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Marie est une effrontée ! – Chapitre 2

Marie est une effrontée ! - Chapitre 2



EPISODE II

Sur le quai de la gare, une jeune fille tenait un sac de sport ; elle était vêtue d’un jean délavé et d’un large T-Shirt… Marie était heureuse, parce qu’elle avait le sentiment d’avoir battu un record privé.

Des idées pleins la tête et des envies pleins le corps, elle ne pouvait chasser ce sourire qu’elle étalait aux regards des autres voyageurs. Rien ne pouvait la froisser, elle se plaisait à afficher par provocation, sa joie aux hommes qui comprenaient qu’à demi, la raison de la béatitude qui s’affichait sur son visage. Sa manière de mâcher était un autre défi, mais deux chewing-gums à la menthe étaient nécessaire pour gommer toutes les odeurs suspectes.

Notre jeune fille avait attaché ses cheveux en une queue-de-cheval et mis sur le nez une paire de lunettes de soleil.

Elle se retournait sur un blondinet qui semblait avoir un faible pour elle, mais le regard qu’elle croisait dorénavant, était celui d’un gros homme d’affaire ; le même vicieux qui tout à l’heure s’était rincé l’oeil sur sa chute de rein. Exaspérée, Marie descendait dans le souterrain et s’y pressait pour s’engouffrer dans le tunnel. À la faveur d’un coin, elle jetait un coup d’oeil en arrière et identifiait encore son poursuivant.

Elle se sentait quand même un peu nigaude : toute cette foule et autant de témoins !!! Finalement, elle décida de modérer son allure jusqu’à la sortie de la gare. Comme une renaissance, elle appréciait le ciel et l’air non-conditionné. Elle chassait de son esprit son poursuivant en étant certaine que dorénavant, rien ne pouvait lui arriver. Elle regardait sa montre et se surprenait à avoir quelques minutes d’avance par rapport au rendez-vous qu’elle avait avec une amie de sa Tante.

La petite brune se rendait quand même au point de rencontre prévu… En l’absence de son oncle, Elisabeth avait demandé à la voisine de venir la chercher, la jeune Marie devait la reconnaître à son coupé Mercedes.

Elle balayait avec attention les abords de la gare et du parking : rien ! Elle poursuivait sa progression vers la rue en espérant que ’ son chauffeur ’ soit à l’heure ! Soudain, ses yeux se posèrent sur une blonde avec de grosses lunettes noires. Elle avait beaucoup de classe et patientait près d’un coupé. Marie mit le cap vers cette femme avec un sourire retrouvé, jetant un coup d’oeil derrière elle pour vérifier l’absence d’un éventuel vieux battant.

— Bonjour !

— Bonjour ! Vous êtes Marie ?

— Oui !

— Enchantée ! Tu as eu un problème avec ton eau de toilette ?!

La belle blonde prenait le sac de la voyageuse.

— Un problème ? Oui !… Il y en avait trois dans mon sac et les flacons se sont ouverts sur mon seul T-Shirt, c’est pour ça que l’on me sent à un kilomètre !

— Tu peux me faire la bise, tu sais !

— Je voulais un minimum de bagage et j’ai pris un seul T-Shirt !

La quinquagénaire ôta ses lunettes et vint faire la bise à Marie.

— Monte !

Sabine casait le sac de sport sur la banquette arrière, alors que la jeune fille goûtait aux joies de la climatisation.

— Tu as fait bon voyage ?

— Très bon ! J’ai beaucoup apprécié ! Il est simplement dommage que le trajet soit si long !

— On ne peut pas vouloir être à un endroit et y être dans la minute qui suit ! Ta Tante sera contente de te voir ! C’est gentil de venir lui rendre visite. Elle a tendance un peu à déprimer ! Ton oncle n’étant pratiquement jamais à la maison, je lui rends bien service, Vincent aussi, mais sa famille serait son meilleur remède !

— Votre visage ne m’est pas inconnu ! Vous connaissez ?lisabeth depuis longtemps ?

— Nous sommes voisines depuis bientôt 15 ans ! Elle a été adorable durant la procédure de divorce, elle m’a bien aidé à surmonter cette épreuve !

La jeune fille aimait bien cette femme pleine d’indépendance, seule comme elle et bien dans sa peau ! Elle n’avait pas de petit ami officiel, mais sa Tante lui avait dit qu’elle ne manquait pas de goûter au plaisir de la vie. Difficile de croire qu’elle n’avait pas touché à un seul homme depuis des années !!! En réalité, elle ne devait pas passer de nombreuse nuits toute seule.

