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Marie – Ange & Démon – Chapitre 17

Marie - Ange & Démon - Chapitre 17



Me retrouver enceinte avait été un vrai choc. Dans un premier temps, je m’étais promis de changer, de réfréner mes pulsions, de me conduire en bonne chrétienne pratiquante. Bien sûr, il y avait quelques dérapages.

Des écarts inévitables et indépendants de ma volonté même si j’en étais pleinement responsable.

J’avais accepté de me laisser dépraver au-delà de toute limite. Je devais maintenant assumer mes incartades passées.

Ainsi en était-il pour ce qui s’était passé dans l’église peu de temps avant mon mariage.

Souvent, pour me donner bonne conscience, je refusais d’admettre que j’avais pris mon plaisir. J’essayais de me persuader que j’avais été contrainte  et forcée.

J’avais également très vite coupé les ponts avec Georges et Abdou.

Quant à Fred, même si nous correspondons toujours régulièrement, il a complètement disparu du paysage. Il était reparti deux jours seulement après que je me sois conduite comme la dernière des salopes chez Abdou.

Il ne me reste que Momo et bien sûr Marc qui m’avait retrouvée et aussitôt proposé le mariage.

J’avais réussi à obtenir un logement pour Momo. Un studio, juste en face de chez moi, obligeamment prêté par un vieux monsieur membre de l’association.

Momo venait toujours chez moi pour faire le ménage deux ou trois fois par semaine. Par contre, je lui rendais une petite visite tous les matins et toutes les après-midi. Il me tétait les nichons l’un après l’autre puis il m’aidait à mettre en place un tire-lait double. La double expression augmenta  considérablement ma production de lait quotidienne.

J’arrivais tous les matins chez lui  avec des seins bien gonflés, à savoir, avec une rétention de 500 ml par nichon pouvant me permettre de donner immédiatement le sein ou de les faire gicler à la demande.

Même après être venu s’installer chez moi, Marc, mon mari, aussi incroyable que cela puisse paraître,  ne se doutait de rien, alors même que ma production quotidienne de lait dépassait les 1300 ml.

Momo, lui, recueillait soigneusement et discrètement le tout.

Nous n’en parlons pas, mais je sais que Momo revend mon lait maternel sur internet par flacons de 250 ml.  Avec un petit pécule de 100 euros par jour son train de vie s’est nettement amélioré.

Après Abdou qui avait bien réussi son coup en s’empochant  en une seule fois un capital respectable avec mon cul, c’était au tour de Momo.

L’air de rien, mon petit Momo  était en train de se constituer une véritable petite rente avec mes nichons.  Je n’en revenais pas. Je ne l’aurais jamais cru capable d’une telle habileté sur internet. Son assiduité à tous mes cours d’informatique avait porté ses fruits.  De quoi être fière.

Marc, mon mari, le père se comporte de plus en plus en conjoint attentionné, me ménageant en apportant sa contribution aux contraintes matérielles. Mais aussi à mesure que je grossis, s’il me fait l’amour c’est avec délicatesse, presque respect, et si je l’invite à me prendre plus fort il me répond :

  J’ai peur de leur faire mal !

S’il n’y a pas de doute sur la présence de jumeaux, par contre moi j’en ai sur la réelle paternité de Marc. Ils peuvent être de lui, mais les statistiques sont contre cette hypothèse. Ils pourraient très bien être de Georges ou de Fred, eux qui m’ont baisé "en veux-tu en voilà" pendant la date calculée par la gynéco. Je n’ose imaginer qu’ils soient d’Abdou ou de ses copains. Rien que d’y penser je suis saisie d’effroi.

Chaque jour je prie. Je ne conteste pas l’épreuve infligée par mon Dieu à la femme infidèle que j’ai été. Si, comme Don Camillo j’avais une vraie conversation avec lui, nul doute qu’il rehausserait le niveau de ma faute et bien que je n’imagine pas de tels mots dans sa bouche il pourrait me traiter de : putain, salope, vicieuse, perverse. Je ne demande qu’une chose et après tout ce serait remercier Marc de sa bonté avec moi, c’est que mes enfants ne soient pas n. J’ai même peur de prononcer ce mot.

