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Martine au camping – Chapitre 1

Martine au camping - Chapitre 1



Rendez-vous ce soir avec Martine ! Nous nous sommes rencontrés sur un site internet et notre liaison extra conjugale dure déjà depuis un bon moment. J’ai réservé une table dans un restaurant très touristique place du tertre, bien connu pour ses nappes et serviettes à carreaux rouge et blanc. L’attente n’est pas longue Martine est ponctuelle. Accompagnée par un serveur, elle fait, comme le plus souvent, une apparition remarquée. Martine est un petit bout de femme d’un mètre cinquante, au sourire communicatif et éclatant, une jolie tête au bel ovale, des yeux noirs fin et bouclés coupés très court, un bouche menue aux lèvres bien ourlées.

Je me lève à son arrivée, l’aide à s’installer face à moi, à cette table ronde située dans un angle. Elle porte un tailleur rouge avec un chemisier de soie blanche à boutons. Son choix de vêtement est une indication claire pour moi, elle a envie de jouer à un jeu que je lui propose souvent, tant nous l’aimons. Je dois dire que je suis fou du corps de Martine. Un buste menu, très menu, une petite cage à sereins, avec une poitrine qui l’a complexée longtemps. Il faut dire le mot poitrine est fort, hors mis pendant ses grossesses, Martine "a tout dans le mamelon" comme elle aime le dire en riant. Je dois vous dire que ses mamelons sont magiques. Les aréoles sont plutôt larges, brunes et les tétons sont érectiles, très érectiles. Sa taille est menue, ses fesses rebondies en forme de cur et ses jambes parfaites. Un mini canon quoi, son tailleur mini jupe m’a fait un effet buf. J’ai beau être habitué mais à chaque fois c’est pareil, cela me démange dans les reins et je me mets à bander.

Nous levons nos verres à cette soirée, elle se penche pour m’embrasser, sa veste de tailleur s’écarte, mes yeux plongent immédiatement sur ses seins. C’est ça le jeu ! Je fixe ses seins, l’un après l’autre en faisant une petite moue de sucion. Un rire, silencieux mais éclatant éclate sur sa bouche. Elle enlève sa verte, la pose sur le dossier et me regarde avec un air de défi. Mon regard semble être si lourd que cela pointe déjà fort sous le chemisier.

Le serveur vient prendre notre commande, il n’en perds pas une miette, j’aime ça. Ma main droite est posée sur la table, elle tient mon poignet à pleine main, d’une façon si explicite que j’ai la sueur au front. Le jeu continuant, je remarque dans son regard que cela fonctionne, le trouble et le désir commence à monter.

L’intérêt de ce restaurant est qu’il y a du monde beaucoup de monde et pas mal de bruit. Cette table en angle est comme un petit coin secret, ce qui veulent regarder voient tout, les autres rien. Plongeant son regard dans le mien, ne lâchant pas mon poignet droit, qu’elle serre en faisant un léger va et vient sa main disparait sous la nappe. Un petit bout de langue sort de sa bouche et je sens ses pieds se poser sur mes cuisses. J’imagine ses jambes relevées, écartées. Ses pieds constatent que moi aussi j’aime le jeu. Elle frotte ma queue raide doucement et au rouge qui sort peu à peu de son col pour envahir ses joues je pense à ses doigts qui branlent sont bouton. Je n’ai pas encore parlé de son adorable intimité. Elle a une légère toison entretenue avec soin, nous aimons ça. Son abricot comme ses aréoles est foncé, une peu fine douce et brune. Un clitoris long bien couvert, qui montre une longue tête rose lorsqu’il est raide. Les yeux dans ses yeux, j’ai cette vision, je suis de plus en plus excité.

Son regard se voile, sa bouche se ferme, ses lèvres se serrent. Elle me fixe intensément, sa bouche s’entre ouvre, sa tête se renverse, qu’elle est belle dans son orgasme. Son pied qui ne m’a pas lâché accélère son va et vient, à mon tour de me perdre dans son regard quand de longues giclées inondent mon slip.

Soulevant ma main qu’elle n’a pas encore lâchée, elle pose un baiser brulant dans ma paume. Je lui tend mon autre main et elle y pose sa main. J’approche ma bouche pour l’embrasser et me régale de son odeur de sa moiteur, léchant ses doigts trempés et délicieux.

Elle se lève et disparaît de ma vue quelques instants, à son retour elle glisse dans ma main un petit bouchon de tissus noir trempé de son nectar. Je le glisse par la ceinture dans mon pantalon et joint à son suc mon jus abondant et lui rend l’objet de notre plaisir. Elle le hume à son tour, je ne sais pas si j’ai rêvé ou si elle a vraiment sorti un petit bout de langue pour gouter cette trace luisante.

A mon air étonné, elle me fait un clin d’il, glisse sa main sous la table et me tend un doigt. J’accepte le défi, je ne sais plus vraiment ou je suis, je la prendrai bien immédiatement sur la table devant tout le monde. Je suce avidement ce doigt, en profitant pour, comme elle, mouiller mes doigt au contact de mon gland trempé. Elle suce ces doigt puis me tend ses lèvres et nous échangeons un long baiser parfumé de nos liqueurs.

Après avoir réglé l’addition, nous nous levons et je l’aide à remettre sa veste. Un couple d’étranger, des anglais surement, nous regarde." Bonne fin de soirée et merci !" nous adresse la femme avec un accent prononcé.

Quelques instant après nous nous retrouvons dans la petite rue ou j’ai garé la voiture.

"Je te veux maintenant en moi !"

Elle me chevauche, se glissant entre moi et le volant, ses mains fouillent et ouvre mon pantalon elle s’empale d’un coup à fond sur ma queue de nouveau si raide. Ses bras autour de mon cou, ses tétons entre mes pouces et index elle ondule follement sur moi. Je sens le plaisir monter et elle le voit dans mes yeux. elle stoppe son mouvement

"Attends, il y a un jaloux !"

Elle se soulève, se cambre et d’une main experte me guide vers "son petit bonheur". Je ne bouge plus je la connais si bien, elle est étroite, très étroite de là. Mon regard plongé dans le sien, je la contemple concentrée, qui lubrifie de son jus, et se pose dessus par toutes petites poussées. Ses yeux s’ouvrent, elle embrasse ma bouche langue sortie, le gland passe. Quel moment magique avec elle ! Et maintenant elle commence à monter et descendre sur moi. Elle joue de ce muscle avec tellement d’art, que dans mon cerveau se vide et je ne suis plus que mon sexe.

Sa main entre nous frotte son bouton, elle ondule de plus en plus vite et l’explosion nous emporte loin très loin.

"On va chez toi ?

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