Elle était terriblement sexy et Marie était jalouse d’une poitrine légèrement plus petite que la sienne, mais tellement bien mise en valeur ! Un corps voluptueux et le gros contenu du décolleté près à déborder par-dessus un petit débardeur à fines bretelles : c’était beau ! Mais Marie refusait de prendre Sabine pour une concurrente, elle l’estimait bien, elle lui ressemblait sur le physique et sa consolation était d’avoir de plus gros attribut que la conductrice.

Marie adorait son style vestimentaire, quoiqu’elle le trouvât un peu vieux jeux : les tailleurs jupes ne l’avaient jamais envoûté, elle comprenait le pouvoir de séduction que cela pouvait engendrer sur certains hommes, mais à son âge, la petite brune ne pouvait pas encore prétendre avoir le charisme de la belle Sabine !

— Marie a un petit copain ?

Elle déclinait un large sourire, baissait la tête et rougissait un peu. Pour dire la vérité, elle hésitait : elle voulait affirmer pour ce qui s’était passé dans le train, mais elle ne pouvait pas renier un semblant de? honte.

— Non, je n’ai pas de petit copain ! J’ai du mal à trouver quelqu’un de sérieux et réellement amoureux de moi !

— Ta grosse poitrine ?

— Oui ! Comment savez-vous ça ?

— Eh !!! (elle regardait ses gros seins) J’ai connu ça ! Bon, maintenant, c’est un atout pour ma vie de divorcée, mais quand j’étais jeune, j’avais du mal à assumer ! Ce serait maintenant, je me ferai opérer !

— Ce serait vraiment dommage, vous êtes très jolie !

— Merci ! Je te retourne le compliment ! Mais ne fait pas trop attention aux cons et attends la bonne occasion, elle viendra : je suis prête à parier !

Une vingtaine de minutes venait de s’écouler et la Mercedes de Sabine venait d’emprunter une série de rues qui, finalement débouchèrent dans une grande impasse et… la quinquagénaire s’orientait vers la plus belle des demeures. Avant même que le coupé ne franchisse les grilles, Marie avait entre-aperçue Elisabeth dans le jardin, étendue sur une chaise longue. Le véhicule empruntait précautionneusement l’allée qui menait à la grande bâtisse, sous l’oeil de la tante qui s’était empressée de venir.

Marie se dirigeait de suite vers sa Tantine qui se réjouissait déjà de sa présence. Elle ne semblait pas si malade que ça !!! Les deux femmes ne s’étaient pas vu depuis bientôt un an et la jeune fille ne regrettait déjà plus son week-end en famille.

La tante avait 43 ans, sa maladie était plutôt la malchance ; opérée en janvier pour un problème d’hernie discale, quatre mois plus tard, alors qu’elle circulait en vélo, elle était accrochée par une voiture : elle se cassait la cheville droite et le tibia. Depuis, la guérison se faisait au ralenti, enchaînant déprime sur déprimes, mais le beau temps avait tendance à la remettre en selle.

Les retrouvailles se passèrent très bien, Marie accélérant les usages en prenant rapidement une bonne douche, après avoir lancé elle-même la machine à laver le linge.

Elle avait hérité de l’une des deux chambres d’amis ! La demeure était en travaux et après avoir refait la chambre de la tante, les ouvriers devaient finir le chantier dans la chambre prise en sandwich.

En l’absence d’habits de rechange, la tante trouvait quelques vêtements un peu démodés à fournir à la jeune fille. C’est dans une robe d’été de couleur jaune délavée que Marie se présentait pour le dîner. Si la longueur de la robe pouvait se passer de commentaires, la coupe de la taille était étroite et, au niveau de son décolleté, sa forte poitrine emprisonnée dans le tissu ne trouvait d’autre échappatoire que de se hasarder à déborder par-dessus la robe. L’honneur était sauf : on ne voyait pas l’essentiel !

— En attendant que tes habits soient secs, ça fera l’affaire !

— C’est un peu serré !!!

— C’est juste pour un soir, ma chérie ! Avec cette chaleur, tes habits seront secs demain !

Elle tirait sur les pans de sa robe, ainsi qu’au niveau de ses hanches pour ne pas montrer trop ses cuisses. Mais par-dessus tout, elle n’aimait pas cette sensation d’oppression sur ses seins !

— Tu es devenue une vraie femme ! Regarde-moi ça Sabine !

— Oui, c’est ce que je lui disais dans la voiture ! Si elle veut, demain midi, elle peut venir à la maison : il doit me rester quelques robes appartenant à Marion ! Je pense qu’elle pourra trouver son affaire dans la garde-robe de ma fille !

Marie était heureuse que l’on souligne un statut de femme plutôt que de jeune fille. Pour la question vestimentaire, elle était soulagée et comble de bonheur, au cours du dîner, Sabine l’invitait à passer toute l’après-midi avec elle.

