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Marcelle – Chapitre 1

Marcelle - Chapitre 1



Mon amie Marcelle aime tellement lamour quil lui faut plusieurs amants par jour. Jaime bien Marcelle, nous bavardons comme des pies. Jespère quaujourdhui elle ne va pas me demander de partir pour laisser la place à un des « amis ». Elle minvite même à déjeuner pour continuer nos bavardages quand soudain la sonnette nous avertit que quelquun est à la porte.

— Zut, je crois que jai oublié le gars qui vient me baiser les mardis.

— Je men vais alors.

— Non, vas dans lautre chambre pour attendre. Si tu veux tu peux regarder, je nai pas honte en baisant.

Je vais me réfugier dans la chambre voisine. Jattends tranquillement quand après peut être ¼ dheure je lentends gémir de plus en plus fort

Je vais regarder par sa porte entrouverte. Elle est couchée sur le dos, les jambes bien ouvertes avec une tête masculine sur sa chatte. Daprès ce que je vois il lui broute le minou. Ses mains sont sur ses seins. La tête de Marcelle oscille dans tout les sens : elle jouit sans cesse. Je comprends son besoin davoir un amant plusieurs fois pas jours. Son appétit sexuel est comparable à celui dun ogre des fables. Jadmire son corps qui, pour ses 35 ans est plus proche dune fille de 18 ans que de son âge. Quelle sensualité sort de son corps pendant quelle se fait mettre. Quand il a voulu lenculer elle la refusé à cause de douleurs que je ne comprends pas.

Je ne regarde plus la scène je regarde un film porno. Je sens ma boule au ventre grandir : je commence à avoir envie de jouir moi aussi. Pourquoi elle ne ma pas invitée à venir avec elle.

Maintenant lhomme est sur elle, je peux voir la bite entrer dans la grotte. Elle se démène encore plus, ces mouvements synchrones avec ceux de son amant. Je nen peux plus, si je pouvais partir sans faire de bruit.Je lentends pousser un rugissement quand elle atteint le niveau de lorgasme que lui procure cet amant.

Comme il se rhabille tranquillement, je sais quil va partir. Tant mieux. Je respire mieux quand jentends la porte se fermer. Marcelle vient me chercher.

— Tu as vu cette bite?

— Oui, je tai vue aussi jouir : tu dévastes tout.

— Tu sais jaime tellement tout ça que je me défoule. Et, de plus mes amants ne sont jamais dici. Je ne risque rien à baiser avec eux.

— Allons boire un café fort.

Marcelle a une de ces machines qui fait normalement un bon café. Cest vrai le café est très bon. Il nempêche que mon besoin de jouissance est toujours là. Jai le malheur de le lui dire :

— Pourquoi tu ne mas pas invitée avec toi dans ta chambre, je me serais faite mettre aussi.

— Je naime pas partager.

— Tu as mal au cul?

— Non pourquoi?

— Tu as refusé la sodomie.

— Ha! Je nen avais pas envie, sinon je lui aurais donné mon cul sans problème, jaime bien me faire mettre par là.

— Nempêche que jai envie de jouir. Je peux aller le faire dans la chambre où jétais.

— Tu crois que je vais laisser faire une bonne amie comme toi. Pas question que tu te branles chez moi. Tu le feras tout à lheure en allant chez toi.

Marcelle me coupe toutes envies avec son discours. Je laide pour faire le peu de vaisselle.

Mais voilà, je laide normalement quand sans le faire exprès je touche sa poitrine. Si javais su jaurais fais ça bien plus tôt, elle réagit drôlement, elle aussi touche mes seins en le faisant volontairement : Elle les tâte un peu avant de les caresser par-dessus mon cache cur. Cette fois ci moi aussi je caresse ses seins. Elle me regarde bizarrement avant de membrasser sur la bouche.

Moi qui voulais me masturber dans une chambre pour lavoir vu baiser devant moi, me voilà presque à espérer que la bouche de Marcelle soit ailleurs. Nous retournons nous asseoir dans son séjour : nous sommes assises l’une contre lautre, très serrées. Je passe un bras sur ses épaules pendant quelle pose sa tête près de mon cou. Nous recommençons un baiser profond.

— Cest bon quand tu membrasses.

— Toi aussi tu embrasses bien ;

— Tu sais que tu me donnes des envies

— Moi aussi, jai envie de toi.

