexe à ses lèvres, tombèrent sur sa poitrine, elle put reprendre sa respiration.

Jos se releva, alla à la salle de bain, se rafraîchit et revint toute pimpante. Ayant profité de ce temps pour nettoyer le sol, mettre la table et réchauffer la cuisine de maman qui, coup de chance, navait pas cramé, on sinstalla face à face. En entrée, une salade composée, sauce vinaigrette dont le goût salé et musqué releva le plat ; le plat du jour, côtelettes aux petits pois, succulemment, relevé du jus de maman ; commençaient à menivrer ; le fromage et le dessert ne calmèrent pas mes ardeurs car la vue imprenable et inévitable sur la poitrine de maman.

Nous fîmes lamour toute laprès-midi, douché et éreinté, je me rendis chez le médecin. Ce dernier remarquant mon état de fatigue, me donna un arrêt jusquà la fin de la semaine.

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