Les trois femmes s’étaient éternisées devant un bon petit café, elles discutaient de tout et rien, mais surtout de sexe. C’était surtout des délires autour de la jeunesse de Marie.

Vers les 21 heures, un ami de la famille débarquait à la maison ; c’était Vincent. Tous les soirs après son travail, il passait pour s’assurer que Elisabeth ne manquait de rien, permettant ainsi à Sabine de rentrer chez elle. En voyant la belle blonde, Vincent ne manquait pas de la contempler et d’apprécier son petit débardeur. Mais quand l’invité de dernière minute aperçut Marie, il restait médusé pendant plusieurs secondes…

— Eh !!! Vincent !!! C’est Marie ! Tu sais, je t’ai déjà parlé d’elle ! La fille de ma soeur !

— Oui… Bonjour Mademoiselle !

Il lui faisait la bise et ne manquait pas de lorgner grossièrement dans le large décolleté. La jeune fille s’interrogeait et ne le trouvait pas trop net ! Avait-il bu ? Marie commençait à être mal à l’aise et ce fut le comble de l’agacement quand Sabine découvrait un début d’érection chez le visiteur du soir ! Sabine se levait et jetait un coup d’oeil vers Marie :

— Marie ! Tu me donnes un coup de main, avant de partir, je vais débarrasser la table !

— Oui, Sabine !

La petite brune donnait un coup de main et permettait ainsi à Vincent de sauver sa face de naïf. En s’éloignant de lui, la quadragénaire ne manquait pas de sentir le regard vicieux en train de convoiter le derrière de Marie. Le bienfaiteur avait remarqué l’étroitesse de sa robe et les atouts pesant dans le décolleté ; il en avait pleins les yeux ! Toutes ses rondeurs tendaient le tissu et déformaient les coutures de la robe en laissant apparaître la couleur originelle de la robe.

Vincent avait 45 ans, d’un caractère franchement revêche, il n’avait pas manqué de flasher sur Marie plus que de raison.

Pendant ce temps, dans la cuisine :

— Marie ! Tu te méfieras de Vincent : il est célibataire et un peu en manque de filles ! Tu as vu comme il m’a reluqué !

— Ma Tante le tolère, ici ?

— C’est un bon ami à ton oncle : il n’est pas méchant ! Ta Tante l’aime bien ! Mais s’il te colle de trop près : tu lui mets une claque, c’est tout !

— Il t’a déjà… ?

— Touchée ?! Non ! Quand il regarde un peu trop mes seins, je n’hésite pas à lui faire une réflexion et il est calmé pour la soirée !

23H20 : Sabine était partie depuis une demi-heure ! La soirée traînait en longueur devant la télévision et ses programmes critiquables. La tante s’était endormie, Vincent examinait les courbes de la belle présentatrice et Marie ne manquait pas de voir, malgré le journal qu’il avait mis sur ses genoux, qu’il haletait fort et surtout, qu’il bandait comme un fou. La jeune fille avait du mal à se concentrer sur son magazine étant donné que le voyeur ne cessait de se comporter comme un ’ cinglé ’.

De temps en temps, elle ressentait la peur quand l’obsédé se tournait subitement vers son corps, la petite brune avait la crainte que Vincent se jette sur elle ; qu’il s’en prenne à ses attributs mammaires qui pour une fois étaient bien au calme, emprisonnés dans sa robe.

À quelle heure allait-il partir ? Mais pourquoi ?lisabeth l’acceptait-elle ?! Il était peut-être plus dangereux qu’elle ne le pensait ?!

Lasse de cette longue journée, Marie se levait et décidait d’aller se coucher :

— Bonsoir Vincent !

— Salut Marie ! Bonne nuit !

La jeune fille se contentait de ça.

— Ma tante, je vais me coucher !

La convalescente se réveillait, faisait la bise à sa nièce avant de constater l’heure :

— Passe une bonne nuit, Elisabeth ! Je vais me coucher ! Toi aussi, tu devrais aller te coucher ! Le sommeil peut s’avérer une excellente thérapie !

— Je m’endors en un clin d’oeil dans mon fauteuil, alors que dans mon lit, j’ai du mal à dormir ! Mais ce soir, je vais quand même te suivre !

La belle Marie montait la première dans sa chambre, pendant que Vincent se préoccupait de l’état de santé d’?lisabeth. Un peu trop prévenant d’après ce que Marie pouvait découvrir au bénéfice de ses propres allèes et venues dans la salle de bain. La brune espagnole en était maintenant convaincue, ce qu’elle avait cru apercevoir juste après le dîner se révélait vrai : Vincent en pinçait aussi pour sa Tante !