Nous nous dirigeons vers sa chambre, sans nous gêner nous nous déshabillons. Cette fois le sort en est jeté. Nous nous couchons sur le lit sur lequel une heure avant elle se faisait baiser. Nous pouvons caresser le corps de lautre sans problème : nous apprécions les caresses féminines. Cest elle qui propose la suite :

— Si nous faisions un 69?

— Tu as raison, entre filles cest mieux.

Je me retourne pour être à la bonne hauteur: je vois quelle écarte bien ses jambes. Javais vu déjà sa chatte quand elle se faisait mettre, là je peux la détailler. Je ne pensais jamais quun sexe de femme soit si compliqué à coté de celui dun homme : pour eux un manche dur et deux couilles, pour nous, une longue fente avec des lèvres deux épaisses et deux autres fines, un clitoris qui est réduit à sa plus simple expression au repos, un petit trou pour le vagin et un autre encore plus petit pour le cul. Et tout ça fait jouir les dames Je comprends mieux pourquoi les hommes sont attirés par notre endroit secret, pourquoi ils aiment bien faire ce que nous allons faire maintenant à deux femmes.

— Tu sais, Marcelle, tu as un beau con, mieux que le mien.

— Comment tu le sais?

— Je me suis déjà vue dans une glace : je ne me plais pas.

— Lèche moi au lieu de dire des bêtises.

Sa langue vient sur mon sexe. Je ressens une autre impression quavec mon mari. Il me semble quelle lèche plus amoureusement, plus doucement : mon plaisir est différent et aussi fort, sinon plus. Elle aussi doit apprécier à entendre ses gémissements.

Elle fouille ma chatte, après le clitoris elle attaque mon puits. Je sais que je mouille, elle doit recevoir une énorme quantité de cyprine sur le visage. Ce que je lui fais doit être aussi jouissif puisque sa cyprine est abondante.

Les langues ne suffisent plus : nous nous servons des doigts. Pour ma part je men sers pour la doigter et ensuite quand ma langue quitte son cul pour entrer dans le rectum. Cest-ce que je sens aussi entre mes jambes.

— Pourquoi avons-nous tant attendu?

— Je ne sais pas, cest dommage.

Nous devenons des bisexuelles que ça ne métonnerait pas. En plus nos orgasmes sont plus forts que les précédents : nous allons nous crever à jouir. Pour une première fois cest normal, nous narrivons pas à cesser. Cest comme une nuit de noce. Tant pis si je rentre tard. Je dirais à mon époux quelle ma retenue chez elle, ce qui est la vérité. Je ne vais pas lui dire que nous avons fait lamour, il râlerait.

Nous nous reposons un court moment quand Marcelle a encore envie de moi. Après un baiser plus long que les autres, elle prend mon bas ventre en entier dans sa bouche. Elle me mange toute la chatte. Je sens que je lâche une bonne quantité de cyprine. Je serre sa tête entre mes jambes : jai peur quelle me lâche avant de me faire jouir encore.

— Et si tu téléphonais à ton mari pour lui dire que tu reste avec moi.

— Fais le toi.

Elle lui passe un coup de fil pour lui dire quelle est fatiguée, quil faut que je reste avec elle jusquà demain matin.

Pour la fatigue je la crois pour le reste cest à notre discrétion. Cest lheure du repas, elle nous prépare un repas avec des ufs durs et du pain. Un peu de vin complète la dînette. Par contre ce qui est servie avec abondance cest le cul et le cul entre nous est devenu notre principal souci : jouir, jouir encore.

Nous passons en revue tout ce qui peut exister comme étreinte entre filles que nous connaissons ou pas : nous inventons des positions nouvelles que dautres ailleurs font couramment.

Elle a entendu dire que les filles se faisaient jouir en frottant les clitoris lun contre lautre. Nous passons un temps fou à réussir cette gymnastique pour finalement jouir comme jamais. Nous sommes enlacées sans plus vouloir nous lâcher. Nous nous endormons complètement KO. Le lendemain nous faisons encore un 69 avant de déjeuner, nue toujours : je suis sur ses genoux avec une de ses mains entre mes cuisses écartées.

— Tu reviens vendredi.

— Bien sur il me tarde déjà.

Encore un baiser et je pars. Jinvente ce quil faut que je dise à mon mari.

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