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Marie, soumise et rebelle – Chapitre 11

Marie, soumise et rebelle - Chapitre 11



Jai fermé les yeux ; tout dun coup je nétais rien de plus quune femelle offerte impudiquement. Je savais que mon anus palpitait, orifice rouge et luisant de lubrifiant, attendant dêtre bouché, possédé, rempli. Pourtant jai gémi quand le gland sest posé, lui aussi abondamment lubrifié, au centre de ma corolle rouge. Je gémissais denvie et dappréhension ; il était si gros que je savais que jaurais mal, surtout au début, et ce malgré toutes les précautions quil pourrait prendre. Mais javais tellement envie dêtre sodomisée ; dêtre enculée sans fioriture, bien à fond.

Il a saisi ma hanche gauche et a dû se guider de la main droite ; son gland sest frayé un chemin, dévastateur ; jai entendu un ululement oppressé avant de me rendre compte quil sortait de ma bouche. De grosses larmes roulaient sur mes joues, jétais fendue en deux soudain, mon anus sétait ouvert comme jamais, ses muscles distendus marrachant un long gémissement.

Et Gregory senfonçait toujours, reculant parfois avant de repartir toujours plus profondément ; javais limpression davoir un rondin de bois poli en moi, aussi dur mais chaud et palpitant, qui forait mon corps, le remodelait à sa guise. Il a fait une pause, flattant mes reins de ses larges mains.

Alors, tu tiens le coup ?

Oui, vous nêtes pas si bien monté que ça.

Tu crois que je nai pas vu que tu pleures et que tu as eu mal ? Tes épaules sont crispées, ton cul près dexploser. Tu sens ça ?

Ouch ! Oui, doucement quand même.

Je vais ressortir complètement et me planter encore plus loin, il en reste un bon morceau dehors.

Cest vrai ? Mon Dieu, je vous en supplie, pas ça ! Oh ! Cest terrible !

Il était sorti puis avait plongé dun mouvement lent mais irrésistible et la verge avait ouvert un peu plus son chemin dans mes intestins, semblant buter enfin sur un obstacle. Jai poussé un soupir, tremblant de tous mes membres ; sil ne mavait pas retenue, je serais tombée en avant, vidée de toutes mes forces. En passant une main derrière moi, jai pu toucher lénormité rigide plantée dans mes reins ; ce nétait pas possible, il en restait encore cinq bons centimètres à lextérieur. Il allait me démolir le cul, je nallais plus pouvoir marcher pendant plusieurs jours, sans parler de sasseoir.

En quelques mouvements bien trop violents pour moi, il a alors forcé son avantage et obligé mes reins à laccepter, ses lourdes génitoires velues tapant contre ma vulve délaissée. Jai poussé un nouveau cri de douleur, mais ça y était, il était planté en moi jusquaux couilles. Dès lors, il a pu me prendre à sa guise ; mon anus démoli était complètement vaincu.

Quand jai passé une main sur mon ventre gonflé, jai pu sentir à travers la peau le cheminement du gland bien au-dessus du nombril. Je commençai à avoir peur de subir des lésions internes ; je me voyais déjà sur la table dopération avec le côlon déchiré, les intestins explosés.

Alors, tu aimes ça, ma petite pute. Je sens que tu te détends, même si tu es très étroite.

Je ne suis pas morte, cest déjà ça, confirmai-je dune voix blanche. Mais jai limpression que je vais exploser tellement je me sens pleine.

Et tu as mal ?

Presque plus ; jai juste limpression davoir une batte de base-ball enfoncée dans le rectum. Mais je ne connais rien au base-ball.

Là, jai senti que Gregory se retirait, lentement sa monstrueuse queue sortait en entraînant mes boyaux, jai couiné quand le gland est sorti à son tour, laissant une impression de vide sidéral. Il a posé sa queue sur mes fesses, elle palpitait, animée dune vie propre.

Alors, et maintenant, tu as mal ?

Non, mais jai envie de vous, revenez sil vous plaît, prenez-moi, enculez-moi !

Tu nes pas capable de demander mieux que ça ? Tu ne me mérites pas.

Pfff, les hommes Sil vous plaît, enculez-moi bien profond, je suis votre pute, votre chienne, démolissez mon cul, je vous appartiens Ooh ! Mon Dieu !

Dieu nest pour rien là-dedans, ma petite pute ; prends ça !

Et il sest enfoncé, ravageant tout sur son passage, marrachant un cri de bête blessée. Je suis tombée en avant et il a suivi le mouvement, mécrasant soudain de tout son poids et restant bien planté dans mes reins. Jai réussi à tourner la tête vers lui et il ma embrassée ; sa langue épaisse a envahi ma bouche, jai bu sa salive et dardé ma langue dans un baiser sauvage et passionné.

Que jétais bien ainsi ! Bien sûr, il avait le dessus, mais je voulais quil sache que jétais heureuse ainsi possédée, que jacceptais sa domination. Jai essayé de me cambrer pour mieux moffrir à sa queue et il sest soulevé sur ses bras tendus, accentuant sa pénétration. Jai ondulé des hanches en lui souriant, et il a recommencé à se mouvoir à petits coups secs, tout mon corps tressautant à chaque fois.

Alors, tu es bien ?

Jadore. Vous êtes si gros, si long

Jai envie de te juter à la gueule.

