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Marlyse – Chapitre 2

Marlyse - Chapitre 2



Chapitre 2

Le lendemain, sac au dos, pipe au bec, ventre à terre, notre trio est reparti pour une longue promenade qui les amène à l’hôtel du Marchairuz, où autour d’une fondue moitié gruyère et moitié emmental, ils commentent un peu leur errance dans les pâturages du Jura.

— Maman, tu as vu ces trois types avec de drôles de pioche, tu sais ce qu’ils faisaient, on aurait dit qu’ils arrachaient certaines plantes, les mêmes que l’on a utilisé pour que le beurre perde son goût rance.

— Si je ne me trompe, ce sont bien des arracheurs de gentiane, les racines qu’ils arrachent servent à faire une boisson assez acre et amère que certains connaisseurs adorent.

— Et qu’est-ce que tu penses de ce groupe de jeunes qu’on a rencontré avec ce que je pense être un accompagnateur religieux.

— On verra sur le chemin du retour, mais en attendant, pour digérer, je vous proposerais d’aller visiter la glacière de St Livre. C’est une poche de glace qui est là depuis « toujours » et qui était exploitée anciennement quand on navait pas de congélateur.

Sur ce, les trois partent à la visite de la dite glacière qui en fait est un énorme trou dans la montagne d’au moins 50 à 60 m de profond ou toute l’année, il y règne une température inférieure à 0 degré.

— Impressionnant, je ne pensais pas que cela existait.

— Bon, maintenant, on va passer aux Trois Chalets dire bonjour à l’équipe que nous avions croisées ce matin.

Après deux bonnes heures de marche, repassant la limite des eaux, ils arrivent au chalet de l’Union chrétienne où ils sont accueillis chaleureusement, même à souper.

La soirée se passe dans des chansons, l’éducateur étant assez doué avec la guitare et sa compagne a une très belle voix mezzo-soprano. Les heures se passent et continuent à couler sans s’arrêter, si bien que malgré que l’on soit en été, la nuit devient sombre et il serait dangereux de rentrer à la tente, ce qui n’arrange pas nos deux coquins qui avaient déjà des idées pour la suite.

— Restez avec nous, il y a deux dortoirs, un pour les jeunes et un pour nous qui est bien assez grand. Nous pouvons bien partager. Dit l’éducateur

— Je vous remercie de votre offre en effet, ce serait risqué de repartir de nuit, sans lampe de poche, toutes fois, nous n’avons pas de nécessaires de nuit, remarque Marlyse

— Ce n’est pas très grave de nuit, nous avec ma compagne, nous dormons souvent nus. C’est vrai que les couvertures de type militaire sont un peu rêche, mais on s’y habitue.

— Et pour les ablutions ?

— Il faut puiser dans le puits (joli truisme)

Après les ablutions réduites à la plus simple expression, nos trois lascars se dirigent vers le dortoir. Ils se déshabillent et se préparent à se coucher quand une lampe de poche fait son apparition, éclairant tant la nudité de la mère que celle de son fils et son copain.

— Joli trio murmure l’éducatrice, ces jeunes m’ont l’air bien appétissants.

— Tu serais pour, lui demande l’éducateur, qui a aussi envie de changer de plat en regardant la beauté mature triomphante de Marlyse.

— C’est pas du jeu, réplique Marlyse en se cachant sous les couvertures avec ses deux compagnons, éteignez cette lumière que je ne saurai voir.

— La vraie phrase est : cachez ce sein que je ne saurai voir, commente l’éducatrice, Cool et zen, cela pourrait être une expérience intéressante.

— Qu’est-ce que vous proposez ?

— Un échange de partenaires.

— À ce que je vois, je vous en donne deux et j’en reçois un en échange ?

— Un peu dans ce genre, mais c’est pas stricte, il y a 2 nanas et 3 mecs, il faut bien s’arranger, même j’aimerai bien aussi vous câliner.

— Ce que je comprends bien, vous proposer la grosse partouze !

— À peu près.

À ce moment-là ses deux garçons, lâchement l’abandonnent et abondent dans ce sens.

— Oui, ce serait super. On se rapproche.

Vu que la lampe est éteinte, cela commence à ressembler à un jeu de colin-maillard, C’est un singulier quintet formés de culs, de cons, de vrais nichons et de couilles pas en carton.

