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Marie ou la vie d'une femme de chambre – Chapitre 2

Marie ou la vie d'une femme de chambre - Chapitre 2



Quinze jours! Deux semaines que Marie était au service des L et quelle en était heureuse. Ses craintes initiales sétant révélées inexactes, les seuls attouchements quelle eut à subir furent en fait la visite médicale dembauche, en fait, les seuls petits tracas qui pourraient rendre ses journées difficiles étaient dus aux turpitudes de la maîtresse de maison, toujours prête à lhumilier et la dominer. Mais Marie cétait faite à ce vice, allant même jusquà en retirer une certaine excitation, en effet, la soumission étant chez elle, une chose que lui avait enseignée sa mère. Même la petite peste Mélodie se tenait relativement tranquille et nétait pas en mesure dexercer le même pouvoir de domination que générait sa belle mère. Mais cétait sans compter sur ce lundi, où, comme elle en avait maintenant pris lhabitude, Marie saffairait dans la chambre de la jeune fille. Ramassant les affaires qui jonchaient le sol, pantalons, chemisiers ou lingerie, pliant ce qui était encore propre (cette manie dessayer un vêtement et de le laisser traîner une fois retiré), prenant soin de faire son immense lit correctement, et surtout, tentant de faire un rangement digne de ce nom sur le bureau envahit de papiers, paquets de bonbons, et même, de serviette hygiénique, et plein dautres choses comme cette pochette de photos. Même si elle nest pas spécialement curieuse, Marie louvrit tout naturellement. Et là, surprise. Non seulement il sagissait de Mélodie, nue ou en petite tenue sur les premières, mais la suite la montrait avec dautres personnes. Sur la première, elle avait un sexe dhomme dans la bouche, visiblement très appliquée dans une fellation, la seconde, la montrait prise par derrière par le même homme. Quand aux suivantes, cela dégénérait en partouze. Sur une, on pouvait la voir prise simultanément par le con et lanus, sur lautre, un homme sétait ajouté au duo pour emplir sa bouche. Et pour terminer cette série, deux autres garçons étaient à ses côtes, leur sexe tenus par les mains de Mélodie en train de les masturber. Marie, après un certain étonnement des murs de sa maîtresse, et surtout se demandant comment elle pouvait faire cela, commençait à sentir une petite chaleur entre ses cuisses. En continuant sa vision, elle la vit ensuite entourée de deux femmes. Et là, même scénario, équipées de sexes factices, elles sen donnaient à cur joie pour pénétrer Mélodie de la même manière que ses partenaires masculins. Assise sur le bord du lit, Marie regardait ces photos avec une certaine excitation et tout doucement, ses cuisses se sont ouvertes delles mêmes et sa main est venue se poser sur son sexe. À travers sa petite culotte, elle ne mit pas longtemps pour trouver les agréables mouvements de ses doigts qui, tranquillement laidèrent à atteindre lorgasme. Rangeant bien vite les indices à lorigine de son plaisir, elle mit fin au rangement de la chambre, lesprit relativement perturbé pas cette découverte. En sortant, elle se décida, comme à chacun de ses petits plaisirs solitaires, daller changer sa culotte suite aux consignes du docteur, mais à peine eut elle descendu lescalier, quelle croisa celui ci.

"Et bien, ma petite, vous mavez lair essoufflée, et les joues bien rouges!"

"Euh, jallais me changer, monsieur"

"Ah bon! Vous vous êtes encore laissée allée!"

"Euh, non monsieur, je me suis, euh Masturbée"

"Et doù vous est venue cette envie soudaine?"

Ne sachant quoi répondre, ne voulant surtout pas avouer ses visions, et surtout les nature des photos quelle venait de voir, Marie, neut dautre excuses que de répondre en baissant les yeux:

"De vous, monsieur!"