La demoiselle se retirait et s’enfermait dans sa chambre. Elle n’avait plus rien à faire des bruits dans la pièce d’à côté, enfin, à côté du chantier. La belle brune avait libéré ses longs cheveux et retiré sa robe trop étroite. Sa peau était marquée à divers endroits, sur sa poitrine où une marque en croissant rappelait le décolleté. Elle prenait ses seins, les caressaient, puis les pétrissaient brièvement, avant de décider d’enlever sa petite culotte. Elle passait la main sur son sexe et entre ses cuisses, elle était humide et constatait simplement qu’elle mouillait !

Elle passait un grand T-Shirt et montait dans son lit. La fatigue devenait pesante, elle repensait à sa journée de folie, quand soudain dans le couloir :

— Pense à bien fermer derrière toi ! Encore merci et je t’attends demain matin !

— Oui Madame ! Ne craignez rien, je serais là !

La surprise passée, plus rien n’avait d’intérêt que la tranquillité de sa petite chambre. Rien pour l’exciter, pas même ses seins gonflés qui se dessinaient vulgairement sous son T-Shirt. Elle devinait ses tétons érigés sous le tissu. Elle y passait ses doigts et décidait d’ôter sa tenue pour donner à sa poitrine un peu d’air ! Elle était là, gonflée et pleine d’insolence, objet de bon nombre de désirs pervers.

Marie descendait ses mains vers son pubis et écartait ses grandes lèvres avec ses petits doigts et elle commençait à branler lentement son petit clitoris avec les pouces. Au bout de cinq minutes, elle se surprit à s’entendre gémir, mais il ne fallait pas laisser de trace ! Peut-être que sa Tante passerait demain matin pour regarder son lit et au pire, elle la disputerait d’avoir répandue sur le drap le jus de son corps ! Elle reprenait ses esprits et s’essuyait le sexe et les doigts avec son T-Shirt, avant de se laisser submerger par le sommeil.

La tiédeur de cette nuit d’été avait réveillé Marie, elle regardait brièvement autour d’elle, puis il cherchait l’heure : 01H20 ! Elle réalisait à peine l’endroit où elle se trouvait et, prise d’une envie pressante, elle se levait – toute nue – pour sortir de la chambre et aller aux toilettes.

En passant devant la chambre de sa Tante, elle entendit nettement des gémissements et des murmures que la petite brune identifiait de suite au sexe. Elle se corrigeait d’elle-même et se forçait à ne pas toujours penser qu’à ça ! Pourquoi toujours tout ramener au sexe ?!

Enfermée dans les toilettes, elle se demandait pourquoi sa Tante gémissait ? Peut-être un mauvais rêve ? Peut-être ce sentait-elle mal ? Ou plutôt, peut-être que la chaleur de cette nuit l’avait réveillé et que comme Marie, elle avait était poussée à se masturber ?

Mais le petite brune se devait d’aller voir, rien que pour s’assurer de la santé de sa Tante. Il ferait ça en toute discrétion : on ne sait jamais ! Mais avant, il lui fallait boire un verre d’eau, sinon elle ne passerait pas la nuit ! Elle hésitait à descendre avec sa nudité. Soudain, alors qu’elle s’éloignait de la porte des toilettes, un second bruit retentissait et sa curiosité la poussait à satisfaire son côté voyeuse.

Elle tournait lentement la poignée de la vieille porte en bois et la poussait délicatement pour ne pas la faire grincer, mais le bâillement se faisait en silence, elle s’ouvrait comme sur un… coussin d’air ?! Elle en profitait pour passer une jambe et découvrir… cinq mâles ! Non six !!! Tous autour de sa Tante et à la lumière de la lampe de chevet ! ils étaient tous autour d’?lisabeth, leurs mains courrant sur sa peau satinée, son ventre, ses cuisses et ses seins aux pointes dressées : ce n’était pas possible !!! Marie voulait fuir, donner l’alerte, mais elle était excitée par le spectacle, elle ne détachait plus son regard des deux verges bandées qui se succédaient dans la bouche de sa Tante. Deux des hommes étaient en train de lui lécher le minou et pendant que l’autre faisait courir la pointe de sa langue sur le bourgeon de la prisonnière. Soudain, l’un des jeunes hommes sentit Marie et il se tournait vers elle : la petite brune était effrayée, mais plus stupéfiant encore, c’était que l’homme n’était autre que… Denis, le black qu’elle avait vu dans le train !!!

Soudain, Marie poussait un cri et se réveillait en sueur, ses cheveux courraient sur son visage comme l’avait fait… le sperme le jour dernier. Non ! C’en était trop, elle en avait plus que marre d’être tourmentée. Son corps était moite, elle passait une main entre ses cuisses… sur ses gros tétons gonflés de désir et elle se mettait à fantasmer sur les mâles de ce rêve qui n’était autre que les garçons du train.

