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Mary et son amante – Chapitre 1

Mary et son amante - Chapitre 1



Jaime bien me déplacer en tram, dabord cest rapide, sans problème et ensuite jécoute les conversations autour de moi. Ainsi jadore écouter les demies conversations téléphoniques qui commencent par linévitable « tes où ?» suivit de jarrive dans 10 minutes à la station machin. Cest la fille assise devant moi qui prononce ces impérissables paroles.

Elle est assise avec une amie, bavardant de problèmes typiquement féminin, comme le moyen de lever un garçon ou mettre une jupe courte. Justement elle porte une jupe ultra courte qui découvre pratiquement sa chatte. Je zieute sans scrupule, après tout cest elle qui a choisi sa jupette. Elle se rend compte que je la regarde avec insistance.

Je la verrais bien sans jupe du tout, ce serait plus franc comme invite. Jentends une partie de la conversation : elle a oublié de mettre son string. Son amie répond :

— Et alors tu sais bien que je te préfère sans culotte.

— Je sais, comme pour me branler la dernière fois.

— Et alors, tu as souffert ?

— Non, tu mas fait du bien, mais quand même

— Je sais que tu meurs denvie de recommencer.

— Oui à conditions que nous soyons à trois.

— Pas possible à trois filles.

— Je nai jamais parlé de filles. Je préférerais avoir ta langue est une bite pour baiser normalement. Avec toi ce nest jamais possible.  Tu as peur des mecs ?

— Non, mais quand je suis avec toi je te veux pour moi seule.

— Et moi je veux une bite dans le ventre et la bouche pour bouffer du sperme ce que tu naimes pas justement.

— Je préfère ta mouille.

Je suis excité de les entendre, je me proposerais bien comme mâle pour la contenter. Hélas, elles descendent trop vite pour moi. Je les regarde pour savoir où elles vont.

Je les vois entrer dans un petit hôtel. Je me doute bien quelles vont jouer à la bête à deux dos. Puis, le trajet se poursuit. Je traite les affaires qui mentrainaient pour revenir à nouveau dans le tram.

Jai la surprise de revoir les deux filles au même arrêt. Coup de chance elles sassoient au même endroit devant moi. Leur conversation post reprend :

— Tu vois tu as bien joui.

— Oui, comme toi quand nous nous sommes sucées, mais tes doigts nont pas remplacés une belle bite dans le con.

— La prochaine fois, je te promets que nous serons deux filles avec un garçon.

Je les imagine fort bien nues, pendant quelles se font un 69. Si javais été avec elles jaurais enculé ou baisé la jupe courte. Jai un peu de chance quand elle croise ses jambes : là je vois la moitié de sa chatte encore humide. Joli sexe qui me fait bander.

Les deux filles regardent justement ma braguette, mon érection ne passe pas sans quelle la regarde sans cesse. Jarrange ma bite dans le pantalon en passant ma main par dessus. Ce simple geste suffit à déclencher à nouveau la conversation sur lutilité dune bite dans le ventre. Là, je me mêle à la conversation :

— Vous savez, rien ne vaut une bite pour baiser, même si vous aimez baiser comme des tribades . Jai la mienne prête à servir.

Celle qui semble mener lautre me regarde les yeux étonnés.

— Vous nous donneriez votre queue ?

— Non, je la prête pour jouir.

Lautre fille qui réclame une bite depuis un moment me demande :

— Vous la mettez nimporte où ?

— Dans une fille nimporte où, sauf dans les oreilles.

— Je la veux maintenant.

Elle change de place pour venir à coté de moi, elle masse ma queue à travers le pantalon ouvre la braguette pour la sortir. Je veux bien mais pas dans le wagon. En désespoir de cause, elle membrasse fort bien sur les lèvres. Cest quand même ma langue qui va dans sa bouche où nos langues font connaissance. Jai envie que lautre en fasse autant. Elle doit le comprendre car elle se penche sers moi, me donne et sa bouche et sa langue.

Notre voyage en tram sarrête au point déchange auto. Nous montons dans la voiture. Elles sont sages comme des images pendant le trajet. Je gare ma voiture au parking souterrain pour prendre lascenseur. Je suis surpris de voir quelles se tiennent parfaitement bien. Mais arrivées chez moi, elles changent de tout au tout. Les jeunes filles sages sont loin, très loin.