Je ne sais pas si cela va aider sa décision, mais encore plus qu’avant je m’invertis dans des uvres caritatives. D’ailleurs pour les deux semaines qui arrivent je vais avoir encore plus de temps, car Marc doit partir en stage à l’autre bout de la France.

J’en suis à mon sixième mois de grossesse et le désir que j’ai d’être quotidiennement possédée  ne fait que croitre.

Rien que deux jours et déjà je ne sais pas comment faire. 48 heures sans Marc. Il ne me reste que mes jouets et Momo mais c’est loin d’une bonne bitte bien chaude et qui crache son jus dans ma matrice ou ailleurs.

Je passe quotidiennement de vrais bons moments avec Momo.  C’est lui qui conserve mon tire-lait.

Dès que je suis prête à pratiquer la double expression, je m’assois sur son visage et il me mange le cul pendant toute la durée du pompage. J’adore, c’est vraiment délicieux. Je passe chez lui deux fois par jour. Il habite  juste en face de chez moi. En me penchant, je vois les fenêtres de mon appartement  et  il m’est même arrivé d’apercevoir  Marc, mon petit chéri,  qui ne se doute de rien.

Il n’y a qu’un problème, Momo est incapable de me pénétrer.

En attendant, aujourd’hui je n’arrive à rien, le temps passe, je ne fais que traîner et il va bien falloir que je me décide à faire quelque chose. Comme tous les matins, j’ai les mamelles bien pleines.

Je m’apprête à appeler Momo lorsque l’on frappe. Je suis nue. C’est encore ainsi que je me sens le mieux. Derrière la porte, je questionne :

  Oui ?

  C’est moi.

  Moi qui ?

  Mais Fred voyons.

Je ne m’attendais pas du tout à lui. Pourtant nous échangeons souvent par messagerie. Il est la personne à qui je peux presque tout dire. Enfin, presque toutpas question de lui parler de Momo ou de ce qui s’est passé dans l’église juste avant mon mariage. J’ai trop honte même si Fred m’a tout fait faire. Je sais aussi qu’il "bavarde" avec mon mari et me doute bien que des vidéos circulent vers lui. S’il a une personne qui me connait le mieux, c’est bien Fred.

  Fred ? Attends je vais mettre un peignoir.

J’entends son rire derrière la porte. Il a raison de se moquer. M’habiller pour lui alors qu’il n’a toujours eu de cesse de me montrer nue ou pire, habillée en pute pour exciter. Mais, avec mon gros ventre, les choses sont différentes.

J’ouvre. Il entre. Il porte une valise. Il me regarde.

  Oh! Oh! En effet.

Il dit en m’examinant.

  Tu vois ce que je suis devenue. À six mois !  J’ai déjà un ventre énorme. Je vais mettre un peignoir.

  Mais non, reste. Tu es très belle.

  Tu te moques.

  Pas du tout. Tu ne m’embrasses pas.

Petit baiser avec mon ventre qui sert de repoussoir.

  Je viens m’installer chez toi pendant l’absence de Marc.

  Ah ! Marc est au courant.

  Bien sûr que non. C’est juste entre toi et moi. Je me suis dit qu’avec ta fringale de cul tu avais besoin d’un homme à la maison.

  Mais j’avais promis à Marc de

  Et alors, moi ça ne compte pas. Je viens lui rendre service et si j’ai bien compris vous roucoulez alors que tu as besoin de plus.

  C’est vrai.

  Il est temps que je reprenne les choses en main. Tu as déjà oublié les bonnes manières.

En parlant, Fred défait la ceinture de son pantalon. Évidemment je comprends et commence à l’aider. Il enlève le haut. Je lui enlève le bas. Il est nu et dès que ma main caresse son sexe il se tend.

  Tu vois, ton gros ventre m’excite. Qu’est-ce ça va être quand tu seras grosse de neuf mois. Allons dans le salon ce sera plus confortable.