Un peu surpris par cette réponse, le Docteur L nen perdit pas pour autant sa repartie

"Bien, je ne peux que vous encourager à avoir ce genre didées. Nous verrons cela plus tard, jai du travail. Après votre service, vous passerez à mon bureau. En attendant, allez vous changer"

Marie se rendit alors compte dans quels draps elle venait de se fourrer et quil lui serait maintenant bien difficile de sen sortir. Ainsi, elle décida de se remettre à son travail et dévacuer cette idée de ses pensées.

En début daprès midi, elle était seule dans la villa, lorsquelle aperçut Mélodie rentrer plus tôt que prévu, accompagnée de deux jeunes hommes. Même si elle sest défendu de les regarder, il lui a tout de même semblé les reconnaître et faire le rapprochement avec les photos vues le matin même. Ils gravirent lescalier à vitesse grand V et Marie se retrouva de nouveau seule dans le séjour jusquau moment où son nom fut crié par Mélodie

"Marie, viens ici, et vite fait!"

Et Marie dabandonner ses taches ménagères pour monter derechef dans la chambre de Mélodie

"Alors sale petite pute, tu fouilles dans mes affaires!"

"Mais, mademoiselle, je nai fais que ranger votre chambre!"

"Oui, et tu tes aussi rincée lil, sale menteuse!"

"Mademoiselle, je ne comprends pas!"

"Et en plus, elle se fout de ma gueule dit elle en se retournant vers les deux jeunes hommes.

Ils étaient allongés sur le lit en train de regarder les photos intimes de Mélodie, commentant allégrement et vulgairement les performances sexuelles de leur hôte.

"Lordre de mes photos nest plus le même donc jen déduis aisément que tu les a reluquer, et peut être même que tu tes branlée en les regardant, hein petit vicieuse?"

Marie ne savait plus quoi répondre alors, regardant ses chaussures, et avoua timidement

"Oui, Mademoiselle, je les ai regardées, mais vous êtes si jolie" dit elle afin de calmer la colère de Mélodie.

"Et elles tont excitées?"

"Oui Mademoiselle "

"Alors tu tes branlée comme une petite pucelle?"

"Oui Mademoiselle "

Marie restait là, sur le pas de la porte, a attendre la sanction de Mélodie. Elle avait rejoint ses deux amis et semblait réfléchir à la punition quelle allait affliger à sa bonne.

"Viens ici, je crois quune fessée te feras le plus grand bien pour ta curiosité, pas vrai messieurs!

Chacun dentre eux acquiescèrent en rigolant et Mélodie attrapa Marie par le bras et la fit coucher sur son lit, sur le ventre.

"Tenez lui les bras à cette petite garce"

Marie, allongée, les bras tendus et serrés par les deux hommes, sentit alors sa jupe remonter et Mélodie qui fit descendre son string sur ses cuisses. Ainsi, les fesses bien dénudées, elle attendait la sentence.

"Regardez moi cette petite pute, le cul à lair, a attendre sa punition. Remarquez, elle a un beau cul ma boniche, hein les gars, quest ce que vous en pensez?"

"Cest sur que jy fourrerais bien ma pine" dit lun deux.

"Remarque, sa bouche a lair accueillante" répondit lautre.

"Eh doucement les gars, je vous rappelles que je ne vous ai pas fait venir pour la baiser elle, mais pour mon plaisir, alors on se calme et on la tient"

Et là, la première claque tomba sur les fesses de Marie qui, surprise, lâcha un Oh détonnement, mais supporta les 5 autres qui vinrent lui fouetter le cul.

"Alors, petite cochonne, tas pas honte de texciter en matant des photos porno?"

"Si, mademoiselle, pardonnez moi!"

Et Mélodie repris sa fessée de plus belle jusqua ce que les petites fesses de Marie soient bien roses. Et là, passant son doigt sur sa fente.

"Mais elle mouille cette petite garce, ça lexcite! La chienne" et denfoncer son doigt dans lâtre humide et chaud de Marie qui, remuant les fesses, appréciait de plus en plus le traitement que Mélodie lui infligeait.

"Mais tu ne crois tout de même pas que je vais te faire jouir. Moi je crois que cest linverse qui devrait se produire. Pas vrai messieurs?"