Après avoir retrouvé ses idées, elle se levait et passait un T-Shirt pour aller dans la salle de bain pour s’y rafraîchir le visage et, faire un petit pipi. En revenant, elle passait devant la chambre de sa Tante, elle eut envie d’y jeter un coup d’oeil. Le plancher grinçait au fur et à mesure qu’elle s’approchait de l’entrée, elle ne pouvait s’empêcher de concevoir un tableau pornographique se déroulant derrière cette porte. Rentrer délicatement était trop suicidaire, mais… à la vue de la fenêtre du couloir, l’idée fut claire : le balcon passait justement devant la chambre de sa Tante et Marie savait que ?lisabeth ne fermait jamais ses volets !

La jeune fille décidait alors de sortir sur le balcon où elle se retrouvait les pieds nus et habillée uniquement par son T-Shirt. Elle approchait avec délicatesse…

Derrière la finesse des rideaux, elle vit de suite que la lampe de chevet était éclairée, mais elle avait du mal à tout distinguer. À un instant, elle eut la certitude que sa Tante n’était pas seule ! L’autre personne n’était autre que Vincent ! ?tait-ce possible ?! Il était en train de la violer ! Elle l’avait toujours su qu’il était dangereux ! Mais rapidement, l’apparente décontraction de sa Tante plaidait pour l’innocence de Vincent : sa tante était consentante ! Marie était choquée par la tromperie : Pour qui prenait-elle son oncle ?

La tante était assise sur le bord du lit, entièrement nue et Vincent à genoux devant elle. Il prenait à pleines mains les gros seins de la souffrante, tentait de les avaler à pleine bouche, tout entier comme un forcené privé de nichons pendant des siècles ! Il gobait les auréoles et suçait les tétons avec sa bouche, puis donnant des coups de langue fugaces sur des bouts déjà fièrement dressé.

Le sexe de Vincent était impressionnant et plus gros que l’anormal. D’ici, Marie pensait qu’il était aussi long que son avant-bras !

Vincent était fermement excité et ?lisabeth mouillait déjà en abondance, il faisait courir ses ongles sur les cuisses, puis le sexe de la malade. L’épouse infidèle se penchait en arrière, campée sur les coudes et elle remontait les genoux pour offrir son jardin secret. L’obsédé descendait sa bouche vers le minou et il commençait à la lécher du cul jusqu’au clitoris, le lui mordillant avant de lapper et d’enduire de salive chacune des grandes lèvres de son sexe.

Sur le balcon, Marie ne quittait pas du regard cette pine dressée ! À cet instant, elle aurait aimé l’avoir derrière elle, il l’aurait défloré et elle l’emprisonnerait dans son corps pour le faire cracher tout son jus !

La tante décidait de se retourner. Elisabeth se dressait sur ses jambes et se penchait en avant pour exposer ses deux orifices et une mounette souillée par la liqueur de son con : l’un de ses orifices était franchement fermé alors que l’autre était béant et prêt à servir !

Vincent imitait la tante dans sa démarche en ce mettant debout derrière elle, il pouvait ainsi découvrir son beau cul bon à saillir. Il ne pouvait se refuser à caresser les courbes des miches et la raie des fesses, offertes comme une offrande à ses doigts experts. Son bras contournait la taille d’Elisabeth et des doigts vicieux attrapaient les seins pour la peloter. Vincent se calmait en caressant à pleines mains les deux trésors de la nature. Revenant à lui, il saisissait sa pine avant de l’engouffrer sans prélude, dans le sexe d’?lisabeth qui poussait plusieurs cris de surprise, quoiqu’elle ait été préparée et lubrifiée par une langue experte.

La tantine ne cessait de gémire, les coups de reins de Vincent dans sa croupe lui faisaient très mal et pendant un instant, Marie se demandait si ?lisabeth n’avait pas été sodomisée !

Dehors, Marie caressait son ventre et ses doigts glissaient rapidement vers son sexe trempé ; elle relevait son T-Shirt et agrippait fermement ses seins pour les caresser. Ses doigts flattaient ses tétons : elle n’en pouvait déjà plus ! Son jus commençait à perler sur son sexe, elle y glissait un doigt et branler son con avec sa propre mouille.

Vincent était de plus en plus excité par les douces sensations. Soudain, ?lisabeth le quittait et se posant sur le lit, elle abandonnait l’énorme pieux qui restait cambré au sortir de son sexe détrempé. Elle avait été mal à l’aise dans la précédente position, alors fatiguée, elle préférait se mettre à quatre pattes sur les draps pour que Vincent puisse continuer de jouer avec son cul.