Il me guide. Il me fait mettre à genou sur le canapé. Lui en fait le tour. Son sexe m’attend. L’assise est moelleuse, le dossier me sert d’appui et en avançant mon visage je retrouve celle qui m’a tant fait jouir. Elle termine sa croissance entre mes lèvres. Je retrouve toutes ces sensations. Non pas qu’avec Marc je n’ai pas de plaisir, mais avec Fred c’est le fruit défendu et aussi le souvenir de tout ce qu’il m’a fait faire me conduisant dans la stratosphère des plaisirs pervers et même limite si je pense à ces chiens qui s’étaient figés en moi, attachés comme une chienne avec son mâle.

  Bouffe mes couilles.

Il soulève sa bitte, s’approche. Je les lèche, peau si délicate et si douce, gobe chacune d’entre elles, les baignant dans un lac de salive.

Pompe-moi.

La queue redescend. Je m’évertue à le gober au mieux. Je crache comme une pute pour exciter son client.

Caresse-toi.

Ma main trouve mon clitoris. Elle le connaît si bien.

Fred apprécie. Mais il se saisit de ma tête entre ses mains et m’enfonce son pieu jusqu’à ma glotte. Je tousse, je crache, je pleure, mais rien n’y fait. Le Maître est de retour. Il m’a baisé la gorge. En une seconde, je suis redevenue sa chienne, chienne qu’il partageait. Ma bouche résonne de bruits si caractéristiques, gargarisme de salive brassée par un mandrin de chair.

Longuement il me prend ainsi. De temps en temps lorsqu’il voit que je m’étouffe de ma propre salive il tempère sa baise et je libère des flots qui viennent maculer le dossier.

Son foutre jaillit si fort qu’il me lessive la gorge et ma langue doit en tempérer la puissance pour la rassembler et montrer, comme une vraie femelle soumise, ce que mon Maître fait honneur de me donner. Je joue un moment avec la crème, produisant des bulles qui éclatent avant de déglutir avec tout le cérémonial qui sied à une vraie salope.

  Putain j’avais oublié combien tu suces bien. J’espère que ton mari apprécie ma formation.

Je ne peux qu’acquiescer, car je bave et tousse encore.

  Ne bouge pas. Je vais te mettre. Regarde tu me fais toujours le même effet.

C’est vrai sa queue est toujours aussi raide. C’était déjà comme cela avant et je suis heureuse de constater que mon état ne le fait pas débander. En deux pas il fait le tour du canapé et en deux poussées me tringle la chatte. Je suis moins serrée qu’avant. Là aussi, la nature a commencé son travail, mais Fred ne semble pas le remarquer. Contrairement à Marc il ne se retient pas. Son ventre heurte mes fesses et nos peaux claquent.

  Tu crois qu’ils reconnaissent tonton, les deux mioches ? À moins que ce soit mes enfants. Ou ceux de Georges. Ou de Marc le cocu avant, pendant et après. Et si c’était deux belles peaux noires ou d’Afrique du Nord ? Tu as pensé à ce que tu diras ?

  Salaud. C’est de ta faute. Baise-moi fort. Je verrais bien.

Et il me baise. Sa queue est un piston.

  Ta fente est un hangar, je vais te prendre le cul, au moins ce sera plus étroit.

Et il m’encule sans plus de paroles. Je le sens tout au fond de moi. Il me laboure. Le canapé avance sous ses poussées. Il rit :

  On va se retrouver sur le paliertu te souviens ?

Bien entendu que je me souviens. Georges, les voisins, tout.

  C’est bon. C’est bon. Continue.

  À je la retrouve bien ma pute préférée. Prends çaet çaet ça.Putain, tu tortilles du culSalopeTrou a bitte.Je viensje viens

Son foutre jaillit au plus profond de mon ventre. Il est collé contre moi. Je sens ses couilles qui me chatouillent la fente. Moi aussi je viens.

Ah qu’est-ce qu’il m’a mis !

Fred s’installe. Il prend la place de Marc. Mon mari qui me téléphone tous les jours qui s’inquiète pour moi et avec qui je fais des skypes, lui se masturbant et moi me godant avec un sextoy vibrant.