Les deux garçons navaient pas attendus cette idée de Mélodie pour sortir leur sexe et ils se masturbaient déjà depuis un moment en la regardant uvrer. Ainsi, ils neurent aucun mal à approcher leurs engins prés des lèvres de Marie qui se retrouva dans lobligation de les sucer lun après lautre.

"Putain, quelle est bonne ta bonne" ricana lun deux.

"Oui, elle suce divinement, on dirait quelle a fait sa toute sa vie, la salope!" Renchérit lautre.

"Appliques toi bien, fais les jouir, comme cela ils seront plus endurants pour moi" sempressa dajouter Mélodie.

Elle en avait profité pour ôter son pantalon et son chemisier et, en petite culotte, observait la scène de plus près, profitant pour branler le membre qui nétait pas dans la bouche de Marie. Allongée sur le lit, Marie semployait au mieux pour exciter les deux mâles, démontrant au passage quelle nétait pas douée que pour le ménage. Car en fait, elle adorait ce quelle était en train de faire. Car non seulement elle avait lhabitude et aimait sucer la bite de son petit copain, lamenant doucement au plaisir, mais en plus, là, cétait deux sexes qui attendaient que sa bouche et sa langue les amènent à lorgasme. En fait, la seule chose qui la dérangeait était de ne pas avoir une main entre ses cuisses pour calmer lincendie qui y régnait car elle mouillait comme une fontaine à sescrimer sur les deux pieux qui lui bourraient la bouche. Mélodie lavait vite remarqué, et perverse comme elle létait, avait

complètement délaissé cette petite chatte humide, la privant volontairement de son plaisir afin daccroître la frustration de Marie. Et pourtant, dieu quelle en avait envie de ce petit minou luisant, envie dy déposer ses lèvres, sa langue et de laper cette mouille qui coulait à flot. Mais comment pourrait elle encore se faire respecter

si elle sabaissait à faire jouir sa bonne. Cest pourquoi elle préféra encourager ses deux amants à venir au plus vite décharger leur foutre. Alors que le premier dentre eux lui remplit la bouche, Mélodie branlait lautre jusquà ce quil se vide sur le visage et le corsage de Marie.

"Putain, que cest bon !", lâcha se dernier.

"Oh oui, ça fait du bien de se faire pomper comme ça!" ajouta lautre.

"Bien, les gars, à mon tour maintenant, je suis toute mouillée à vous regarder. Et toi, petite vicieuse, tu ten vas! Tu ne crois tout de même pas que quon va, en plus, te donner du plaisir. Déjà que tu en as pris ton pied ce matin à mater les photos, alors tu vas te branler ailleurs, aller, dégage!"

Marie, se releva, du sperme coulant sur ses joues, dans son cou, tachant le haut de son chemisier, et, réajustant sa jupe, elle recoupera son string et sorti de la chambre. Une fois dans le couloir, frustrée, le sexe en feu, elle ne put sempêcher de regarder par la serrure et, très vite, sa main vint se nicher entre ses cuisses. En effet, Mélodie,

maintenant nue, était allongée sur le lit, les cuisses grand écartées entre lesquelles lun de ses amants sévertuait à jouer de sa langue dans son con trempé. Son acolyte, quand à lui, était accroupi au-dessus du visage de la jeune fille et se faisait royalement lécher le trou du cul, alors quil branlait sa bite ramollie, sefforçant de lui redonner une certaine vigueur qui revenait petit à petit. Marie voyait très bien Mélodie qui écartait les fesses de lhomme de ses deux mains, et surtout sa langue pointue qui allait et venait dans son anus jusquau moment ou, son corps se cambrant, elle partie dans un orgasme bruyant occasionné par le traitement quon lui faisait subir entre ses cuisses. Marie se masturbait de plus en plus rapidement, penchée sur ce trou de serrure qui lui relevait les perversions de la fille de la maison. Mais, elle fut assez surprise de la suite des évènements car le jeune homme qui avait savamment joué de sa langue sallongea sur la lit, la bite tendue vers le plafond et, contrairement à ce