Ce nest pas très poétique, si vous voulez mon avis.

Jai envie déjaculer sur ton visage, dans ta bouche. Tu aimes ça ?

Sur le visage, bof. Dans la bouche, oui. Je vous boirai avec plaisir.

Mais je vais dabord bien te défoncer le cul.

Il me prit à coups furieux, accompagnant ses mouvements de tout son poids ; je poussai des cris rauques et me tenais à la tête de lit car ma tête cognait contre le montant de bois. Jai commencé à jouir alors quil sacharnait, coulissant parfaitement de toute sa longueur dans mon ventre. Un orgasme monstrueux, venant de très loin, a dévoré mon ventre et sest répandu à travers mes membres tétanisés, me laissant épuisée et tremblante.

Il ma alors replacée à genoux et redressée contre lui, javais la nuque contre son torse et il pétrissait mes seins avec rudesse, planté à fond en moi. Je me suis arquée pour passer mes mains sur sa nuque rasée et il sest redressé, me décollant du lit. Sa verge ma alors empalée, mon seul point dappui car mes pieds ne touchaient plus le sol.

Ouch ! Doucement !

Je te tiens, naies pas peur. Regarde-toi, tu es belle

Gregory sétait placé devant un grand miroir mural, bien campé sur ses solides jambes ; jétais clouée sur lui comme un petit papillon blanc, jambes pendantes décollées du sol, ventre creusé par la position arquée, déformé par son monstrueux engin. Mes seins gonflés étaient emprisonnés par ses grosses pattes qui les tordaient et les projetaient en avant ; mais ce qui ma marquée, cétait mon visage hagard et comblé, mes yeux voilés et habités. Jai compris que je naurais laissé ma place pour rien au monde.

Alors, mon petit lapin, vous avez toujours envie de me juter à la gueule ?

Tu es vraiment une petite dévergondée. Je crois que je vais bien mamuser avec toi.

Moi aussi, je le pense. Venez, jai envie de boire votre semence.

Il ma posée doucement sur la moquette, mes jambes tremblaient tellement quelles ne me tenaient plus. Je suis tombée plus que je ne me suis agenouillée, en grimaçant tellement mon anus était en feu. Jai passé une main prudente entre mes fesses, je nai pas eu à forcer pour enfoncer toute la main jusquau poignet tant mes sphincters étaient démolis et distendus.

Bon sang, mais vous mavez complètement déglinguée ! Jamais je navais été aussi ouverte.

Je vais tenvoyer la purée, cest parti !

Jai ouvert la bouche mais de gros jets de semence ont inondé mon visage, jen ai eu dans les cheveux, sur le front et dans lil gauche plus que dans la bouche ; mais quand il eut fini déjaculer, il a pressé son gland sur mes lèvres et je lai avalé et tété vigoureusement, les mains sur ses fesses musculeuses pour le tirer à moi. Je voulais le prendre en totalité, lui montrer que jarrivais à faire des gorges profondes. Et que jaimais ça.

Eh bien, tu es une vorace, toi ! Cest la première fois quune fille arrive à mavaler jusquaux couilles. Bravo, mais pense à respirer, tu es toute rouge et tu pleures.

Jai repris ma respiration avant de replonger à fond, les lèvres plongées dans ses poils pubiens ; levant les yeux, je lui ai fait un clin dil de lil droit et il est parti dans un rire irrépressible ; mais en même temps, sa verge à peine débandée avait repris toute sa plénitude et sa raideur. Javais de plus en plus de mal à la contenir et ma gorge comprimée devenait douloureuse. Je me suis libérée pour reprendre mon souffle avant de lui proposer, dune voix un peu cassée :

Vous avez envie de quoi ?

Ton cul, encore. Et là tu vas vraiment charger ; jai déjà joui et je vais te démolir le cul tellement que tu pourras plus marcher ni tasseoir.

Vous êtes présomptueux, cest vrai que vous avez un gros machin, mais maintenant que vous mavez déjà prise, je crois que je vais tenir largement le coup.

Le tout agrémenté dun grand sourire et dun regard innocent comme je sais si bien les faire. Grégory a affiché un air incrédule, sourcils levés et bouche arrondie, avant de partir dans un grand éclat de rire qui a illuminé son faciès de brute.

Cest pas vrai Ce nest pas de linconscience, tu es trop intelligente pour ça ; tu ne manques pas de courage, ma jolie. Et crois-moi, jen ai connu, des filles qui partaient en criant en voyant la taille de ma queue. Toi, tu souris et tu me nargues. Comment tu fais ?

Jaime la vie. Je ne suis ni une pute, ni une esclave. Vous me voulez, vous mavez, je ny peux pas grand chose. Mais je suis libre, jaime rire, jouer, jouir. Si vous voulez me garder près de vous, il vous faudra maccepter comme je suis, et pas vouloir me forcer à être ce que je ne suis pas. Bon, on y va ? Jai envie dêtre prise bien fort

Tu as envie dêtre enculée ?

Oui, jen ai envie, vraiment. Mais jaimerais une serviette pour nettoyer mon visage. Sil vous plaît.

Il a souri et hoché la tête, un peu surpris manifestement de mon attitude. Je nallais pas maplatir devant lui non plus sous prétexte quil était le grand chef ! Et puis avec ce que javais déjà pris, je ne craignais plus grand chose.

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