Fred a inventé de nouveaux jeux. Bien sûr contrairement à Marc il s’est tout de suite rendu compte de ma montée de lait précoce et de l’hyper sensibilité de mes seins. Contrairement à Momo, il ne me tète pas, mais il adore me les presser en faisant jaillir mon lait par jets saccadés, le plus loin possible.

 Il me fait allonger. Il s’assoit sur mon visage me faisant sucer sa bitte, ses couilles et son cul. Et puis je dois presser mes deux mamelles autour de son bâton afin de former un canyon dont les parois se rejoignent. Et puis il attrape chaque téton les étirant, les roulants entre ses doigts les faisant se rejoindre et se caresser. Il se branle ainsi, mon lait coule à flots dans le sillon et sa queue y glisse parfaitement. C’est divin. Je jouis comme une folle. Il dit que je coule des mamelons. En général, il se termine dans ma chatte, mais il reprend mes tétons et les fait gicler, en les tirants vers le haut  jusqu’à qu’il jouisse enfin.

Tous les soirs, il me fait faire un skype avec Marc. Le truc c’est que nous lui avons fait croire que j’avais un problème de vidéo. Du coup,  si de notre côté, nous le voyons en train de se branler, lui ne fait que m’entendre. Bien sûr Fred se garde bien de se manifester. Il se contente de me faire couiner tant qu’il peut en me baisant et évidemment  Marc croit que je me touche ou que je me gode en le regardant. L’excitation de la situation aidant, nous nous sommes progressivement mis à faire des trucs de plus en plus vicieux.

Ce soir, Fred s’est mis à genou, penché en avant, le cul en l’air, moi derrière lui je tire sa queue en arrière et le branle d’une main pendant que de l’autre je presse un de mes seins pour en faire gicler le lait  sur ses couilles et surtout dans son trou du cul. Il adore. Je le branle et presse mon nichon en calant mon rythme sur celui de Marc que je vois sur mon écran. C’est trop vicieux. J’ai très vite un orgasme  puis un autre.

Complètement différent de ce qui s’était passé la veille ou ce porc s’était mis à me pisser dessus alors que j’étais en train de souhaiter la bonne nuit à mon époux. Je n’avais que très moyennement apprécié ce genre de douche. Surtout lorsqu’il avait voulu que je reste la bouche grande ouverte sous son jet.

Il s’était d’abord excusé me faisant remarquer que le soir de son arrivée, j’avais pris mon pied lorsqu’après m’avoir longuement enculée, il m’avait planté un entonnoir dans le derrière.

  Désolé ma chérie, mais hier tu as bien aimé ça, hein, que je te pisse au cul pendant que tu continuais de parler à ton mari comme si de rien n’était. Alors ?

  Alors quoi ? Oui, j’ai aimé. Rien à voir.

  Et chez Abdou ? Si je me souviens bien tu n’avais pas fait autant de chichi. Non ?

  

Alors, je n’avais rien à rajouter et tout cela s’était terminé par une bonne fessée pendant laquelle il m’avait copieusement insultée. Ce n’était pas la première fois que Fred me donnait  la fessée et j’avoue que j’adorais  ça. Il savait parfaitement ce qui m’excitait et ces séances se terminaient toujours  par une bonne baise debout devant une fenêtre.

Il me faisait positionner cul nul devant une des portes-fenêtres du salon, penchée  en avant, en appuie sur les accoudoirs d’un fauteuil placé de telle sorte que je sois visible par un maximum de vis-à-vis. Cette fois-là, il m’avait particulièrement excitée, d’abord parce que j’étais enceinte et entièrement nue et qu’ensuite il faisait nuit.

J’avais conscience que  la pièce, violemment éclairée, ne pouvait passer inaperçue aux regards du voisinage. Comme d’habitude, je m’appliquais à décompter lentement les coups de ceinturon qui venaient  zébrer mes fesses blanches. Je répétais coup après coup ma résolution, à savoir : « Fred a le droit de me pisser partout » et cela déclenchait le coup suivant.