quelle pensait, ce nest pas Mélodie qui vint sempaler dessus mais lautre garçon qui, aidé par la demoiselle qui guidait le membre entre ses fesses, se le fit mettre dans le cul. Agenouillé sur son partenaire, lui tournant le dos, ils offraient à Marie la vision de la bite qui allait et venait dans son trou au-dessous du sexe bandé de celui qui se faisait enculer. Cette vision lui fut malheureusement trop rapidement cachée par Mélodie qui, venant face à lui, descendit doucement sur son sexe, sempalant dessus dans une position qui ne devait pas lui être très confortable. Ainsi, les trois amants, emmanchés lun dans lautre, commencèrent à bouger dans un rythme commun jusquà ce que Mélodie ne jouisse la première. Elle se retira alors de lemprise de son amant et se penchant sur son vit, le suça comme une déchaînée pour lui extraire son jus damour quelle sempressa davaler. Doucement, il se souleva, libérant son anus du membre qui lui défonçait le cul, sur lequel Mélodie se précipita pour, à son tour, lui faire cracher son foutre quelle partagea ensuite avec ses deux amants dans un baiser plein de passion.

Marie en était toute trempée, deux orgasmes avaient accompagnés ses caresses et ses jambes avaient de plus en plus de mal à la supporter. Néanmoins, elle se ressaisit, et, regardant lheure, se dit quelle devait mettre de lordre dans sa tenue, quelle avait le temps daller prendre une douche réparatrice. Une fois propre, elle changea pour la troisième fois de la journée sa petite culotte quelle sempressa de laver et détendre à côté de la première, avant de retourner à son service.

Larrivée de Madame Karine se fit quelques minutes plus tard ce qui fit penser à Marie quelle venait davoir une certaine chance, et lorsquelle pénétra dans la villa, elle croisa sa belle fille et ses deux amants qui, comme si de rien nétait la saluèrent poliment.

"Bonjour Madame L, avez vous passer une bonne journée?"

"Bien merci, et vous, avez vous bien révisé?"

"C’était surtout les travaux pratiques que lon a révisé" coupa sèchement Mélodie

"Et je crois que nous sommes au point" termina lun des garçons avant de sortir.

La fin de journée arriva tranquillement et Marie savait maintenant quelle devait affronter le docteur L dans son bureau. Comment allait elle sexpliquer pour son indécente insolence du matin, comment lui faire comprendre quen fait, ce nétait pas lui qui lui avait fait de leffet, mais devait elle aussi lui avouer les perversités de sa fille?

Cest avec toutes ses questions sans réponses quelle frappa à la porte du bureau.

"Entrez" entendit elle, surprise de reconnaître la voix de Madame Karine.

En effet, cétait bien elle qui, vêtue dune blouse blanche, était assise au bureau de son mari

"Bonsoir maîtresse, Monsieur ma demandé de passer le voir"

"Je sais, je sais" dit elle, regardant Marie dun air songeur.

"Comme je sais très bien pourquoi il ta demandé de passer, petite cochonne!"

Marie baissait les yeux, regardant ses chaussures, ne se doutant pas que le docteur aurait révélé leur discussion de la matinée à son épouse.

"Alors comme cela, tu mouille pour mon mari? Tu me déçois, jétais persuadée que ce nétait que pour moi. Enfin, ce qui me rassure cest que sa petite bite ne soit pas assez performante pour te défoncer. Tu sais, à son âge, cest devenu un petit coup et puis sen va. Cest ça qui texcite?"

"Euh, non maîtresse" se risqua t elle

"Alors cest quoi?"

"Euh, en fait, je voulais lui dire que cétait limage de le voir avec vous qui mexcitait"

"Ah bon, parce que tu pense quil me baise tous les jours? Et puis, si je comprends bien, cela texcite de jouer les voyeuses?"

"Oh non, maîtresse, je ne me permettrais pas !"