Les cinq partouzards, sains de corps mais pas trop d’esprit, ceints de leurs non-pudeurs et les deux tigresses portaient sur leurs seins le seing du Saint Père (Cela ne m’étonne qu’à moitié).

(Petite parenthèse me rappelant ma jeunesse studieuse, chez les saints pères verts. )

Peu après la prise de contact, les troupes sont bien dispersées, l’éducateur, pavillon au vent fonce à toute vapeur vers la passe des Dardanelles, bien décidé d’enlever le Bosphore, son navire amiral, aiguillons dressés fonce vers les abysses anaux pour investir la place. Boum, après un coup de somation et la capitulation de la place, il force le passage et emboutit la grotte sacrée de Marlyse.

— Gredin, tu aurais pu au moins arrosé un peu l’incendie qui me ravage les tripes. À sec comme cela, je n’y suis point habituée.

— C’est à sec qu’on mesure le mieux le degré d’humidité postérieure du postérieur, même sil n’est pas rieur.

— J’espère que au moins ton gland ne va pas glander et cracher son dû, il y a du monde qui attend au portillon.

— T’inquiète, je ne change pas de main et cela vient.

— Jacques, viens donc combler ce déficit de galanterie de ce rustre qui m’a prise comme un soudard.

— Mais Maman, je ne puis, je suis pris jusqu’au troufion par Louis alors que je fore fort le fort de la compagne du rustre Faure. Il te faudra attendre un peu nos bons offices, mais cela ne saurait tarder, je sens sous moi, grâce à nos forces combinées que l’ennemi est prêt à rendre les armes et les soupires de sa garde rapprochée sont de bon aloi. Ça y est, l’Orient Express est lancé, la locomotive rugit dans un bruit d’enfer, le passage du Simplon n’arrête pas le con voit, mais le passage des Karpates à quatre pattes, ne se passe pas si bien, le parcourt est horriblement sinueux enfin, dans les plaines de Hongrie, la locomotive à bout et en bout avale le bout de queue qui la comble si bien, libérant un orgasme monstrueux, c’est pas la mer Égée, mais le lac Balaton.

— Bien mes garçons, quand vous bourrer, c’est du labourage de mes bruns pâturages. Je l’ai sentie passé. Laissez-moi reprendre mon souffle pour continuer.

C’est à ce moment là qu’une tête blonde d’un catéchumène, curieux comme un pou apparaît sur la porte, créant un certain remue-ménage.

— Qu’est-ce qui se passe ?

— C’est Virginie qui a fait un rêve onirique et qui a crié sa joie.

— Ah ! Bon fait l’enfant déçu, bandant déjà en pensant pouvoir participer à une bacchanale.

— Vas te coucher sans faire de bruit pour ne pas réveiller les autres.

— Si tu penses que l’on dort ? C’est pas l’hôtel du Lit on dort, ces gémissements que l’on a entendus ont déclenché un drôle de raz de marée. Les doigts se perdent et les slips s’élargissent.

— J’espère ne pas être obligé à aller mettre de l’ordre. Pensez donc au Seigneur qui vous observe ! Vous êtes dans une retraite religieuse, pas dans un porno-drome !

— Non, je vais y mettre bon ordre.

— C’est bien et referme la porte en sortant, on aimerait dormir.

Une fois l’enfançon sorti, il ne peut s’empêcher de se plaindre.

— Ces portes de chalet sans clé, c’est le début des embrouilles possibles, c’était juste, heureusement que je venais de me dés-embrocher. Je me vois mal expliquer mes aventures dans les plaines de Sodome, avec une autre femme que la mienne, à un jeune catéchumène. Je ne suis pas sûr qu’il comprendrait.

— À voir son pyjama, je ne pense pas qu’il ait été traumatisé à vie, le petit saligaud il bandait comme un cochon qu’une truie excite. Réplique Marlyse qui cependant n’a pas eu son contentement :

— Oh mes camarades, il reste du travail avant de pouvoir bénéficier de Morphée, l’Orient-express de Laurent était trop rapide pour que je puisse prendre mon pied comme il convient. J’ai mes trous qui ont faim de vos Beyrouths.

— Maman, on ne dit pas Beyrouth, mais biroute, Beyrouth c’est au Lit blanc, ici on n’a que des couvertures rêches militaires.

— Je m’en fous, ce que je veux, c’est un bon double ramonage avec en sus un morceau d’escalope à moustaches pour salopes à déguster, si Virginie n’y voit pas d’inconvénient.