Si elles sembrassent encore devant moi, elles ne moublient pas. Je moccupe de celle qui voulait une bite : elle est vite nue : mis à part sa jupette, elle ne portait quun petit haut qui ne cachait guère plus que sa poitrine. Pour son amie, la tâche était aussi simple, je nétais pas seul pour la mettre à poils.

Pour moi, cétait rapide aussi quand elles ont fait tomber mon pantalon, mon polo et mon slip. Bien sur je bandais comme dans le tram. Et puis comment faire devant deux nanas exploratrices des plaisirs sexuels. Ma chance a été quelles ont commencé seules. Leurs lèvres ne se séparaient plus. Les mains pelotaient les deux jeunes corps nus. Puis, comme ça, rapidement les mains sont venues sur les chattes. Elles sétaient assises sur le bord du lit, les jambes bien ouvertes, leur intimité offerte à mon regard. Elles se branlaient sous mes yeux émerveillés : quoi de plus excitant que voir deux filles se faire du bien.

Je bandais toujours trop fort à tel point que je commençais à me branler aussi. La plus chaude pour ma queue, Mary, prenait ma queue dans sa main. Elle commençait à le masturber, pas encore parfaitement, mais cétait très agréable de sentir sa main aller et venir sur ma colonne. Je pouvais remplacer sa main sur le con de sa compagne. Jarrivais facilement à la faire jouir. Elle ne pensait jamais quun homme arrive à ce résultat. Fausse idée menait à des aberrations.

Jarrêtais Mary avant que je jute. Je voulais me conserver presque entier pour jouir dans son corps ou même dans le corps de son amante. Elle continuait ses frôlements sur moi, en me caressant les pointes des seins quelle me faisait poindre.

Et puis lentement je me suis fait le mâle dominant. Installé entre les deux filles je les caressais comme je pouvais, surtout sur la chatte. Je mattachais à les faire jouir le plus possible. La copine jouissait presque sans cesse, pendant que Mary elle fermait les yeux pour mieux profiter de moi.

Jen ai eu assez de jouer au gode, jai allongé Mary qui écartait bien ses jambes. Je voyais un sexe de femme des plus régulier, avec le clitoris qui bandait. Jallais doucement sur elle pour la baiser. Jétais surpris de constater quelle était encore vierge. Elle se donnait à moi sans problème. Jétais bien dans ce vagin tout neuf dune fille qui aimait jouir.

Le seul incident était le petit cri quelle poussait quand je la rendais femme. Pour la suite, cétait merveilleux daller et venir dans son con tout frais. Jallais jouir quand elle me devançait. Je me retirais donc, dans lintention de baiser lautre, sa compagne de jeux.

Elle ma accueillit aussi bien que Mary. Par contre elle nétait pas vierge. Jaurais aimé la déflorer aussi. Elle ma fait sortir avant que nous jouissons. En se tournant elle me donnait son cul.

— Vas-y, encules moi, je suis vierge du cul.

— Détends-toi.

— Je le suis, entre.

Je pose ma queue sur son anus, je pousse un peu. Miracle de la baise, jentre relativement facilement. Elle aussi pousse des petits cris : elle jouit aussitôt que je suis dans son ventre. Je lui mets ma queue à fond dans ses boyaux. Je décharge quand elle jouit aussi.

Ces petites joyeusetés mont vidé en partie. Par contre les deux filles ont encore envie de jouir. Les voilà parties pour un échange commun de plaisirs avec les langues. Le 69 est certainement une invention féminine à voir comment elles le pratiquent : elles se lèchent partout, depuis le clitoris jusquà lanus. Deux obsédés du sexe.

Je bande encore en les voyant se gougnotter. Je choisi lendroit où je veux mettre ma pine. Le cul de Mary qui est à ma portée. Je suis aidé par son amante. Notre amante. Elle dirige ma bite pile sur le cul de son amie.

Mary commence par se rebeller : elle ne veut pas que je touche à son cul. Pourtant je ne lui demande pas dautorisation. Elle est bien protégée par la cyprine qua mis son amie. Jentre facilement dans un cul resserré par la crainte. Elle ne se détend que quand je suis totalement entré.

Pour moi cest une sodomie remarquable : dabord je suis dans un cul neuf, ensuite les mains de lamante caresse ce qui sort du cul et les couilles, enfin parce que Mary jouit plusieurs fois alors quelle ne me voulait pas.

Ma queue suse à force de les niquer dans tous les trous. Il me faut plusieurs jours pour les calmer et encore à peine.

Margot et Claire mont adopté pour baiser.

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