"Pourtant ce nest pas ce que ma dit Solange lorsquelle ta vue la main entre les cuisses en train de regarder dans la chambre de Mélodie par la serrure"

Le rouge monta au visage de Marie, son cur se mit à battre plus vite, ses jambes devinrent plus frêles, supportant à peine son petit corps tourmenté, elle venait dapprendre quon lavait surprise en train de se livrer à ses attouchements intimes.

"Jespère au moins que le spectacle en valait la peine!" Ajouta cyniquement Karine "En attendant, revenons à ce qui nous intéresse maintenant. Tu disais donc que tu mouillais pour mon mari, voir même pour moi, timaginant quil me baise. Bon comme le Docteur, comme je te lai dis, doit mesurer ses efforts au risque de ne plus bander, et bien, cest moi qui vais moccuper de toi!"

Et de se lever, douvrir sa blouse pour napparaître vêtue que dune courte guêpière très sexy, et surtout, équipée dun godemiché attaché à sa taille.

"Aller, viens me montrer tes talents de suceuse"

Elle appuya alors ses fesses contre le bureau et, le sexe factice en avant, prit Marie par la main, lattira vers elle et lobligea à sagenouiller. Marie, contrainte de sexécuter, se dit quelle ne risquait pas grand chose dun sexe en latex et, consciencieusement, sappliqua à le lécher, le prendre en bouche, comme si elle le faisait à son petit

copain. Le plaisir accompagnant rapidement sa tâche, elle devenait plus ardue dans son exécution, osant prendre sa maîtresse dabord par la taille, avant daller jusquà lui caresser les fesses.

"Oh oui, je vois que tu aimes cela, que tu es une bonne petite vicieuse, continue, suces moi bien, fais moi bander, oui, ta bouche est bonne, elle est douce. Regardes moi, montres moi ton désir, fais moi mouiller petite gouine, caresses moi, continu, cest bon"

Et de lui prendre la tête entre les mains et, lui faisant ouvrir la bouche, elle laissa aller à un filet de salive qui coula directement dans la bouche de Marie. À ces mots, à ces gestes, Marie senhardit de plus en plus, repris sa fellation et ses caresses devinrent plus précises, plus intimes, au point daller titiller le petit trou de sa maîtresse qui, appréciant cette initiative, écarta ses fesses pour lui faciliter laccès.

"oui!, vas y, doigte moi le cul, pénètre moi!"

Et de lui libérer la bouche pour se retourner et lui présenter ses fesses

"Vas, y petite gourmande, lèche moi le cul, écarte bien mes fesses et plante moi ta langue"

Et marie de sexécuter de nouveau, sentant maintenant parfaitement le plaisir qui lui inondait la culotte, elle sappliqua à baiser avec sa langue le cul offert de sa maîtresse. Ses gémissements de plus en plus bruyants démontraient quelle était sur la bonne voie et elle ne fut pas entonnée lorsque celle-ci se mit à trembler légèrement puis se raidir brusquement, emportée par lorgasme.

"Hum, tu es vraiment douée, tu mas fais jouir rapidement. Viens, lève toi"

La prenant par les épaules, elle la fit relever et déboutonna son corsage

"En plus tu as de jolis seins, laisses moi te les sucer"

Et sa bouche se posa sur le sein droit de Marie alors que le gauche disparaissait sous sa main. Sa langue qui exerçait des mouvements de rotation autour du téton, ses dents qui le mordillait, ses doigts qui le pinçaient légèrement, ce traitement plaisait à Marie qui, sans sen rendre vraiment compte, sentait sa respiration samplifier, ses seins réagir aux douces caresses de sa maîtresse, sa chatte se liquéfier, surtout lorsque la main abandonna son sein pour doucement aller se loger entre ses cuisses, lamenant en quelque pressions bien placées au plaisir tant désiré au point davoir du mal à se retenir de crier. Elle avait jouis et Karine sen rendit fièrement compte.