— Il ne restera que Laurent qui va se la jouer solitaire, remarque la dite Virginie.

— Sil veut, il peut embrocher le garçon qui est dessus, mais je doute qu’il accepte s’il n’y a pas un bon léchage au préalable.

— Je vais m’en charger dit Virginie, j’adore les odeurs et goûts fauves. Ces jeunes fesses m’attirent comme la flamme attire le pape Illon (III si je ne me trompe), je vais ajouter un peu de ce qu’ils m’ont laissé dans mon intérieur et qui suinte.

De ce fait, elle plonge sa tête, langue conquérante vers lillet qui risque d’être à la fête (des illets, révolutionnaires), lapant et léchant les restes de l’enculage précédent, elle s’en met plein les papilles. Sans se forcer, elle gobe en même temps les pruneaux qui pendent en dessous, prêt à être gobés.

— Quelle marchandise, bafouille-t-elle, on en redemanderait.

— C’est prêt? Lui demande son mec.

— oui, j’ai bien préparé l’huis et le pertuis est à mon avis prêt à recevoir ton obole.

C’est un drôle d’amalgame qui se forme avec Louis sur le dos, la bite dans le con de Marlyse et la bouche sur celui de Virginie, les deux femmes se faisant face pour se peloter les nichons. Un peu plus haut, Jacques a sorti son artillerie et pilonne la place forte de sa mère alors que Laurent, pas le saint, lui améliore les hémorroïdes. Pareille construction n’avait pour vocation de durer éternellement, le pauvre Louis, malgré les délices, dont il bénéficiait, commençait à sentir le poids, non des années, mais des partenaires. Contrairement à son habitude, il fut le premier à dégainer, mais aussi à tirer son coup, droit au but, tapissant les ovaires de son amante d’une épaisse couche de graminées à bébé, déclenchant du même coup la reddition de Marlyse. Tout comme la réédition de son orgasme qui n’en finissait plus tellement le bourrage de Jacques était violent.

Finalement et simultanément Laurent et Jacques livrèrent leurs contributions spermiques dans le trou qu’ils occupaient.

Le lendemain, les habitants du dortoir adulte émergent avec difficulté des excès de la nuit, les deux éducateurs se rendent au dortoir 1, où la fenêtre n’a pas été ouverte pendant la nuit, vu la fraîcheur matinale. Cela sent un peu le baracon.

— Cela sent une drôle d’odeur dans ce dortoir, n’auriez-vous pas été sage ? Debout tout le monde, inspection.

C’est à ce moment là qu’ils s’aperçoivent que plusieurs culottes portent des traces suspectes que l’on pourrait attribuer à du sang. « Quoi, ce ne serait pas la grande nuit du dépucelage qui a eu lieu, j’espère » pense Laurent. « Je me vois mal annoncer aux parents que leurs filles s’est peut-être fait mettre en cloque lors de ce séminaire religieux, en quelque sorte « inséminarée ».

— Ce matin, on va avoir une sérieuse discussion sur la nuit passée, vu l’état dans lequel se trouve certaines participantes.

C’est à cette occasion, après le petit déjeuner en commun que nos amis quittent le chalet lieu de toutes les débauches.

— Je n’aimerai pas être à la place de Laurent, quand il devra faire un compte rendu de cette nuit de folie chez les jeunes dont il avait la garde, annonce Marlyse.

— Pour moi, ce n’est pas un exemple, annonce Louis, peu impressionné par le personnage. Si on a des responsabilités envers des jeunes, il faut plutôt penser à minimiser les risques, ce qu’il n’a pas fait en faisant dortoir à part et ensuite il faut assumer ses conneries. Mais il faut dire que quand le mal est fait, je ne vois pas trop comment il va faire.

— Soit pas trop dur avec lui, ces jeunes, c’est comme nous, cela devait les démanger depuis un certain temps, commente Jacques. Ils n’ont tout simplement pas eu la chance que nous avons d’avoir une femme comme ma mère qui est super avenante. Cinq contre un n’est qu’un pis aller, quand on l’a la possibilité de faire jeu égal, on nhésite pas.

— C’est vrai qu’on a eu beaucoup de chance avec Marlyse.

— Tout aussi vrai que j’ai eu beaucoup de chances d’avoir deux étalons en pleine forme pour satisfaire mes besoins et envies. Réplique Marlyse.

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