La belle brune était vraiment impressionnée par la consistance du pieux de Vincent, elle n’en revenait toujours pas ; elle l’imaginait en train de la déchirer par ses violents vas et viens. Pour calmer l’excitation de Marie, il lui fallait de toute urgence, quelques choses entre les fesses ! Elle cherchait autour d’elle, mais ne trouvait rien, qu’un… gros arrosoir dont elle appliquait le verseur contre son sexe en tentant une fausse pénétration…

Maintenant, ?lisabeth se mettait sur le dos et en missionnaire, Vincent lui dévorait le sexe de haut en bas pendant que la tante de Marie levait les jambes vers le plafond ! Maintenant, il prit sa pine en main et s’engouffrait dans la gaine bien suintante et à nouveau la pénétrait pour la remplir avec son outil.

Au ’ frais ’, Marie fermait les yeux et frottait sa chatte avec le bout du bec de l’arrosoir tandis qu’avec sa main libre, elle pétrissait ses grosses mamelles…

Rapidement, Vincent perdait ces esprits dans cet assaut à la missionnaire et, la violence de la douleur qui commençait à monter dans son bâton de dynamite le poussait à se retirer. Il se suspendait bien à bout de bras au-dessus de la tante qui saisissait à pleine main le membre et le branlait comme pour une traite : la pine se révoltait et giclait un énorme jet de sperme sur la chatte et le ventre. Il ne cessait de délivrer ses réserves comme un trop plein, épais et abondant, très abondant !!! Elisabeth ne cessait d’astiquer le manche de son amant pour qu’il ne conserve en lui aucune goutte.

La tante et Marie pensaient que c’était terminé, mais non ! Vincent avait encore la forme, son souffle était violent et il avait encore envie ! Alors qu’elle se mettait sur le côté, ses seins offerts et son sexe souillé, la tante le prit dans sa bouche et le léchait pour commencer à le nettoyer. Sa langue descendait sur les testicules, prenait la direction de l’anus qui semblait raviver le plaisir ! Mais l’instant d’après, ?lisabeth le pompait pour tenter de ramener un second flot de sperme.

Derrière la fenêtre, Marie n’en pouvait plus, le bout de l’arrosoir était en elle sur deux centimètres et elle avait remonté son T-Shirt par dessus sa poitrine ! N’ayant rien à disposition, ayant le feu en elle, elle s’introduisait un doigt dans son orifice interdit et se soulageait. Pendant cinq bonnes minutes, elle se délectait de tout jusqu’au moment où sa tante menait Vincent à l’orgasme pour la seconde fois : le sperme giclait dans la bouche vorace, mais s’en était trop à la fois et elle retirait le membre pour recevoir le reste du foutre sur ses lèvres. Vincent prenait sa pine pour finir de se masturber et jouir de grosse traînée blanche sur le visage de la tantine.

Vincent, épuisé s’immobilisait, peut-être en proie à un malaise : Marie ne comprenait pas ! Quelques instants plus tard, ?lisabeth terminait par s’essuyer le minou et la bouche, avant d’accueillir le laboureur auprès d’elle !

Avec son arrosoir, Marie reprenait ses esprits, elle s’était caressée devant l’énorme pieux de Vincent, mais un doigt dans l’anus n’arrivait pas à simuler cette gaule de 25 cm de longueur.

Le spectacle terminé, elle retournait se coucher dans ses draps et plutôt que de se couvrir, elle se déshabillait et préférait rester sur le drap du lit pour se caresser ainsi, les cuisses grandes ouvertes. Sans pudeur, elle s’offrait à l’éventuel visiteur qui aurait pu la surprendre en ouvrant la porte de sa chambre.

4H30, elle n’en pouvait plus, elle glissait ses mains sur son corps, ses doigts sur ses seins et son sexe. Elle se retournait à quatre pattes, cambrait le derrière vers la porte et passait plusieurs doigts sur sa chatte sensible et son anus qui devenait de plus en plus une zone érogène pour cette voyeuse deux fois pucelle.

Maintenant, il lui fallait quelques choses pour s’apaiser. Elle masturbait ses gros seins en pensant à ses amis du train, à une grosse pine sur ses lèvres et dans sa bouche ! Ses doigts appliqués sur son clitoris le travaillaient sans relâche pour extirper quelques choses de son corps ! Dans le délire de ses envies, des prénoms venaient subitement aviver le feu qui la dévorait, ils s’appelaient William, ?ric, Michel, David, Sébastien… et elle ne les connaissait pas, mais elle avait cette certitude qu’eux la connaissait et qu’ils avaient envie d’elle !