"Eh bien, tu es sacrement réactive, en fait tu aimes ça, hein petite vicieuse, tu aimes de faire caresser, te faire sucer les seins"

"Oui, maîtresse, surtout lorsque cest bien fait comme vous venez de me le faire"

"Et je nai pas finis, enlèves ta jupe et assis toi sur le bureau"

Marie fit glisser sa jupette et une fois assise, elle sentit sa maîtresse écarter le petit bout de tissus du string et pointer le godemiché sur sa chatte

"Maintenant, je vais te baiser et tu men diras des nouvelles"

Allongée sur le dos sur le bureau, une jambe posée sur le fauteuil et lautre en appui sur le meuble, Marie avait sa maîtresse entre ses cuisses et celle-ci avait commencer à la pénétrer avec le godemiché. Cest à cet instant que la porte du bureau souvrit et que le Docteur apparut.

"Tu tombes bien, chéri, regarde cette petite salope, elle en prend plein sa chatte et en plus, elle aime ça. Elle est vraiment bonne, et je suis sure que tu pourras la prendre deux fois, quelle saura de faire rebander"

Le docteur ne dit rien, se contentant dapprocher de la tête de Marie, lui adresser un petit sourire pervers et, déboutonnant son pantalon, lui mis son sexe flasque devant la bouche

"Sucez sil vous plait!"

Tels furent ses seules paroles et Marie, malgré les soubresauts ressentis par la pénétration quelle subissait, pris la pine de son patron dans la bouche et, saidant de sa main, sappliqua à le faire bander. La réaction ne fut pas longue et très vite, le chibre avait gagner en grosseur et en raideur, et, jugeant des grognements de son propriétaire, le traitement avait lair dêtre plaisant. Il se retira alors et sadressant à son épouse

"Je suis prêt"

Karine se retira alors du con de Marie et laissa sa place à son époux. Celui ci sintroduit dans Marie si facilement quil douta un instant être en elle, mouillée quelle était. Par contre, Marie éprouva un petit manque du à la différence de taille entre le godemiché et la petite bite qui la travaillait. Karine, nen resta pas moins inactive et montant à son tour sur le bureau, elle vint offrir sa chatte à la bouche de Marie. Ainsi, prise par le Docteur qui allait et venait en elle, chevauchée par sa maîtresse qui se frottait sur elle, elle savait quelle ne résisterait pas longtemps à ce traitement et que lorgasme allait la foudroyer. La seule retenue qui lhabitait était dattendre la jouissance de ses maîtres avant de laisser éclater la sienne et cest ce qui arriva lorsque le docteur sorti son membre pour, dans un dernier branle, arroser le ventre de Marie de son foutre. À ce moment, Karine se pencha pour venir laper les quelques gouttes parsemées et Marie pouvait laissait éclater son plaisir.

Le temps de reprendre ses esprits que le docteur prit alors la parole:

"Marie, il nest pas dans mes habitudes de faire lamour avec mon personnel de maison, ainsi, je vous prierais de considérer cette expérience comme une étude purement médicale. En effet, je tiens a connaître mes capacités en matière dérection, a savoir en combien de temps un homme de cinquante ans peut remettre le couvert après avoir eut un orgasme. Alors je vous prierez de bien vouloir vous remettre à louvrage, avec laide de mon épouse, pour participer activement à cette étude, merci."

Décidément, Marie se demandait vraiment à quel type de patron elle avait a faire. Il venait de lui faire lamour et lui, sans aucun sentiment, lui indiquait froidement que cétait pour la science. Elle neut pas longtemps à se poser la question car Karine lavait prise par le bras et la poussa contre la table dauscultation.

"Tourne toi, montre moi ton cul!"

Et en retirant le string de Marie, elle sagenouilla devant son postérieur pour immédiatement lui lécher la rosette. Marie appréhendait cette caresse qui en fait, était pour elle une première. Mais Karine savait tellement y faire que ses réticences ont rapidement disparues si bien que, delle même , elle lançait ses fesses au-devant de la langue fouineuse.

"Tu ne tai jamais fais enculer, on dirait"

"Non, maîtresse, jaime pas! " osa Marie afin de len dissuader

"Tu sais pourtant que cest moi qui décide ici!"