Fred veut venir avec moi pour visiter le centre où sont stockés les dons pour les trier et les réparer avant de les distribuer a des nécessiteux. Comme Marc n’est jamais venu et a horreur de cela, je décide de présenter Fred comme mon mari. En semaine, je passe après le travail et comme je l’ai déjà dit, une fois fermé au public l’endroit est presque désert, il ne reste que deux ou trois bénévoles.

  Bonsoir Roger. Je te présente mon mari, Marc

Roger est un retraité, jeune retraité qui est le responsable de ce centre qui fait partie intégrante de l’association dont je suis actuellement la présidente . On se connait depuis longtemps et on peut dire qu’il me faisait une cour délicate avant que je tombe enceinte. C’était un jeu entre nous.

  Bonsoir Marie. Bonsoir Marc. Voici enfin l’heureux papa.

  Bonsoir.

  Marie je te présente deux nouvelles recrues. Avancez les enfants.

Ce ne sont pas à proprement parler des enfants. Ils doivent avoir la vingtaine avancée.

  JuanAbdou

Déjà en voyant le grand black des souvenirs me remontait, alors avec "Abdou" le rappel est puissant.

  Chérie tu te souviens. Il s’appelle comme notre ami. Tu sais, il était gardien de chantier.

Fred joue avec mes nerfs. Comment pourrai-je oublier Abdou. Abdou avec son chien. Abdou avec ses copains. Et toi Fred qui m’avait offert à eux. Les chiens, tous ces hommes quiet peut être que je porte leur enfant

  C’est un prénom très commun chez nous.

Dit le jeune homme.

  Juan et Abdou sont sous contrôle judiciaire. Ils sont sortis ce matin. Ils vont rester un moment avec nous en attendant de trouver un travail.

Avec Roger nous faisons le point. Il me montre ce que nous avons reçu, ce qui a été réparé, ce qui est prêt pour être expédié. Le hangar est vaste. Nous marchons un moment. Fred et les deux garçons nous suivent.

  Roger, ma femme est fatiguée, vous avez un endroit ou elle pourrait se reposer ?

  Bien sûr. Mon bureau. Tenez voilà.

  Merci. Je ferme la porte pour qu’elle se mette à l’aise. Vous comprenez, il fait chaud dans ce hangar et les bébés lui tiennent chaud.

  Bien sûr.

Dès la porte fermée, je questionne Fred.

  Je ne suis pas fatiguée. Qu’est-ce qui te prend ?

  J’ai envie de toi. Déshabille-toi.

  Ici ?

Oui. J’ai bien vu comment les deux jeunes te mataient le cul. Tu imagines ! Ils sortent de prison. Ça m’excite. Allez, dépêche-toi.

  Mais j’enlève tout ?

  Oui. Tout.

J’obéis pendant que Fred fait le vide sur la table qui sert de bureau.

Il m’aide à m’allonger. Il baisse son pantalon. Il bande un peu.

Suce-moi.

Et il m’approche sa bitte sur le côté de la table.  Tournant la tête je peux la saisir. Il devient dur en quelques secondes.

  Putain tu m’excites salope.

Il vient entre mes cuisses. Mes jambes pendent dans le vide, ma chatte est juste au bord. Il me pénètre. Je retiens de ne pas crier consciente que les autres ne sont pas loin, certainement installés dans les fauteuils et canapés exposés juste à côté du bureau.

La table grince sous les coups de Fred. Moi je ne grince pas, mais je sens avec délice sa bitte ma ramoner.

Je me caresse les seins qui commencent à couler. Lui me chatouille le clitoris. C’est bon, putainement bon ! Je me mors les lèvres pour ne pas crier. J’entends Fred pousser des "hans" à chaque poussée.

T’aimes ça salope,  hein ? T’es gluante. Je suis certain qu’Abdou t’a excité? Ça ne te rappelle rien ? Ses chiens ? Ses copains ?

  Oui.

Alors, dis-le.

  Oui.

  Plus fort !

  OuiOUI

Il me bourre. Je suis à nouveau sa chienne. Il peut faire de moi ce qu’il veut.

Je gémis. Dans un nuage j’entends Fred dire " Je viens. Je viens". Je l’accompagne. Mon plaisir submerge le sien. Ma grotte déborde. C’est trop bon.

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