Ses doigts torturant ferment son petit bourgeon, son con se révoltait et le feu embrasait son bas-ventre. Toute sa chatte de libertine explosait de plaisir, des spasmes la déstabilisait et elle sentait ses tétons se durcir : elle en avait mal ! Elle tombait en avant sur le drap ; Marie ouvrait les cuisses et se terminait avec frénésie : elle pensait au drap taché, mais il n’en avait que faire !

Pendant que ses doigts étaient souillés de mouille, elle se caressait les cuisses. Elle s’imaginait sur le quai de la gare, garce et offerte aux premiers qui voudraient lui bouffer sa chatte de pucelle et jouer avec son minou avant de la prendre.

Marie se sentit très soulagée ! Une dernière facétie : elle se remettait à quatre pattes sur son lit et cambrait le cul en direction de la porte en ce disant qu’elle accepterait le premier venu qui rentrerait à l’improviste : justement, quelqu’un marchait dans le couloir, elle passait son index sur le clito et son sexe trempée : elle se donnerait à ce type par n’importe lequel de ces deux trous ! Mais c’est le sommeil qui eut raison d’elle !

Le lendemain, c’est le bruit de la sonnerie du téléphone qui réveillait Marie. Elle regardait l’heure : 10H20 ! Finalement, elle avait passé une bonne nuit et il lui revenait en mémoire ses émotions de la veille et tout particulièrement se liquide déversé par Vincent. Quelqu’un venait de décrocher le téléphone et la jeune fille recouvrait son corps nu avec le drap du lit avant de se demander si elle ne ferait pas mieux de se lever.

Elle enfilait un peignoir et entrouvrait la porte de sa chambre, elle pouvait entendre presque distinctement Vincent parler avec son oncle. Elle hésitait deux secondes pour sortir dans le couloir, son peignoir ayant un peu de mal à calfeutrer l’importance de sa poitrine, alors elle patientait en attendant qu’il raccroche :

— Je passerai une partie de la journée avec elles, ne t’inquiète pas ! (…) Je suis arrivé un peu en retard, alors je vais me dévouer pour surveiller ta femme ! Oui, ta nièce est arrivée ! Tu sais, c’est un jolie petit lot ! J’ai voulu la réveiller tout à l’heure, mais elle dormait encore ! Elle était toute nue sur son lit : c’était un vrai régal ! Si seulement, tu voyais ses mamelles !!! C’est à tomber sur le cul ! Aussi gros que ceux de Sabine ! La voisine ! (…) Oui, à moi aussi, je me la ferai bien ! Ne t’inquiète pas ! () Ne t’inquiète pour rien ! () À bientôt !

Quelques minutes plus tard, il raccrochait et Marie pouvait aller prendre une bonne douche.

Dans l’après-midi, alors que tout le monde s’affairait à rester au frais, Marie se rendait chez Sabine pour essayer des fringues. Il faisait très chaud et la jeune fille s’était faite à sa petite robe d’été trop courte pour elle !

Sabine l’accueillait dans le jardin coiffé d’un chapeau et d’un maillot de bain deux pièces. Marie fut surprise par la tenue vestimentaire de l’accueil, mais après tout, elle était chez elle et elle faisait ce qu’elle voulait ! Les deux femmes papotaient et la petite brune essayait les habits de la fille de Sabine.

Deux heures plus tard, sur le coup des 16H00, les deux femmes décidèrent de prendre un bain de soleil : Sabine avait demandé à son invitée de lui passé de l’écran total, Marie avait hésité, elle se sentait mal à l’aise pour passer ses mains sur un corps féminin. Finalement, elle acceptait en laissant ses a priori derrière elle ! Marie avait revêtu la même tenue que Sabine et elle avait eu droit au même plaisir d’une protection UV. La belle Espagnole, les cheveux en arrière, savourait le soleil.

— C’est vraiment dommage qu’avec un corps comme le tiens tu n’aies pas de petit ami !

— Oui ! Que pensez-vous de Vincent ?

— Il est trop vieux pour toi ma chérie !

— Non Sabine, pas pour moi ! Il ne me plait pas ! Je voulais ton avis d’un point de vue relationnel ?

— C’est un vicieux ! Il ne cesse de me reluquer quand je viens rendre visite à ta Tante !

— Oui, je l’ai bien vue ! il a l’air d’un obsédé ! Y a-t-il des jeunes de mon âge dans le coin ?

— Bien sûr ! Mais il faudrait organiser une soirée pour te les faire rencontrer !

— Ma Tante ne voudrait jamais ! Elle est trop coincée !

— Je ne peux pas grand-chose ! Je ne peux pas trop me substituer à ta famille !

— Tu n’as pas de copains à me présenter ?

Sabine souriait et ne répondait pas. Marie relevait ses lunettes et regardait sa partenaire.