"Oui maîtresse, mais jai peur davoir mal"

"Ne tinquiète pas, je ne vais pas te mettre ma queue, mais juste celle du docteur, elle est plus petite, mais comme je suis une gentille maîtresse, je vais te préparer avant"

Et ouvrant alors un tiroir, elle prit un tube de gel et le plus petits des 6 godes qui sy trouvaient

"Tu verras, bientôt, tu me demanderas le plus gros!"

Une noisette de gel sur la rosette, un doigt qui entre facilement, Marie était maintenant investie dans lanus et cette première pénétration lui fit en fait plus de bien que de mal. Elle supporta aussi le deuxième doigt qui entra et bien vite, les allers et retours dans son fondement commencèrent à lui faire le plus grand bien. Le docteur observait la scène en se tripotant machinalement le sexe, mais sans que celui ci ne retrouve sa forme espérée. Alors, il sapprocha de Marie et la fit mettre à quatre pattes sur le carrelage. La position était moins agréable, due principalement au froid contact avec les dalles blanches mais lorsque Karine repris sa masturbation anale, elle se

concentra sur cette pénétration, avant de se retrouver avec le sexe du docteur devant les yeux. Comprenant alors son désir, elle ouvrit la bouche et ferma les yeux, prête à refaire une fellation sur le membre de son patron. Alors, quelle ne fut pas sa surprise lorsquelle reçut un jet chaud sur le visage et dans la bouche, elle se rendit compte

quil vidait sa vessie sur elle et dans la cuvette quil avait glissé sous elle. Marie ne peut quadmettre la situation et même si elle sefforçait de recracher le maximum durine dans la cuvette, elle fut quand même obligée den avaler une certaine partie sous le regard amusé de sa maîtresse.

"Tu aimes ça, hein petite vicieuse, je savais bien que cela texcitait de boire la pisse. Ne tinquiète pas, tu auras la mienne tout à lheure, pour le moment, prends ça!"

Et denfoncer le godemiché dans les entrailles de Marie, lui arrachant un léger cri de douleur.

"Bon, maintenant que je me suis vidé, je vais pouvoir juger de mes capacités" dit alors le docteur.

"Veuillez me sucer de nouveau, sil vous plait"

Et revoilà Marie réinvestie par la bouche mais aussi par le cul, répondant une nouvelle fois a leur fantaisies perverses. Lodeur du sexe du docteur, un mélange de ses secrétions intimes, de sperme et durine, provoqua tout dabord un haut le cur que le Docteur perçu parfaitement.

"Alors, mon petit, appliquez vous, ce nest pas comme cela que jaurais des résultats probants"

Marie se força alors à entreprendre une nouvelle fellation tout en se faisant bourrer le cul par les vas et viens de sa maîtresse qui, crachant sur son trou à chaque sortie du godemiché, la préparait de son mieux pour la sodomie qui sannonçait maintenant imminente. Il est vrai que le docteur se trouva un peu étonné de se retrouver aussi vite en érection, lui qui dhabitude se sentait extenué pendant quelques heures après un orgasme, se sentait maintenant rajeunir de quelques années. Il faut dire que la scène ne manquait pas de piment et que lexcitation était à son comble. Son épouse, a moitie nue qui se gouinant avec sa bonne, rien de mieux pour un homme pour se retrouver avec une bite prête à lemploi. Cest ainsi quil vint se placer derrière Marie et, écartant son épouse, planta son dard entre ses petites fesses. Même si le conduit était parfaitement lubrifié et détendu, lorsquelle senti le gland lui prendre son pucelage anal, Marie ressenti une désagréable douleur qui lui fit faire une grimace émouvante aux yeux de sa maîtresse. Et pour la première fois, Karine ne peut sempêcher de prendre ses lèvres et partager un baiser des plus amoureux. Le Docteur était maintenant au fond de son petit cul et, la tenant fermement pas les hanches, il commençait à la limer doucement, lui faisant alors comprendre et découvrir ce quétaient les bienfaits dune bonne sodomie. Dautant plus que Karine, de plus en plus compatissante, avait glisser sa main entre les cuisses de Marie et lui masturbait labricot en même temps. Cette caresse lexcita elle même au point de se démunir de son gode ceinture et de venir sallonger sous Marie, prendre son sexe avec sa bouche, tout en lui offrant le sien. Ainsi forme, notre trio put assouvir leur soif de plaisir, Marie haletant de plus en plus fort, étouffant ses gémissements dans la chatte de sa maîtresse. Cest dailleurs elle, Karine, qui se laissa aller la première, très sensible a la langue et aux doigts agiles de Marie, avant que cette dernière ne lui réponde, le sexe du docteur dans son cul en étant le principal responsable. Celui ci se démenait toujours dans le petit conduit de Marie et, sentant son plaisir proche, il sen retira pour venir se replacer devant Marie.