— Oui ?!

— Je sors avec beaucoup de jeunes de 21-23 et même 25 ans ! Un peu vieux pour toi !

— Tu veux peut-être te les garder !

— J’y réfléchirai, mais je ne te promets rien ! Quels sont tes goûts ?

— Blond, costauds et un brin réservé : le genre Brad Pitt, si tu vois ! Un acteur de cinéma !

— Merci ! Je sais très bien qu’il préfère les brunes ! Je les aime musclés, et avec un piercing sur le bout du gland !

Les deux femmes éclataient de rire, sans se douter, qu’à dix mètres d’elles, derrière une haie qui les séparait de la propriété voisine, quelques voix commençaient à courir.

— David ! Tu as vu les grosses mamelles de la brune ? ça déforme son maillot de bain ! Putain, j’en ai la trique !

— Moi, la mère de Sabine, elle me régale plus ! Comme j’aimerais lui sucer les tétons !!! Je voudrais la faire jouir !

— Eric, arrête de ne penser qu’à sucer des tétons ! Si tu veux, il y a des glaces chez moi ! (sourire) Putain !!! Michael !!! Qu’est-ce que tu fais ?!

— Je me branle, j’en peux plus ! C’est trop ! Sébastien : comment elle s’appelle la nouvelle ?!

— Branles toi pas trop fort : elle s’appelle Marie !

— Putain, comme je te la cabosserai bien cette pétasse !

Un tas de voix courrait derrière la haie, sans doute six jeunes aux mains bien occupées. Les deux femmes bronzaient nonchalamment, quand soudain, Sabine parlait à voix basse.

— Dans dix minutes, je rentre, mais avant, je veux faire de l’intégral !

— Vous êtes sure que personne ne nous verra ?

— Non ! Il y a bien une bande d’adolescents qui traînent dans le quartier, mais ils ne sont là que pour nous regarder !

Sabine enlevait son soutien-gorge, Marie l’imitait, mais la quinquagénaire poussait la folie jusqu’à ôter son bas. La jeune visiteuse réfléchissait et le bien-être la poussait à faire de même, exposant son petit minou brun aux rayons du soleil. C’était la première fois qu’elle se faisait bronzer entièrement nue. Elle aimait ça, la douce agression du soleil sur sa peau et l’éveil de ses sens que les rayons entretenaient sur son sexe.

— Sabine : je crois qu’il y a quelqu’un derrière les buissons qui est en train de nous regarder !

Marie souriait et elle ne se sentait pas gênée.

— Je te demanderai de bien prêter l’oreille ! Dans quelques minutes, tu souriras franchement en entendant comme : une petite pluie intermittente sur les feuilles de la haie !

— Tu veux dire…

— Oui !

La chaleur commençait à travailler les auréoles et les tétons de la belle Marie.

— Le nudisme, il ne faut pas le faire trop souvent, sinon après, ça te donne une mauvaise image de marque dans le quartier !

— Je trouve ça très excitant !

— Nous pourrons recommencer !

Les deux femmes quittèrent le plein soleil pour retourner aux frais. Marie n’avait plus peur d’exhiber sa nudité à une autre fille.

La quinquagénaire invitait Marie dans sa chambre, elle prenait une douche pendant que la jeune fille patientait toute nue dans la chambre. Elle se sentait bien, la fraîcheur de la pièce par rapport à dehors excitait ses tétons et son sexe, des envies commençaient à fourmilier dans son esprit. Elle priait pour ne pas mouiller ! Marie ne pouvait s’empêcher de visiter la chambre de cette femme mure. Elle ouvrait un tiroir et tombait de suite sur un gode de belle taille. Un peu troublée, elle s’empressait de le remettre dans le tiroir. Elle avait rougi et alors que Sabine sortait de la douche, Marie se tournait vers la nudité de la quadragénaire :

— Après ta douche, je te ferai un petit massage : c’est très bon pour la peau et la détente.

— Il ne faut pas que ça vous embête ! J’ai encore quelques choses à faire chez ma tante et je dois aussi lui tenir compagnie !

— Je comprends ! Mais je ne suis pas lesbienne, Marie !

— Ce n’est pas ce que je voulais dire !

— Mais tu l’as pensé très fort ! Non ?

— Oui, Sabine, c’est vrai ! Excusez-moi !

— Si tu veux rentrer : tu le peux !

— Non, je veux rester !

— Comme tu veux ! La douche est par là !

Pendant que Marie refroidissait son corps avec la tiédeur de l’eau, Sabine enfilait une micro-jupe ras les fesses et sans culotte. Elle préparait divers huiles, sans se douter que deux fugueurs étaient en train de la matter à la jumelle.

À SUIVRE…

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