"Marie, veuillez nettoyer correctement mon membre sil vous plait"

Et de le lui fourrer entièrement dans la bouche, y faire deux ou trois va et viens, pour exploser littéralement dans son gosier. La pauvre Marie faillit sétouffer sous les jets de foutre quelle recevait, dont le surplus coulait le long de son menton et de son cou et, une fois quil fut complètement vider, elle se retrouvait a genoux devant lui,

la bouche pleine de sperme, les yeux brillants du plaisir quelle a reçut. Il se dégagea, secoua une dernière son sexe qui cette fois-ci était hors dusage pour un certain temps sur les joues de Marie.

"Bien Marie, je vous remercie pour votre active participation pour cette étude que je peux juger comme concluante. maintenant, mon épouse va vous nettoyer"

Et il alla sasseoir dans le canapé, avachi et épuisé de ses efforts sexuels.

Karine prit la main de Marie et la fit se relever pour laccompagner au-dessus de la cuvette déjà remplie par son mari.

"Tu peux te vider si tu en as envie!"

Agenouillée au-dessus de la cuvette, Marie savait très bien que lenvie était en fait celle de sa maîtresse, quelle voulait la voir faire pipi. Alors, contractant sa vessie, elle se mit a uriner au-dessus de la cuvette, son jet résonnant à lintérieur, éclaboussant lurine du docteur déjà en place. Karine, derrière elle, se pencha et passant sa main sur le sexe de Marie, récupéra un peu durine dans sa main en forme de conque et lappliqua sur son anus.

"Faut dabord te laver le cul"

Et réitéra lopération plusieurs fois jusquà la fin du pipi de Marie, sappliquant a faire pénétrer à chaque fois un doigts au fond de son cul. .

"Bien, passons à se foutre qui orne ton beau visage, ma chérie"

Et là, debout au-dessus delle, elle sapprocha et urina totalement sur le visage de Marie. Lurine, chaude, tombait sur le visage de Marie, coulait dans son cou, sur ses seins, mouillait son porte jarretelles, le seul vêtement qui lui restait, pour venir terminer sa course le long de sa fente et remplir la cuvette. Sentant la fin de son expulsion, Karine posa carrément son sexe sur la bouche de Marie

"Maintenant, tu peux me boire!"

Et Marie douvrir sa bouche pour récupérer les dernières gouttes de sa maîtresse, les avaler, les apprécier.

Cest a cet instant que Marie se sentie entièrement soumise à ses maîtres et quelle se rendit compte que rien ne pouvait plus larrêter dans cette relation. Elle avait trouvé en eux les patrons idéaux, et elle se sentait complètement apte à les servir.

Karine avait bien deviné létat dans lequel se trouvait son esclave sexuelle et était fière delle. Elle savait que leur relation serait maintenant tout autre et quelle nhésiterait plus à sen servir pour assouvir ses désirs les plus pervers.

Le docteur, quand à lui, sen alla se coucher, usé de son activité sexuelle mais satisfait davoir pu jouir deux fois en si peu de temps, chose qui ne lui était pas arrivé depuis un certain temps. Et comme en plus il a fait le plaisir de sa bonne qui na pas eu lair de sen plaindre, il se sentait fier dêtre un bon patron.

A suivre

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